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Cheval dans la rue à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B73-n°1419) Il ne nous semble pas reconnaître le cheval blanc du photographe, plus trapu. Il s'agit peut-être du cheval de l'horticulteur Mitout dont on reconnaît la boutique en arrière-plan.
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Train de marchandises à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B73-n°1416) Ce train de marchandises a voyagé de Saint-Léonard-de-Noblat à Saint-Priest-Taurion le 8 avril 1911, d'après les informations visibles sur le wagon. Petit voyage d'une dizaine de kilomètres par la voie ferrée qui serpente au plus près de la Vienne.
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Ferrage d'un cheval - Fonds Boudeau (B73-n°1415) Nous assistons ici au ferrage du cheval du photographe, que l'on voit tirant sa carriole sur de nombreux clichés.
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Construction d'un pylône au château de Tourniol à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B72-n°1403) "Nous sommes le 31 mars 1911, dans le domaine de Tourniol, à Saint-Priest-Taurion. C'est la propriété de la famille Brousseaud, descendant des entrepreneurs et architectes de la fin du XVIIIème siècle. Jean-Baptiste Boudeau photographie à la fois le pylône d'une hauteur de 32 mètres, avec cinq des ouvriers à son sommet, et la base du dit pylône où sont répartis la totalité des ouvriers bâtisseurs. On en distingue huit répartis de manière symétrique, trois-deux-trois de gauche à droite ; ou un-trois-trois-un de haut en bas. Jean-Baptiste Boudeau compose ses photographies, nous le voyons ici une fois de plus.
Il qualifie ce pylône de « moulin à vent », nous dirions aujourd'hui une éolienne."
Texte de Vincent Brousse.
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Construction d'un pylône au château de Tourniol à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B72-n°1402) "Nous sommes le 31 mars 1911, dans le domaine de Tourniol, à Saint-Priest-Taurion. C'est la propriété de la famille Brousseaud, descendant des entrepreneurs et architectes de la fin du XVIIIème siècle. Jean-Baptiste Boudeau photographie à la fois le pylône d'une hauteur de 32 mètres, avec cinq des ouvriers à son sommet, et la base du dit pylône où sont répartis la totalité des ouvriers bâtisseurs. On en distingue huit répartis de manière symétrique, trois-deux-trois de gauche à droite ; ou un-trois-trois-un de haut en bas. Jean-Baptiste Boudeau compose ses photographies, nous le voyons ici une fois de plus.
Il qualifie ce pylône de « moulin à vent », nous dirions aujourd'hui une éolienne."
Texte de Vincent Brousse.
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Locomotive et cheminots en gare de Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B79-n°1400) Une belle machine à vapeur de la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans (souvent plus simplement appelée "Paris-Orléans" ou " P.-O.") en gare de Saint-Priest-Taurion.
Les chauffeurs et mécaniciens étaient très liés à leur machine et toujours fiers de poser pour les photographes.
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Locomotive en gare de Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B79-n°1399) Une belle machine à vapeur de la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans (souvent plus simplement appelée "Paris-Orléans" ou " P.-O.") en gare de Saint-Priest-Taurion. Il nous semble reconnaître, au fond, la gare du bourg, et non pas la gare des Bardys, l'autre gare de la commune.
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Fête des fleurs à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B72-n°1397) A la fin du 19e siècle, les fêtes des fleurs se multiplient à travers toute la France. Elles ont généralement lieu au printemps, autour du Mardi gras, parfois l'été. Dans les communes où les festivités sont les plus importantes, des défilés de chars fleuris sont organisés.
Ici, ce sont, semble-t-il, les élèves de l'école de filles de Saint-Priest-Taurion qui se mobilisent pour l'occasion.
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Bergères et leurs brebis à La Mazière à Saint-Léonard - Fonds Boudeau (B72-n°1396) Bien que fort banale, une jolie scène pastorale.
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Vallée du Taurion - Fonds Boudeau (B64-n°1269) Nous n'avons pas de localisation précise pour cette vue, très probablement vers Saint-Priest-Taurion et Saint-Martin-Terressus.
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Labour à La Texonnière, commune de Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B64-n°1268) « Cette image illustre certes un certain ordre immuable des champs, rythmé par les travaux saisonniers. Elle nous renseigne tout autant pour peu que l’on en approfondisse la lecture sur la société rurale limousine. Les deux trains de labours, équipements hors de portée de la petite paysannerie, qui évoluent ici appartiennent sans doute à la grande propriété visible en arrière-plan. Le bovin limousin demeure encore l’animal de trait par excellence avant que sa viande ne soit valorisée sur les grands marchés urbains parisiens ou lyonnais. Prairies au second plan, labours au premier témoignent de la prégnance de la polyculture, mais les labours peuvent aussi bien recevoir des cultures destinées au bétail. La longueur de l’étable, que l’on discerne au loin, montre l’importance des productions animales dans l’économie rurale limousine. » Dominique Danthieux
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Labour à La Texonnière, commune de Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B64-n°1267) « Cette image illustre certes un certain ordre immuable des champs, rythmé par les travaux saisonniers. Elle nous renseigne tout autant pour peu que l’on en approfondisse la lecture sur la société rurale limousine. Les deux trains de labours, équipements hors de portée de la petite paysannerie, qui évoluent ici appartiennent sans doute à la grande propriété visible en arrière-plan. Le bovin limousin demeure encore l’animal de trait par excellence avant que sa viande ne soit valorisée sur les grands marchés urbains parisiens ou lyonnais. Prairies au second plan, labours au premier témoignent de la prégnance de la polyculture, mais les labours peuvent aussi bien recevoir des cultures destinées au bétail. La longueur de l’étable, que l’on discerne au loin, montre l’importance des productions animales dans l’économie rurale limousine. » Dominique Danthieux
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Pêcheur à l'épervier sur le Taurion à Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B64-n°1264)
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Le pont sur le Taurion à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B64-n°1259) L'ancien pont sur le Taurion, en aval du viaduc et à proximité de la confluence avec la Vienne, fut remplacé en 1975 par l'actuel pont Jean Gagnant.
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Vieille rue à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B63-n°1234)
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Jument de M. O'Toole au château de Ribagnac, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B62-n°1230) Si le Limousin est célèbre pour ses bovins, il est aussi, depuis des siècles, une terre d'élevage équin d'excellence. Beaucoup d'aristocrates et de notables locaux se faisaient donc un devoir de posséder et de montrer les plus beaux spécimens, principalement des chevaux de selle.
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Le meunier Picaud et sa famille au Pont, commune de Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B62-n°1229) Non loin du bourg de Saint-Martin-Terressus, sur la route d'Ambazac, le Moulin du Pont est établi au bord d'un ruisseau et alimenté par un étang, tout près du Taurion. A l'époque de cette prise de vue , il est tenu par la famille Picaud qui y produit de la farine.
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Groupe de cyclistes au Pont, commune de Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B62-n°1225) Bien avant la démocratisation de l'automobile dans nos campagnes, le vélo fut longtemps le moyen de locomotion le plus en vogue chez les jeunes gens. Dans les années 1900-1910, la production française de bicyclettes se développe considérablement, la fabrication se mécanise, la qualité s'améliore et les prix baissent.
Si, à l'époque de cette photographie, le vélo est encore un objet relativement rare en milieu rural, il est l'un des symboles de la modernité que J.-B. Boudeau aima particulièrement photographier, au même titre que la batteuse, par exemple.
Le jeune homme au violon, à droite, est le fils du meunier Picaud, du moulin du Pont.
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Église de Royères - Fonds Boudeau (B61-n°1224) L'église Saint Thomas de Cantorbéry est une église de granite datant du 13e siècle. Elle possède un clocher-mur comme de nombreuses églises de la région.
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Les foins - Fonds Boudeau (B61-n°1215) Pas de localisation précise pour cette jolie scène paysanne, probablement dans les environs de Saint-Priest-Taurion.