Contenus
Recherche en texte intégral
creuse
-
La famille Debousset : les parents et leurs 17 enfants. Commune de Trois-Fonds dans la Creuse
cote : 9FI-433 (Bfm Limoges) -
A travers nos provinces
Recueil des articles de Louis Lacrocq parus dans le "Courrier du Centre" et le "Limousin de Paris" entre 1923 et 1928. L'auteur évoque des faits et des personnages, des monuments, des coutumes, des artistes des provinces de la Marche, Berry, Limousin, Quercy, Périgord, Angoumois. Avocat à Guéret, président de la vénérable société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, Louis Lacrocq est dans la pure tradition des érudits locaux du XIXe siècle, passionné d'histoire et d'archéologie. Outre ses articles, on lit doit notamment un livre exhaustif sur les monuments religieux de la Creuse : Églises de France. Creuse, (ed. Letouzey et Ané, 1934), ouvrage qui fait toujours autorité. cote : MAG.P LIM 33358 (Bfm Limoges) -
Edmond Fayolle. Né à Guéret, le 16 février 1815
De la série "Assemblée nationale. Galerie des représentants du peuple (1848) (Creuse)", n°382. - Porte en plus : la signature d'Edmond Fayolle. Né à Guéret le 16 février 1815, fils d'un conseiller de préfecture ; avocat, conseiller général de la Creuse, élu représentant de ce département à l'Assemblée constituante de 1848, le premier sur sept, réélu à l'Assemblée législative, maire de Guéret en 1870, sénateur de la Creuse en 1876, président du Conseil général, mort à Guéret le 30 août 1885. Cote : FP FAY (Bfm Limoges) -
[André] Leyraud, né à Guéret, le 25 janvier 1786.
De la série : "Assemblée nationale. Galerie des représentants du peuple (1848) (Creuse)". - Porte en plus : la signature d'André Leyraud et le numéro 135. "Lith. d'après nature par Llanta" Né à Guéret le 25 janvier 1786, avocat, représentant de la Creuse à la Chambre des Cent-Jours, maire de Guéret de 1815 à 1834, élu député de la Creuse le 5 juillet 1831, siégea sans interruption jusqu'en 1851, directeur des affaires civiles au ministère de la Justice (1839), mort à Guéret le 7 janvier 1865. Cote : FP LEYR (Bfm Limoges) -
Nadaud Martin : né à La Martinèche, (Creuse) le 17 novembre 1815
"Lith. d'après nature par Marin-Lavigne" Assemblée nationale. Galerie des représentants du peuple De la série Assemblée Nationale. Galerie des représentants du peuple (législative, 1849) (Creuse). N°105. Porte en plus la signature de Martin Nadaud. cote : FP NAD 02 (Bfm Limoges) -
Las Estoueras de lo Morio
Marie Bosle (1866-1958) est née et a vécu tout sa vie à Chersoubre, commune de Saint-Georges-Nigremont, à l’orée de cette Montagne limousine que les gens de nos jours appellent toute entière, abusés par la communication touristique : plateau de Millevaches, mais qu’à cet endroit il convient de nommer plus précisément plateau de La Courtine. Chez Marie Bosle comme dans tout le grand tiers sud-est de la Creuse, le dialecte occitan employé est l’auvergnat, et plus précisément le nord-auvergnat, qui reste bien plus proche lexicalement et morphologiquement du dialecte limousin de Bourganeuf, par exemple, qu’il ne l’est du dialecte sud-auvergnat du Cantal ou de Lozère. Tout cela pour dire qu’un limousinophone ne doit pas avoir peur de se frotter aux « gnorles » (historiettes) de Marie Bosle, il les comprendra sans difficulté. C’est sur le tard, à soixante ans passés, que Marie Bosle se mit à écrire ces petits textes dans la langue de son pays. Las Estouéras de lo Morio (Les histoires de la Marie) furent d’abord publiées en chroniques dans le journal La Creuse entre octobre 1938 et août 1939, sous le titre Bouchis de Potoué (Morceaux de patois). En 1941, le journal décidait d’en éditer le recueil que voici. L’introduction de François Pradelle vous en dira davantage. Ces textes furent republiés en 1981 par la F.O.L. de la Creuse et l’I.E.O. Marche-Combraille, dans une édition de Jacques Chauvin (1945-2017). L’occitaniste aubussonnais avait alors pris le parti d’adapter ces textes en graphie occitane normalisée, comme c’était de coutume à l’époque. Mais si l’on reconnaît le grand mérite de la graphie occitane normalisée qui est de permettre au plus grand nombre, à travers toute l’Occitanie, de lire un texte d’un autre dialecte sans grande difficulté, il faut bien dire que la limite de cette graphie est aussi de ne pas pouvoir/vouloir tout à fait retranscrire les localismes et même les « hyperlocalismes » qui peuvent donner toute leur saveur à ce genre de textes si attachés à un territoire, à un terroir précis. Plus critiquable est par ailleurs la volonté manifeste de normaliser un peu la langue de Marie Bosle en ne reproduisant pas dans la version occitane tous les idiomatismes, tous les petits mots de liaison, toutes les tournures de phrases et certaines prononciations tout à fait propres au « patois de la Rozeille », comme l’appelait l’auteure, du nom de la rivière traversant sa contrée. Les occitanistes qui possèdent l’édition de 1981 s’amuseront à comparer avec la présente. cote : G2450/23 (Bfm) -
Emile de Girardin, député
Dans la "Biographie des hommes du jour". Né à Paris en 1802, littérateur, célèbre publiciste, élu député de la Creuse le 21 juin 1834, siégea jusqu'en 1839, revint à la Chambre comme député du Tarn-et-Garonne le 9 juillet 1842, de nouveau élu par la Creuse le 30 mai 1846, siégea jusqu'en février 1848, réélu par le Bas-Rhin le 9 juin 1850, se consacra au journalisme sous l'Empire, rentra à la Chambre des députés en 1877 comme représentant du 9ème arrondissement de Paris, mort en cette ville le 27 avril 1881. cote : FP GIR 01 (Bfm Limoges) -
Emile de Girardin
Dans la "Galerie de la presse, de la littérature et des beaux-arts". Né à Paris en 1802, littérateur, célèbre publiciste, élu député de la Creuse le 21 juin 1834, siégea jusqu'en 1839, revint à la Chambre comme député du Tarn-et-Garonne le 9 juillet 1842, de nouveau élu par la Creuse le 30 mai 1846, siégea jusqu'en février 1848, réélu par le Bas-Rhin le 9 juin 1850, se consacra au journalisme sous l'Empire, rentra à la Chambre des députés en 1877 comme représentant du 9ème arrondissement de Paris, mort en cette ville le 27 avril 1881. cote : FP GIR 03 (Bfm Limoges) -
[Emile de Girardin]
Porte en plus : une signature. Dans la "Galerie de la presse, de la littérature et des beaux-arts". Né à Paris en 1802, littérateur, célèbre publiciste, élu député de la Creuse le 21 juin 1834, siégea jusqu'en 1839, revint à la Chambre comme député du Tarn-et-Garonne le 9 juillet 1842, de nouveau élu par la Creuse le 30 mai 1846, siégea jusqu'en février 1848, réélu par le Bas-Rhin le 9 juin 1850, se consacra au journalisme sous l'Empire, rentra à la Chambre des députés en 1877 comme représentant du 9ème arrondissement de Paris, mort en cette ville le 27 avril 1881. cote : FP GIR 04 (Bfm Limoges) -
E. de Girardin
Né à Paris en 1802, littérateur, célèbre publiciste, élu député de la Creuse le 21 juin 1834, siégea jusqu'en 1839, revint à la Chambre comme député du Tarn-et-Garonne le 9 juillet 1842, de nouveau élu par la Creuse le 30 mai 1846, siégea jusqu'en février 1848, réélu par le Bas-Rhin le 9 juin 1850, se consacra au journalisme sous l'Empire, rentra à la Chambre des députés en 1877 comme représentant du 9ème arrondissement de Paris, mort en cette ville le 27 avril 1881. cote : FP GIR 07 (Bfm Limoges) -
Emile de Girardin
Né à Paris en 1802, littérateur, célèbre publiciste, élu député de la Creuse le 21 juin 1834, siégea jusqu'en 1839, revint à la Chambre comme député du Tarn-et-Garonne le 9 juillet 1842, de nouveau élu par la Creuse le 30 mai 1846, siégea jusqu'en février 1848, réélu par le Bas-Rhin le 9 juin 1850, se consacra au journalisme sous l'Empire, rentra à la Chambre des députés en 1877 comme représentant du 9ème arrondissement de Paris, mort en cette ville le 27 avril 1881. cote : FP GIR 08 (Bfm Limoges) -
François Goubert. Curé de Bellegarde. Né au Busson le 4 8bre 1735. Député du Gueret à l'Assemblée nationale de 1789
Extrait de [Collection Dejabin. Députés à l'Assemblée nationale de 1789. Portraits isolés] Né à Aubusson (Creuse) le 4 octobre 1735, fils de Jean Goubert, fabricant de tapisseries, et de Marie Cartier ; docteur en théologie, prévôt d'Aubusson (1762), curé de Bellegarde (2 juin 1788), official de Chénérailles, élu député du clergé aux Etats-Généraux pour la sénéchaussée de Guéret (21 mars 1789), mort à Aubusson (Creuse) le 8 janvier 1815. cote : FP GOUB (Bfm Limoges) Cote : FP GOUB -
M. Grellet de Beauregard. Avocat du Roi au présidial de Gueret, né à Aubusson en 1750. Député de la séné[chau]ssée de Gueret.à l'Assemblée nationale de 1789.
Extrait de [Collection Dejabin. Députés à l'Assemblée nationale de 1789. Portraits isolés] Né à Aubusson (Creuse), le 16 novembre 1750, fils de Pierre Grellet du Montant et de Thérèse Baret ; conseiller au sénéchal de Guéret (août 1776), avocat du roi, procureur-syndic du Tiers-Etat (septembre 1788), élu député le 24 mars 1789 du Tiers aux Etats Généraux pour la sénéchaussée de Guéret, président du tribunal du district d'Aubusson (1791), juge au tribunal civil de la Creuse (1796), puis au tribunal de Limoges (8 mai 1800), conseiller à la cour d'appel de cette ville (1811), président de chambre (8 décembre 1818), mort à Limoges le 19 ou le 23 novembre 1829. cote : FP GREL 01 (Bfm Limoges) -
Grellet de Beauregard. Avocat du Roi. Député de la sénéch[auss]ée de Gueret
De la série "Collection générale des portraits de MM les députés à l'Assemblée nationale tenue à Versailles le 4 mai 1789". Né à Aubusson (Creuse), le 16 novembre 1750, fils de Pierre Grellet du Montant et de Thérèse Baret ; conseiller au sénéchal de Guéret (août 1776), avocat du roi, procureur-syndic du Tiers-Etat (septembre 1788), élu député le 24 mars 1789 du Tiers aux Etats Généraux pour la sénéchaussée de Guéret, président du tribunal du district d'Aubusson (1791), juge au tribunal civil de la Creuse (1796), puis au tribunal de Limoges (8 mai 1800), conseiller à la cour d'appel de cette ville (1811), président de chambre (8 décembre 1818), mort à Limoges le 19 ou le 23 novembre 1829. cote : FP GREL 02 (Bfm Limoges) -
Le commencement des douleurs [2]
Fonds Sony Labou Tansi. Manuscrit autographe provenant du fonds trouvé à Brazzaville et appartenant à la famille de l'auteur Porte sur la 2ème page de couverture les numéros "11" et "19" Cahier Clairefontaine en bon état à couverture rose. 20 ff. [de 69 à 79] à l'encre très effacée plus visibles sur des photocopies Dédicace "A Monique Blin pour son combat contre les géographies de la mort, de la peur et du désespoir. A Arlette et Roger. A ma mère et à mon mère, prophètes obligés des fraternités nouvelles". S.L.T. Ce manuscrit a 6 chapitres : "Un grand trou dans le ciel" ; "Ça creuse dans le soleil ça creuse dans la lune" ; "La mort du fleuve" ; "La première douleur" ; "Le baiser de la comète" ; "La douleur promise". 84 ff. (soit 168 p.) ; 29 x 21 cm Cote : RES.PF SLT 11 -
Abrégé de grammaire limousine : bas-limousin, haut-limousin, marchois
Cet abrégé a été publié en 1950 dans les "Mémoires de la Société des Sciences naturelles et archéologiques de la Creuse", t. 30, fasc. 2. Paul-Louis Grenier, originaire de la Creuse, a fait toute sa carrière à la bibliothèque nationale, après un court passage à la bibliothèque municipale de Limoges. Élève de l'école des chartes, il rédige une thèse sur l'histoire de Limoges, puis devient conservateur de bibliothèque. Il a consacré sa retraite à l'écriture, de poésies (le plus souvent bilingue français-occitan) et à la langue occitane elle-même. -
Les Routes de la Haute-Marche et des pays circonvoisins au XVIIIe siècle. Tous les chemins menaient à Rome ... et toutes les grandes routes européennes passaient par... la Creuse !
cote : MAG.P LIM B1388 (bfm Limoges) -
Porteuses d'eau et berger à la fontaine Pauly
Prise au printemps ou à l’été 1914, en Creuse, sur le territoire de la commune de Saint-Amand-Jartoudeix, au village du Nouhaud. Nous sommes non loin de la route de Lyon, entre Sauviat en Haute-Vienne et Bourganeuf. Cette scène, en deux épisodes, nous montre la vie autour de la fontaine, dite « Fontaine Pauly » selon les notes de Jean-Baptiste Boudeau. Sur cette première photo, le troupeau de brebis passe entre le groupe de femmes et d’enfants se trouvant à la fontaine et l’appareil du photographe. Le berger, les mains dans le dos, accompagne plus qu’il ne mène son troupeau. Certaines brebis passent sur les pierres surmontant la fontaine, la plupart ont été tondues de fraîche date, ce qui nous rappelle ici l’usage de la laine. Boîte 195 (Bfm Limoges) -
La Chanson de Combraille : poèmes en langue d'oc avec traduction française en regard
Né à Chambon-sur-Voueize, en Creuse, Paul-Louis Grenier est un poète occitan limousin. Chartiste et philologue, après un bref passage de deux ans à la bibliothèque de Limoges, il a effectué l'essentiel de sa carrière à la Bibliothèque nationale. Paul-Louis Grenier écrit dans un occitan limousin très littéraire et un lexique assez médiéval. Il décrit le merveilleux, des lieux et des personnages liés au Limousin d’une façon souvent fantastique. On trouve dans son oeuvre des thèmes récurrents comme la ville de Limoges, celle de Bourganeuf et le mystérieux prince Zizim qui y vécut, les animaux fantastiques comme la licorne... La chanson de Combraille se veut une chanson épique de la Marche limousine. "Au point de vue du vocabulaire, ma langue se rattache non seulement à celui des troubadours [...] mais aussi à celui des chartes de la Creuse et des parlers actuels du département" (P.L.Grenier, "La Vie Limousine", 25 décembre 1927) L’ensemble de son œuvre a été rééditée en un volume "Òbra poetica occitana" aux Edicions dau Chamin de Sent-Jaume en 2011. Ses poèmes ont été mis en musique par plusieurs chanteurs occitans, dont Jan dau Melhau et Bernard Combi. -
Charles de Biencourt
Légende : "Ch. de Biancourt M.al des Camps et Armees du Roi. Député du départemt de la Creuse. Collection générale des portraits de MM les députés à l'Assemblée nationale tenue à Versailles le 4 mai 1789. N° 17." Né au château de Masfaure à Ahun (Creuse) le 7 novembre 1747, il fut maréchal des camps et armées du roi, député de la noblesse de la sénéchaussée de Guéret aux Etats généraux (21 mars 1789). Animé d'idées libérales, il fut des premiers de son ordre à se joindre au tiers-état, et à voter les décrets de l'Assemblée constituante. Après la fuite de Varennes, à la séance du 22 juin, il prêta le serment suivant : «Je jure d'employer les armes remises dans mes mains à la défense de la patrie, et à maintenir contre tous ses ennemis du dedans et du dehors, la Constitution décrétée par l'Assemblée Nationale, de mourir plutôt que de souffrir l'invasion du territoire français par des troupes étrangères, et de n'obéir qu'aux ordres qui seront donnés en conséquence des décrets de l'Assemblée nationale.» Après cette législature il rentra dans la vie privée. Il mourut au château d'Azay (Indre-et-Loire) le 23 décembre 1824. cote : Cote : FP BIE (Bfm Limoges)