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La boule de Saint-Michel des Lions
Le clocher de Saint-Michel-des-Lions a été plusieurs fois endommagé par la foudre. Dans les années 1810, il est coiffé d’une boule qui servira de paratonnerre et de repère pour les relevés géographiques. Mais cette boule de bois et de métal, qui pèse 600 kg et fait 2 mètres de diamètre, menace de tomber lors des grands coups de vent. En avril 1914, elle est déposée. Un grand débat s’engage dans les milieux politiques et scientifiques : remettra-t-on une boule sur le clocher ? La population étant très attachée à cet élément original de leur ville, il est décidé de remettre une boule mais un peu plus petite, bien plus légère, et surtout ajourée pour éviter la prise au vent. Il faudra attendre la fin de la guerre pour que la nouvelle boule soit installée. Boîte 184 (Bfm Limoges) -
Eybouleuf
Une vue classique d'une petite commune de Haute-Vienne, Eybouleuf, peuplée de 428 habitants en 1911. Devant la modeste église du bourg, l'église Saint-Pierre-ès-Liens (aux Liens) dont le clocher est constitué d'une flèche de plan hexagonal, pose une grosse vingtaine d'habitants, hommes, femmes et enfants, vraisemblablement le jour d'une frairie. On semble deviner un stand sur la gauche, avec une femme affublée d 'un tablier, comme si elle était extérieure au groupe qui pose. Forain comme veut le dire le mot « extérieur à la cité » Boîte 113 (Bfm Limoges) -
Anzême en Creuse
Jean-Baptiste Boudeau a aussi photographié la Creuse, en particulier la commune d'Anzême, d'où provenait son père, Sylvain Boudeau né en 1849. Il y avait toujours de la famille, une tante paternelle Amélie et un oncle Pierre. La photographie montre le centre du bourg d'Anzême, la principale place avec, d'un côté, l’église paroissiale, de l'autre, un vieux chêne en dessous duquel se trouve René Boudeau. Personnage René Boudeau Boite 276 (bfm Limoges) -
Ma rue
Juste à côté de l'épicerie, dans ce qui est devenu la rue de l'église, Jean-Baptiste Boudeau photographie la rue principale du bourg avec en partie une vue de l'église, mais aussi une charrette, qui pourrait être la sienne, sous laquelle se reposent deux chiens couchés. Le commerce dont on voit la devanture, sur la droite, est probablement l'épicerie Boudeau elle-même, celle de sa mère Jeanne, qui va la tenir jusqu'à son décès en 1924. On y accédait par des marches. On distingue dans le prolongement de la rue deux autres charrettes. Boîte B1 (Bfm Limoges) -
Culte marial
Au mois de mai, « le mois de Marie » pour les chrétiens, Jean-Baptiste Boudeau réalise sa première photographie d'église qui nous soit connue. Il sort de son environnement proche pour choisir le sanctuaire de Notre Dame d'Arliquet, situé sur le territoire de la commune d'Aixe-sur-Vienne. Il s'agit d'un bâtiment reconstruit au XIXe siècle, en briques rouges, dont la chapelle contient une Vierge de pitié, une pietà, en bois polychrome datée du XVIème siècle. Par ce choix, lié non pas au patrimoine mais à une dimension religieuse propre, et en ne faisant que des photographies de ce sanctuaire, il montre un aspect propre à son inclinaison religieuse. Notons au passage, que la première carte postale réalisée par lui, celle qui porte le numéro 1, est celle de la procession du 15 août, à Saint-Priest-Taurion. La fête de la Vierge, encore. Boîte B1 (Bfm Limoges) -
Eglise de Meymac, Corrèze
Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". L'église Saint-Léger de Meymac appartenait à l'abbaye bénédictine attenante. Le clocher-porche abrite un portail polylobé de style roman limousin. Le porche est orné de chapiteaux romans de facture archaïque. La nef est bordée de larges arcades et voûtée d'ogives. Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la Société Archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges) -
Tulle, la cathédrale
Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Construite au XIIe siècle, cette église abbatiale devient cathédrale en 1317 était initialement une église abbatiale. Cette gravure fut initialement publiée "Le vieux Tulle" de René Fage. cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges) -
Tulle-église des Carmes
Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage. Cette chapelle du couvent des Carmes a été élevée à la fin du 17e siècle. Son architecture est caractéristique du style classique de cette époque avec son plan octogonal, ses six chapelles saillantes, sa façade principale scandée de pilastres . L'église a cessé d'être affectée au culte par arrêté du 20 janvier 2010. Cette gravure fut initialement publiée "Le vieux Tulle" de René Fage. cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges) -
Eglise de Saint-Angel, Corrèze
Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage" L'église -prieuré de Saint-Angel-des-Anges est un exemple d'église fortifiée tel qu'il en existait au Moyen-âge. Elle faisait partie d'un ensemble qui regroupait un château et un monastère bénédictin dépendant de l'abbaye poitevine de Charroux. L'église a été fortement remaniée aux XVe et XVIe siècle. Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges) -
Plan de la célèbre basilique apostolique de Saint-Martial, 1791
le plan porte également la mention manuscrite : "...bâtie au IXe siècle sous Louis-le-Pieux, roi de France et d'aquitaine. la dédicace en fut faite en 830. Amasius en fut l'architecte. la démolition de cette basilique eu lieu en 1791. extrait d'après le plan de la Ville de 1775." Extrait du Guide du sapeur-pompier de la Ville de Limoges" cote : MS87/2 -
Eglise de Notre-Dame-du-Pont à Saint-Junien, Haute-Vienne
Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". Construite à l’extrémité d’un pont du XIIIème siècle, cette chapelle Notre Dame est d'un beau style gothique flamboyant. Ce simple oratoire du XIIIe siècle fut agrandi grâce aux libéralités de Louis XI et restauré à la fin du XIXème siècle. Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2 -
Reconstruction de l'église de la Jonchère
Extrait de "Croquis et compositions" de Jules Tixier. Vue de la façade principale de l'église. Pierre Jules Tixier tient une place de choix à Limoges, tant par la diversité de ses centres d'intérêt que par ses réalisations. Architecte, archéologue, historien, il laisse d'importantes notes et dessins. Architecte des monuments historiques de la Haute-Vienne, il participe à la restauration de nombreuses églises. Enfin ses constructions pour l'architecture privée comptent des hôtels particuliers, des maisons de campagne, des établissements d'enseignement et se distinguent par l'utilisation judicieuse du granit. cote : 3FI71/17 (Bfm Limoges) -
Architecture - École Limousine
Extrait de Croquis et compositions de Jules Tixier. 1. Plan de Saint-Bonnet-la-Rivière (Corrèze). 2. Plan de l'église d'Obazine. 3. Plan de l'église de Châteauponsac. 4. Plan de l'église de Saint-Robert. Clocher de Saint-Léonard, de la Souterraine, de Saint-Michel de Limoges. Façade de l'église du Dorat, de Saint-Junien, Vierge au tombeau de Saint- Junien, bas-relief. Pierre Jules Tixier tient une place de choix à Limoges, tant par la diversité de ses centres d'intérêt que par ses réalisations. Architecte, archéologue, historien, il laisse d'importantes notes et dessins. Architecte des monuments historiques de la Haute-Vienne, il participe à la restauration de nombreuses églises. Enfin, ses constructions pour l'architecture privée comptent des hôtels particuliers, des maisons de campagne, des établissements d'enseignement et se distinguent par l'utilisation judicieuse du granit. cote : 3FI71/14 (Bfm Limoges) -
Missel Limousin
Ce missel manuscrit du XVe siècle est incontestablement d'origine limousine si l'on en juge par les diverses mentions de saints proprement limousins : une messe à Saint-Martial (fol 42), une oraison à Saint-Léobon (fol 54) et une autre à Saint Léonard (fol 57). On y remarque également des notes en marge d'une écriture du XVIe siècle : "Gaude, maria Virgo, cunctas hereses sola intermisiti, Que Gabrielis archangeli dictis credidisti, Dum virgo Deum et hominem genuiti Et post partum inviolata permansisti, Dei genitrix, intercede pro nobis." Ajouté de la même main, on retrouve enfin, diverses oraisons (fol 79 et 80) dont trois adressées à Saint-Cloud. Bfm Limoges (cote : Ms 5) -
Le cheval Saint-Antoine, l'église de...(?), Tour de Zizim à Bourganeuf
extrait de "Creuse 1876-79", carnet de croquis. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre. -
Le Grand Séminaire de Limoges
Un grand séminaire, lieu de formation des prêtres, est ouvert à Limoges au 17e siècle. Il occupe des bâtiments du faubourg Manigne, vers l’église Sainte-Marie, jusqu’à la Révolution. Il s’installe ensuite un temps au couvent des Allois (place de la Cité) puis, au début du 19e siècle, des bâtiments sont construits pour l’accueillir sur les vestiges de l’abbaye bénédictine de la Règle, en grande partie détruite à la Révolution. En 1921, il déménage de l’autre côté de la Vienne, rue Eugène-Varlin. Il n'en reste aujourd'hui que le réfectoire (actuel Cité des métiers et des arts), ainsi que la chapelle de la Règle qui ne fut jamais consacrée. cote : 3FI41 (Bfm Limoges) -
La Croix des Bois, Lardillier, Benevent
extrait de Creuse 1876-79 , carnet de croquis. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Enfin, cet historien poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers qui chantent la Creuse aimée, son humilité et simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre. -
clocher de Peyrabout, église de Saint-Léger-le-Guérétois
extrait de Creuse 1876-79 , carnet de croquis. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Enfin, cet historien poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers qui chantent la Creuse aimée, son humilité et simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre. -
Le Dimanche des Rameaux à Limoges
Une sortie de messe des Rameaux devant la chapelle Saint-Aurélien de Limoges (quartier de la Boucherie). Dessinateur et graveur non identifiés. cote : 3FI49 (Bfm Limoges) -
Eglise de Saint-Yrieix
Cette gravure est extraite de "Géographie du département de la Haute-Vienne", appelé aussi communément Guide Joanne, du nom de son premier auteur. Le Guide Joanne est une série de « guides-itinéraires », identifiables par leur couverture en percaline bleu nuit et leur lettrage doré, et d’abord écrits en relation avec l’ouverture des lignes de chemin de fer dès 1853. L’iconographie de ces guides est composée de gravures privilégiant l’architecture monumentale, les curiosités (naturelles ou bâties) et les sites de ville. Les vues paysagères sont plus rares. En 1919 Les Guides Joanne prennent le nom de Guides bleus. cote : MAG.P LIM 18229/87 (Bfm Limoges)