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Moulin de l'Age, Creuse
extrait de "Creuse 1879-80", carnet de croquis. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre. -
Chateau du Terré (Théret), le donjon
chateau du XVe siècle. C'est aujourd'hui une demeure privéee. extrait de "Creuse 1876-79", carnet de croquis. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre. -
Château de Guéret
extrait de Creuse 1876-79 , carnet de croquis. Plusieurs vues du château de Guéret, anciennement hôtel des Moneyroux, actuel siège du Conseil Général de la Creuse. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Enfin, cet historien poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers qui chantent la Creuse aimée, son humilité et simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ). Les dessins sont au crayon surtout, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre. -
Pont sur la Creuse, à Aubusson, Creuse
cote : 2FI5 (Bfm Limoges) -
François Lassarre, né à Saint-Sulpice-le-Dunois (Creuse) le 22 novembre 1797, avocat, ex-Procureur de la République à Guéret
De la série "Assemblée nationale. Galerie des représentants du peuple (1848) (Creuse)", n°589. - Porte en plus : la signature de François Lassarr. Né à Saint-Sulpice-le-Dunois (Creuse), le 22 novembre 1797, avocat, procureur du roi (1839), procureur de la république à Guéret (1848), député de la Creuse à la Constituante (23 avril 1848), juge au tribunal de Guéret sous l'empire jusqu'en 1868, membre du conseil général de la Creuse, mort à Guéret le 20 janvier 1883. Cote : FP LAS 01 (Bfm Limoges) -
F. Lassarre, représentant du peuple (Creuse)
Porte en plus le n°7. De la série "Assemblée nationale. Galerie des représentants du peuple (1848) (Creuse)", n°589. - Porte en plus : la signature de Léon Faucher. Né à Saint-Sulpice-le-Dunois (Creuse), le 22 novembre 1797, avocat, procureur du roi (1839), procureur de la république à Guéret (1848), député de la Creuse à la Constituante (23 avril 1848), juge au tribunal de Guéret sous l'empire jusqu'en 1868, membre du conseil général de la Creuse, mort à Guéret le 20 janvier 1883. Cote : FP LAS 02 (Bfm Limoges) -
Silvain Guisard. Né à Guéret (Creuse) le 12 avril 1806
De la série : "Assemblée nationale. Galerie des représentants du peuple (1848) (Creuse)". - Porte en plus : la signature de Silvain Guisard et le numéro 459. é à Guéret le 12 avril 1806, docteur en médecine, commissaire du Gouvernement provisoire dans la Creuse en 1848, député de ce département à la Constituante et à l'Assemblée législative, président de la Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, mort à Guéret le 15 juin 1859. Cote : FP GUIS (Bfm Limoges) -
Bousac [Boussac]
"Cette vue de Boussac du milieu du XVIIe siècle n'est pas la plus ancienne mais c'est semble-t-il la plus reproduite. Elle provient de la Topographia Galliae de Matthaüs Merian et Martin Zeiller éditée à Francfort en 1657. Elle a notamment été reproduite dans le Grand dictionnaire de la Haute-Marche d'Ambroise Tardieu datant de 1894, Le Dictionnaire de la Creuse de l'abbé Lecler (1902) et Les Esquisses de Boussac de H. de Lavillatte (1907). C'est l'abbé Lecler qui nous en donne une première description : " Sur la droite, on remarque le château dont la masse de construction domine non seulement la ville mais tout le pays si pittoresque d'alentour. On distingue très bien ce qui restait su château primitif du XIIIe siècle, l'énorme donjon, soutenu par de larges contreforts, surmonté de la niche du veilleur et encadré par deux courtines crénelées. A droite, ce sont les constructions moins sévères du XVe siècle, les tours rondes, les pignons sculptés et la chapelle qui semble avoir une forme assez coquette. [...] La ville est dominée du côté opposé au château par l'église paroissiale, à laquelle notre dessin donne l'apparence d'une magnifique église ogivale, avec transept et clocher sur la croisée [...]. A côté, on distingue plusieurs petits clochetons appartenant probablemenà des communautés religieuses. Au milieu des constructions, et à eu près à égale distance du château et de l'église, nous distinguons un édifice important, peut-être la maison commune [...] ". La ville est entourée d'un mur d'enceinte renforcé de quatre tours et percé de deux portes. A l'extrême droite se voit le départ d'une échauguette qui protégeait le château avant la construction des fortifications. On remarque sur la gauche, touchant le cimetière, aujourd'hui disparu, la chapelle Notre-Dame de Pitié. Quant aux nombreux clochers qui s'élèvent au-dessus de la cité;, il ne reste que celui de l'église paroissiale dont la représentation semble à l'abbé Lecler un peu flatteuse. Cette gravure est assez ressemblante à celle parue dans la Topographie francoise de Claude Chastillon en 1641 qui semble être la plus ancienne et à une autre de la même époque reproduite dans l'Album historique et pittoresque de la Creuse de Pierre Langlade publié en 1847. La salle des gardes du château abrita, à partir du XVIIIe siècle, les six tapisseries de La Dame à la Licorne exécutées dans les Flandres entre 1484 et 1500. . Elles demeurent dans le château après la vente de celui-ci à la Révolution. La municipalité de Boussac les céda en 1882 au conservateur de l'actuel Musée national du Moyen-âge, dont elles sont une des pièces majeures." Jean-Marie Allard cote : 2FI10 (Bfm Limoges) -
Eglise de Bourganeuf
extrait de Creuse 1876-79 , carnet de croquis. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Enfin, cet historien poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers qui chantent la Creuse aimée, son humilité et simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre. -
Eglise d'Ahun
extrait de Creuse 1876-79 , carnet de croquis. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre. -
Puits de mine de Bosmoreau
extrait de Creuse 1876-79 , carnet de croquis. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études, en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Enfin, cet historien poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers qui chantent la Creuse aimée, son humilité et simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ). Les dessins sont au crayon surtout, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre. Exploitée depuis le XVIIIe siècle, la houille de Bosmoreau était très recherchée pour les fours à porcelaine de Limoges, mais aussi les forges de Mondon en Haute-Vienne et les fours à chaux de l'Indre. Les Mines connaissent leur apogée au XIXe siècle grâce au porcelainier Pouyat (connu pour la finesse de ses "blancs"), qui fit acquisition de la concession. Elles furent exploitées jusqu'en 1958. -
Eglise de Glénic
extrait de Creuse 1876-79 , carnet de croquis. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Enfin, cet historien poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers qui chantent la Creuse aimée, son humilité et simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre. L'église de Glénic est un remarquable exemple de ces édifices religieux du Limousin édifiés en fortins. En raison de l'absence de château d'accueil c'est l'église qu'il est décidé de fortifier pour accueillir la communauté en cas de conflit. Un escalier à vis logé dans la masse d'une tour angulaire permet d'accéder aux combles charpentés et fortifiés. Un second ouvrage de défense est ajouté aux angles ouest coiffé de deux tourelles. Enfin les murs sud et nord sont percés de baies de tir et de guet. -
Chateau du Terré (Théret), commune de Saunière - vue extérieure.
Château du XVe siècle, c'est aujourd'hui une demeure privée extrait de "Creuse 1879-80", carnet de croquis. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre. -
Lavaveix-les-Mines : Puits Sainte-Barbe et Puits Saint-Eloi
extrait de "Creuse 1879-80", carnet de croquis. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre. -
Rochers de Peyrabout
extrait de "Creuse 1879-80", carnet de croquis. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre. -
Fayolle, près de Guéret.
Dessin sur feuillet séparé, ajout ultérieur, extrait de "Creuse 1879-80", carnet de croquis. Cette fontaine est actuellement située place Louis Lacrocq à Guéret. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre. -
Lycée de Guéret
extrait de "Creuse 1879-80", carnet de croquis. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre. -
Vue de Guéret
extrait de "Creuse 1879-80", carnet de croquis. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre. -
Chateau du Terré (Théret), l'entrée
chateau du XVe siècle. C'est aujourd'hui une demeure privéee. extrait de "Creuse 1879-80", carnet de croquis. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre. -
Le cheval Saint-Antoine, l'église de...(?), Tour de Zizim à Bourganeuf
extrait de "Creuse 1876-79", carnet de croquis. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.