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Jules Noriac Claude Antoine Jules Cairon dit Jules Noriac, né en 1827 à Limoges, est un journaliste et chroniqueur dans de nombreux journaux, dont le Figaro, hebdomadaire dont il était l’un des principaux rédacteurs.
C'est aussi un écrivain à la réputation d'humoriste" (Le 101e régiment", "la Bêtise humaine", le"Journal du flâneur")
Auteur de vaudevilles et de livrets d'opérette, Jules Noriac dirigea en le Théâtre des Variétés de 1856 à 1869 et les Bouffes-Parisiens de 1868 à 1879. Pilotell dessine un Jules Noriac triomphant sur son char.
cote : FP NOR 10 (Bfm Limoges)
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Jules Noriac Claude Antoine Jules Cairon dit Jules Noriac, né en 1827 à Limoges. est un journaliste et chroniqueur dans de nombreux journaux, dont le Figaro, hebdomadaire dont il était l’un des principaux rédacteurs.
C'est aussi un écrivain à la réputation d'humoriste, pour des livres comme " Le 101e régiment" (1858), auquel pourrait faire allusion ce dessin d'Hyppolite Mailly .
Auteur de vaudevilles et de livrets d'opérette, Jules Noriac dirigea en le Théâtre des Variétés de 1856 à 1869 et les Bouffes-Parisiens de 1868 à 1879.
cote : FP NOR 02 (Bfm Limoges)
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Tout en dégustant un bock... Né le 6 avril 1867 à Limoges, Georges Fourest suit des études de droit. Il se qualifie ensuite d’"avocat loin de la cour d’appel". A Paris, il fréquente les milieux littéraires symbolistes et décadents, collabore à plusieurs revues (La Connaissance, Le Décadent) et se rend célèbre avec La Négresse blonde (Messein, 1909, rééd. Corti 1986), préfacé par Willy, et placé sous le patronage de Rabelais. Georges Fourest fera encore paraître Contes pour les satyres (Messein, 1923, rééd. Corti, 1990) et le Géranium ovipare (Corti, 1935, réé. 1984), qui respirent une même atmosphère ludique et lubrique. Il meurt à Paris le 25 janvier 1945. Après une période de désaffection, il est peu à peu redécouvert, à mesure que se manifeste un regain d’intérêt pour la littérature 1900.
« Georges Fourest était un poète français à la verve parodique et irrévérencieuse, jouant avec truculence de mots rares ou cocasses, des dissonances de ton, de l’imprévu verbal et métrique, des effets burlesques."
José Corti, "Souvenirs désordonnés".
cote : AUT219 (Bfm Limoges)
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Limoges en vitesse Titre de couverture : "Couplets chantés dans Limoges en vitesse : revue en un tableau et quart jouée au Théâtre municipal de Limoges... Avec le portrait des auteurs".
Sur la quatrième page de couverture, photo représentant les deux personnes de dos. -Compte rendu dans le "Courrier du Centre" du 11 mars 1907 et dans "Limoges illustré" du 1e avril 1907, sans identification des auteurs, vraisemblablement M. Filochot, chef d'orchestre du Théâtre et M. Dolne, directeur de la troupe.
cote : MAG.P LIM 40681 (Bfm Limoges)
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Chansons populaires et bourrées recueillies en Limousin avec musique, traduction et annotations musicales Un ouvrage complet accessible aux non occitanistes avec commentaire, traduction française et annotations musicales.
Table des matières détaillée.
cote : MAG.P LIM 53310 (Bfm Limoges)
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Dieu le Père, en majesté Peinture sur parchemin extrait du "Missale ad usum ecclesiae Lemovicense ". Dans les angles sont représentés les figurations symboliques des 4 Evangélistes.
D' après l'historien Samuel Gras (auteur d'une thèse sur "L’Enluminure dans la vallée de la Loire du temps de Jean Fouquet"), cette peinture, comme la Crucifixion extraite du même recueil (voir Bibliothèque numérique du Limousin) serait l'oeuvre d'un enlumineur-émailleur actif à Limoges à la fin du Moyen Age.
cote : RES.P LIM INC 24 (Bfm Limoges)
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Crucifixion Peinture sur parchemin extrait du "Missale ad usum ecclesiae Lemovicense ".
D' après l'historien Samuel Gras (auteur d'une thèse sur "L’Enluminure dans la vallée de la Loire du temps de Jean Fouquet"), cette peinture est à rapprocher de celle du Livre d'heures de la Bienheureuse Marie (également consultable sur la bibliothèque numérique du Limousin). Il atteste l'existence d'un atelier d'enluminure actif à Limoges à la fin du Moyen Age, et les attribue au Maître de Catherine Gentille ( du nom de la propriétaire du manuscrit de Chicago, Art Institute, Ms 155401)., Samuel Gras rapproche enfin le travail de notre artiste d'émaux produits à Limoges par le Maître du triptyque d'Orléans, émettant l'hypothèse de l'existence d'un enlumineur-émailleur actif à Limoges à la fin du Moyen Age.
cote : RES.P LIM INC 24 (Bfm Limoges)
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Le Pain Noir, Livre 2 : La Fabrique du Roi, première partie. "La Fabrique du Roi" est le second tome de la tétralogie du Pain Noir écrit par Georges Emmanuel Clancier.
Le texte ci-présent constitue pas la version définitive : les pages 1 à 6 du présent manuscrit ont disparu de l'édition originale.
La saga du "Pain Noir" raconte la vie d'une famille de métayers, les Charron, dans une ferme limousine entre 1870 et la Seconde Guerre Mondiale, sur un fond de luttes sociales et morales, en suivant le personnage de Catherine Charron, tendre courageuse.
Sans pathos, Clancier décrit avec force les misères de la vie quotidienne mais aussi les rêves de ces gens. Il se fait tour à tour historien, ethnographe, romancier et poète. L'auteur a puisé dans l'histoire de sa propre famille. Le récit est dédié à sa grand-mère illettrée.
Une oeuvre rayonnante qui place son auteur dans les grands romanciers du XXe siècle.
cote : Ms466 (Bfm Limoges).
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Fête nationale Jeanne D'arc, 8 mai 1921 Programme officiel vendu 1 franc.
On pouvait voir à cette fête : revue de troupes, concert symphonique, défilé patriotique et exercices de gymnastiques.
"Dès 1884, et bien avant que Jeanne ne devienne une icône nationaliste, le député radical de l'Aveyron, Joseph Fabre, propose la création d'une fête annuelle de Jeanne d'Arc, à laquelle il donne le nom de « fête du patriotisme ». Il propose la date du 8 mai date anniversaire de la libération d'Orléans. Ce projet est voté par environ 250 députés y compris par des parlementaires nationalistes. Finalement, la majorité républicaine refuse par crainte que cette commémoration soit détournée et récupérée par l'Église. C'est seulement en 1920 après sa canonisation Jeanne d'Arc (et non Sainte Jeanne) sera donc fêtée par la République le deuxième dimanche de mai. "
(extrait de Wikipedia )
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Le Maréchal Brune : Pendant la 1ère Restauration et les cents jours jusqu'à sa mort. Né à Brive en 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, il fut typographe et littérateur. Monté à Paris, il adhère totalement aux idées de la Révolution et se lie avec Danton. Commence alors sa carrière militaire en 1793 contre les Vendéens. Il s'illustre à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chasse les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Il est nommé maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814, il se rallie aux Bourbons.
Au retour de l'île d'Elbe, il accepte de l'Empereur le commandement de la division militaire de Marseille. A ce poste, il pourchasse avec vigueur les royalistes qui opèrent dans le midi et retarde jusqu'à la fin juillet sa soumission aux nouvelles autorités issues de la seconde Restauration.
Il meurt assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815 durant la période de la "Terreur Blanche".
cote : 00 ZA1 BRU ( Médiathèque de Brive, Patrimoine local )
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Le Maréchal Brune, poésie
Poème de M. Lacoste du Bouig en hommage au Maréchal Brune, lors de l’inauguration de la statue de Brune, à Brive, en 1841.
Né à Brive en 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, il fut typographe et littérateur. Monté à Paris, il adhère totalement aux idées de la Révolution et se lie avec Danton. Commence alors sa carrière militaire en 1793 contre les Vendéens. Il s'illustre à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chasse les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Il est nommé maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814, il se rallie aux Bourbons.
Au retour de l'île d'Elbe, il accepte de l'Empereur le commandement de la division militaire de Marseille. A ce poste, il pourchasse avec vigueur les royalistes qui opèrent dans le midi et retarde jusqu'à la fin juillet sa soumission aux nouvelles autorités issues de la seconde Restauration.
Il meurt assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815 durant la période de la "Terreur Blanche".
cote : 00 ZA1 BRU ( Médiathèque de Brive, Patrimoine local )
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Extrait du procés-verbal des cérémonies qui ont eu lieu à Brive les 2 et 3 octobre 1841 à l'occasion de l'inauguration de la statue élevée au Maréchal Brune Ce document contient le procès-verbal des cérémonies qui ont eu lieu à Brive en 1841 en hommage au maréchal Brune lors l’inauguration de sa statue, souscription, discours etc… Cette statue est toujours en place.
Né à Brive, dans une famille de petite noblesse, Guillaume Brune débute ses activités de typographe et littérateur. Monté à Paris, il adhère totalement aux idées de la Révolution et se lie avec Danton. Commence alors sa carrière militaire en 1793 contre les Vendéens. Il s'illustre à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chasse les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Il est nommé maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814, il se rallie aux Bourbons.
Au retour de l'île d'Elbe, il accepte de l'Empereur le commandement de la division militaire de Marseille. A ce poste, il pourchasse avec vigueur les royalistes qui opèrent dans le midi et retarde jusqu'à la fin juillet sa soumission aux nouvelles autorités issues de la seconde Restauration.
Il meurt assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815 durant la période de la "Terreur Blanche".
cote : 00 ZA1 BRU (Médiathèque de Brive, Patrimoine local 00 ZA1 BRU)
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Correspondance Brune (Lettres inédites) Présentation de lettres inédites provenant de papier de famille. Les unes sont écrites par le Maréchal Brune ou par sa femme ; les autres leur sont adressées ou les intéressent directement.
Guillaume Marie-Anne Brune est né à Brive en 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville. Il fut typographe et littérateur. Monté à Paris, il adhère totalement aux idées de la Révolution et se lie avec Danton. Commence alors sa carrière militaire en 1793 contre les Vendéens. Il s'illustre à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chasse les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Il est nommé maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814, il se rallie aux Bourbons.
Au retour de l'île d'Elbe, il accepte de l'Empereur le commandement de la division militaire de Marseille. A ce poste, il pourchasse avec force les royalistes qui opèrent dans le midi et retarde jusqu'à la fin juillet sa soumission aux nouvelles autorités issues de la seconde Restauration.
Il meurt assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815 durant la période de la "Terreur Blanche".
cote : 00 ZA1 BRU ( Médiathèque de Brive, Patrimoine local )
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la Plantation du clou, tranformation et persistance du rite en Limousin René Fage revient sur cette tradition religieuse et superstitieuse qui existe depuis l'Antiquité et qui rencontre un développement singulier en Limousin. Symbole de prise de possession (d'une église par exemple) ou objet votif aux vertus prophilactiques et protectrices, le clou connait une transformation moderne et féminisée singulière : l'épingle.
cote : MAG P LIM 45601 (Bfm Limoges)
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Le Coustumier general du haut pays et comté de la Marche. "Le Coustumier general du haut pays et comté de la Marche. Diligemment et fidellement corrigé et annoté de plusieurs decisions et arrests, Par Messire Charles du Moulin,... Avec le procez verbal.
Les coutumes sont dans l'ancien droit français des usages régissant la vie quotidienne des populations dans un cadre géographique déterminé (ville, province). Ces usages se sont formés dès le Moyen Âge. Oraux et transmis par la tradition, ils ont été progressivement fixés par écrit à la suite de l'édit de Montils-lez-Tours d'avril 1453. Les coutumes de la Marche, en fait la Haute-Marche (correspondant en gros à l'actuel département de la Creuse), ont été publiées en 1521. Elles régiront le droit jusqu'à leur remplacement par le code civil.
L'édition présentée ici est celle de Charles Du Moulin publiée en 1618 et réeditée en 1643.
Elle vient après l'édition de Nicolas Callet (ou Caillet), la première comportant des commentaires, en 1573. Par ailleurs, plusieurs versions manuscrites existent, dont certaines se trouvent à la Bibliothèque multimedia du Grand Guéret.
cote : 340.57 (Bibliothèque Multimédia du Grand Guéret)
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Idole de Ghrovinna J.B. Tripon réalise "fidèlement" précise-t-il, le dessin d'une statue gauloise d'après le récit d'un manuscrit du IIe siècle, rapporté par M. Allou, qui le tenait lui même de M. Beaumesnil et qui en aurait vu une copie similaire place Tourny en 1747...
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2
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Une prime à la natalité par la loterie Relancer la natalité par une grande loterie nationale organisée par le ministère de la Famille, tel est le très sérieux et détaillé projet du docteur Boulland en 1925.
cote : MAG P LIM 46422 (Bfm Limoges)
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Limoges, incendie du quartier des Arènes : Plan de l'incendie du 15 août 1864, d'après le plan général de Limoges, dressé en 1851 Dans la nuit du 15 août 1864, un incendie se déclare rue des Arènes et se propage rapidement. Il n'y a pas de victimes, mais 109 maisons sont détruites en une seule nuit dans un espace allant de la place d'Aine à la place de la Motte, laissant près de 2000 habitants sans abri. les pertes matérielles sont considérables.
Originaire de Reims, Jacques-Joseph Maquart vient à Limoges à l'invitation de son ami Casimir Ranson. Cet amoureux des arts dévoué et actif , tel que ses amis le définissait, s'intègre vite, devient vice- président de la Société Archéologique puis de la "Société des amis des arts" du musée Dubouché.
En 1864, il crée cet album de splendides dessins au fusain et sanguine, rappelant les péripéties de l' incendie de Limoges et l'offrit au Conseil municipal. Cette pièce unique comprend 12 dessins et 3 plans.
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Limoges, incendie du quartier des Arènes :Plan d'alignement proposé par la Société immobilière pour le rétablissement de ce quartier Dans la nuit du 15 août 1864, un incendie se déclare rue des Arènes et se propage rapidement. Il n'y a pas de victimes, mais 109 maisons sont détruites en une seule nuit dans un espace allant de la place d'Aine à la place de la Motte, laissant près de 2000 habitants sans abri. les pertes matérielles sont considérables. Sur ce plan est figuré en gris l’ancien quartier, en couleur est superposé le projet de reconstruction mené par le maire Othon Péconnet.
Originaire de Reims, Jacques-Joseph Maquart vient à Limoges à l'invitation de son ami Casimir Ranson. Cet amoureux des arts dévoué et actif , tel que ses amis le définissait, s'intègre vite, devient vice- président de la Société Archéolohique puis de la "Société des amis des arts" du musée Dubouché.
En 1864, il crée un album rappelant les péripéties de l' incendie de Limoges et l'offrit au Conseil municipal. Cet album unqiue comprend 12 dessins et trois plans.
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Incendie de 1864, projet de reconstruction du quartier des Arènes et de réaménagement de la place de la Motte Plan de Lansade, agent voyer de la ville de Limoges.
L’un des plus ravageurs incendies que connut Limoges fut sans nul doute celui de la nuit du 15 août 1864, qui emporta presque tout le quartier des Arènes (109 maisons, environ 2000 personnes à la rue).
Sur ce plan est figuré en gris l’ancien quartier, en couleur est superposé le projet de reconstruction mené par le maire Othon Péconnet.
(cote : RES.P. Lim Z1 (8) )