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M. Antoine Latour, littérateur français, décédé le 27 août. Né à Saint-Yrieix (Haute-Vienne) le 30 août 1808, fils de Jean-Baptiste et de Madeleine de Jarrige de la Morelie de Mavieux ; poète et littérateur distingué, mort à Sceaux (Seine) le 27 août 1881.
Cote : FP LAT (Bfm Limoges)
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Charles-Philibert de Lasteyrie, né à Brive (Corrèze)le 4 novembre 1759 Charles-Philibert ou Ferdinand-Charles-Léon de Lasteyrie du Saillant, né à Brive (Corrèze) le 4 novembre 1759, agronome et écrivain distingué, a établi à Paris la première fabrique de plumes métalliques et la première imprimerie lithographique, mort à Paris le 3 novembre 1849.
Cote : FP LAST (Bfm Limoges)
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F. Lassarre, représentant du peuple (Creuse) Porte en plus le n°7.
De la série "Assemblée nationale. Galerie des représentants du peuple (1848) (Creuse)", n°589. - Porte en plus : la signature de Léon Faucher.
Né à Saint-Sulpice-le-Dunois (Creuse), le 22 novembre 1797, avocat, procureur du roi (1839), procureur de la république à Guéret (1848), député de la Creuse à la Constituante (23 avril 1848), juge au tribunal de Guéret sous l'empire jusqu'en 1868, membre du conseil général de la Creuse, mort à Guéret le 20 janvier 1883.
Cote : FP LAS 02 (Bfm Limoges)
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François Lassarre, né à Saint-Sulpice-le-Dunois (Creuse) le 22 novembre 1797, avocat, ex-Procureur de la République à Guéret De la série "Assemblée nationale. Galerie des représentants du peuple (1848) (Creuse)", n°589. - Porte en plus : la signature de François Lassarr.
Né à Saint-Sulpice-le-Dunois (Creuse), le 22 novembre 1797, avocat, procureur du roi (1839), procureur de la république à Guéret (1848), député de la Creuse à la Constituante (23 avril 1848), juge au tribunal de Guéret sous l'empire jusqu'en 1868, membre du conseil général de la Creuse, mort à Guéret le 20 janvier 1883.
Cote : FP LAS 01 (Bfm Limoges)
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Grellet de Beauregard. Avocat du Roi. Député de la sénéch[auss]ée de Gueret De la série "Collection générale des portraits de MM les députés à l'Assemblée nationale tenue à Versailles le 4 mai 1789".
Né à Aubusson (Creuse), le 16 novembre 1750, fils de Pierre Grellet du Montant et de Thérèse Baret ; conseiller au sénéchal de Guéret (août 1776), avocat du roi, procureur-syndic du Tiers-Etat (septembre 1788), élu député le 24 mars 1789 du Tiers aux Etats Généraux pour la sénéchaussée de Guéret, président du tribunal du district d'Aubusson (1791), juge au tribunal civil de la Creuse (1796), puis au tribunal de Limoges (8 mai 1800), conseiller à la cour d'appel de cette ville (1811), président de chambre (8 décembre 1818), mort à Limoges le 19 ou le 23 novembre 1829.
cote : FP GREL 02 (Bfm Limoges)
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M. le C.te de Laipaud. Né au château du Mat du Bot le 13 J[anvi]er 1725. Grand Séné[ch]al d'Epée de la Basse Marche, Député de cette province. A l'Assemblée Nationale de 1789 Paul Nollet de Laipaud, né au château du Mas-du-Bost, commune de Blond (Haute-Vienne), le 11 janvier 1725, fils de Paul de Nollet, seigneur de Laipaud, et de Marie-Anne de Carbonnière de Saint-Brice. Le comte de Laipaud fut capitaine de cavalerie, sénéchal d'épée de la Basse-Marche, puis fut élu député de la noblesse de cette sénéchaussée aux Etats Généraux de 1789, mort en 1806.
Cote : FP LAI (Bfm Limoges)
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Mme Laffarge née Capelle Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal.
Cote : FP LAF 10 (Bfm Limoges)
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Mme Lafarge Légende : "L'echo de la presse. Gazette de la ville et de la campagne".
Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal.
Cote : FP LAF 09 (Bfm Limoges)
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Mme Lafarge. (Née Marie Capelle) Légende : "Mr le Président, je suis innocente, je vous le jure ! / Dédié à Mr Paillet et Bac. ses défenseurs. / En vente chez Masson fils".
Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal.
Cote : FP LAF 08 (Bfm Limoges)
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Mme Lafarge. (Née Marie Capelle) Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal.
Cote : FP LAF 07 (Bfm Limoges)
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Mme Lafarge. (Née Marie Capelle) Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal.
Cote : FP LAF 06 (Bfm Limoges)
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Mme Lafarge Dans "Nouvelles causes célèbres ou fastes du crime" de Moquard, 1842. Porte en plus : mention manuscrite sur l'impression de l'estampe.
Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal.
Cote : FP LAF 04 (Bfm Limoges)
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[Marie Lafarge] porte les mentions : J. G. 63 [Jules de Goncourt 1863] ; [nom illisible] 6 aout 1850.
Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal.
Cote : FP LAF 03 (Bfm Limoges)
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Mme Lafarge née Marie Cappelle Dessiné d'après nature juillet 1840.
Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal.
Cote : FP LAF 02 (Bfm Limoges)
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[Marie Lafarge] Légende : "Marie est un problême ; / On l'accuse, on l'absout, / On la maudit, on l'aime : / Démon, Ange....... elle est tout. / Filleul-Pétigny".
Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal.
Cote : FP LAF 01 (Bfm Limoges)
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Me Lachaud En illustration dans le journal "Le bouffon".
Charles-Alexandre Lachaud, né à Treignac (Corrèze) le 25 février 1817 ou 1818, fils de Sulpice Lachaud, notaire à Treignac, et de N. Chaveribière de Sal ; avocat célèbre notamment pour avoir plaidé l'affaire Marie Lafarge, il exerça d'abord à Tulle, se fixa à Paris en 1844, bâtonnier de l'ordre, mort à Paris le 9 décembre 1882.
Cote : FP LAC 14 (Bfm Limoges)
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Ch. Lachaud Dans le "Panthéon des illustrations françaises". - Porte en plus : la signature de Charles Lachaud.
Charles-Alexandre Lachaud, né à Treignac (Corrèze) le 25 février 1817 ou 1818, fils de Sulpice Lachaud, notaire à Treignac, et de N. Chaveribière de Sal ; avocat célèbre notamment pour avoir plaidé l'affaire Marie Lafarge, il exerça d'abord à Tulle, se fixa à Paris en 1844, bâtonnier de l'ordre, mort à Paris le 9 décembre 1882.
Cote : FP LAC 13 (Bfm Limoges)
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M. Lachaud En une du journal "Le monde pour rire", numéro 4, 28 mars 1868.
Charles-Alexandre Lachaud, né à Treignac (Corrèze) le 25 février 1817 ou 1818, fils de Sulpice Lachaud, notaire à Treignac, et de N. Chaveribière de Sal ; avocat célèbre notamment pour avoir plaidé l'affaire Marie Lafarge, il exerça d'abord à Tulle, se fixa à Paris en 1844, bâtonnier de l'ordre, mort à Paris le 9 décembre 1882.
Cote : FP LAC 08 (Bfm Limoges)
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MM. Lachaud père & fils En une du journal "L'éclipse", n°272, dimanche 11 janvier 1874.
Charles-Alexandre Lachaud, né à Treignac (Corrèze) le 25 février 1817 ou 1818, fils de Sulpice Lachaud, notaire à Treignac, et de N. Chaveribière de Sal ; avocat célèbre notamment pour avoir plaidé l'affaire Marie Lafarge, il exerça d'abord à Tulle, se fixa à Paris en 1844, bâtonnier de l'ordre, mort à Paris le 9 décembre 1882.
Cote : FP LAC 07 (Bfm Limoges)
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Me Lachaud Dans le journal "L'illustration", n°2077, 16 décembre 1882.
Charles-Alexandre Lachaud, né à Treignac (Corrèze) le 25 février 1817 ou 1818, fils de Sulpice Lachaud, notaire à Treignac, et de N. Chaveribière de Sal ; avocat célèbre notamment pour avoir plaidé l'affaire Marie Lafarge, il exerça d'abord à Tulle, se fixa à Paris en 1844, bâtonnier de l'ordre, mort à Paris le 9 décembre 1882.
Cote : FP LAC 06 (Bfm Limoges)