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La Chanson de Combraille : poèmes en langue d'oc avec traduction française en regard Né à Chambon-sur-Voueize, en Creuse, Paul-Louis Grenier est un poète occitan limousin. Chartiste et philologue, après un bref passage de deux ans à la bibliothèque de Limoges, il a effectué l'essentiel de sa carrière à la Bibliothèque nationale.
Paul-Louis Grenier écrit dans un occitan limousin très littéraire et un lexique assez médiéval. Il décrit le merveilleux, des lieux et des personnages liés au Limousin d’une façon souvent fantastique. On trouve dans son oeuvre des thèmes récurrents comme la ville de Limoges, celle de Bourganeuf et le mystérieux prince Zizim qui y vécut, les animaux fantastiques comme la licorne...
La chanson de Combraille se veut une chanson épique de la Marche limousine. "Au point de vue du vocabulaire, ma langue se rattache non seulement à celui des troubadours [...] mais aussi à celui des chartes de la Creuse et des parlers actuels du département" (P.L.Grenier, "La Vie Limousine", 25 décembre 1927)
L’ensemble de son œuvre a été rééditée en un volume "Òbra poetica occitana" aux Edicions dau Chamin de Sent-Jaume en 2011. Ses poèmes ont été mis en musique par plusieurs chanteurs occitans, dont Jan dau Melhau et Bernard Combi.
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Les Coutumes vénérables du haut pays et du comté de la Marche , Tome 3 Les coutumes sont, dans l'ancien droit français, des usages régissant la vie quotidienne des populations dans un cadre géographique déterminé (ville, province). Ces usages se sont formés dès le Moyen Âge. Oraux et transmis par la tradition, ils ont été progressivement fixés par écrit à la suite de l'édit de Montils-lez-Tours d'avril 1453. Les coutumes de la Marche, en fait la Haute-Marche (correspondant en gros à l'actuel département de la Creuse), ont été publiées en 1521. Elles régiront le droit jusqu'à leur remplacement par le Code Civil. La première édition imprimée date de 1526. D'autres ont suivi parmi lesquelles nous citerons celles de Nicolas Callet (ou Caillet), la première comportant des commentaires, en 1573, de Charles Du Moulin en 1618 et 1633 (réimpression de la précédente), de Barthélemy Jabely en 1695 et de Couturier de Fournoue en 1744. Par ailleurs, plusieurs versions manuscrites existent, dont certaines se trouvent à la Bibliothèque multimedia du Grand Guéret.
Cet exemplaire manuscrit est l'oeuvre de Jean Regnauld conseiller du roi, lieutenant criminel au Présidial et sénéchaussée de la Marche à Guéret. Juge des affaires criminelles, il est le deuxième personnage de ce tribunal installé le 6 novembre 1635 dans la capitale de la Haute-Marche. Cette version manuscrite en quatre volumes, avec dos à cinq nerfs et titre et tomaison dorés, a dû servir d'instrument de travail à son auteur.
cote : 340.57 (Bibliothèque Multimédia du Grand Guéret)
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Lettres à deux amis Issu d’une vieille famille de Saint-Junien, Louis Codet nait à Perpignan, puis fait à Paris de brillantes études de droit et de peinture . Dandy parisien, Louis Codet se lie d' amitié avec Guillaume Apollinaire, Marie Laurencin, André Gide, Eugène Montfort, notamment. Mobilisé dès le début de la Première Guerre Mondiale, il meurt peu de temps après, blessé par un obus.
Les deux amis cités dans ces lettres sont Eugène Montfort, écrivain, fondateur et directeur de la revue Les Marges et Louis Bausil, peintre originaire de Perpignan comme Louis Codet. Elles sont particulièrement touchantes : les dernières adressées à Eugène Montfort raconte la façon dont il a été blessé, quelques notes justes et concises sur la situation du soldat et rapportent par le détail des anecdotes. Louis Codet s'y montre observateur bienveillant et délicat.
"Louis Codet est une des plus pure fleurs de la littérature française. Il l'est par l'esprit, par l'humanité qui l'anime, par l'aisance du langage qu'il sert, par cet équilibre constant entre pensée et style" Pierre Camo ("Les Nouvelles littéraires", 9 août 1935).
cote : MAG.LIM.46666 (Bfm Limoges)
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Pille-Brive, Corrèze. Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage.
La tradition locale raconte qu'il s'agirait d'une ancienne forteresse romaine qui servit de refuge au Moyen-âge puis de repère de bandits. Pourtant rien dans l'appareil des murs ne semble le confirmer. Il n'en reste pas moins que Pille-Brive, située à Chasteaux au sud de Brive est une curiosité imposante.
Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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La porte Chanac (vue intra
muros), Tulle Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage".
La porte Chanac était située e à l'entrée de la même rue qui porte son nom. C'était une porte fortifiée. Les deux maisons qui la soutenaient étaient elles-même fortifiées.
Cette porte devait dater du XIIIe siècle, mentionnée dans un acte de vente entre les seigneurs de Chanac et l'abbé de Tulle en 1256.
Après plusieurs assauts, puis des remaniements au XIVe et au XVe siècles, elle cesse d'être entretenue, avant d'être détruite par arrêté municipal en 1958.
Cette gravure fut initialement publiée "Le vieux Tulle" de René Fage
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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La porte Chanac (vue extra muros), Tulle Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage.
La porte Chanac était située à l'entrée de la même rue qui porte son nom. C'était une porte fortifiée. Les deux maisons qui la soutenaient étaient elles-même fortifiées.
Cette porte devait dater du XIIIe siècle, mentionnée dans un acte de vente entre les seigneurs de Chanac et l'abbé de Tulle en 1256.
Après plusieurs assauts, puis des remaniements au XIVe et au XVe siècles, elle cesse d'être entretenue, avant d'être détruite par arrêté municipal en 1958.
Cette gravure fut initialement publiée "Le vieux Tulle" de René Fage
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Le château de Sédières, Corrèze Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage.
Manoir fortifié construit au XVe siècle, il devient au XVIe siècle une demeure de plaisance remaniée de style Renaissance italienne par Dominique de Sédières de retour des campagnes d'Italie. Au XVIIe siècle le château se dote de jardins à la française grâce à la famille Lantillac, nouveaux héritiers des lieux. Abandonné puis pillé à la Révolution, le château est restauré en 1861 suivant les plans de Viollet-le-Duc.
Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Le château de Puy-de-Val, Corrèze Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage.
Situé à une dizaine de kilomètres de Tulle, dans la commune d'Espargnac, le château de Puy-de-Val forme un beau quadrilatère autour d'une cour hérissée de tours. Construit au XVe siècle, remanié au XVI puis XVIIIe siècle, il connut de prestigieux possesseurs parmi les plus illustres familles limousines : Guy Puy-de-Val époux d'Helies la Jugie, Françoise de Noailles, etc.
Le château est inscrit à l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927.
Cette gravure fut initialement publiée dans "Le château de Puy-de-Val, description et histoire" (1883) de René Fage.
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Coll[egio] societati[s] ob illustrissimi et nobilissimi viri Caroli Boucher, Equistis Torquati, Domini d'Orsay, ad Lemovicensem praefecturam reditum Festi plausus Recueil de pièces composées par les élèves du Collège des Jésuites de Limoges, en latin et en français, pour fêter le retour de Charles Boucher d'Orsay (1676-1730) au poste d'intendant de Limoges (il avait déjà été intendant entre 1710 et 1715 et revient en 1724 jusqu'à sa mort en 1730). Créateur du jardin d'Orsay.
"Son retour à Limoges à la mi-année 1724 a été l’occasion pour les élèves du collège jésuite de la ville de produire les 4 pièces en vers conservées aujourd’hui à la BFM. Odes et élégies en vers latins et français chantent les mérites de ce commis de l’état qui fit beaucoup pour Limoges et le Limousin en matière de travaux d’urbanisme et de réformes administratives (embellissement de la ville et cité de Limoges, avec entre autres le jardin d’Orsay, amélioration des haras provinciaux, politique de recherche de gisements miniers, règlement pour les papèteries du Limousin et de l’Angoumois, etc.).
De manière conventionnelle, ces poésies font le panégyrique de l’officier royal et de sa maison toute tournée vers le service de l’Etat, rappellent son enracinement limousin personnel et surtout ne manquent pas de louer le zèle avec lequel il conjura l’épidémie provençale. " Thierry Paquin
cote : MAG.P LIM F5843/34 (Bfm Limoges)
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La Nueg de tous-sents de 1915 : Eivoucaciu dramatica "Le poète, dramaturge et folkloriste Jean-Baptiste Chèze (1870-1935), originaire d'entre Tulle et Egletons, en Corrèze, fut l'un des grands animateurs du mouvement félibréen limousin, aux côtés de Johannès Plantadis, René Farnier, Joseph Nouaillac et tant d'autres de cette génération d'ardents défenseurs de la culture d'oc limousine.
Dans cette petite pièce (pessota), La nueg de Tous-Sents 1915, Chèze rend hommage à un autre grand félibre corrézien, Eusèbe Bombal, mort le 1er novembre 1915 à Argentat, où il était né en 1827. La pièce se déroule donc la nuit de Toussaint 1915, quelques-uns des plus célèbres personnages des pièces de Bombal sont réunis autour de la cheminée. Ils devisent mélancoliquement (c'est la guerre !) quand Champalimau vient leur annoncer la mort de ce bon Monsieur Bombal... ".
Baptiste Chrétien
cote : MAG.P LIM 44214 (Bfm Limoges)
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Du Théâtre en Limousin au XVIe siècle cote : MAG.P LIM 30321 (Bfm Limoges)
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Legendas lemouzinas, Légendes limousines avec traduction française en regard du texte Marguerite Priolo devient reine du Félibrige en 1913, après avoir été reine du Félibrige Limousin (1909-1912). Auteur de deux ouvrages de contes traditionnels (Legendas Lemouzinas, 1915 et Countes del Meirilher, 1916), elle fut l'une des disciples de Joseph Roux et l'élève d'une autre reine du Félibrige, la marseillaise Marguerite Genès (1868-1955), autre personnalité importante des débuts du Félibrige en Limousin.
Ces Legendas Lemouzinas, tout comme son autre ouvrage Countes del Meirilher, sera salué en 1965 par le journal Lemouzi : "dès sa parution, le livre Legendas Lemouzinas fut une révélation et opéra presque une révolution. Un style alerte, dru, flexible, épousant toutes les nuances de la pensée ou de la fantaisie venait de naître."(Lemouzi, numéro 15, 1965, p.281-282, Robert Joudoux).
cote : MAG.P LIM 44569 (Bfm Limoges)
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Règlement de la Société de secours mutuels des peintres et doreurs sur porcelaine ... et des employés des bureaux des ateliers de peinture et de fabrique porcelaine. Fondée à Limoges le 1er décembre 1850.
Livret de sociétaire de 1884.
cote : MAG.P LIM 55367/XX,7 (Bfm Limoges)
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Saturnisme professionnel des ouvriers poudreurs employés dans les ateliers de décors de la porcelaine Discours prononcé à la séance solennelle de rentrée de l'Ecole [de Médecine] le 3 décembre 1896
cote : MAG.P LIM 55354/4 (Bfm Limoges)
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Préparation de l'or pour la décoration de la porcelaine cote : MAG.P LIM F5488/99 (Bfm Limoges)
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Traité des peintures vitrifiables sur porcelaine dure et porcelaine tendre sur émail : émail genre Limoges, émail or gravé, faïence grand feu sur émail et sous émail cote : MAG.P LIM 55486 (Bfm Limoges)
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L'Industrie de la porcelaine en Limousin : ses origines, son évolution, son avenir Cet ouvrage abondamment documenté, issu de la thèse de doctorat de son auteur, se décompose en quatre parties : un rappel simple des techniques, une historique de l'industrie porcelainière en Limousin, puis une étude sur la consommation passé et à venir (le livre date de 1909). L'auteur précise qu'il a voulu "faire oeuvre économique, plutôt qu'artistique ou sociale."
cote : MAG.P LIM 55457 (Bfm Limoges)
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la Tour César, Turenne, Corrèze Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage".
La « Tour de César » est un donjon circulaire de 20 m de haut, datant du XIIIe siècle qui domine le village est un des vestiges de l'ancienne forteresse de Turenne importante seigneurie qui s'étendait sur une superficie de plus de 600 000 ha au XIVe siècle.
Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Ruines du château de Saint-Chamant, Corrèze. Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage".
Les premières mentions du château apparaissent au 13ème siècle. Il n'en subsiste, aujourd'hui, qu'une massive tour résidentielle, de plan circulaire, arasée au début du 17ème siècle. Cette construction est conservée sur deux niveaux d'élévation : une salle basse et un étage voûté d'ogives; ces vestiges sont inscrits à l'Inventaire au titre des monuments historiques depuis 2014.
Cette gravure fut initialement publiée dans "Notes et documents pour servir à l'histoire de la Maison de Saint-Chamans" d'Eusèbe Bombal.
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Ruines du château de Saint-Chamant, Corrèze. Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage.
Les premières mentions du château apparaissent au 13ème siècle. Il n'en subsiste, aujourd'hui, qu'une massive tour résidentielle, de plan circulaire, arasée au début du 17ème siècle. Cette construction est conservée sur deux niveaux d'élévation : une salle basse et un étage voûté d'ogives; ces vestiges sont inscrits à l'Inventaire au titre des monuments historiques depuis 2014.
Cette gravure fut initialement publiée dans "Notes et documents pour servir à l'histoire de la Maison de Saint-Chamans" d'Eusèbe Bombal.
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)