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L'Opinion : édition du Limousin 1942/05/16 (N619) L'opinion : hebdomadaire de la révolution nationale et sociale : édition du Limousin Etat collection : 14e année, n°587 (1941, 4 oct.)-15e année, n°619 (1942, 16 mai). La numérotation est celle de " L'Opinion du Sud-Est : hebdomadaire économique, artistique, littéraire et politique" = ISSN 2133-322X dont le titre à partir de mars [?] 1941 devient "L'Opinion : hebdomadaire de la Révolution nationale et sociale" Edition régionale probablement sur la période 1941-1944. Ligne éditoriale vichyste. Articles littéraires ou historiques avec contributeurs tels Robert Margerit, Henri Hugon, Paul-Louis Grenier... Fonds Antoine perrier cote : MAG.P LIM 61001 (Bfm)
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L'Opinion : édition du Limousin 1942/04/04 (N613) L'opinion : hebdomadaire de la révolution nationale et sociale : édition du Limousin Etat collection : 14e année, n°587 (1941, 4 oct.)-15e année, n°619 (1942, 16 mai). La numérotation est celle de " L'Opinion du Sud-Est : hebdomadaire économique, artistique, littéraire et politique" = ISSN 2133-322X dont le titre à partir de mars [?] 1941 devient "L'Opinion : hebdomadaire de la Révolution nationale et sociale" Edition régionale probablement sur la période 1941-1944. Ligne éditoriale vichyste. Articles littéraires ou historiques avec contributeurs tels Robert Margerit, Henri Hugon, Paul-Louis Grenier... Fonds Antoine Perrier cote : MAG.P LIM 61001 (Bfm)
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L'Opinion : édition du Limousin 1942/03/07 (N609) L'opinion : hebdomadaire de la révolution nationale et sociale : édition du Limousin Etat collection : 14e année, n°587 (1941, 4 oct.)-15e année, n°619 (1942, 16 mai). La numérotation est celle de " L'Opinion du Sud-Est : hebdomadaire économique, artistique, littéraire et politique" = ISSN 2133-322X dont le titre à partir de mars [?] 1941 devient "L'Opinion : hebdomadaire de la Révolution nationale et sociale" Edition régionale probablement sur la période 1941-1944. Ligne éditoriale vichyste. Articles littéraires ou historiques avec contributeurs tels Robert Margerit, Henri Hugon, Paul-Louis Grenier... Fonds Antoine Perrier cote : MAG.P LIM 61001 (Bfm)
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L'Opinion : édition du Limousin 1942/02/07 (N605) L'opinion : hebdomadaire de la révolution nationale et sociale : édition du Limousin Etat collection : 14e année, n°587 (1941, 4 oct.)-15e année, n°619 (1942, 16 mai). La numérotation est celle de " L'Opinion du Sud-Est : hebdomadaire économique, artistique, littéraire et politique" = ISSN 2133-322X dont le titre à partir de mars [?] 1941 devient "L'Opinion : hebdomadaire de la Révolution nationale et sociale" Edition régionale probablement sur la période 1941-1944. Ligne éditoriale vichyste. Articles littéraires ou historiques avec contributeurs tels Robert Margerit, Henri Hugon, Paul-Louis Grenier... Fonds Antoine Perrier cote : MAG.P LIM 61001 (Bfm)
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L'Opinion : édition du Limousin 1942/01/03 (N600) L'opinion : hebdomadaire de la révolution nationale et sociale : édition du Limousin Etat collection : 14e année, n°587 (1941, 4 oct.)-15e année, n°619 (1942, 16 mai). La numérotation est celle de " L'Opinion du Sud-Est : hebdomadaire économique, artistique, littéraire et politique" = ISSN 2133-322X dont le titre à partir de mars [?] 1941 devient "L'Opinion : hebdomadaire de la Révolution nationale et sociale" Edition régionale probablement sur la période 1941-1944. Ligne éditoriale vichyste. Articles littéraires ou historiques avec contributeurs tels Robert Margerit, Henri Hugon, Paul-Louis Grenier... Fonds Antoine Perrier cote : MAG.P LIM 61001 (Bfm)
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L'Opinion : édition du Limousin 1941/12/6 (N595) L'opinion : hebdomadaire de la révolution nationale et sociale : édition du Limousin Etat collection : 14e année, n°587 (1941, 4 oct.)-15e année, n°619 (1942, 16 mai). La numérotation est celle de " L'Opinion du Sud-Est : hebdomadaire économique, artistique, littéraire et politique" = ISSN 2133-322X dont le titre à partir de mars [?] 1941 devient "L'Opinion : hebdomadaire de la Révolution nationale et sociale" Edition régionale probablement sur la période 1941-1944. Ligne éditoriale vichyste. Articles littéraires ou historiques avec contributeurs tels Robert Margerit, Henri Hugon, Paul-Louis Grenier... Fonds Antoine Perrier cote : MAG.P LIM 61001 (Bfm)
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L'Opinion : édition du Limousin 1941/11/8 (N592) L'opinion : hebdomadaire de la révolution nationale et sociale : édition du Limousin Etat collection : 14e année, n°587 (1941, 4 oct.)-15e année, n°619 (1942, 16 mai). La numérotation est celle de " L'Opinion du Sud-Est : hebdomadaire économique, artistique, littéraire et politique" = ISSN 2133-322X dont le titre à partir de mars [?] 1941 devient "L'Opinion : hebdomadaire de la Révolution nationale et sociale" Edition régionale probablement sur la période 1941-1944. Ligne éditoriale vichyste. Articles littéraires ou historiques avec contributeurs tels Robert Margerit, Henri Hugon, Paul-Louis Grenier... Fonds Antoine Perrier cote : MAG.P LIM 61001 (Bfm)
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L'Opinion : édition du Limousin 1941/10/4 (N587) L'opinion : hebdomadaire de la révolution nationale et sociale : édition du Limousin Etat collection : 14e année, n°587 (1941, 4 oct.)-15e année, n°619 (1942, 16 mai). La numérotation est celle de " L'Opinion du Sud-Est : hebdomadaire économique, artistique, littéraire et politique" = ISSN 2133-322X dont le titre à partir de mars [?] 1941 devient "L'Opinion : hebdomadaire de la Révolution nationale et sociale" Edition régionale probablement sur la période 1941-1944. Ligne éditoriale vichyste. Articles littéraires ou historiques avec contributeurs tels Robert Margerit, Henri Hugon, Paul-Louis Grenier... Fonds Antoine Perrier cote : MAG.P LIM 61001 (Bfm)
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Mme Laffarge née Capelle Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal. Cote : FP LAF 10 (Bfm Limoges)
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Mme Lafarge Légende : "L'echo de la presse. Gazette de la ville et de la campagne". Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal. Cote : FP LAF 09 (Bfm Limoges)
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Mme Lafarge. (Née Marie Capelle) Légende : "Mr le Président, je suis innocente, je vous le jure ! / Dédié à Mr Paillet et Bac. ses défenseurs. / En vente chez Masson fils". Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal. Cote : FP LAF 08 (Bfm Limoges)
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Mme Lafarge. (Née Marie Capelle) Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal. Cote : FP LAF 07 (Bfm Limoges)
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Mme Lafarge. (Née Marie Capelle) Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal. Cote : FP LAF 06 (Bfm Limoges)
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Mme Lafarge Dans "Nouvelles causes célèbres ou fastes du crime" de Moquard, 1842. Porte en plus : mention manuscrite sur l'impression de l'estampe. Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal. Cote : FP LAF 04 (Bfm Limoges)
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[Marie Lafarge] porte les mentions : J. G. 63 [Jules de Goncourt 1863] ; [nom illisible] 6 aout 1850. Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal. Cote : FP LAF 03 (Bfm Limoges)
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Mme Lafarge née Marie Cappelle Dessiné d'après nature juillet 1840. Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal. Cote : FP LAF 02 (Bfm Limoges)
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[Marie Lafarge] Légende : "Marie est un problême ; / On l'accuse, on l'absout, / On la maudit, on l'aime : / Démon, Ange....... elle est tout. / Filleul-Pétigny". Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal. Cote : FP LAF 01 (Bfm Limoges)
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Jules Claretie . - Portrait-charge. - En une du journal «Le Masque. Semaine théâtrale illustrée.», n°14, jeudi 13 juin [1867]. - Légende manuscrite : «Toute autorisation est une réponse à une interdiction. Quand pourra t'on ne plus rien autoriser parce que l'on ne pourra plus rien interdire ? Je vous donne liberté entière mon cher Debans, pour ma charge.» Suit la signature de Jules Claretie. Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888. cote : FP CLA 25 (Bfm Limoges)
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Paris-Théâtre. Jules Claretie Publié en une du journal hebdomadaire «Paris-Théâtre», n° 158, du 25 au 31 mai 1876. Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888. cote : FP CLA 23 (Bfm Limoges)
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M. Jules Claretie. Administrateur de la Comédie-française Paru dans «L'illustration», magazine hebdomadaire, n°2227, 31 octobre 1885. Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888. cote : FP CLA 22 (Bfm Limoges)