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Plantes sauvages alimentaires : leur présentation, observations, leur action régénératrice d'après les expériences vécues, poursuivies à "Terre libérée" En sous titre : "Théories végétaliennes de Louis Rimbault", "Lutte contre les fléaux sociaux", "Terre libérée, école de pratique végétalienne et de retour à la terre" Militant anarchiste Louis Rimbault est très tôt propagandiste naturien du végétalisme. En 1923, il fonde la Coopérative Terre Libérée, non loin de Tours (Indre-et-Loire), une coopérative fortement marquée par l’esprit végétalien, la non-violence et le retour à la terre. ll invente ainsi le « naturarchisme » pour prévenir les maladies par les plantes en luttant contre « l’alcoolisme, le tabagisme, le vinisme, etc". Il se propose de « régénérer l’homme par la régénération de la terre » cote : MAG.P PERRIER 5443 (Bfm Limoges)
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Guérin [de Montaigu]. G[ran]d maitre de l'ordre de Malthe. Né en Limousin Né en Bas-Limousin, chevalier de l'ordre de Malte, garde des sceaux sous Philippe-Auguste (1202), évêque de Senlis, 13ème grand maître de l'ordre de Malte (1207-1230), chancelier de France (1224-1227), mort en 1230. Cote : FP GUE (Bfm Limoges)
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Pierre d'Aubusson Pierre d'Aubusson, grand-prieur d'Auvergne ; ensuite grand-maître de l'ordre de St Jean de Jérusalem, établi à Rhodes ; né en 1423 ; mort à Rhodes en 1503. - Sergent delt. ; Mde De Cernel sculpt. Fils de Renaud, seigneur de du Monteil-au-Vicomte, dans la Marche, et de Marguerite de Comborn, né en 1423, élu grand maître de l'ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem (aussi appelé l'ordre de Rhodes ou l'ordre de Malte) le 17 juin 1476, mort le 3 juillet 1503. Cote : FP AUB P01 (Bfm Limoges)
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Jean Louis Gouttes. Curé d'Argelliers, deputé de Beziers elu President à l'Assemblée nationale Porte en plus ce quatrain : "Ambitieux prélats au Sénat comme au Temple, / Ce pasteur vertueux vous donne un grand exemple, / Il veut notre bonheur, et fidel à la Loi, / Sert la religion, sa patrie, et son Roi". Né à Tulle (Corrèze) le 21 septembre 1739, fils de Pierre Gouttes, bourgeois de cette ville, et de Catherine Poulverel. Il s'engagea tout jeune dans un régiment de dragons, mais quitta bientôt l'armée pour embrasser l'état d'ecclésiastique. En 1761, il fit un vicariat à Larrazt, diocèse de Montauban, fut vicaire au Gros-Caillou, succursale de Saint-Sulpice à Paris (1776), aumônier des gardes françaises, curé de Puiséguin, près Bordeaux (1781), puis d'Arguilliers en Languedoc. En 1789, il fut élu député du clergé aux Etats-Généraux pour la sénéchaussée de Béziers. C'est à sa tolérance et à son désir sincère d'améliorer le sort des classes pauvres qu'il dût son élection. Il fut un des premiers à demander la réunion des trois ordres. Le 19 mai 1789, après l'archevêque de Bordeaux, il avait proposé, dans une séance de l'ordre du clergé, l'abandon de tous les privilèges de cet ordre en matière d'impôts ; la proposition souleva un long débat, mais finit par être adoptée. Le 3 octobre 1789, il parla en faveur du prêt à intérêts, et chercha à prouver que l'Evangile n'en avait point défendu l'usage. Il appuya également la motion de Talleyrand-Périgord proposant la vente des biens du clergé. Malgré l'opposition de la majorité de son ordre, il vota en juillet suivant la constitution civile du clergé ; membre du comité de liquidation, il démontra combien était grevé le trésor royal par toutes les pensions imméritées qu'il payait. Il fut également élu président de l'Assemblée nationale (29 avril 1790), évêque constitutionnel de Saône-et-Loire (février 1791), et administrateur de ce département. Ayant voulu protester contre la suppression totale du culte et contre la Terreur, il fut dénoncé par les assemblées populaires en pluviôse an II, et fut arrêté par décret du comité du salut public. Mis en jugement le 6 germinal an II, il fut condamné à mort, et exécuté sur l'échafaud le lendemain (26 mars 1794). cote : FP GOUT 03 (Bfm Limoges)
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Jean Louis Gouttes. Curé d'Argelliers. Né à Tulle en 1739. Député de Beziers à l'Assemblée nationale de 1789. Elu Président le 29 avril 1790. C'est le desçendant et dernier mâle de Jean Gouttes, député aux Etats généraux de 1614. Né à Tulle (Corrèze) le 21 septembre 1739, fils de Pierre Gouttes, bourgeois de cette ville, et de Catherine Poulverel. Il s'engagea tout jeune dans un régiment de dragons, mais quitta bientôt l'armée pour embrasser l'état d'ecclésiastique. En 1761, il fit un vicariat à Larrazt, diocèse de Montauban, fut vicaire au Gros-Caillou, succursale de Saint-Sulpice à Paris (1776), aumônier des gardes françaises, curé de Puiséguin, près Bordeaux (1781), puis d'Arguilliers en Languedoc. En 1789, il fut élu député du clergé aux Etats-Généraux pour la sénéchaussée de Béziers. C'est à sa tolérance et à son désir sincère d'améliorer le sort des classes pauvres qu'il dût son élection. Il fut un des premiers à demander la réunion des trois ordres. Le 19 mai 1789, après l'archevêque de Bordeaux, il avait proposé, dans une séance de l'ordre du clergé, l'abandon de tous les privilèges de cet ordre en matière d'impôts ; la proposition souleva un long débat, mais finit par être adoptée. Le 3 octobre 1789, il parla en faveur du prêt à intérêts, et chercha à prouver que l'Evangile n'en avait point défendu l'usage. Il appuya également la motion de Talleyrand-Périgord proposant la vente des biens du clergé. Malgré l'opposition de la majorité de son ordre, il vota en juillet suivant la constitution civile du clergé ; membre du comité de liquidation, il démontra combien était grevé le trésor royal par toutes les pensions imméritées qu'il payait. Il fut également élu président de l'Assemblée nationale (29 avril 1790), évêque constitutionnel de Saône-et-Loire (février 1791), et administrateur de ce département. Ayant voulu protester contre la suppression totale du culte et contre la Terreur, il fut dénoncé par les assemblées populaires en pluviôse an II, et fut arrêté par décret du comité du salut public. Mis en jugement le 6 germinal an II, il fut condamné à mort, et exécuté sur l'échafaud le lendemain (26 mars 1794). cote : FP GOUT 02 (Bfm Limoges)
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Pierre d'Aubusson Frere Pierre d'Aubusson trente-neuvieme grand maitre, an. 1476. - Cars sculp. - Dans l'Histoire des chevaliers de Malte, par l'abbé de Vertot. - Au milieu du socle, un cartouche portant les armes du personnage, qui sont : écartelés, aux 1 et 4 de gueules à la croix d'argent, aux 2 et 3 d'or à la croix ancrée de gueules. Fils de Renaud, seigneur de du Monteil-au-Vicomte, dans la Marche, et de Marguerite de Comborn, né en 1423, élu grand maître de l'ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem (aussi appelé l'ordre de Rhodes ou l'ordre de Malte) le 17 juin 1476, mort le 3 juillet 1503. Cote : FP AUB P02 (Bfm Limoges)
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Extrait du Mémoire de la Généralité de Limoges dressé par ordre de Monseigneur le duc de Bourgogne en l'an 1698 Extrait de : " Etat de la France, extrait des mémoires dressés par les Intendans, avec des mémoires historiques sur l'ancien gouvernement de cette monarchie, par le Comte de Boulainvillier, Tome 2, p 127-149). cote : MAG.P LIM G1609/86 (Bfm Limoges)
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L'Ordre Fondateur : Achille Leymarie Tendance politique : presse conservatrice Evolution du titre : devient "La Province" à partir de 1848
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Le Médecin français : organe mensuel du Comité national des médecins français : édition de Limoges, 1944/11 (N3) Etat collection : n°2 (1944, oct.)-n°3 (1944, nov.). Mensuel Cote : LIM 60879 (Bfm Limoges)
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Le Médecin français : organe mensuel du Comité national des médecins français : édition de Limoges, 1944/10 (N2) Etat collection : n°2 (1944, oct.)-n°3 (1944, nov.). Mensuel Cote : LIM 60879 (Bfm Limoges)
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Espoir : Organe des Jeunesses socialistes 1946/02 [N1] Etat collection : [n°1], (1946, févr.). Un seul n° reçu cote : DL 1554/8 (Bfm Limoges)
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Jeune Combat : organe hebdomadaire de l'Union de la jeunesse juive, 1944/10/25 (N3) Etat collection : 1ère année, n°2 (1944, 15 oct.)-n.s., 1ère année, n°3 (1944, 25 oct.). Périodicité hebdomadaire Cote : DL 1554/10 (Bfm Limoges)
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Jeune Combat : organe hebdomadaire de l'Union de la jeunesse juive, 1944/10/15 (N2) Etat collection : 1ère année, n°2 (1944, 15 oct.)-n.s., 1ère année, n°3 (1944, 25 oct.). Périodicité hebdomadaire Cote : DL 1554/10 (Bfm Limoges)
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Liberté : Organe du Comité départemental de Libération : quotidien de la Corrèze, 1944/08/18-19 (N2) Etat collection : n°1 (1944, 17 août)-n°2 (1944, 18-19 août). Quotidien Cote magasin : DL 1554/6 (Bfm)
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Liberté : Organe du Comité départemental de Libération : quotidien de la Corrèze, 1944/08/17 (N1) Etat collection : n°1 (1944, 17 août)-n°2 (1944, 18-19 août). Quotidien Cote magasin : DL 1554/6 (Bfm)
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Place Sadi Carnot Longtemps appelée "Place du Rond-Point", "Rond-Point du Crucifix" puis "Rond-Point Garibaldi", la place Carnot est ainsi baptisée en 1897, en hommage à Sadi Carnot (1837-1894), président de la République natif de Limoges, assassiné par l’anarchiste italien Caserio. Une statue de lui trônera plus de quarante ans au centre de la place, avant d’être fondue durant l'Occupation. On distingue les rails du tramway et l’on constate la grande animation de cette place commerçante dans cette jolie vue vers les entrées des avenues Emile-Labussière (alors « avenue de Poitiers ») et du général Leclerc (alors « faubourg de Paris »). Pour l’anecdote, notons qu’à l’emplacement de la Boulangerie de la Place Carnot de 1910 existe toujours, plus d’un siècle après, une boulangerie-pâtisserie. cote : CPLim0348 (Bfm Limoges)
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Statue de Sadi Carnot Cette statue en bronze, œuvre de l’architecte Godefroy, du sculpteur Clausade et du fondeur Thiébaut, fut installée en 1897, en hommage à Sadi Carnot (1837-1894), président de la République natif de Limoges, assassiné par l’anarchiste italien Caserio. Un grand débat eut lieu autour de sa disposition dans la ville. Le maire socialiste Emile Labussière parvint finalement à la placer rond-point Garibaldi (devenu place Carnot), au cœur d’un quartier populaire et ouvrier. Elle trônera plus de quarante ans au centre de la place, avant d’être fondue sous l'Occupation. Fonds Boudeau - Boîte 196 (BfmLimoges)
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Fédération anti patriotique des ci-devant aristocrates : convoquée par la discorde accueilli par l'ambition, l'hipocrisie et l'interet personnel &c...
[Mirabeau-Tonneau] André Boniface Louis Riqueti, surnommé Mirabeau-Tonneau. Mort à Fribourg-en-Brigsau (Allemagne) le 15 septembre 1795. Frère du grand Mirabeau, celui qu'on surnomma Mirabeau-Tonneau, à cause de son obésité et de son penchant pour le vin, était un personnage haut en couleur, célèbre par ses débauches, qui combattit en Amérique, et qui écrivit de nombreux pamphlets politiques très spirituels comme La lanterne magique nationale (1789) ou le Voyage national de Mirabeau cadet (1790) ; il fut collaborateur du journal «Les Actes des Apôtres», organe des partisans de la monarchie et qui parut du 2 novembre 1789 à octobre 1791. Monarchiste convaincu, il s'opposa à la réunion des ordres, à la suppression des privilèges. Il fut député de la noblesse de la sénéchaussée de Limoges aux Etats Généraux de 1789. Il démissionna de ses fonctions à l'Assemblée Constituante en juin 1790 et suivit le chemin de l'émigration. Là, en pays de Bade, il leva la fameuse légion des «hussards de la mort», qui fit aux républicains, pendant l'année 1792, une guerre d'escarmouches sanglantes et inutiles. Epuisé par les efforts que lui demandaient ces combats, il succomba à la suite d'une attaque d'apoplexie. cote : FP MIRABEAU Fils 14 (Bfm Limoges)
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Jugement en dernier ressort de l'aristocratie aux enfers où l'on y remarque les principaux monstres [Mirabeau-Tonneau] Caricature. André Boniface Louis Riqueti, surnommé Mirabeau-Tonneau. Mort à Fribourg-en-Brigsau (Allemagne) le 15 septembre 1795. Frère du grand Mirabeau, celui qu'on surnomma Mirabeau-Tonneau, à cause de son obésité et de son penchant pour le vin, était un personnage haut en couleur, célèbre par ses débauches, qui combattit en Amérique, et qui écrivit de nombreux pamphlets politiques très spirituels comme La lanterne magique nationale (1789) ou le Voyage national de Mirabeau cadet (1790) ; il fut collaborateur du journal «Les Actes des Apôtres», organe des partisans de la monarchie et qui parut du 2 novembre 1789 à octobre 1791. Monarchiste convaincu, il s'opposa à la réunion des ordres, à la suppression des privilèges. Il fut député de la noblesse de la sénéchaussée de Limoges aux Etats Généraux de 1789. Il démissionna de ses fonctions à l'Assemblée Constituante en juin 1790 et suivit le chemin de l'émigration. Là, en pays de Bade, il leva la fameuse légion des «hussards de la mort», qui fit aux républicains, pendant l'année 1792, une guerre d'escarmouches sanglantes et inutiles. Epuisé par les efforts que lui demandaient ces combats, il succomba à la suite d'une attaque d'apoplexie. cote : FP MIRABEAU Fils 13 (Bfm Limoges)
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Antoine (sic) de Mirabeau, Colonel général, propriétaire de la Légion de son nom En costume de colonel de la Légion noire, un sabre à la main. André Boniface Louis Riqueti, surnommé Mirabeau-Tonneau. Mort à Fribourg-en-Brigsau (Allemagne) le 15 septembre 1795. Frère du grand Mirabeau, celui qu'on surnomma Mirabeau-Tonneau, à cause de son obésité et de son penchant pour le vin, était un personnage haut en couleur, célèbre par ses débauches, qui combattit en Amérique, et qui écrivit de nombreux pamphlets politiques très spirituels comme La lanterne magique nationale (1789) ou le Voyage national de Mirabeau cadet (1790) ; il fut collaborateur du journal «Les Actes des Apôtres», organe des partisans de la monarchie et qui parut du 2 novembre 1789 à octobre 1791. Monarchiste convaincu, il s'opposa à la réunion des ordres, à la suppression des privilèges. Il fut député de la noblesse de la sénéchaussée de Limoges aux Etats Généraux de 1789. Il démissionna de ses fonctions à l'Assemblée Constituante en juin 1790 et suivit le chemin de l'émigration. Là, en pays de Bade, il leva la fameuse légion des «hussards de la mort», qui fit aux républicains, pendant l'année 1792, une guerre d'escarmouches sanglantes et inutiles. Epuisé par les efforts que lui demandaient ces combats, il succomba à la suite d'une attaque d'apoplexie. cote : FP MIRABEAU Fils 12 (Bfm Limoges)