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Marguerite Mounaud et sa fille à Marsac, Saint-Léonard-de-Noblat - Fonds Boudeau (B114-n°2070-2071) Beaux portraits d'une mère et sa fille, devant le décor peint et avec la chaise que le photographe transportait dans sa carriole.
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Le père Périgord à Costrenat, Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B114-n°2067) Belle allure pour ce vieux Limousin qui devait être né dans la première moitié du 19e siècle...
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Famille Buisson à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B114-n°2064) Nous ne savons pas si les Buisson étaient des cousins ou simplement des amis ou voisins de Jean-Baptiste Boudeau, mais nous reconnaissons en tout cas dans ce groupe en promenade Marguerite Boudeau, l'épouse de Jean-Baptiste, et leur fils René, ainsi qu'Eugène, le frère du photographe.
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Marguerite et Gabrielle Desroches à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B114-n°2060-2061) Jolis portraits des sœurs Desroches, de Saint-Priest-Taurion, à qui Jean-Baptiste Boudeau, certainement dans une recherche artistique, a demandé de poser "en cheveux". Il était assez rare à l'époque que les Limousines se montrent ainsi, sans coiffe ni couvre-chef, qui plus est les cheveux détachés...
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Le barrage de l'étang de Guillot à Rilhac-Rancon - Fonds Boudeau (B114-n°2059) Belle composition artistique de Jean-Baptiste Boudeau avec ces trois jeunes femmes, tout de blanc vêtues, qui posent sur le barrage de l'étang de Guillot.
Cet étang de la commune de Rilhac-Rancon est alimenté par la Cane, un gros ruisseau descendu de Saint-Sylvestre dans les monts d'Ambazac et qui, sur environ seize kilomètres, est alimenté par différents ruisseaux comme le Verrier, le Lavadour, la Mazelle ou encore le Cussou, pour grossir et devenir dans ses derniers kilomètres ce que l'on nomme le ruisseau du Palais. C'est en effet au Palais-sur-Vienne que ce joli petit cours d'eau, autrefois réputé pour ses truites sauvages, se jette dans la Vienne.
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L'église d'Eybouleuf - Fonds Boudeau (B113-n°2050) L'église Saint-Pierre-ès-Liens d'Eybouleuf date du 13e siècle et a été modifiée et restaurée au cours des siècles. Le portail date du 14e siècle ; le bas de la nef fut vraisemblablement maçonné au 17e siècle ; le clocher a été rebâti aux 18e et 19e siècles.
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L'église et le château d'Eyjeaux - Fonds Boudeau (B113-n°2049) Dans le bourg d'Eyjeaux, situé à une quinzaine de kilomètres au sud-est de Limoges. A droite l'église romane du 12è siècle et à gauche le château du 15e siècle.
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Vue générale d'Eyjeaux - Fonds Boudeau (B113-n°2047) Vue du bourg d'Eyjeaux, situé à une quinzaine de kilomètres au sud-est de Limoges. Au centre l'église romane et à gauche le château du 15e siècle.
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Château d'Eyjeaux - Fonds Boudeau (B113-n°2046) Ce château situé à Eyjeaux, à une quinzaine de kilomètres au sud-est de Limoges, fut bâti au 15e siècle pour l'écuyer Foulques de Junhac. Nous voyons ici la grosse tour circulaire de l'angle sud-ouest.
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L'église d'Eyjeaux - Fonds Boudeau (B113-n°2045) L'église de l'Ordination de Saint-Martin, située à Eyjeaux à une quinzaine de kilomètres au sud-est de Limoges, fut bâtie au 12e siècle et complétée au 15e siècle. Elle fut inscrite aux Monuments Historiques en 1926.
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Osman : tragédie Edition de petit format, issue du fonds Amédée Carriat et portant son ex-libris ainsi que celui d'Henri Carret.
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Lettre aux intellocrates de la médiocratie parlementaire [manuscrit] Fonds Sony Labou Tansi. Manuscrit autographe provenant des archives de Monsieur Bernard Magnier, dont nous n'avons que la numérisation.
Edité dans le recueil "Encre, sueur, salive et sang : textes critiques" / Sony Labou Tansi ; édition établie et présentée par Greta Rodriguez-Antoniotti ; avant-propos de Kossi Efoui. Paris : Ed. du Seuil, 2015. Collection Cadre rouge.
Préalablement édité dans la revue "La semaine africaine" (Brazzaville), n°1869-70, 13-19 décembre 1990.
Sur papier à l'en-tête de "Europe monde, Europe world, Europa mundo"
7ff dont 2ff recto-verso, paginées 1-7. Format non connu (probablement A4).
Numéro d'inventaire : SLT 128/B-16
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Autoportrait Jean Virolle, professeur à l'école des arts décoratifs de Limoges a laissé une oeuvre peu connue quant à ses dessins d'esquisses, davantage pour ceux qui ont été inspirés par la première guerre mondiale, qui l'a beaucoup affecté. La seconde guerre mondiale renoue avec les horreurs et la mort, qu'il illustre dans "la danse macabre", parue en 1942. La Bfm de Limoges conserve un fonds de dessins, dont cet autoportrait, seule aquarelle de l'ensemble.
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Lettre d'un coopéré à un coopérant [manuscrit] Fonds Sony Labou Tansi. Manuscrit autographe provenant des archives de Monsieur Bernard Magnier, dont nous n'avons que la numérisation.
Lettre adressée à "Mon cher Christian,"
Archive éditée une première fois par la revue "Perspectives africaines", n°3, septembre-octobre 1991, puis rééditée dans le recueil "Encre, sueur, salive et sang : textes critiques" / Sony Labou Tansi ; édition établie et présentée par Greta Rodriguez-Antoniotti ; avant-propos de Kossi Efoui. Paris : Ed. du Seuil, 2015. Collection Cadre rouge.
6ff recto-verso, paginés 2-6. Format non connu.
Numéro d'inventaire : SLT 126/23
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[sans titre][Qui a mangé Madame d'Avoine Bergotha ?] : Voie C [théâtre, fragment] Fonds Sony Labou Tansi. Manuscrit autographe provenant du fonds trouvé à Brazzaville et appartenant à la famille de l'auteur
Personnages : (1 femme, 3 hommes) + voix + divers
17 ff.(soit 34 p.) ; 22 x 17 cm
Cote : RES.PF SLT 46
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Recueil de fiches thématiques et biographiques autour de Tristan L'Hermite Amédée Carriat a regroupé dans cette pochette ses notes pour constituer la biographie de Tristan L'Hermite (probablement pour l'éloge d'un poète). Ces fiches consignent des lieux, des contemporains, des itinéraires, notamment à partir de la thèse de Bernardin. Il y consigne également ses notes à propos des personnages des pièces ou des thématiques abordées par Tristan L'Hermite dans son oeuvre, notant les références bibliograhiques. Le classement y est alphabétique.
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Portail Imbert Aux angles de la rue du Portail Imbert et de la rue Haute de la Comédie, on reconnaît l’hôtel Maledent de Feytiat qui abrite aujourd’hui la DRAC. Le portail qui donna son nom à la rue, lui, a été démoli. La rue, en descendant vers la fontaine des Barres, fermait la rue Turgot dont la partie basse n’existait pas à l’époque.
(cote : MAG.P. Lim 59180)
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Rue Arbre-Peint et rue du Canard Le quartier du Verdurier était, comme le quartier voisin du Viraclaud, un quartier ancien et populaire, fait de plusieurs petites rues et abritant de nombreuses maisons de torchis et de bois, jugées insalubres. Il sera en grande partie rasé dans les années 1912-1913 pour faire place à la rue Jean Jaurès et à des constructions « en dur ».
La fontaine de l’Arbre-Peint débordait régulièrement et créait un véritable canal dans la rue descendant à la tour Vieille-Monnaie. De la déformation du mot canal viendrait donc le nom de la rue : Canard.
(cote : MAG.P. Lim 59180)
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Théâtre de Limoges (salle Berlioz) Le théâtre municipal de Limoges, œuvre de l’architecte Vincent Boullé, fut inauguré en 1840 place de la République. Théâtre à l’italienne, il propose majoritairement des opérettes et des vaudevilles. Il est officiellement rebaptisé Salle Berlioz en 1932. Sa capacité étant jugée insuffisante, il est supplanté par le Cirque-Théâtre, inauguré en 1925 à l'emplacement de l'actuel Opéra-Théatre. La Salle Berlioz, quant à elle, fut rasée en 1958, après de nombreuses années d'inactivité.
(cote : MAG.P.LIM 59180)
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L'école de Notariat de Limoges, place du Présidial Ce bâtiment, édifié sur l'emplacement de l'ancien presbytère de l'église Saint-Michel-des-Lions, fut le présidial (nom des tribunaux sous l’Ancien Régime) de la généralité de Limoges dès 1553. L’architecte Joseph Brousseau le reconstruit en 1774 et lui offre sa façade de style classique. Le présidial devient ensuite la cour de justice, nouvelle dénomination. Le sous-sol comportait plusieurs cellules. Les condamnés pouvaient donc y être emprisonnés directement après leur jugement. Certains d’entre eux étaient ensuite emmenés par la rue des Prisons adjacente puis par la rue Monte-à-Regret vers la place d’Aine, lieu de leur exécution.
Après la Révolution, le Conseil général et la Préfecture s’installent également dans ce grand bâtiment. En 1847, il accueille la première bibliothèque publique ainsi que le musée municipal. L’école de droit et de notariat y prend place en 1912. Sans affectation depuis de très nombreuses années, un projet d’habitations est à l’étude à la fin des années 2010.
(cote : MAG.P.LIM 58093)