-
Brune, Maréchal de France Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815.
cote : FP BRU G 09 (Bfm Limoges)
-
Brune (Maréchal) Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815.
cote : FP BRU G 08 (Bfm Limoges)
-
La Chambre de Commerce Ce beau bâtiment, à l’angle du boulevard Carnot et de la place Stalingrad, est édifié sur les plans de l’architecte Charles Planckaert pour installer la chambre de commerce et d’industrie de la Haute-Vienne qui y demeure de 1905 aux années 1960. Son rez-de-chaussée a accueilli différents commerces, comme le fleuriste et paysagiste Nivet, visible sur ce cliché. L’immeuble est aujourd’hui occupé par le conseil de prud'hommes.
Fonds Jean-Baptiste Boudeau, Boîte 197 (Bfm Limoges)
-
Le monument des Mobiles Officiellement nommé « Monument aux morts à la gloire des victimes de la guerre de 1870 », le monument des Mobiles est l’œuvre du sculpteur limougeaud Adolphe-Martial Thabard, inauguré en 1899 aux angles de l'avenue de la Gare (devenue avenue du Général de Gaulle) et du cours Jourdan. C’est un hommage aux morts pour la France en 1870-1871, et plus particulièrement au 71ème régiment de Mobiles de la Haute-Vienne.
Fonds Jean-Baptiste Boudeau, Boîte 174 (Bfm Limoges)
-
La statue du Maréchal Jourdan La statue de Jean-Baptiste Jourdan (1762-1833), célèbre Limougeaud, député de la Haute-Vienne et maréchal d’Empire victorieux à Watignies et à Fleurus, fut inaugurée en 1860. Elle nous le montre, prêt à mettre sabre au clair, au milieu du square créé en 1907. C’est probablement parce qu’elle représente un chef militaire qu’elle ne fut pas, comme la plupart des autres statues limougeaudes, fondue sous l’Occupation.
Fonds Jean-Baptiste Boudeau, boîte 174 (Bfm Limoges)
-
La statue de Gay-Lussac Œuvre du sculpteur Aimé Millet, cette statue rend hommage au célèbre physicien et chimiste natif de Saint-Léonard-de-Noblat, Louis-Joseph Gay-Lussac (1778-1850). Elle est inaugurée place d’Aine en 1890 et sera fondue sous l’Occupation.
Fonds Jean-Baptiste Boudeau, boite 184 (Bfm Limoges)
-
La fontaine des Barres Cet édifice a été construit à l’emplacement d’un puits, la font des barres, qui permettait de recueillir l’eau descendue d’une source de Montjovis. Son nom viendrait des barres de fer qui évitaient de chuter dedans. En 1615 fut édifiée une fontaine pyramidale de granit distribuant l’eau par plusieurs jets. Au XIXe siècle, les jets furent remplacés par un robinet. Aujourd’hui tarie, il subsiste de la fontaine la pyramide de pierre, qui est inscrite aux Monuments historiques depuis 1949.
Fonds Boudeau, boite 186 (Bfm Limoges)
-
Brune, mort à Avignon, le 2 août 1815 Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815.
cote : FP BRU G 07 (Bfm Limoges)
-
Brune, général de l'armée française en Helvétie, et depuis en Batavie. Au-dessous du portrait, une scène de guerre de Duplessi-Bertaux inv. et del. Suit le récit d'un épisode de guerre.
Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815.
cote : FP BRU G 06 (Bfm Limoges)
-
Brune Dans la marge, ce quatrain : «En vain le roi dictait des ordres tutélaires / Vaucluse livre Brune aux fureurs populaires / Et les gardiens veillant et les nuits et les jours / Sur le corps du héros protégeaient les vautours».
Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815.
cote : FP BRU G 05 (Bfm Limoges)
-
Guillaume Brune Légende : Brune, Maréchal de France ; né à Brives. -
Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815.
cote : FP BRU G 04 (Bfm Limoges)
-
[Guillaume] Brune Légende : Brune. Conseiller d'Etat. Général en chef de l'armée d'Italie. Né à Brives, dépt de la Corrèze, le 13 may 1763.
Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815.
cote : FP BRU G 03 (Bfm Limoges)
-
Le Maréchal [Brune] jeune Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815.
cote : FP BRU G 02 (Bfm Limoges)
-
Le Médecin français : organe mensuel du Comité national des médecins français : édition de Limoges, 1944/11 (N3) Etat collection : n°2 (1944, oct.)-n°3 (1944, nov.).
Mensuel
Cote : LIM 60879 (Bfm Limoges)
-
Le Médecin français : organe mensuel du Comité national des médecins français : édition de Limoges, 1944/10 (N2) Etat collection : n°2 (1944, oct.)-n°3 (1944, nov.).
Mensuel
Cote : LIM 60879 (Bfm Limoges)
-
Histoire de la porcelaine de Limoges : I. Bibliographie, chronologie, statistique ; II. Notices historiques Réunis les deux tomes en un seul volume
Fonds Antoine Perrier
cote : MAG.P LIM 57938/1-2 (Bfm Limoges)
-
Histoire de l'octroi de Limoges de 1370 à 1900, suivie de considérations générales sur les octrois cote : MAG.P LIM 40226 (Bfm Limoges)
-
Le Paysan corrézien, 1942/04 Etat collection : (1942, avr.).
La corporation paysanne au service du Maréchal Pétain.
Extrait du fonds Antoine Perrier
Un seul numéro paru
Cote : LIM 60970 (Bfm Limoges)
-
François Le Tonnelier de Breteuil Légende : "Le Baron de Breteuil : ministre et secrétaire d'Etat". - De la série «Hommes illustres vivans».
Marquis de Fontenay-Tresigny, né à Paris en 1687, fils de François de Breteuil conseiller d'Etat et ancien intendant des finances, et d'Anne de Galonne de Courtebonne ; conseiller au parlement de Paris (6 août 1705), maître des requêtes (27 février 1712), intendant de la généralité de Limoges le 8 mars 1718, ministre de la guerre le 4 juillet 1723, occupa cette position pendant vingt ans, chancelier de la reine, mort à Paris le 7 janvier 1743.
Cote : FP BRET (Bfm Limoges)
-
Jean-Pierre Brès Légende : "J. P. Brès, décédé du choléra le 5 août 1832. L'ami, le poëte, l'historien du gymnase normal, membre de la société libre des Beaux-arts. Dédié à Madame sa veuve et à Monsieur Amoros colonel directeur du gymnase national. Se vend chez l'auteur... et chez Mr Amoros".
Né à Limoges le 4 août 1782, écrivain, auteur de nombreux ouvrages pour la jeunesse, rédacteur à la "Revue encyclopédique", mort à Paris le 3 août 1832.
Cote : FP BRES (Bfm Limoges)