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condition ouvrière
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Rue de la Châdre
La rue de la Châdre ne faisait que 3 mètres de large. Elle partait de la rue des Combes pour arriver place Sainte-Rochette, dans le quartier du Viraclaud dont la démolition fut décidée dès 1896 par le maire Emile Labussière. En plus d’être un quartier d’habitations insalubres, le Viraclaud était réputé pour être le quartier des prostituées. Il fut rasé pour percer le bout de la rue Jean Jaurès et bâtir le quartier de la préfecture. cote : 9FI204 (Bfm Limoges) -
Vue d'Allassac
Dans la deuxième moitié du XIXe siècle, grâce à l’essor du chemin de fer, les carrières d’Allassac et de Travassac en Corrèze connaissent une exploitation intensive. Travassac était alors une des ardoisières les plus importantes avec sept filons. J-B Beynié, photographe installé à Brive depuis 1878, propose une vue sur les immenses pans d’ardoises de la carrière de Travassac. Cette épreuve fut exploitée pour l’exposition sur le « Limousin pittoresque et monumental » organisée par la Société Gay-Lussac du 15 juin au 15 juillet 1902 à Limoges. cote : 9FI80/1 (Bfm Limoges) -
Ardoisières de Travassac - ouvriers au travail
Dans la deuxième moitié du XIXe siècle, grâce à l’essor du chemin de fer, les carrières d’Allassac et de Travassac en Corrèze connaissent une exploitation intensive. Travassac était alors une des ardoisières les plus importantes avec sept filons. J-B Beynié, photographe installé à Brive depuis 1878, propose une vue sur les immenses pans d’ardoises de la carrière de Travassac. Cette épreuve fut exploitée pour l’exposition sur le « Limousin pittoresque et monumental » organisée par la Société Gay-Lussac du 15 juin au 15 juillet 1902 à Limoges. cote : 9 FI 79/2 (Bfm Limoges) -
Ardoisières d'Allassac- Ouvriers
Dans la deuxième moitié du XIXe siècle, grâce à l’essor du chemin de fer, les carrières d’Allassac et de Travassac en Corrèze connaissent une exploitation intensive. Le travail dans les carrières était difficile. Jusqu’à la fin du XIXe siècle, la montée des blocs d’ardoise se faisait à dos d’hommes, les grues et les pompes à eau prendront peu à peu place sur les chantiers par la suite. J-B Beynié, photographe installé à Brive dont l’activité photographique s’étend de 1878 à 1906, a immortalisé des ouvriers travaillant à la carrière d’Allassac. J-B Beynié avec son cliché se veut aussi le témoin du travail des enfants. Dès l’âge de 13 ans, les jeunes garçons étaient envoyés dans les ardoisières. cote : 9FI80/2 (Bfm Limoges) -
Le départ du Maçon
Chanson, manuscrit de l'auteur. Issu d'une famille de négociants, Alfred Durin a vraissemblablement fait de solides études classiques. Il exerçait la profession de marchand d'estampes et de chansonnier satirique. Sous Louis-Philippe, il raille violemment le gouvernement en publiant des chansons accueillies avec enthousiasme lors de la Révolution de février 1848. Il est également inscrit à la Société Populaire, dont il est l'un des membres actifs aux côtés de Théodore Bac. Alfred Durin est également le rédacteur en chef du Carillon républicain , "journal populaire" qu'il a fondé en 1848, et dont la devise est "tout pour le peuple et par le peuple". On y retrouve quelques unes de ses chansons, dont le "départ du Maçon "(n°15 du 22mai 1848). cote : Ms 88 (Bfm Limoges) -
Le Porcelainier
Chanson, manuscrit de l'auteur. Issu d'une famille de négociants, Alfred Durin a vraissemblablement fait de solides études classiques. Il exerçait la profession de marchand d'estampes et de chansonnier satirique. Sous Louis-Philippe, il raille violemment le gouvernement en publiant des chansons accueillies avec enthousiasme lors de la Révolution de février 1848. Il est également inscrit à la Société Populaire, dont il est l'un des membres actifs aux côtés de Théodore Bac. Alfred Durin est également le rédacteur en chef du Carillon républicain , "journal populaire" qu'il a fondé en 1848, et dont la devise est "tout pour le peuple et par le peuple". On y retrouve quelques unes de ses chansons. cote : Ms 88 (Bfm Limoges) -
Les Grisettes.
Chanson, manuscrit de l'auteur. Issu d'une famille de négociants, Alfred Durin a vraissemblablement fait de solides études classiques. Il exerçait la profession de marchand d'estampes et de chansonnier satirique. Sous Louis-Philippe, il raille violemment le gouvernement en publiant des chansons accueillies avec enthousiasme lors de la Révolution de février 1848. Il est également inscrit à la Société Populaire, dont il est l'un des membres actifs aux côtés de Théodore Bac. Alfred Durin est également le rédacteur en chef du Carillon républicain , "journal populaire" qu'il a fondé en 1848, et dont la devise est "tout pour le peuple et par le peuple". On y retrouve quelques unes de ses chansons. La grisette est une étoffe commune de teinte grise que portaient les hommes et les femmes du commun. Par extension, le terme grisette désignait familièrement une jeune ouvrière coquette et galante (Dictionnaire de l'Académie). cote : Ms 88 (Bfm Limoges) -
Le Feu de la Porcelaine
Chanson, manuscrit de l'auteur. Issu d'une famille de négociants, Alfred Durin a vraissemblablement fait de solides études classiques. Il exerçait la profession de marchand d'estampes et de chansonnier satirique. Sous Louis-Philippe, il raille violemment le gouvernement en publiant des chansons accueillies avec enthousiasme lors de la Révolution de février 1848. Il est également inscrit à la Société Populaire, dont il est l'un des membres actifs aux côtés de Théodore Bac. Alfred Durin est également le rédacteur en chef du Carillon républicain , "journal populaire" qu'il a fondé en 1848, et dont la devise est "tout pour le peuple et par le peuple". On y retrouve quelques unes de ses chansons cote : Ms 88 (Bfm Limoges)