-
La Roche-Martin Gaston Vuillier, dessinateur, voyageur et ethnographe, a travaillé pour les grandes revues illustrées du XIXe siècle, en particulier Le Tour du Monde. Après une longue carrière de voyageur (Andorre, la Tunisie, iles de la Méditerranée...), il se fixe en Limousin en 1892 au petit village corrézien de Gimel où il passe la fin de sa vie.
cote : 2FI4 (Bfm Limoges)
-
Une vue dans les montagnes de Creuse cote : 2FI12 (Bfm Limoges)
-
Le bord de la Creuse à Gargilesse, promenade habituelle de Georges Sand cote : 2FI (Bfm Limoges)
-
Bort. Vue générale de Bort-les-Orgues.
Cette gravure est extraite de "Géographie du département de la Corrèze", appelé aussi communément Guide Joanne, du nom de son premier auteur.
Le Guide Joanne est une série de « guides-itinéraires », identifiables par leur couverture en percaline bleu nuit et leur lettrage doré, et d’abord écrits en relation avec l’ouverture des lignes de chemin de fer dès 1853. L’iconographie de ces guides est composée de gravures privilégiant l’architecture monumentale, les curiosités (naturelles ou bâties) et les sites de ville. Les vues paysagères sont plus rares.
cote : 1FI4 (Bfm Limoges)
-
Panthée, tragédie de Monsieur de Tristan François, dit Tristan, L'Hermite (1601 Janaillat, Creuse -1655 Paris) fut l’un des poètes lyriques les plus importants de son temps, publiant Les Amours de Tristan (1638), Les Vers héroïques (1648). Tristan l'Hermite entreprit une carrière d'auteur dramatique. Ses tragédies, qui mettaient en scène des caractères vigoureux et épris d'absolu, rencontrèrent le succès et il fut considéré par ses contemporains comme le rival de Corneille.
Panthée, deuxième tragédie de Tristan, qui a connu un échec relatif, a été représentée pour la première fois au cours de l'hiver 1637-1638 au théâtre du Marais à Paris, puis éditée en 1639. Il s'agit ici de l'édition originale, à laquelle il manque malheureusement le frontispice de Laurent de la Hire (1606-1656) gravé par Pierre Daret.
La pièce se passe en Perse au temps du roi Cyrus II le Grand (vers 556-530 avant J.C.) d'après des faits rapportés par le grec Xenophon et qui ont inspirés plusieurs auteurs, dont Tristan.
L'argument de la pièce : redoutant que l'amour ne lui fasse oublier ses devoirs, Cyrus refuse de voir Panthée, sa belle captive, femme du roi de Suse. Il la confie à son ami Araspas qui en tombe amoureux. Panthée, cependant, fidèle à son mari, le repousse et se confie à Cyrus qui éloigne Araspas. Panthée s'en montre reconnaissante à Cyrus et promet l'appui de son mari. Celui-ci vient effectivement en aide à Cyrus contre les Egyptiens mais meurt au cours de la bataille. Cyrus pense alors épouser Panthée, mais celle-ci, fidèle, se tue sur le cadavre de son époux.
cote : FPL 842 LER (Bibliothèque Multimédia du Grand Guéret)
-
Lou Drac "Pessa fantastica en tres ates meilada de chantz popularis et autres, l'aciu se passe vers 1615 à Argentat (Bas-Limouzi)".
Pièce fantastique en trois actes, mélées de chants populaires et autres, l'action se passe vers 1615 à Argentat (Bas-Limousin).
cote : MAG.P LIM 18341 (Bfm Limoges )
-
Quelques mots sur les chansons rustiques du Limousin Extrait de l'Almanach limousin pour 1891.
cote : MAG.P LIM 18490 (Bfm Limoges)
-
Virgilo limouzi Poème inédit de 1748 en vers limousins burlesques suivi d'une traduction .
cote : MAG.P LIM B1283
-
Hymne des mutilés Chant officiel de l'Union Fédérale des Associations Françaises de mutilés, réformés et blessés.
MAG.P LIM K153 (Bibliothèque francophone multimedia - ville de Limoges)
-
La Gnorla : patoiseries illustrées Edouard Cholet alias Lingamiau est né à Limoges en 1833. Après ses études, il travaille d’abord dans une banque, puis il est voyageur représentant en tissus. Avant 1870, il fonde une banque qu’il dirige d’abord en association, puis seul jusqu’en 1912. Il a exercé conjointement de nombreuses fonctions : administrateur de la Caisse d’Épargne de Limoges, administrateur de l’asile d’aliénés, directeur de la Caisse Régionale du Crédit agricole dès sa création, vice-président du Comité de la Bibliothèque populaire.
À quarante-sept ans, il écrit sa première « gnorle » : Beucòp de bruch per far menut ; d’autres suivront ainsi que des chansons, des fables, des contes,.. édités chez Ducourtieux à Limoges.
Dans ses gnorlas, Lingamiau utilise la langue du peuple de Limoges ou des campagnes alentours, pratiquée avec des gens qui parlent naturellement. C'est une langue qu’il connaît bien pour l’avoir parlé au cours de son enfance ou lors de ses déplacements. Ses contemporains, lettrés ou non, apprécient beaucoup ce qu’ils appellent ses « patoiseries » que certains, à l’époque, n’hésitent pas à qualifier de chefs-d’œuvre (cf préface de Paul Lagrange de la présente édition).
cote MAG.P LIM E709 (Bfm Limoges)
-
Frontispice de la Cité de Dieu de Saint-Augustin, traduction de Raoul de Presles Beau frontispice enluminé : grand portail d'architecture de style Renaissance, avec anges ; au-dessous enfants tenant un écusson aux armes des des Cars, avec la devise "Lors auray ioie" et la date de 1531.
A la fin du manuscrit, on peut lire : "Ce livre appartient à monseigneur Geoffroy, seigneur des Cars, de Julhac, etc., conseiller et chambelan ordinaire de très hault, excellant et puissant prince Henry, roy de Navarre, son seneschal et gouverneur au vicomté de Limoges, aussi son seneschal ez pays et vicontés de Marsan, Tursan et Gaverdan ; lequel livre il a acheté et bien poyé et par arrest de la cour de Parlement gaigné et délivré".
cote MS13 (Bibliothèque francophone multimedia - ville de Limoges)
-
Eglise de Glénic extrait de Creuse 1876-79 , carnet de croquis.
Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Enfin, cet historien poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers qui chantent la Creuse aimée, son humilité et simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
L'église de Glénic est un remarquable exemple de ces édifices religieux du Limousin édifiés en fortins. En raison de l'absence de château d'accueil c'est l'église qu'il est décidé de fortifier pour accueillir la communauté en cas de conflit. Un escalier à vis logé dans la masse d'une tour angulaire permet d'accéder aux combles charpentés et fortifiés. Un second ouvrage de défense est ajouté aux angles ouest coiffé de deux tourelles. Enfin les murs sud et nord sont percés de baies de tir et de guet.
-
La Division, Quatrième Règle d'Arithmétique dessin extrait de Livre d'Arithmétique (manuscrit).
cote : MS38 (Bfm Limoges)
-
La Règle du Quintal dessin extrait de Livre d'Arithmétique (manuscrit)
cote : MS38 (Bfm Limoges)
-
La Règle d'alliage dessin extrait de Livre d'Arithmétique (manuscrit)
cote :MS38 (Bfm Limoges)
-
L'écriture arithmétique dessin extrait de Livre d'Arithmétique (manuscrit)
cote : MS38 (Bfm Limoges)
-
L'adition, Première Règle d'arithmétique dessin extrait de Livre d'Arithmétique (manuscrit)
cote MS38 (Bfm Limoges)
-
Puits de mine de Bosmoreau extrait de Creuse 1876-79 , carnet de croquis.
Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études, en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Enfin, cet historien poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers qui chantent la Creuse aimée, son humilité et simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ). Les dessins sont au crayon surtout, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
Exploitée depuis le XVIIIe siècle, la houille de Bosmoreau était très recherchée pour les fours à porcelaine de Limoges, mais aussi les forges de Mondon en Haute-Vienne et les fours à chaux de l'Indre. Les Mines connaissent leur apogée au XIXe siècle grâce au porcelainier Pouyat (connu pour la finesse de ses "blancs"), qui fit acquisition de la concession. Elles furent exploitées jusqu'en 1958.
-
Fileuse au barbichet Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante.
cote : 9Fi502/34 (Bfm Limoges)
-
Le Culte des fontaines en Limousin, études et tableaux. Gaston Vuillier, dessinateur, voyageur et ethnographe, a travaillé pour les grandes revues illustrées du XIXe ssiècle, en particulier Le Tour du Monde. Après une longue carrière de voyageur (Andorre, la Tunisie, iles de la Méditerranée..), il se fixe en Limousin en 1892 au petit village corrézien de Gimel où il passe la fin de sa vie. On peut constater un goût pour le merveilleux et le spectaculaire, accentué par l'orientation de la revue pour laquelle il écrit , le Tour du monde. On lui demande de l'exotique. Dans Le Culte des fontaines en Limousin, études et tableaux, Vuillier décrit les pélerinages où l'on va chercher l'eau bénéfique, en les accompagnant de dessins saisissants de malades et de miséreux.
cote : MAG.P LIM G1371/1 (Bfm Limoges)