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creuse
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De Peyramont, Hte-Vienne
Portrait en médaillon collé sur carton, aucune mention autre. André-Adolphe Duléry de Peyramont, né à Sauviat (Haute-Vienne) le 5 novembre 1804, substitut du procureur général à Limoges (1831), député de la Creuse (21 mai 1839), député de la Haute-Vienne (9 juillet 1842), procureur général à Angers (25 mars 1846), puis à Limoges (3 mars 1851), démissionnaire au coup d'Etat, conseiller à la cour de Paris (1858), avocat général puis conseiller à la cour de cassation (1862), élu député de la Haute-Vienne le 8 février 1871 et sénateur le 30 janvier 1876, président du conseil général de ce département (1871-1876), mort à Versailles le 25 janvier 1880. Cote : FP PEY (Bfm Limoges) -
Pierre Leroux
Légende : "Pierre Leroux, Représentant du peuple (Seine)". - De la série des représentants du peuple éditée par Delarue. Porte en plus : le numéro 28 et la mention "Assemblée nationale". Pierre-Henri Leroux, né à Bercy (Seine) le 6 avril 1797, publiciste, directeur de la Revue encyclopédique (1832-1835), prit en 1845 la direction d'une imprimerie à Boussac (Creuse), maire de cette ville en 1848, élu député de la Seine à la Constituante le 4 juin 1848, réélu par le même département à l'Assemblée législative, se réfugia à Jersey lors du coup d'Etat et ne rentra en France qu'en 1869, mort à Paris le 12 avril 1871. Cote : FP LER 05 (Bfm Limoges) -
Leroux, Pierre, Dept de la Seine
"Assemblée Nationale, 1848". Porte en plus l'autographe "Pierre Leroux". Pierre-Henri Leroux, né à Bercy (Seine) le 6 avril 1797, publiciste, directeur de la Revue encyclopédique (1832-1835), prit en 1845 la direction d'une imprimerie à Boussac (Creuse), maire de cette ville en 1848, élu député de la Seine à la Constituante le 4 juin 1848, réélu par le même département à l'Assemblée législative, se réfugia à Jersey lors du coup d'Etat et ne rentra en France qu'en 1869, mort à Paris le 12 avril 1871. Cote : FP LER 04 (Bfm Limoges) -
Pierre Leroux
Pierre-Henri Leroux, né à Bercy (Seine) le 6 avril 1797, publiciste, directeur de la Revue encyclopédique (1832-1835), prit en 1845 la direction d'une imprimerie à Boussac (Creuse), maire de cette ville en 1848, élu député de la Seine à la Constituante le 4 juin 1848, réélu par le même département à l'Assemblée législative, se réfugia à Jersey lors du coup d'Etat et ne rentra en France qu'en 1869, mort à Paris le 12 avril 1871. Cote : FP LER 03 (Bfm Limoges) -
Pierre Leroux, né à Paris en 1797
De la série "Assemblée nationale. Galerie des représentants du peuple (1848) (Seine)", n°154. - Porte en plus : la signature de Pierre Leroux. Pierre-Henri Leroux, né à Bercy (Seine) le 6 avril 1797, publiciste, directeur de la Revue encyclopédique (1832-1835), prit en 1845 la direction d'une imprimerie à Boussac (Creuse), maire de cette ville en 1848, élu député de la Seine à la Constituante le 4 juin 1848, réélu par le même département à l'Assemblée législative, se réfugia à Jersey lors du coup d'Etat et ne rentra en France qu'en 1869, mort à Paris le 12 avril 1871. Cote : FP LER 02 (Bfm Limoges) -
Pierre Leroux
Légende : "Pierre Leroux ayant exposé à la tribune ses doctrines sociales, non moins embrouillées que ses cheveux, reçoit des poignées de main de ses amis qui, de la sorte, ont l'air d'avoir compris" Porte en sus : Initiales à gauche du dessin :" H.D" et "97 à droite. Pierre-Henri Leroux, né à Bercy (Seine) le 6 avril 1797, publiciste, directeur de la Revue encyclopédique (1832-1835), prit en 1845 la direction d'une imprimerie à Boussac (Creuse), maire de cette ville en 1848, élu député de la Seine à la Constituante le 4 juin 1848, réélu par le même département à l'Assemblée législative, se réfugia à Jersey lors du coup d'Etat et ne rentra en France qu'en 1869, mort à Paris le 12 avril 1871. Cote : FP LER 01 (Bfm Limoges) -
Charles-Ferdinand Gambon
Légende : "Les ennemis de la calotte. Ferdinand Gambon, député de la Creuse". - Dessin probablement extrait de "La République anti-cléricale", parue entre 1882 et 1883. Né le 19 mars 1820. Socialiste français d'origine suisse, juge suppléant au tribunal civil de Cosne-sur-Loire (Nièvre), représentant du peuple en 1848, condamné par la Haute Cour de Versailles, le 13 novembre 1849, pour excitation à la guerre civile et déporté à Belle-Île, membre de la Commune de Paris (26 mars 1871), nommé le 9 mai membre du Comité de salut public, condamné à mort par contumace par le Conseil de guerre (7 novembre 1872), amnistié en 1879, membre de l'Internationale pendant son exil en Suisse. De retour en France en 1880, il siégea comme député radical de juin 1882 à 1885. Il mourut le 16 septembre 1887. Cote : FP GAMBO (Bfm Limoges) -
Général Léonard-Léopold Forgemol de Bostquénard
Légende : "Le général Forgemol commandant en chef de l'expédition de Tunisie" Né le 17 septembre 1821 à Azérables (Creuse). Après avoir fait l'école militaire de Saint-Cyr, il fut appelé en Algérie en 1840 en tant que lieutenant d'infanterie, puis comme colonel. Il fut rappelé en France au début de la guerre franco-allemande de 1870. En 1881, il commandait le corps d'armée de Constantine. Il fut chargé par le gouvernement de Jules Ferry de diriger les opérations militaires en Tunisie d'avril à juillet 1881. De retour à Paris, il fut nommé membre de l'état-major général au ministère de la guerre. Il fut élevé à la dignité de grand-croix de la Légion d'honneur le 4 mai 1889, et reçut la médaille militaire en 1894. Commandant le 11e corps d'armée jusqu'en 1889, il prit sa retraite en 1894. Il mourut à Versailles en 1897. Cote : FP FOR (Bfm Limoges) -
Guy de Blanchefort
Né au château de Boulancy (Creuse). Troisième fils de Guy III de Blanchefort et de Souveraine d'Aubusson, commandeur de Morterolles et de Maisonesses, grand prieur d'Auvergne, élu le 22 novembre 1512 Grand Maître de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Mort en mer, en face de l'île de Prodane, près de Zante, le 24 novembre 1513. Portrait. / Cars sculp. - paru dans "l'Histoire des chevaliers de Malte", par l'abbé de Vertot. - Légende : "Frere Gui de Blanchefort quarante-et-unieme Cd Maîtr. an. 1512". Au bas du cadre, ses armes. Cote : FP BLA (Bfm Limoges) -
Léonard Bandy de LaChaud
Légende : «L Bannoy (sic) de la Chaud, deputé du Baillage de Gueret, Haute Marche. Né à Fellotin le 21 décembre 1729. Collection générale des portraits de MM les députés à l'Assemblée nationale tenue à Versailles le 4 mai 1789.». Né à Felletin (Creuse), le 21 décembre 1729, commerçant et lieutenant du maire de cette ville, député du Tiers-Etat de la sénéchaussée de la haute Marche aux Etats Généraux de 1789, maire de Felletin en 1801, mort en cette ville le 27 septembre 1803. Cote : FP BAN (Bfm Limoges) -
Les buveurs d'absinthe
Photographie prise le mardi 11 mai 1909, sur les bords du Taurion, probablement à Bourganeuf en Creuse. Nous possédons à la fois un tirage encadré et la plaque originale. Ces deux jeunes gens posent fièrement dans une étonnante symétrie et ressemblance. Mêmes tabliers blancs, mêmes torses nus, mêmes postures du bras gauche tenant une cigarette. Sur la table pliante bien campée, deux verres à pied, avec les cuillères à absinthe trouées, un sucrier, une carafe d'eau et bien-sûr la bouteille d'absinthe elle-même. La rangée d'arbres – quatre – que l'on voit en enfilade et qui les sépare sur la photographie crée la profondeur de champ. On distingue à droite une passerelle en bois, et un petit bâtiment vraisemblablement construit sur l'autre rive. La plaque au plan sensiblement plus large laisse supposer que, hors champ à droite, se trouve une construction. Personnages : Gabriel Barry et Charles Pradeloup Boîte 17 (Bfm Limoges) -
Le Centime du reboisement
Communication à l'occasion du Congrès de l'Aménagement des Montagnes et de l'Arbre et l'Eau, tenu à Guéret (Creuse) en juillet 1908. cote : MAG.P LIM 41881 (Bfm Limoges) -
Eglise de Notre-Dame-du-Pont à Saint-Junien, Haute-Vienne
Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". Construite à l’extrémité d’un pont du XIIIème siècle, cette chapelle Notre Dame est d'un beau style gothique flamboyant. Ce simple oratoire du XIIIe siècle fut agrandi grâce aux libéralités de Louis XI et restauré à la fin du XIXème siècle. Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2 -
La cathédrale Saint-Etienne de Limoges.
Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". La cathédrale de Limoges est notamment remarquable par sa hauteur et son unité. Jean-Baptiste Tripon écrit d'ailleurs à ce propos : "Un effet merveilleux qui résulte des proportions et de l'harmonie des parties, la hardiesse de la voûte, l'élévation des ogives impriment à cette partie de l'édifice un caractère tout à fait grandiose". Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2 -
Tombeau de Jean de Langeac, cathédrale de Limoges
Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". Jean de Langeac ecclésiastique, magistrat et diplomate (ambassadeur de François 1er à diverses reprises ) fut élu évêque de Limoges en 1532. Il travailla ardemment à l’épanouissement du style Renaissance à Limoges. Achevé en 1544, soit trois ans après sa mort, ce tombeau constitue avec le jubé que Jean de Langeac fit également construire, l'un des deux beaux ouvrages de ce style Renaissance remarquable de Limoges et l'un des premiers du Limousin. Mutilé à la Révolution, il ne subsiste de ce tombeau que sa partie architecturale. Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2 -
Lou gru que leva : Pessa lemouzina en dous ates
"René Farnier, majoral du Félibrige, auteur d’innombrables articles sur la région, sur sa langue, ses traditions, a fait jouer une douzaine de ses pièces entre 1923 et sa mort en 1953. Lou gru que leva (Le grain qui lève) est créée pour la première fois par la troupe théâtrale de l’Eicola dau Barbichet, le 27 mai 1928 à la salle de l’Union, rue des Coopérateurs, à l’occasion de la sainte Estelle (grand congrès annuel du Félibrige) organisée cette année-là à Limoges. Véritable œuvre de propagande pour la défense de la langue d’oc limousine, la pièce confronte le monde paysan et Bidounet, qui a « réussi à la ville » et qui présente son fils, Arsène, qui ne parle pas occitan, à ses cousins et anciens voisins campagnards. Scène de bal, essai de mariage arrangé, jalousies… la pièce met en avant le bon sens, la sagesse, la fidélité, l’honnêteté des paysans face à des vilauds dévoyés et manipulateurs. Les références appuyées à la richesse de la langue, de la culture populaire et des traditions sont fréquentes. En témoigne par exemple ce passage de la scène 7 de l’acte 2, longue tirade du brave Marsau (Martial), jeune paysan qui répond à Bidounet, le parvenu qui leur proposait de « leur amener la civilisation de la ville » : « Nous pouvons passer devant les bourgeois parce que nous-autres sommes des nobles enracinés dans notre terre. Vous nous parliez de civilisation, Monsieur Bidounet, nous sommes de taille à la faire tout seuls, mais ce ne sera pas une civilisation empruntée, ce sera la nôtre, la civilisation paysanne qui ne demande rien à personne. Pour cela, nous n’avons qu’à rester paysan, seulement paysan en notre terre, en notre langue, nos danses, nos traditions. Ici, vous-autres les beaux messieurs de la ville, il vous faudra vous prosterner devant nous ». Le message de Farnier est fort, même politique. La langue qu’il utilise est simple, belle, ne cède pas aux « francismes », emploie de vieux mots limousins sans être trop littéraire. Une illustration parfaite de l’œuvre félibréenne de l’entre-deux-guerres. René Farnier est né le 21 mai 1888 en Haute-Savoie, de parents originaires de Bonnac-la-Côte en Haute-Vienne. Son père est ingénieur-constructeur dans les chemins de fer. Il vit ses premières années à Largentière (Drôme) puis en Provence. A l’adolescence, son père ayant pris sa retraite, la famille s’installe à Limoges, en haut du boulevard Gambetta, en face de chez ses oncle et tante Nivet, grainetiers. Il poursuit sa scolarité au lycée Gay-Lussac, en ce début de 20e siècle où l’histoire régionale et la langue d’oc sont promues par de nombreux professeurs. C’est l’époque du prix Nobel de Frédéric Mistral pour son poème "Mirèio". René Farnier a pour professeur Franck Delage, il fréquente entre autres Léon Delhoume, Evariste Mazeaud, Edmond Descubes, avec lesquels il publie une feuille littéraire au lycée. René Farnier part ensuite « faire son droit » à Paris. Là, il rencontre de nombreux « méridionaux », dont Charles Maurras ou encore Albert Bertrand-Mistral, neveu du grand poète provençal, qui le premier « l’initiera » au Félibrige. Durant ces années passées à Paris, Farnier ne rêve que de restaurer la culture et la langue du Limousin. Mais il est d’abord enrôlé dans l’armée où il vit la terrible guerre des tranchées. Survivant à ses quatre années de guerre, il installe son cabinet d’avocat rue Darnet, à Limoges. Avocat de la S.N.C.F., conseiller de l’Ordre, enseignant à l’Ecole de Droit, élu bâtonnier en 1935, sa carrière d’homme de loi ne fut pas négligeable. Mais c’est avant tout l’activité félibréenne qui occupa sa vie et son esprit. En 1920, il décida avec quelques amis, dont Léon Delhoume et Louis de Nussac, d’unifier les différentes écoles félibréennes du Haut-Limousin (Haute-Vienne, Creuse) et du Bas-Limousin (Corrèze) et que la revue régionaliste Lemouzi, créée une vingtaine d’années plus tôt, ferait le lien entre ces deux pays frères et assurerait la « propagande d’oc » dans tout le Limousin. Tous les grands auteurs régionalistes limousins se côtoient alors dans cette revue : Paul-Louis Grenier, Albert Pestour, Jean Rebier, Joseph Nouaillac, Septime Gorceix, Jean-Baptiste Chèze etc. Le Félibrige limousin s’organise donc, se fédère, et son efficacité en est décuplée." Baptiste Chrétien. cote : MAG.P LIM B1646 (Bfm Limoges) -
La Mort de Chrispe, ou les malheurs domestiques du Grand Constantin
Pièce tragique de Tristan l'Hermite. Variation sur le thème du mythe de Phèdre qui connut son heure de gloire au XVIIe siècle : la passion coupable de Fauste, épouse de l'empereur Constantin pour son beau-fils Chrispe. Mais Chrispe aime Constance, qui finira empoisonnée par Fauste... Ecrite en 1644, cette pièce reçut un accueil mitigé du public, considérée comme moins aboutie de Marianne ou la Mort de Sénèque qui firent le succès tragique de Tristan l'Hermite. François dit Tristan L'Hermite (1601 Janaillat, Creuse -1655 Paris), fut l’un des poètes lyriques les plus importants de son temps, publiant Les Amours de Tristan (1638), Les Vers héroïques (1648). Tristan l'Hermite entreprit une carrière d'auteur dramatique. Ses tragédies, qui mettaient en scène des caractères vigoureux et épris d'absolu, rencontrèrent le succès et il fut considéré par ses contemporains comme le rival de Corneille. cote : FA/0-16°/BIB (fonds ancien BM Grand Guéret ) -
Vue générale de Tulle, la place de l'Hôtel de ville
Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". Vue depuis l'actuelle place Gambetta, du logis de Loyac Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2 -
Ustrinum
Sous-titre : "Monument où l'on brûlait les corps morts, observé sur la place de Glanges (Haute-Vienne), Septentrion de la Roche l'Abeille". Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2 -
Monument Gaulois, Temple funèbre observé dans le cimetière de Pierre-Buffière
Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". Dans son commentaire , JB Tripon explique que la forme octogonale de ce monument funèbre gaulois "est celle qui approche le plus de la forme ou de la rondeur de la Terre". JB Tripon précise par ailleurs que cette gravure s'inspire d'un dessin de Baumesnil disparu. Ce temple gaulois, un des quatre subsistants en Limousin, aurait été visible dans le cimetière de Pierre-Buffière jusqu'en 1747. Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2