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Marie Stuart à l'école, drame historique En sous titre : "drame historique en trois actes mêlé de couplets et spécialement destiné aux pensionnats de jeunes demoiselles pour les exercices publics d'une distribution des prix ".
cote : MAG.P LIM 16449 (Bfm Limoges)
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L'instruction Républicaine ; Obligation, gratuité, laïcité Ecrivain scientifique, Amédée Guillemin est surtout connu pour ses ouvrages de vulgarisation qui connurent un grand succès, et furent traduits en plusieurs langues.
C'est aussi un homme engagé qui collabore à de nombreuses revues littéraires et politiques, comme en témoigne ce recueil écrit en 1871, alors que s'amorcent les débats passionnés sur la "question scolaire".
cote FP/3-12°/GUI (Bibliothèque multimedia du Grand Guéret)
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Le Grand Séminaire de Limoges Un grand séminaire, lieu de formation des prêtres, est ouvert à Limoges au 17e siècle. Il occupe des bâtiments du faubourg Manigne, vers l’église Sainte-Marie, jusqu’à la Révolution. Il s’installe ensuite un temps au couvent des Allois (place de la Cité) puis, au début du 19e siècle, des bâtiments sont construits pour l’accueillir sur les vestiges de l’abbaye bénédictine de la Règle, en grande partie détruite à la Révolution. En 1921, il déménage de l’autre côté de la Vienne, rue Eugène-Varlin.
Il n'en reste aujourd'hui que le réfectoire (actuel Cité des métiers et des arts), ainsi que la chapelle de la Règle qui ne fut jamais consacrée.
cote : 3FI41 (Bfm Limoges)
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La Famille limousine de Victor Hugo : une carmélite, cousine et correspondante du poète : documents inédits Présentation de la correspondance pleine de tendresse de Victor Hugo avec sa cousine germaine Marie, religieuse à Tulle, fille du colonel Louis Hugo.
cote : MAG.P LIM B10066/1(Bfm Limoges)
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La Vengeance de M. de Pourceaugnac : Comédie en un acte Rentré dans ses terres limousines, Monsieur de Pourceaugnac, magnanime, sauve d'un mariage arrangé deux jeunes amants.
Une suite revisitée à la pièce de Molière qui dépeignait Monsieur de Pourceaugnac en un limousin rustre et idiot.
cote : MAG.P LIM 46033(Bfm Limoges)
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Molière et les Limousins... Molière détestait les Limousins,et l'a bien fait savoir dans une de ses pièces en dépeignant Monsieur de Pourceaugnac.
René Fage tente de trouver les raisons biographiques réelles et supposées de ce mépris qui coûta cher à la réputation des Limousins.
cote : MAG.P LIM 40058/36 (BfmLimoges)
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Étienne Baluze et "le Tartuffe" Comment le très respectable et limousin Etienne Baluze, alors en charge de la bibliothèque de Richelieu, serait venu au secours de cette pièce de Molière.
cote : MAG.P LIM 40058/2 (Bfm Limoges)
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Bâtir Limoges Les espoirs enthousiastes d'un élu municipal au lendemain de la Deuxième Guerre Mondiale : "nous avons voulu simplement rassembler quelques idées dont beaucoup ne sont pas neuves sur les problèmes principaux qui seront à résoudre par les prochaines municipalités de Limoges".
Le texte est dédié à Jean Lurçat et Henri Laurens.
Il se clôt sur "Ce que devrait être Limoges en 1965".
cote : MAG.P LIM B2573/16 (Bfm Limoges)
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L'eau de ma cave 2e lettre à la municipalité et au conseil municipal de Louis Guibert, écrivain et érudit, suite à l'inondation répétée de sa cave, située rue Elie Berthet à Limoges : la municipalité refuse d'admettre sa responsabilité dans le préjudice.
Un texte de contreverse, drôle et plein d'esprit.
Cote : MAG.P LIM 40693/4 (Bfm Limoges)
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Projet d'assainissement et d'amélioration de l'intérieur de la ville de Limoges En sous-titre :
"Première partie : de la place Manigne à la Maison Cruveilhier, par les rues du Verdurier, des Suisses, Poulaillère, des Taules."
Plan extrait de " De l'ouverture d'une nouvelle rue au centre de la ville de Limoges en traversant les rues du Verdurier, des Suisses, Poulaillère et des Taules " concernant le projet de réalisation de la future rue Jean Jaurès.
cote : cote : MAG.P LIM B1029 (Bfm Limoges)
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De l'ouverture d'une nouvelle rue au centre de la ville de Limoges en traversant les rues du Verdurier, des Suisses, Poulaillère et des Taules Présentation du projet de création de la future rue Jean Jaurès. Limoges compte alors 42 000 habitants en 1852, une industrie florissante mais un tissu urbain encore insalubre et qui a peu évolué.
Outre la description détaillée des travaux (percement des voies, alignement, financement...), le texte reprend une courte histoire de l'urbanisation de la ville et dresse l'état des lieux de l'époque .
cote : MAG.P LIM B1029 (Bfm Limoges)
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Halles centrales de Limoges à ériger sur la place de la Mothe, coupe plan et élévation Paru dans le tome VII, n°25 (1885, 17 octobre) de la revue "Le Génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères" (p.[385]-389) concernant la construction des Halles centrales de Limoges par les ingénieurs MM. Al. Levesque et G. Pesce.
cote : MAG.P LIM 38899/25 (Bfm Limoges)
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Halles centrales de Limoges à ériger sur la place de la Mothe Article paru dans le tome VII, n°25 (1885, 17 octobre) de la revue "Le Génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères" (p.[385]-389) concernant la construction des Halles centrales de Limoges par les ingénieurs MM. Al. Levesque et G. Pesce.
L' article reprend en détail les choix techniques et esthétiques de ce projet d'architecture en fer, directement inspiré des travaux de Baltard et encore audacieux à l'époque.
cote : MAG.P LIM 38899/25 (Bfm Limoges)
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Maupuy, la Peyroulade extrait de Creuse 1876-79 , carnet de croquis.
Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Enfin, cet historien poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers qui chantent la Creuse aimée, son humilité et simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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La Croix des Bois, Lardillier, Benevent extrait de Creuse 1876-79 , carnet de croquis.
Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Enfin, cet historien poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers qui chantent la Creuse aimée, son humilité et simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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clocher de Peyrabout, église de Saint-Léger-le-Guérétois extrait de Creuse 1876-79 , carnet de croquis.
Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Enfin, cet historien poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers qui chantent la Creuse aimée, son humilité et simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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Vernet, près de Guéret extrait de Creuse 1876-79 , carnet de croquis.
Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Enfin, cet historien poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers qui chantent la Creuse aimée, son humilité et simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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Le village de Sainte-Claire, près de Limoges. Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante.
Avec Audiguet, Limoges devient paysage photographique.
cote : 9FI502/27 (Bfm limoges)
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Un Episode de la Fronde en province : Tentative de translation à Limoges du parlement de Bordeaux, 1652 cote : MAG.P LIM 40058/20 (Bfm Limoges)
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Château de Brugnat extrait de Creuse 1876-79 , carnet de croquis.
Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Enfin, cet historien poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers qui chantent la Creuse aimée, son humilité et simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.