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Le Courrier du Centre : magazine , n°3 supplément de "Le Courrier du Centre". Hebdomadaire.
Le bas de page de la une stipule systématiquement "Visé par la Commission de contrôle de presse de Bellegarde (Ain)"
Collection particulière
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Le Courrier du Centre : magazine , n°2 supplément de "Le Courrier du Centre". Hebdomadaire.
Le bas de page de la une stipule systématiquement "Visé par la Commission de contrôle de presse de Bellegarde (Ain)"
Collection particulière
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Le Courrier du Centre : magazine , n°1 supplément de "Le Courrier du Centre". Hebdomadaire.
Le bas de page de la une stipule systématiquement "Visé par la Commission de contrôle de presse de Bellegarde (Ain)"
Collection particulière
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Fontaines à chiffons et saints à rubans Retour sur une tradition populaire du Limousin autour des "bonnes fontaines".
cote : MAG P LIM 45136 (Bfm Limoges)
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Les Limousins dans l'histoire et dans la littérature Tous les auteurs limousins, historiens, écrivains, et illustrateurs de l'époque réunis pour présenter le Limousin dans une numéro exceptionnel d'une revue d'audience nationale "La Plume". Textes de G. Fourest, ( lisez le poème des "Gommeux du Limousin"), Louis de Nussac, Louis Guibert, René Fage, Eusèbe Bombal, Paul Verhac....
cote : MAG.P LIM B16197/42 (Bfm Limoges)
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De la signification du mot "couppe" dans les procès-verbaux de visite des portes de Tulle au XVIIe siècle Chaque année à Tulle, les consuls inspectaient l'ensemble des portes de la ville, notant précisément les systèmes de fermetures, clés et couppes...
cote MAG.P LIM 40242 (Bfm Limoges)
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Quelques Mots sur les danses modernes. Aux pères de famille et au clergé Extrait : "les jeunes vierges chrétiennes polkèrent puis valsèrent; [... ] et maintenant la jeunes fille la plus pure se livre à l'étreinte des premiers venus [...] Messieurs les ecclésiastiques, vous qui tolérez ces danses, je suis sûr que vous ne les connaissez même pas"
cote : MAG.P.LIM 18654 (Bfm Limoges)
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La Chiche de Saint-Martial Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
Jean-Baptiste Tripon figure un bas-relief disparu représentant une figure accroupie pressant avec 2 boules en guise de mains, une lionne couchée allaitant trois lionceaux. Ce bas -relief, appelée vulgairement "chiche", c'est-à-dire chienne en "patois", précise-t-il, était dans la muraille de l'abbaye Saint-Martial et perpétuait le souvenir de la rage et de la victoire écrasante de Pépin le bref (la figure accroupie) écrasant l'Aquitaine, Waifre, duc d'Aquitaine et ses frères, les trois lionceaux.
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2
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Gimel Guide touristique de la région de Gimel publié dans les années 1925 par Victor Forot (1845-1933), historien et historien d'art, maire adjoint de Tulle et conservateur du musée de Tulle, en charge de l'inventaire des richesses artistiques du département il fut l’un des historiens et archéologues les plus importants de la Corrèze du début du XXe siècle.
Les Illustrations sont d’André Mazeyrie, personnalité tulliste profondément liée à l’histoire du musée du Cloître. Médecin mais également dessinateur, il a illustré de nombreux ouvrages sur l’histoire de la ville ou du département.
cote : Patrimoine local 19 C/mag (Bibliothèque de Brive)
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Les troubadours de la région Briviste Présentation de quelques figures célèbres : Lemouzi, Marie de Ventadour, Raimon de Turenne. Poèmes en occitan et traduction française, nombreuses notes. Un ouvrage court, simple et bien documenté.
Cote : 00 ZA1 (Bibliothèque municipale de Brive)
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L'Electrification des campagnes corréziennes Exposé pragmatique et pédagogique de propositions pour électrifier les zones rurales de Corrèze. Nombreux exemples et illustrations d'appareils utiles pour les cultivateurs : fer à repasser, batteuse, baratte électrique, etc...
cote : MAG.P LIM B2336 (Bfm Limoges)
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Les Saints limousins : ce que nous leur devons Apologie non exhautive des (nombreux) saints du Limousin. En fin de recueil, courte présentation plus célèbres d'entre eux.
Extrait : "Vous êtes émus devant ce sol limousin enfin défriché et que nos saints couvrent de champs fertiles, de villes, de villages, d'écoles, d'hopitaux, de bibliothèques, d'églises ? Ce n'est rien en comparaison de la transformation merveilleuse qu'ils ont opéré dans les consciences."
cote : MAG.P LIM ASS 80 (Bfm)
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Traduction de la parabole de l'Enfant Prodigue, en patois limousin d'une partie de l'arrondissement de Confolens, en dialecte limousin de Haute-Vienne, en patois limousin de l'arrondissement de St-Yrieix. Pages originales des "Mémoires et dissertations sur les antiquités nationales et étrangères" (dits Mémoires de la Société des Antiquaires de France).
cote : MAG.P LIM B13129/51 (Bfm Limoges)
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Isidore de Séville et le patois du Bas-Limousin Isidore de Seville, religieux qui vécut au au VIe siècle, est l'auteur d'une oeuvre majeure "Étymologies" (Etymologiæ) constituée de vingt livres, dans laquelle il essaye de rendre compte de l'ensemble du savoir antique et de transmettre à ses lecteurs une culture classique en voie de disparition. Son livre a une immense renommée et connaît plus de dix éditions entre 1470 et 1530.
Oscar Lacombe s'attache à montrer et démontrer l'utilisation de mots en "patois" limousin dans cette oeuvre écrite en latin. Et donne ses conclusions sans détour...
cote : MAG.P LIM B1345 (Bfm Limoges)
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Jesu e Lucifer pouème en VIII chan, ente se veu louquau dô Bien ô dô Mau, a fi de ten, deu vei lou dorei mou, Homme de lettres limousin, Léon Dheralde est surtout connu pour son dictionnaire de la Langue Limousine. Mais il est également l'auteur d'un recueil de proverbe limousin, de fables , de contes.
Dans la préface, Léon Dhéralde s'explique sur le choix du sujet : " Manès, Pélage, Luther, Calvin Voltaire [ne s'inspiraient que de leur haine pour la Vérité, poussés par Lucifer. ] ... Dans un idiome vulgaire et familier, j'ai essayé de démontrer cette Vérité ... ] Je me sers d'un rustique pipeau. je l'ai ramassé tombé des lèvres des Roby, Richard, Foucaud dont les fables, les chansons charmaient nos pères. Ils me l'ont fait aimer et à leur exemple j'ai voulu moduler ma pensée ; mais sans autre prétention que d'affirmer la foi du Chrétien dans le triomphe définitif du Droit sur la Force, de la vérité sur l'Erreur, de Jésus sur Lucifer"
cote : MAG.P LIM 18605 (Bfm Limoges)
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Vaches s'abreuvant Peintre paysagiste, Jules Dupré est apparenté à l'école de Barbizon. Admirateur de Géricault, le Lorrain, Rembrandt, il décide très jeune de peindre en plein air. Il part pour cela en Angleterre, retrouver les ciels de Constable, voyage en Berry (où il rencontre George Sand), participe à l'Ecole de Crozant puis de Barbizon. Il peint principalement des paysages de campagne aux ciels tourmentés, mais aussi des marines. La facture de ses ciels lui vaut les félicitations de Delacroix. En 1881, l'Etat lui achète "le Matin et "le Soir" pour les exposer au Musée du Luxembourg.
cote : 5FI20 (Bfm Limoges)
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Le Vieux Chêne Peintre paysagiste, Jules Dupré est apparenté à l'école de Barbizon. Admirateur de Géricault, le Lorrain, Rembrandt, il décide très jeune de peindre en plein air. Il part pour cela en Angleterre, retrouver les ciels de Constable, voyage en Berry (où il rencontre George Sand), participe à l'Ecole de Crozant puis de Barbizon. Il peint principalement des paysages de campagne aux ciels tourmentés, mais aussi des marines. La facture de ses ciels lui vaut les félicitations de Delacroix. En 1881, l'Etat lui achète "le Matin et "le Soir" pour les exposer au Musée du Luxembourg.
cote : 5FI17 (Bfm Limoges)
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Le Matin Peintre paysagiste, Jules Dupré est apparenté à l'école de Barbizon. Admirateur de Géricault, le Lorrain, Rembrandt, il décide très jeune de peindre en plein air. Il part pour cela en Angleterre, retrouver les ciels de Constable, voyage en Berry (où il rencontre George Sand), participe à l'Ecole de Crozant puis de Barbizon. Il peint principalement des paysages de campagne aux ciels tourmentés, mais aussi des marines. La facture de ses ciels lui vaut les félicitations de Delacroix. En 1881, l'Etat lui achète "le Matin et "le Soir" pour les exposer au Musée du Luxembourg.
cote : 5FI16 (Bfm Limoges)
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Paysage Peintre paysagiste, Jules Dupré est apparenté à l'école de Barbizon. Admirateur de Géricault, le Lorrain, Rembrandt, il décide très jeune de peindre en plein air. Il part pour cela en Angleterre, retrouver les ciels de Constable, voyage en Berry (où il rencontre George Sand), participe à l'Ecole de Crozant puis de Barbizon. Il peint principalement des paysages de campagne aux ciels tourmentés, mais aussi des marines. La facture de ses ciels lui vaut les félicitations de Delacroix. En 1881, l'Etat lui achète "le Matin et "le Soir" pour les exposer au Musée du Luxembourg.
cote : 5FI18 (Bfm Limoges)
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Le Soir Peintre paysagiste, Jules Dupré est apparenté à l'école de Barbizon. Admirateur de Géricault, le Lorrain, Rembrandt, il décide très jeune de peindre en plein air. Il part pour cela en Angleterre, retrouver les ciels de Constable, voyage en Berry (où il rencontre George Sand), participe à l'Ecole de Crozant puis de Barbizon. Il peint principalement des paysages de campagne aux ciels tourmentés, mais aussi des marines. La facture de ses ciels lui vaut les félicitations de Delacroix. En 1881, l'Etat lui achète "le Matin et "le Soir" pour les exposer au Musée du Luxembourg.
cote : 5FI18 (Bfm Limoges)