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L'autre Louise Colet Article paru dans la revue " Le Temps présent" en deux parties, en juin 1913 puis en juillet 1913.
cote : Mag.58825 (Bfm Limoges)
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Effets de l'irradiation extrait de l'ouvrage : "Principes scientifiques des beaux-arts : essais et fragments de théorie . suivis de L'optique et la peinture "
cote : MAG 48327/BA 4 (Bfm Limoges)
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La science et la beauté Article extrait de "L'origine et les destinées de l'art ".
cote : MAG 15224/18 (Bfm Limoges)
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VU : numéro spécial "Au Pays des Soviets" cote : MAG.P PERRIER 2399 (fonds Antoine Perrier, Bfm )
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Livre journal concernant l'enclos des Cy-devant Grands Carmes. Livre journal de la main de Jacques Joseph Juge de Saint-Martin, avec à la fin collé la copie d'un acte d'huissier concernant le même enclos.
En 1790, Jacques Joseph Juge de Saint Martin acquiert les bâtiments du couvent des Carmes déclarés Bien National.
Le magistrat procède alors, de 1791 à 1813, à l’allotissement et à la démolition du couvent, en réalisant ainsi une opération immobilière favorisée par le percement au beau milieu des bâtiments conventuels d’une rue nouvelle (rue Neuve des Carmes).
Les Grands Carmes, arrivés à Limoges au milieu du 13e siècle, résidèrent d'abord près du pont Saint-Martial puis construisirent leur monastère près de l'ancien amphithéâtre. A la Révolution, la communauté est dissoute.
cote : Ms66 (Bfm Limoges)
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Grammaire limousine Publié par Lemouzi novembre 1893-mai 1895
Joseph Roux (1834-1905) félibre majoral limousin, chanoine de la cathédrale de Tulle, fondateur de la revue occitane Lemouzi est aujourd'hui salué avec respect dans toute l'Occitanie. Auteur d'une oeuvre littéraire riche (certaines de ses œuvres sont de véritables chansons de Geste) et d'une Grammaire limousine, il entreprend un dictionnaire de la langue d'oc qui demeurera inédit à sa mort.
cote : MAG.P LIM 33683 (Bfm Limoges)
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L'époque barbare en Haute Corrèze Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze.
Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires.
Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac.
cote : MAG.P LIM 54886/d (Bfm Limoges)
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Le Pays d'Ussel : préhistoire et histoire ancienne Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze.
Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires.
Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac.
cote : MAG.P LIM 57232 (Bfm Limoges)
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Mise en valeur du plateau de Millevaches : assainir les fonds, arroser les versants, reboiser les crêtes Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze.
Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau des Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau des Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires.
Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac.
cote : MAG.P LIM 45171 (Bfm Limoges)
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Le Plateau de Millevaches : pré-bois Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze.
Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires.
Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac.
cote : MAG.P LIM F7210/54 (Bfm, Fonds Antoine Perrier)
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La station gallo-romaine des Cars, commune de Saint-Merd-les-Oussines et Pérols (Corrèze) La station gallo-romaine des Cars abrite les vestiges d'un ensemble funéraire et d'une villa datant de la première moitié du IIe siècle apr. J.-C. En 1917, lors d'un repérage dans les champs situés entre Saint-Merd-les-Oussines et Pérols-sur-Vézère, Marius Vazeilles observe un berger adossé à une pierre circulaire dépassant du sol. Les fouilles débutent en 1936.
Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze.
Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires.
Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac.
La couverture porte en plus : "Collaboration à la vieille histoire - Vulgarisation et éducation populaire - Mise en valeur des richesses archéologiques de la région".
Fonds Antoine Perrier
cote : MAG.P LIM F7210/13 (Bfm-Fonds Antoine Perrier)
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La station gallo-romaine des Cars, commune de Saint-Merd-les-Oussines et Pérols (Corrèze) : campagnes de fouilles 1953 et 1954 Extrait du Bulletin n°2-1954 de la Société des Lettres, Sciences et Arts de la Corrèze.
La station gallo-romaine des Cars abrite les vestiges d'un ensemble funéraire et d'une villa datant de la première moitié du IIe siècle apr. J.-C. En 1917, lors d'un repérage dans les champs situés entre Saint-Merd-les-Oussines et Pérols-sur-Vézère, Marius Vazeilles observe un berger adossé à une pierre circulaire dépassant du sol. Les fouilles débutent en 1936.
Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze.
Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires.
Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac.
cote : MAG.P LIM F7210/14 (Bfm-Fonds Antoine Perrier)
Fonds Antoine Perrier
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Mes collections archéologiques Extrait du Bulletin 1964 de la Société des Lettres, Sciences et Arts de la Corrèze.
Dédicace de l'auteur à Antoine Perrier en 1ère page
Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze.
Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires.
Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac.
cote : MAG.P LIM F7210/90 (Bfm-Fonds Antoine Perrier)
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En souvenir d'une des cigognes : Des feuilles... Des ailes... Du sang Le récit héroïque de la vie de Geoffroy Tenant de la Tour, commandant de l'escadron des "Cigognes" pendant la première Guerre Mondiale, avant qu'il ne disparaisse en décembre 1917 abattu en vol. Auquel s'ajoute ses nombreuses notes personnelles commentées par le commandant Brocart.
Document issu du fonds patrimonial dit du Grand Séminaire, Service commun de documentation, Université de Limoges.
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L'apôtre Saint Martial Panégyrique prononcé dans l'église St.-Michel-des-Lions de Limoges, le 19 novembre 1894.
cote : ASS5114 (Université de Limoges-Service Commun de Documentation- Bibliothèque du Grand Séminaire)
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Traité de la culture du chêne, contenant les meilleures manières de semer les bois, de les planter, de les entretenir, de rétablir ceux qui sont dégradés et de les exploiter, avec les différents moyens de tirer un parti avantageux de toute sorte de terrains et de toute sorte de bois... Par M. Juge De Saint-Martin, correspondant de la Société royale d'agriculture Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Soucieux d'expérimenter par lui-même et de rendre compte, il laisse de nombreux écrits sur ses différents centres d'intérêt : la sylviculture l'observation méteo, les moeurs ou le fonctionnement de la pensée.
cote : MAG.P LIM S1810 (Bfm Limoges)
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Observations météorologiques faites pendant l'hyver de 1789 Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Soucieux d'expérimenter par lui-même et de rendre compte, il laisse de nombreux écrits témoignant de la diversité de ses centres d'intérêts : la sylviculture l'observation méteo, les moeurs ou le fonctionnement de la pensée.
cote : MAG.P LIM B1348 (Bfm Limoges)
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Essai historique sur M. Juge de St-Martin, ancien magistrat, président honoraire de la société royale d'agriculture, sciences et arts de Limoges, lu à la séance publique de cette société du 4 novembre 1825 Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Soucieux d'expérimenter par lui-même et de rendre compte, il laisse de nombreux écrits sur ses différents centre d'intérêts : la sylviculture l'observation méteo, les moeurs ou le fonctionnement de la pensée.
cote : MAG.P LIM B923 (Bfm Limoges)
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Changemens survenus dans les moeurs des habitans de Limoges, depuis une cinquantaine d'années. Première édition du texte qui sera repris 9 ans plus tard.
Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Soucieux d'expérimenter par lui-même et de rendre compte, il laisse de nombreux écrits témoignant de la diversité de ses centres d'intérêts : la sylviculture l'observation météorologique, les mœurs ou le fonctionnement de la pensée.
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Lettre à Mr Juge de Saint-Martin, sur quelques inscriptions nouvellement découvertes à Limoges Extrait du magasin encyclopédique
cote : MAG.P LIM B1302 (Bfm)