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Jean Brunet : né à Limoges le 3 novembre 1814 Provient de la série "Assemblée nationale. Galerie des représentants du peuple (1848) (Haute Vienne)", n°380. - Porte en plus la signature de Jean-Baptiste Brunet.
Né à Limoges le 3 novembre 1814, fils de Michel Brunet, négociant et ancien officier, et de Marie Boudet, aide-de-camp du maréchal Bugeaud en Afrique, élu député de la Haute-Vienne à la Constituante de 1848, le septième sur huit, représentant de la Seine à l'Assemblée nationale de 1871, auteur de plusieurs ouvrages de technologie militaire.
cote : FP BRU J 01 (Bfm Limoges)
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Brune : général en chef des armées françaises Légende : Dessiné d'après nature par le citoyen F. J. Harriet ; gravé à Paris par J. J. F. Tassaert, citoyen français, an VII. - Se vend à Paris : chez Tassaert, .
Portrait équestre représentant Brune à la tête d'une armée.
Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815.
cote : FP BRU G 15 (Bfm Limoges)
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Brune. Portrait équestre en couleurs. - Porte en plus le n°109.
Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815.
cote : FP BRU G 14 (Bfm Limoges)
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Brune : dans la bataille de Castricum, le 6 octobre 1799. C. V. Cuilenburg ad. viv. delin. ; C. Josi inscrip.
Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815.
cote : FP BRU G 13 (Bfm Limoges)
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Avenue de la Gare et voie ferrée L’ancienne gare des Bénédictins a été mise en service en 1856. La construction des voies a notamment nécessité la démolition du premier temple protestant de Limoges et d’une fabrique de porcelaine Pouyat. Le ruisseau d’Aigueperse a été canalisé et un tunnel a été créé à la place du chemin de la Maison-Dieu.
On remarque, tout au fond à gauche, l’église Saint-Paul-Saint-Louis de la rue Aristide-Briand, fraîchement construite.
Fonds Jean-Baptiste Boudeau, Boîte 198 (Bfm Limoges)
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La Bibliothèque municipale Ce bâtiment massif du bas de la rue Turgot, de style néoclassique, est l’œuvre de l’architecte Marsaudon. Il donne à l’arrière sur la place de l’Ancienne Comédie. Achevé en 1895, il accueille dès l’année suivante la Bibliothèque municipale, jusqu’alors hébergée dans le bâtiment du présidial. Depuis l’ouverture de la BFM en 1998, l’ancienne bibliothèque accueille une brasserie et des logements.
Fonds Jean-Baptiste Boudeau, Boîte 184 (Bfm Limoges)
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Hôtel de préfecture En 1897, le maire Emile Labussière offre à l'État un terrain du vieux quartier du Viraclaud (rasé l’année suivante), afin de construire un nouvel hôtel de préfecture. De style néo-classique, suivant les plans de l'architecte Jules Godefroy (1863-1928), l’imposant bâtiment est construit de 1900 à 1908 et accueillera également le Conseil général jusqu’en 2010.
Fonds Jean-Baptiste Boudeau, Boîte 190 (Bfm Limoges)
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Hôtel Estienne de la Rivière Ce bel hôtel particulier est bâti place du Présidial au début du 19e siècle par les Estienne de la Rivière, famille d’aristocrates et de notables limousins. Il est classé aux Monuments historiques depuis 1988 pour certains de ses éléments extérieurs mais aussi pour ses riches intérieurs de bois et de stuc. Propriété d’une association, il est restauré à la fin des années 2010.
Fonds Boudeau, boite 190 (Bfm Limoges)
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Incendie de Limoges : aspect du lieu du sinistre. Vue prise du marché Dupuytren A l’époque où Limoges était majoritairement bâtie de bois et de torchis, les incendies étaient fréquents. L’un des plus ravageurs fut sans nul doute celui de la nuit du 15 août 1864, qui emporta presque tout le quartier des Arènes (109 maisons, environ 2000 personnes à la rue). La rue des Arènes de l’époque est devenue la rue Othon Péconnet, du nom du maire qui géra la reconstruction. On voit en bas à gauche l’angle de la halle Dupuytren qui était place de la Motte avant d’être transférée place Carnot en 1889.
cote : 3Fi57 (Bfm Limoges)
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Rues Haut-Lansecot et du Cheval-Blanc à Limoges, incendiées dans la nuit du 7 mai
. A l’époque où Limoges était majoritairement bâtie de bois et de torchis, les incendies étaient fréquents. Dans la nuit du 7 mai 1861, ce sont 7 maisons de la rue du Cheval-Blanc (actuelle rue Gondinet) qui furent emportées par les flammes
Extrait du Le Monde illustré, 1861.
cote : 3Fi89 (Bfm Limoges)
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Limoges par Bullura Extrait de La France pittoresque d’Abel Hugo, 1835.
cote : 3Fi53 (Bfm Limoges)
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La cathédrale avec sa nef en construction. Dès le 11e siècle, une cathédrale est élevée au cœur de la Cité. De ce premier édifice roman, il ne subsiste aujourd'hui que la crypte et les étages inférieurs du clocher. La construction de la cathédrale actuelle commença en 1273, mais les dernières travées reliant la nef au clocher ne furent bâties qu'en 1876. La cathédrale associe gothique rayonnant (abside et transept sud) et gothique flamboyant (portail Saint-Jean). Elle est finalement achevée le 12 août 1888.
cote : 3Fi47/2 (Bfm Limoges)
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Vue générale prise des bords de la Vienne Au premier plan le ramier du Naveix, solide installation qui arrêtait le bois flottant en provenance des monts d’Ambazac ou de la région d’Eymoutiers.
cote : 3Fi47/1 (Bfm Limoges)
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La fontaine du Chevalet La Fontaine du Chevalet (également appelée Fontaine Constantin), qui daterait du Moyen-Age, se situait à l’origine au milieu de la rue des Combes, dans l’ancien quartier du Viraclaud. Elle a été déplacée plus bas dans le quartier (place Stalingrad) et rénovée. Si les deux grandes vasques de granit et les têtes de lions par lesquelles l’eau jaillit ont été conservées et rénovées, la statue du chevalier qui aurait donné son nom à la fontaine a disparu. D’après la tradition locale, le cheval d’un dénommé Constantin aurait piétiné un enfant : la fontaine aurait été bâtie à l’emplacement de l’accident. Certains historiens indiquent quant à eux qu’il s’agissait d’une statue de Constantin, premier grand empereur romain chrétien, énormément représenté à l’époque médiévale.
cote : MAG.P LIM 33272/2
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Portail et croix Saint-Aurélien Cette croix à l'entrée de la chapelle saint-Aurélien provient du couvent des carmes qui se trouvait entre la rue Foucaud et la rue Saint-Eloi (au sud de l'actuelle place des Carmes). Elle est fixée sur un socle en granit quadrangulaire orné de la coquille rappelant que Limoges se trouve sur route de saint-Jacques de Compostelle. La croix en calcaire de style flamboyant est protégée par un auvent qui soutient une potence au munie d'une poulie qui suspendait autrefois une lampe à huile.
Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante.
cote : 9Fi502/33 (Bfm Limoges)
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Rapport présenté à MM. les membres de la commission de l'ambulance de la Haute-Vienne le 10 novembre 1871 cote : MAG.P LIM F5588/97
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Les logements ouvriers à Limoges Le 24 octobre 1910 est inauguré dans le faubourg de Montjovis à Limoges un immeuble construit par la société l'Etoile dans le but philanthropique de fournir des logements aux ouvriers. Jules Tixier, par ailleurs architecte, détaille les qualités de construction et d'aménagement du projet et appelle à d'autres entreprises similaires.
Extrait de "Limoges illustré"
Dédicace manuscrite de l'auteur.
cote : MAG.P LIM F6488/8 (Bfm Limoges)
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Brune, général de l'armée française en Helvétie, et depuis en Batavie Au-dessous du portrait, une scène de guerre. Suit le récit d'un épisode de guerre.
Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815.
cote : FP BRU G 12 (Bfm Limoges)
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Bouclier français [Maréchal Guillaume Brune] Guillaume Brune en pied, en costume de maréchal de France. Au second plan, scène de son arrestation. Légende : "Fin tragique du Maréchal Brune. Par de laches sicaires son corps percé de coups, des oiseaux dévorants fut l'indigne pature".
Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815.
cote : FP BRU G 11 (Bfm Limoges)
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Brune Porte en plus la signature du Maréchal Brune.
Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815.
cote : FP BRU G 10 (Bfm Limoges)