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traditions populaires
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Légendes et croyances superstitieuses conservées dans le département de la Creuse
Parmi les légendes narrées : la femme sans tête, le fantôme du cimetière de Glénic, le cercueil de la chapelle de Lorette, l'homme rouge de l'étang de la Courtille, la pierre Battaurine, le Pont d'Anzème, le lutin de Bois-Chabra, les lavandières de nuit, la poule noire..... cote : MAG.P LIM B903 (Bfm Limoges) -
Proverbes bas-limousins
cote : MAG.P LIM B890 (Bfm Limoges) -
Ustrinum
Sous-titre : "Monument où l'on brûlait les corps morts, observé sur la place de Glanges (Haute-Vienne), Septentrion de la Roche l'Abeille". Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2 -
Une corporation au XXe siècle. Les bouchers de Limoges
Une analyse historique et sociologique pour comprendre la survivance de cette corporation au début du XXe siècle. Extrait de la Revue des idées, "Etudes de critique générale paraissant tous les 15 du mois". cote : MAG.P LIM 34114 (Bfm Limoges) -
Proverbes limousins et dessins 3
Marcelle Delpastre remplissait très densément ses feuilles et ses cahiers, par habitude de ne pas gaspiller le papier. En témoignent ces dos cartonnés de blocs papier sur lesquels elle notait des proverbes recueillis de-ci de-là et s'amusait à esquisser quelques dessins. Née en 1925, dans un hameau limousin de quatre fermes à Germont, commune de Chambaret (Corrèze) , Marcelle Delpastre passe de l'école communale au collège de Brive. Après un bac philo-lettres, elle s'oriente vers les Arts décoratifs à Limoges, puis retourne définitivement à la terre dans la ferme familiale en 1945. Dans les années 1970 Marcelle Delpastre fait deux rencontres importantes, celles de Michel Chadeuil et de Jan dau Melhau, deux jeunes auteurs en langue limousine. Elle participe régulièrement à leur revue Lo Leberaubre. Poète , conteuse, romancière et ethnologue, Marcelle Delpastre est aujourd'hui reconnue comme l'un des dix plus grands écrivains occitans du XXe siècle. De la maison familiale de Germont, dans le Limousin, où elle vivait et travaillait la terre, Marcelle Delpastre a écrit des milliers de pages. Perçue comme une paysanne par le monde littéraire, et comme une étrange femme qui écrivait par les ruraux, Marcelle Delpastre est restée méconnue pour sa poésie. Son œuvre poétique est immense : ballades, psaumes, prose poétique, poèmes dramatiques... Elle écrit en occitan, la langue de sa mère, et en français, langue de son père.. Isolée par choix dans la ferme où elle trouvait le calme pour écrire, elle vécut seule avec ses parents, ne se mariant pas (quelques jours avant de mourir, elle disait encore : « Qu'est-ce qui devait compter ? Vivre ou écrire ? »). Elle écrit l'arbre, la terre, le mystère de la création, l'amour, la déploration du monde, l'âme meurtrie, la solitude et la souffrance. Ses poèmes souvent tristes et durs célèbrent aussi la vie sensuelle et crue. La Bibliothèque francophone multimedia de Limoges conserve l'ensemble de ses manuscrits publiés donnés par Jan dau Melhau, son ayant-droit. -
Proverbes limousins et dessins 2
Marcelle Delpastre remplissait très densément ses feuilles et ses cahiers, par habitude de ne pas gaspiller le papier. En témoignent ces dos cartonnés de blocs papier sur lesquels elle notait des proverbes recueillis de-ci de-là et s'amusait à esquisser quelques dessins. Née en 1925, dans un hameau limousin de quatre fermes à Germont, commune de Chambaret (Corrèze) , Marcelle Delpastre passe de l'école communale au collège de Brive. Après un bac philo-lettres, elle s'oriente vers les Arts décoratifs à Limoges, puis retourne définitivement à la terre dans la ferme familiale en 1945. Dans les années 1970 Marcelle Delpastre fait deux rencontres importantes, celles de Michel Chadeuil et de Jan dau Melhau, deux jeunes auteurs en langue limousine. Elle participe régulièrement à leur revue Lo Leberaubre. Poète , conteuse, romancière et ethnologue, Marcelle Delpastre est aujourd'hui reconnue comme l'un des dix plus grands écrivains occitans du XXe siècle. De la maison familiale de Germont, dans le Limousin, où elle vivait et travaillait la terre, Marcelle Delpastre a écrit des milliers de pages. Perçue comme une paysanne par le monde littéraire, et comme une étrange femme qui écrivait par les ruraux, Marcelle Delpastre est restée méconnue pour sa poésie. Son œuvre poétique est immense : ballades, psaumes, prose poétique, poèmes dramatiques... Elle écrit en occitan, la langue de sa mère, et en français, langue de son père.. Isolée par choix dans la ferme où elle trouvait le calme pour écrire, elle vécut seule avec ses parents, ne se mariant pas (quelques jours avant de mourir, elle disait encore : « Qu'est-ce qui devait compter ? Vivre ou écrire ? »). Elle écrit l'arbre, la terre, le mystère de la création, l'amour, la déploration du monde, l'âme meurtrie, la solitude et la souffrance. Ses poèmes souvent tristes et durs célèbrent aussi la vie sensuelle et crue. La Bibliothèque francophone multimedia de Limoges conserve l'ensemble de ses manuscrits publiés donnés par Jan dau Melhau, son ayant-droit. -
Proverbes limousins et dessins 1
Marcelle Delpastre remplissait très densément ses feuilles et ses cahiers, par habitude de ne pas gaspiller le papier. En témoignent ces dos cartonnés de blocs papier sur lesquels elle notait des proverbes recueillis de-ci de-là et s'amusait à esquisser quelques dessins. Née en 1925, dans un hameau limousin de quatre fermes à Germont, commune de Chambaret (Corrèze) , Marcelle Delpastre passe de l'école communale au collège de Brive. Après un bac philo-lettres, elle s'oriente vers les Arts décoratifs à Limoges, puis retourne définitivement à la terre dans la ferme familiale en 1945. Dans les années 1970 Marcelle Delpastre fait deux rencontres importantes, celles de Michel Chadeuil et de Jan dau Melhau, deux jeunes auteurs en langue limousine. Elle participe régulièrement à leur revue Lo Leberaubre. Poète , conteuse, romancière et ethnologue, Marcelle Delpastre est aujourd'hui reconnue comme l'un des dix plus grands écrivains occitans du XXe siècle. De la maison familiale de Germont, dans le Limousin, où elle vivait et travaillait la terre, Marcelle Delpastre a écrit des milliers de pages. Perçue comme une paysanne par le monde littéraire, et comme une étrange femme qui écrivait par les ruraux, Marcelle Delpastre est restée méconnue pour sa poésie. Son œuvre poétique est immense : ballades, psaumes, prose poétique, poèmes dramatiques... Elle écrit en occitan, la langue de sa mère, et en français, langue de son père.. Isolée par choix dans la ferme où elle trouvait le calme pour écrire, elle vécut seule avec ses parents, ne se mariant pas (quelques jours avant de mourir, elle disait encore : « Qu'est-ce qui devait compter ? Vivre ou écrire ? »). Elle écrit l'arbre, la terre, le mystère de la création, l'amour, la déploration du monde, l'âme meurtrie, la solitude et la souffrance. Ses poèmes souvent tristes et durs célèbrent aussi la vie sensuelle et crue. La Bibliothèque francophone multimedia de Limoges conserve l'ensemble de ses manuscrits publiés donnés par Jan dau Melhau, son ayant-droit. -
Fontaines à chiffons et saints à rubans
Retour sur une tradition populaire du Limousin autour des "bonnes fontaines". cote : MAG P LIM 45136 (Bfm Limoges) -
De la signification du mot "couppe" dans les procès-verbaux de visite des portes de Tulle au XVIIe siècle
Chaque année à Tulle, les consuls inspectaient l'ensemble des portes de la ville, notant précisément les systèmes de fermetures, clés et couppes... cote MAG.P LIM 40242 (Bfm Limoges) -
Quelques Mots sur les danses modernes. Aux pères de famille et au clergé
Extrait : "les jeunes vierges chrétiennes polkèrent puis valsèrent; [... ] et maintenant la jeunes fille la plus pure se livre à l'étreinte des premiers venus [...] Messieurs les ecclésiastiques, vous qui tolérez ces danses, je suis sûr que vous ne les connaissez même pas" cote : MAG.P.LIM 18654 (Bfm Limoges) -
Les Saints limousins : ce que nous leur devons
Apologie non exhautive des (nombreux) saints du Limousin. En fin de recueil, courte présentation plus célèbres d'entre eux. Extrait : "Vous êtes émus devant ce sol limousin enfin défriché et que nos saints couvrent de champs fertiles, de villes, de villages, d'écoles, d'hopitaux, de bibliothèques, d'églises ? Ce n'est rien en comparaison de la transformation merveilleuse qu'ils ont opéré dans les consciences." cote : MAG.P LIM ASS 80 (Bfm) -
Chansons populaires et bourrées recueillies en Limousin avec musique, traduction et annotations musicales
Un ouvrage complet accessible aux non occitanistes avec commentaire, traduction française et annotations musicales. Table des matières détaillée. cote : MAG.P LIM 53310 (Bfm Limoges) -
la Plantation du clou, tranformation et persistance du rite en Limousin
René Fage revient sur cette tradition religieuse et superstitieuse qui existe depuis l'Antiquité et qui rencontre un développement singulier en Limousin. Symbole de prise de possession (d'une église par exemple) ou objet votif aux vertus prophilactiques et protectrices, le clou connait une transformation moderne et féminisée singulière : l'épingle. cote : MAG P LIM 45601 (Bfm Limoges) -
Le Coustumier general du haut pays et comté de la Marche.
"Le Coustumier general du haut pays et comté de la Marche. Diligemment et fidellement corrigé et annoté de plusieurs decisions et arrests, Par Messire Charles du Moulin,... Avec le procez verbal. Les coutumes sont dans l'ancien droit français des usages régissant la vie quotidienne des populations dans un cadre géographique déterminé (ville, province). Ces usages se sont formés dès le Moyen Âge. Oraux et transmis par la tradition, ils ont été progressivement fixés par écrit à la suite de l'édit de Montils-lez-Tours d'avril 1453. Les coutumes de la Marche, en fait la Haute-Marche (correspondant en gros à l'actuel département de la Creuse), ont été publiées en 1521. Elles régiront le droit jusqu'à leur remplacement par le code civil. L'édition présentée ici est celle de Charles Du Moulin publiée en 1618 et réeditée en 1643. Elle vient après l'édition de Nicolas Callet (ou Caillet), la première comportant des commentaires, en 1573. Par ailleurs, plusieurs versions manuscrites existent, dont certaines se trouvent à la Bibliothèque multimedia du Grand Guéret. cote : 340.57 (Bibliothèque Multimédia du Grand Guéret) -
Countes e Niorlas de Jan-de-la-Luna (1911-1914)
Préface en français de René Farnier. Sergent dans l'armée puis fonctionnaire, JB Chèze prend sa retraite prématurément pour raison médicales. Il consacre alors sa vie " à la poésie et à l'amitié ". Grand lyrique, il pratique aussi la poésie légère l'épigramme et bien entendu le conte et la gnorle la chanson. "La Princesse dans la Tour" est reconnue comme son oeuvre maîtresse de sensibilité et de tendresse avec Mily (dans laquelle il pleure son épouse disparue trop tôt) cote : MAG P LIM 55391 (Bfm Limoges) -
Le Dimanche des Rameaux à Limoges
Une sortie de messe des Rameaux devant la chapelle Saint-Aurélien de Limoges (quartier de la Boucherie). Dessinateur et graveur non identifiés. cote : 3FI49 (Bfm Limoges) -
L'Action sociale du Félibrige, conférence faite, le 21 août 1897, au théâtre d'Ussel
"Face à la centralisation et l'uniformisation culturelle qui étouffe le pays, ne craignons pas l'audace et la fougue des jeunes écrivains, qui assurent la force du felibrige". Voici en gros le propos d 'A. Cahuet. Il fait allusion également à Louis de Nussac, auteur du "Manuel du bon félibre", également consultable sur la Bibliothèque numérique du Limousin. dédicace de l'auteur à Marguerite Genès, Reine du Félibrige. cote : 00 X0 (Médiathèque de Brive) -
Las Chansous galhardas : refrains brivistes
Léon Branchet est musicien traditionaliste briviste apprécié et reconnu. Il avait déjà retranscrit et publié des airs traditionnels, mis en musique les poèmes de plusieurs auteurs membres du Félibre. Ces chansous galhardes sont de sa composition mais dans l'esprit des chants traditionnels en occitan. Introduction riche de Louis de Nussac qui présente chacun des chants. cote : 19 BRI X1 (Médiathèque de Brive) -
Visite d'un parisien à Limoges à l'occasion du concours régional de 1879
Le récit d'un parisien en séjour à Limoges, et son constat sur la ville, ses habitants, ses notables, etc... cote : MAG.P LIM 18167 (Bfm Limoges) -
La Nymphe du Rio-Clédoux ou la nouvelle fontaine de la ville de Guéret
Un texte en vers écrit à l'occasion de l'inauguration de cette fontaine installée place Bonnyaud à Guéret, avec en fin de recueil des notes historiques ou circontancielles qui commentent et enrichissent le propos. MAG.P LIM 18648 (Bfm Limoges)