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Haute-Vienne
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Chemin de fer et moulins Caillaud et Chilloux à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B17-n°485)
Le photographe domine le chemin de fer qui longe la Vienne à Saint-Priest-Taurion, rive droite. Le moulin sous la voie ferrée est celui du meunier Caillaud, dit moulin de la Roche. Le moulin de la rive gauche, en face, est celui du meunier Chilloux, dit moulin de Cintrat. Ce dernier se trouve en réalité à Saint-Just-le-Martel puisque la rivière délimite les deux communes. -
Démolition d'une maison à Montmolard, commune du Châtenet-en-Dognon - Fonds Boudeau (B17-n°481)
On ne sait pas quel motif pousse ces ouvriers en sabots à démolir ce bâtiment, mais cette photographie nous rappelle, s'il le fallait, que les maisons traditionnelles limousines avaient été bâties avec un grand savoir-faire, bien souvent par les paysans qui les habitaient eux-mêmes, de milliers de pierres patiemment taillées et agencées... (le village de Montmolard est aujourd'hui plus communément appelé Le Montmolas) -
Château des Rieux à Saint-Martin-Terressus, vue générale - Fonds Boudeau (B17-n°480)
Bien que la plaque photographique soit abîmée, cette prise de vue nous montre bien le bel ensemble que constitue le château des Rieux, avec la partie ancienne datant probablement du 17e siècle et la partie plus récente qui lui fut adjointe au 19e siècle (le pavillon de style néo-gothique). On remarque également la carriole du photographe et son joli cheval blanc. -
Château des Rieux à Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B16-n°471)
Ce château date vraisemblablement de la seconde moitié du 17e siècle mais il fut transformé et agrandi au 19e siècle. C'est la partie nouvelle, le pavillon de style néo-gothique, que nous montre cette photographie. -
Homme et enfant à La Texonnière, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B16-n°463/464)
Deux portraits comme J.-B. Boudeau en réalisa des centaines. L'enfant s'appelle Jean Leblanc, l'adulte s'appelle René Parot. Nous remarquons évidemment que l'enfant porte un brassard noir au bras gauche, marque traditionnelle du deuil. L'enfant a-t-il perdu sa mère, un frère ou une sœur, un camarade de classe ? Nous ne le savons pas, mais ces deux portraits sont joliment réalisés, devant des rochers de granit du Limousin, un décor que Jean-Baptiste Boudeau a très souvent utilisé. -
Le flottage du bois à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B16-n°461)
Descendu des monts d'Ambazac ou de la Montagne limousine, le bois arrivait à Saint-Priest-Taurion, à la confluence de la Vienne et du Taurion, où il était arrêté et réorganisé une première fois. Il pouvait alors continuer sa course au fil de l'eau jusqu'à Limoges où, arrivé au port du Naveix, il était stocké et vendu pour la construction ou comme bois de chauffage, mais surtout pour alimenter les nombreux fours à porcelaine de la ville. Cette photographie, bien que sa qualité soit altérée, nous montre l'importance de cette activité et le personnel nombreux qu'elle employait. -
Château de Bort à Saint-Priest-Taurion, vue générale du domaine - Fonds Boudeau (B15-n°456)
Le domaine de Bort est occupé depuis le 15e siècle. Le château est agrandi et bénéficie d'importantes améliorations et rénovations au 19e siècle, sous l'impulsion de son propriétaire Pierre-Edmond Teisserenc de Bort. Bort fut l'un des plus importants centres de sélection et d'amélioration de la race bovine limousine dans la seconde moitié du 19e siècle et au début du 20e siècle. Cette photographie nous montre l'étendue des bâtiments d'élevage jouxtant le château. -
Vallée du Taurion aux environs de Tourniol à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B15-n°455)
Jolie vue sur ce bout de Taurion après de récentes coupes de bois qui dégagent le paysage. On aperçoit sur l'autre rive un groupe qui semble se restaurer. Ils ne sont pas habillés en bûcherons ni en paysans, ce sont peut-être des citadins ou des gens du bourg en promenade dominicale. -
Vue générale des bâtiments agricoles du château de Bort à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B15-n°450)
Le domaine de Bort fut l'un des plus importants centres de sélection et d'amélioration de la race bovine limousine dans la seconde moitié du 19e siècle et au début du 20e siècle. Cette photo nous montre l'importance de l'activité agricole de ce domaine et les très nombreuses plaques de concours qui ornent la façade de la grange principale prouvent l'excellence de l'élevage pratiqué. -
Château de Tourniol à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B15-n°449)
Le château de Tourniol, édifié en 1789, fut une résidence secondaire de l’architecte limougeaud Joseph Brousseau (1733-1797). Il prend place au cœur d'un vaste domaine agricole et d'un grand parc paysager, sur les bords du Taurion. -
Monsieur Pasquet et Mademoiselle Andrée de Limoges - Fonds Boudeau (B15-n°445/446)
Un portrait comme J.-B. Boudeau, épicier-photographe de Saint-Priest-Taurion en Haute-Vienne, en réalisa des centaines. S'agit-il d'un couple de la ville venu en visite chez des cousins ou des amis à la campagne ? Ils ne sont effectivement pas habillés comme le commun des paysans de l'époque, et les notes du photographe nous indiquent qu'ils étaient de Limoges. Nous ne possédons pas d'informations plus précises sur le contexte de cette photographie. -
Description pittoresque d'une métairie dans le département de la Haute-Vienne
Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Sur un ton élégiaque Jaques Joseph Juge de Saint-Martin décrit sa métairie de Boubaud à Nieuil près de Limoges. Un critique de l'époque assure à la parution de l'ouvrage : " ... si M. Juge, pour rendre ses descriptions plus séduisantes, a employé le pinceau de la poésie, c'était pour mieux faire sentir la ressemblance des objets qu'il voulait peindre et qu'on s'est convaincu, le livre à la main [...] qu'il n'a pas représenté les objets plus beaux que ceux offerts par la nature des lieux" (Journal du Département de la Haute-Vienne, 9 octobre 1806) cote : MAG.P LIM 18627 (Bfm Limoges) -
La France illustrée : Haute-Vienne
Géographie, histoire, tourisme, transports, statistique. Avec carte en couleur en fin d'ouvrage. cote : MAG.P LIM 35400/2 (Bfm Limoges) -
Château de Bonneval
extrait du "Guide pittoresque du voyageur en France". cote : MAG P LIM B1215 (Bfm Limoges). -
Ruines de Chaluset [ Chalucet]
extrait du "Guide pittoresque du voyageur en France". cote : MAG P LIM B1215 (Bfm Limoges). -
Château de Montbrun
extrait du "Guide pittoresque du voyageur en France". cote : MAG P LIM B1215 (Bfm Limoges). -
Château de Rochechouart
extrait du "Guide pittoresque du voyageur en France". cote : MAG P LIM B1215 (Bfm Limoges). -
Le train en gare de Nexon
cote : 9FI 484 (Bfm Limoges) -
Château de Chalusset [Chalucet]
Cette gravure est extraite de "Géographie du département de la Haute-Vienne", appelé aussi communément Guide Joanne, du nom de son premier auteur. Le Guide Joanne est une série de « guides-itinéraires », identifiables par leur couverture en percaline bleu nuit et leur lettrage doré, et d’abord écrits en relation avec l’ouverture des lignes de chemin de fer dès 1853. L’iconographie de ces guides est composée de gravures privilégiant l’architecture monumentale, les curiosités (naturelles ou bâties) et les sites de ville. Les vues paysagères sont plus rares. En 1919 Les Guides Joanne prennent le nom de Guides bleus. cote : MAG.P LIM 18229/87 (Bfm Limoges) -
Eglise de Saint-Yrieix
Cette gravure est extraite de "Géographie du département de la Haute-Vienne", appelé aussi communément Guide Joanne, du nom de son premier auteur. Le Guide Joanne est une série de « guides-itinéraires », identifiables par leur couverture en percaline bleu nuit et leur lettrage doré, et d’abord écrits en relation avec l’ouverture des lignes de chemin de fer dès 1853. L’iconographie de ces guides est composée de gravures privilégiant l’architecture monumentale, les curiosités (naturelles ou bâties) et les sites de ville. Les vues paysagères sont plus rares. En 1919 Les Guides Joanne prennent le nom de Guides bleus. cote : MAG.P LIM 18229/87 (Bfm Limoges)