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Rive droite
Le même jour, durant l'année 1909, à quelques minutes d'intervalle, Jean-Baptiste Boudeau stoppe sa carriole couverte et sa jument, en les immobilisant au milieu du pont de Brignac sur la commune de Royères. Il prend une première photo de la rive droite de la Vienne, en amont de la rivière, qui permet d'apercevoir par l'arche du pont les papeteries de Brignac. La deuxième, prise depuis l'autre rive et d'un peu plus loin en amont, joue sur le reflet du pont, des arches, de l'attelage et même des nuages dans les eaux calmes de la Vienne. La profondeur du ciel, sa beauté sont données ici principalement par le reflet. On devine au passage, le balai fiché à gauche de l'attelage, qui était l'une des marques de reconnaissance de Jean-Baptiste Boudeau. Boîte 15 (Bfm Limoges) -
Le pont du Saillant
Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Edifié au XVIème siècle, le pont du Saillant est situé à cheval sur les communes de Voutezac et d'Allassac, (les habitants parlent encore du « Saillant d'Allassac » et du « Saillant de Voutezac »), enjambant la Vézère. Il est composé de six arches, deux sur Allassac et les autres sur Voutezac. Il a bénéficié d'une protection par les Monuments Historique en 1969. Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges) -
Argentat, Pont suspendu
extrait du "Guide pittoresque du voyageur en France". cote : MAG P LIM B1215 (Bfm Limoges). -
En sortant du pont Saint-Étienne
Vue depuis le pont Saint-Étienne. Trois "Ponticauds" posent à l'entrée de leur quartier, l'Abbessaille. Derrière eux monte la rue du Pont Saint-Étienne, l'une des dernières rues conservées de ce quartier historique, presque entièrement rasé pour cause d'insalubrité au début du 20e siècle. Ces trois hommes, qui semblent nous barrer la route, pourraient illustrer le célèbre dicton : « Tu séï daus Pounts ? Passo ! Tu n’en séï pas ? Dïn l’aïgo ! » ("Tu es des Ponts, tu passes ; tu n'en es pas, tu ne passes pas !") cote : 9FI502/7 (Bfm limoges) -
Au Pont Saint-Etienne, en remontant la Vienne rive droite
Le Pont Saint-Etienne sous un autre angle de vue, et toujours en présence des laveuses. Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. Avec Audiguet, Limoges devient paysage photographique. cote : 9FI502/1 (Bfm limoges) -
Le Pont Saint-Étienne et l'ancienne route de Lyon
La vue est prise depuis les actuels jardins de l’Evêché. La route de Lyon est devenue l’avenue du Sablard. La maison qui fait l’angle à droite a, depuis, dévoilé ses jolis colombages et c'est actuellement un restaurant bien connu des Limougeauds. Le grand bâtiment à gauche, le long de la Vienne, était celui de la blanchisserie Deschamps. Il a été remplacé par un immeuble résidentiel. On peut remarquer les draps (qui doivent plutôt être ceux lavés par les lavandières que l'on devine affairées en bas à droite) étendus sur le pont. Tout à gauche de la photographie, on devine le "ramier" qui servait à arrêter le bois amené par flottage pour fournir, entre autres, les fours à porcelaine. cote : 9FI502/2 (Bfm limoges) -
Limoges vue depuis la rive gauche
La photographie semble être prise depuis une hauteur, peut-être l’entrée du viaduc. cote : 9FI473 (Bfm Limoges) -
Le pont Saint-Étienne, la cathédrale et le quartier de l'Abbessaille
L’Abbessaille fut en grande partie rasée pour raisons hygiénistes dès les années 1900. Elle est aujourd’hui remplacée par le boulevard (actuel Quai Louis Goujaud) et la promenade piétonne en bords de Vienne. Il n’en demeure que quelques rues de la partie haute (rue du Pont Saint-Étienne, rue des Laveuses, rue des Roches, rue du Rajat…) cote : 9Fi470 (Bfm Limoges) -
Argentat, construction du nouveau pont.
Le premier pont suspendu, appelé aussi pont Marie, fut construit en 1829 aux frais du comte de Noailles pour faciliter le transport du charbon extrait des mines de ses mines. Devenu trop étroit et pas assez résistant aux charges de plus en plus lourdes, il fut remplacé par un édifice en pierre, construit entre 1892 et 1894. Ses deux arches enjambent la Dordogne prenant appui sur une seule pile afin de faciliter l'écoulement des eaux au printemps et en automne, ainsi que le passage des gabares qui descendent vers Souillac. cote : 9Fi78/4 (Bfm Limoges) -
Argentat, construction du nouveau pont.
Le premier pont suspendu, appelé aussi pont Marie, fut construit en 1829 aux frais du comte de Noailles pour faciliter le transport du charbon extrait des mines de ses mines. Devenu trop étroit et pas assez résistant aux charges de plus en plus lourdes, il fut remplacé par un édifice en pierre, construit entre 1892 et 1894. Ses deux arches enjambent la Dordogne prenant appui sur une seule pile afin de faciliter l'écoulement des eaux au printemps et en automne, ainsi que le passage des gabares qui descendent vers Souillac. cote : 9Fi78/2 (Bfm Limoges) -
L'entrée de l'ancien Pont-Marie.
Ce pont sur la Dordogne, aujourd'hui disparu, fut ouvert en 1829. D'une portée unique de 107 mètres et d'une hauteur de 24 mètres, il fut construit en réutilisant le système de suspension Seguin constitué de 6 câbles de part et d'autre du tablier. On l'appelait aussi le pont Marie, du nom de la fille du Comte de Noailles qui finança à ses frais les travaux de construction. Devenu trop étroit et pas assez résistant aux charges de plus en plus lourdes, il fut remplacé en 1892 par le pont de la République. cote : 9Fi446 (Bfm Limoges) -
Vue prise à côté de la maison centrale
La Maison Centrale de détention était installée depuis 1810 dans l’ancienne abbaye des Bénédictins, devenue ensuite caserne du 63e Régiment d’Infanterie, puis démolie pour le percement de l’avenue Jean-Gagnant. Elle était située près de l'actuelle gare des Bénédictins, sur les vestiges d'une ancienne abbaye de la confrérie de Saint-Maur. Au fond, on aperçoit les deux clochers à bulbe de l'ancien collège des Jésuites, devenu lycée Gay-Lussac en 1889, le clocher de l'église Saint-Pierre et à droite celui de Saint-Michel. cote : 9FI502/19 -
Le pont d'Argentat
Vue de l'ancien pont suspendu d'Argentat, aujourd'hui disparu. Ce pont sur la Dordogne fut ouvert en 1829. D'une portée unique de 107m et d'une hauteur de 24m, il fut construit en réutilisant le système de suspension Seguin constitué de 6 câbles de part et d'autre du tablier. On l'appelait aussi le pont Marie, du nom de la fille du Comte de Noailles qui finança à ses frais les travaux de construction. Devenu trop étroit et pas assez résistant aux charges de plus en plus lourdes, il fut remplacé en 1892 par le pont de la République. cote : 1FI6 (Bfm Limoges) -
Pont sur la Creuse, à Aubusson, Creuse
cote : 2FI5 (Bfm Limoges) -
Pont Saint-Étienne et quartier de l'Abbessaille
Cette vue du pont Saint-Étienne, de l'Abbessaille et de la cathédrale de Limoges est un modèle "iconique" forgé par les illustrateurs au début du 19e siècle. Ce point du vue amplifié par les photographes finit par incarner la ville de Limoges au 20e siècle. Mais ici le point de vue est un peu différent, puisque le photographe se place à la sortie du pont et non pas plus loin, au bord de l'eau. cote : 9Fi502/12 (Bfm Limoges) -
La Vienne près du Pont de chemin de fer, près de la carrière Ardant
Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. Avec Audiguet, Limoges devient paysage photographique. cote : 9Fi502/39 (Bfm Limoges) -
Pont sur l'Aixette (commune d'Aixe-sur-Vienne), maison de Mge Rougerie
Charles Giroux est né à Limoges. Régulièrement exposé aux Salons parisiens entre 1880 et 1910, il est membre de la Société Française des amis des arts, ainsi que sociétaire des Artistes français. Aquafortisite, ses travaux les plus connus sont des gravures d'interprétation. Charles Giroux a également réalisé un ensemble d'estampes représentant les paysages limousins. cote : 3FI5 (Bfm Limoges) -
Le pont Saint-Étienne
Cette vue du Pont Saint-Étienne, avec en arrière-plan le quartier de l'Abbessaille et la cathédrale de Limoges, reprend un modèle "iconique" forgé par les illustrateurs au début du XIXe siècle. Ce point du vue amplifié par les photographes finit par incarner la ville de Limoges au XXe siècle. Dans une très belle composition, avec une parfaite maîtrise de la lumière (voir les jeux d'ombre et de lumière sur les avant-becs du pont), Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) nous dévoile en un coup d’œil tous les visages de la cité, , entre héritage médiéval et développement industriel : la Vienne, vecteur essentiel de la vie économique, le peuple des Ponticauds (lavandières et débardeurs), le pont Saint-Étienne qui marquait la limite du flottage du bois destiné aux fours des usines de porcelaine, le quartier populaire de l'Abbessaille, l'abbaye de la Règle et dominant le tout, la cathédrale gothique. Il est intéressant de mettre en regard cette photographie avec l'émergence à la la même époque d'une littérature populaire des quartiers des bords de Vienne. cote : 9Fi502/41 (Bfm Limoges)