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LA RACE BOVINE LIMOUSINE : PATRIMOINE VIVANT D’EXCELLENCE
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Objets trouvés dans les fouilles de l'Evêché de Limoges, [Erotiques ] 5. Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". JB Tripon auteur de ces dessins érotiques s'explique : "lors de la démolition de l'Evêché [de Limoges] en 1759, on découvrit plusieurs objets très curieux mais dont quelques uns étaient d'une obscénité révoltante, ce qui engagea Monseigneur d'Argentré, évêque, de les faire briser. Beaumesnil obtint la permission d'en dessiner mais ces dessins oont été perdus [...] Quelques uns de ces monuments avaient pu faire partie d'un ancien temple à Priape, force créatrice de la Nature. Les emblèmes qui dans l'état actuel de nos moeurs nous semble le délire de la dépravation n'étaient peut-être que l'expression d'un sentiment pieux et de l'espérance en l'immortalité. JB Tripon précise enfin : "tout en publiant ces dessins qui nous semblent d'un intérêt hautement puissant, par une réserve facile à comprendre, nous avons cru devoir interrompre l'ordre de pagination, afin qu'il fût facultatif à nos souscripteurs d'élaguer de l'ouvrage ces deux livraisons ." Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare (en raison de ces images érotiques) . Les érudits du XIXesiècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2 -
Missel Limousin Ce missel manuscrit du XVe siècle est incontestablement d'origine limousine si l'on en juge par les diverses mentions de saints proprement limousins : une messe à Saint-Martial (fol 42), une oraison à Saint-Léobon (fol 54) et une autre à Saint Léonard (fol 57). On y remarque également des notes en marge d'une écriture du XVIe siècle : "Gaude, maria Virgo, cunctas hereses sola intermisiti, Que Gabrielis archangeli dictis credidisti, Dum virgo Deum et hominem genuiti Et post partum inviolata permansisti, Dei genitrix, intercede pro nobis." Ajouté de la même main, on retrouve enfin, diverses oraisons (fol 79 et 80) dont trois adressées à Saint-Cloud. Bfm Limoges (cote : Ms 5) -
Lettre à M. Thuillier rédacteur de la revue Le Bonhomme limousin, à Limoges, depuis Paris. Charles (Antoine) Vallon, né à Limoges et mort à Paris, fut un grand aliéniste, fondateur de la Société de Psychiatrie, ayant notamment travaillé à l'asile de Villejuif et à l'hôpital Sainte-Anne de Paris. En 1904, il est victime d'une agression au couteau par un aliéné, et le coup reçu touche la moelle et provoque une hémiplégie qui mettra longtemps à guérir. Il écrit ici à ses amis de la Revue Limousine pour les rassurer sur son état de santé, après qu'un article ait paru le concernant. cote : AUT 50 (Bfm Limoges) -
Lettre d'Arsène Arsonval à un ami, depuis La Porcherie. Le grand scientifique Arsène d'Arsonval interroge assez abruptement son ami sur le préavis admis dans le pays pour congédier ses gueux : pas trop tôt, mais pas trop tard... Arsène d'Arsonval, né et mort à La Porcherie (Hte-Vienne) fut un médecin, physicien et inventeur français issu de la noblesse limousine. Il inventa notamment le galvanomètre (une sorte d'ampèremètre). Il a également perfectionné le téléphone et créa le premier modèle agréé par les PTT. Il a enfin co-inventé le vase d'Arsonval-Dewar, ancêtre de la bouteille thermos. cote : AUT68 (Bfm Limoges) -
La Petite Vendée dans la région de Rochechouart : épisodes de révoltes populaires contre la Première République Récit enlevé, au jour le jour, d'épisodes de "chouannerie" en 1792 en terre limousine. cote : 55382 (Bfm Limoges) -
Per diverti lo gen, chansous lemouzinas Chansons en occitan limousin dont : Auvo lou Loucou, lo Gerbo Baudo, lo janoto, lo Roso de lo Mioun, l'Estelo Limousine... A noter également : 23 dessins de Pierre Lissac. cote : MAG.P LIM B818 (Bfm Limoges) -
Proverbes limousins et dessins 1 Marcelle Delpastre remplissait très densément ses feuilles et ses cahiers, par habitude de ne pas gaspiller le papier. En témoignent ces dos cartonnés de blocs papier sur lesquels elle notait des proverbes recueillis de-ci de-là et s'amusait à esquisser quelques dessins. Née en 1925, dans un hameau limousin de quatre fermes à Germont, commune de Chambaret (Corrèze) , Marcelle Delpastre passe de l'école communale au collège de Brive. Après un bac philo-lettres, elle s'oriente vers les Arts décoratifs à Limoges, puis retourne définitivement à la terre dans la ferme familiale en 1945. Dans les années 1970 Marcelle Delpastre fait deux rencontres importantes, celles de Michel Chadeuil et de Jan dau Melhau, deux jeunes auteurs en langue limousine. Elle participe régulièrement à leur revue Lo Leberaubre. Poète , conteuse, romancière et ethnologue, Marcelle Delpastre est aujourd'hui reconnue comme l'un des dix plus grands écrivains occitans du XXe siècle. De la maison familiale de Germont, dans le Limousin, où elle vivait et travaillait la terre, Marcelle Delpastre a écrit des milliers de pages. Perçue comme une paysanne par le monde littéraire, et comme une étrange femme qui écrivait par les ruraux, Marcelle Delpastre est restée méconnue pour sa poésie. Son œuvre poétique est immense : ballades, psaumes, prose poétique, poèmes dramatiques... Elle écrit en occitan, la langue de sa mère, et en français, langue de son père.. Isolée par choix dans la ferme où elle trouvait le calme pour écrire, elle vécut seule avec ses parents, ne se mariant pas (quelques jours avant de mourir, elle disait encore : « Qu'est-ce qui devait compter ? Vivre ou écrire ? »). Elle écrit l'arbre, la terre, le mystère de la création, l'amour, la déploration du monde, l'âme meurtrie, la solitude et la souffrance. Ses poèmes souvent tristes et durs célèbrent aussi la vie sensuelle et crue. La Bibliothèque francophone multimedia de Limoges conserve l'ensemble de ses manuscrits publiés donnés par Jan dau Melhau, son ayant-droit. -
Proverbes limousins et dessins 2 Marcelle Delpastre remplissait très densément ses feuilles et ses cahiers, par habitude de ne pas gaspiller le papier. En témoignent ces dos cartonnés de blocs papier sur lesquels elle notait des proverbes recueillis de-ci de-là et s'amusait à esquisser quelques dessins. Née en 1925, dans un hameau limousin de quatre fermes à Germont, commune de Chambaret (Corrèze) , Marcelle Delpastre passe de l'école communale au collège de Brive. Après un bac philo-lettres, elle s'oriente vers les Arts décoratifs à Limoges, puis retourne définitivement à la terre dans la ferme familiale en 1945. Dans les années 1970 Marcelle Delpastre fait deux rencontres importantes, celles de Michel Chadeuil et de Jan dau Melhau, deux jeunes auteurs en langue limousine. Elle participe régulièrement à leur revue Lo Leberaubre. Poète , conteuse, romancière et ethnologue, Marcelle Delpastre est aujourd'hui reconnue comme l'un des dix plus grands écrivains occitans du XXe siècle. De la maison familiale de Germont, dans le Limousin, où elle vivait et travaillait la terre, Marcelle Delpastre a écrit des milliers de pages. Perçue comme une paysanne par le monde littéraire, et comme une étrange femme qui écrivait par les ruraux, Marcelle Delpastre est restée méconnue pour sa poésie. Son œuvre poétique est immense : ballades, psaumes, prose poétique, poèmes dramatiques... Elle écrit en occitan, la langue de sa mère, et en français, langue de son père.. Isolée par choix dans la ferme où elle trouvait le calme pour écrire, elle vécut seule avec ses parents, ne se mariant pas (quelques jours avant de mourir, elle disait encore : « Qu'est-ce qui devait compter ? Vivre ou écrire ? »). Elle écrit l'arbre, la terre, le mystère de la création, l'amour, la déploration du monde, l'âme meurtrie, la solitude et la souffrance. Ses poèmes souvent tristes et durs célèbrent aussi la vie sensuelle et crue. La Bibliothèque francophone multimedia de Limoges conserve l'ensemble de ses manuscrits publiés donnés par Jan dau Melhau, son ayant-droit. -
Proverbes limousins et dessins 3 Marcelle Delpastre remplissait très densément ses feuilles et ses cahiers, par habitude de ne pas gaspiller le papier. En témoignent ces dos cartonnés de blocs papier sur lesquels elle notait des proverbes recueillis de-ci de-là et s'amusait à esquisser quelques dessins. Née en 1925, dans un hameau limousin de quatre fermes à Germont, commune de Chambaret (Corrèze) , Marcelle Delpastre passe de l'école communale au collège de Brive. Après un bac philo-lettres, elle s'oriente vers les Arts décoratifs à Limoges, puis retourne définitivement à la terre dans la ferme familiale en 1945. Dans les années 1970 Marcelle Delpastre fait deux rencontres importantes, celles de Michel Chadeuil et de Jan dau Melhau, deux jeunes auteurs en langue limousine. Elle participe régulièrement à leur revue Lo Leberaubre. Poète , conteuse, romancière et ethnologue, Marcelle Delpastre est aujourd'hui reconnue comme l'un des dix plus grands écrivains occitans du XXe siècle. De la maison familiale de Germont, dans le Limousin, où elle vivait et travaillait la terre, Marcelle Delpastre a écrit des milliers de pages. Perçue comme une paysanne par le monde littéraire, et comme une étrange femme qui écrivait par les ruraux, Marcelle Delpastre est restée méconnue pour sa poésie. Son œuvre poétique est immense : ballades, psaumes, prose poétique, poèmes dramatiques... Elle écrit en occitan, la langue de sa mère, et en français, langue de son père.. Isolée par choix dans la ferme où elle trouvait le calme pour écrire, elle vécut seule avec ses parents, ne se mariant pas (quelques jours avant de mourir, elle disait encore : « Qu'est-ce qui devait compter ? Vivre ou écrire ? »). Elle écrit l'arbre, la terre, le mystère de la création, l'amour, la déploration du monde, l'âme meurtrie, la solitude et la souffrance. Ses poèmes souvent tristes et durs célèbrent aussi la vie sensuelle et crue. La Bibliothèque francophone multimedia de Limoges conserve l'ensemble de ses manuscrits publiés donnés par Jan dau Melhau, son ayant-droit. -
L'Ange Mort L'Ange Mort fait partie des sept textes qui constituent Le testament de l'eau douce, éd. Fédérop, 2001. Selon les propres mots de l’auteur – ce recueil est « composé comme une symphonie en sept textes qui seraient sept mouvements, avec les résonances, les reprises et les correspondances, les accords et les dissonances, les mélodies et le grand mouvement d’orchestre par-dessus les soli qu’on peut observer dans ce genre-là ». Née en 1925, dans un hameau limousin de quatre fermes à Germont, commune de Chambaret (Corrèze) , Marcelle Delpastre passe de l'école communale au collège de Brive. Après un bac philo-lettres, elle s'oriente vers les Arts décoratifs à Limoges, puis retourne définitivement à la terre dans la ferme familiale en 1945. Dans les années 1970 Marcelle Delpastre fait deux rencontres importantes, celles de Michel Chadeuil et de Jan dau Melhau, deux jeunes auteurs en langue limousine. Elle participe régulièrement à leur revue Lo Leberaubre. Poète , conteuse, romancière et ethnologue, Marcelle Delpastre est aujourd'hui reconnue comme l'un des dix plus grands écrivains occitans du XXe siècle. De la maison familiale de Germont, dans le Limousin, où elle vivait et travaillait la terre, Marcelle Delpastre a écrit des milliers de pages. Perçue comme une paysanne par le monde littéraire, et comme une étrange femme qui écrivait par les ruraux, Marcelle Delpastre est restée méconnue pour sa poésie. Son œuvre poétique est immense : ballades, psaumes, prose poétique, poèmes dramatiques... Elle écrit en occitan, la langue de sa mère, et en français, langue de son père.. Isolée par choix dans la ferme où elle trouvait le calme pour écrire, elle vécut seule avec ses parents, ne se mariant pas (quelques jours avant de mourir, elle disait encore : « Qu'est-ce qui devait compter ? Vivre ou écrire ? »). Elle écrit l'arbre, la terre, le mystère de la création, l'amour, la déploration du monde, l'âme meurtrie, la solitude et la souffrance. Ses poèmes souvent tristes et durs célèbrent aussi la vie sensuelle et crue. La Bibliothèque francophone multimedia de Limoges conserve l'ensemble de ses manuscrits publiés donnés par Jan dau Melhau, son ayant-droit. -
La marchande de sourires Pierre Halary fut un homme de lettres accompli : poète, traducteur, philologue reconnu, il collabora à de nombreuses revues françaises et belges. Né à Limoges, il demeura toujours lié à son Limousin, qu'il chante dans de nombreux poèmes. A la fin de sa vie, Pierre Halary composa des chansons, qu'il considéraient comme un délassement de l'esprit. celles-ci sont souvent teintées de nostalgie. Celle-ci est dédiée à Raymond d'Etivaud, rédacteur de la Revue Limousine, pour laquelle Pierre Halary collaborait. cote : MAG P LIM 35656 (Bfm Limoges) -
Leis d'Amor "Les Lois d'amour", pièce en 1 acte. Marguerite Genes née à Marseille en 1868, arrive très jeune à Brive, berceau de sa famille maternelle. Elle ne quitte la Corrèze que le temps de ses études puis revient enseigner le français dans une institution privée. Reconnue localement pour ses qualités littéraires et sa connaissance de l'occitan, activement engagée dans le mouvement félibréen, elle est nommée "Mestresso en Gai-Sabé" (Maîtresse en Gai Savoir). Elle écrit de nombreux textes poétiques, pièces de théâtre, études littéraires et de folklore limousin. Son oeuvre est peu diffusée en dehors de sa région. Seules deux de ses pièces sont publiées en monographie, "Lou Francimans" et Leis d'Amor". Mathylide Peyre est une pure corrézienne, née en 1886 à Orliac de Bar. Egalement engagée dans le mouvement félibréen, elle reçoit "l'Eglantine d'Or" pour sa "Légende limousine". Ses pièces, ses textes en prose ou en vers parlent des terres corréziennes essentiellement. cote : Local Mag2 00X5 GEN (Médiathèque de Brive) -
Quand même ! Pièce en 1 acte et en vers. Marguerite Genes née à Marseille en 1868, arrive très jeune à Brive, berceau de sa famille maternelle. Elle ne quitte la Corrèze que le temps de ses études puis revient enseigner le français dans une institution privée. Reconnue localement pour ses qualités littéraires et sa connaissance de l'occitan, activement engagée dans le mouvement félibréen, elle est nommée "Mestresso en Gai-Sabé" (Maîtresse en Gai Savoir). Elle écrit de nombreux textes poétiques, pièces de théâtre, études littéraires et de folklore limousin. Son oeuvre est peu diffusée en dehors de sa région. Seules trois de ses pièces sont publiées en monographie, "Lou Francimans" "Leis d'Amor" et "Quand même !" Mathylide Peyre est une pure corrézienne, née en 1886 à Orliac de Bar. Egalement engagée dans le mouvement félibréen, elle reçoit "l'Eglantine d'Or" pour sa "Légende limousine". Ses pièces, ses textes en prose ou en vers parlent des terres corréziennes essentiellement. cote : LOCAL MAG2 00X5 GEN (Médiathèque de Brive) -
La Poula-negra Pièce en deux actes et en occitan. L'action se passe en 1792 à Argentat dans le milieu des gabariers. Farce autour des croyances populaires (la poule noire fait allusion au pacte avec le Diable). Eusèbe Bombal, érudit originaire d'Argentat (Corrèze) était un esprit curieux aux talents multiples s'est essayé au contes, au théâtre, à l'histoire et l' archéologie. Sa pièce la plus célèbre est "Lou Drac". cote : MAG.P LIM 41346 (Bfm Limoges) -
La porte Chanac (vue extra muros), Tulle Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage. La porte Chanac était située à l'entrée de la même rue qui porte son nom. C'était une porte fortifiée. Les deux maisons qui la soutenaient étaient elles-même fortifiées. Cette porte devait dater du XIIIe siècle, mentionnée dans un acte de vente entre les seigneurs de Chanac et l'abbé de Tulle en 1256. Après plusieurs assauts, puis des remaniements au XIVe et au XVe siècles, elle cesse d'être entretenue, avant d'être détruite par arrêté municipal en 1958. Cette gravure fut initialement publiée "Le vieux Tulle" de René Fage cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges) -
La porte Chanac (vue intra
muros), Tulle Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". La porte Chanac était située e à l'entrée de la même rue qui porte son nom. C'était une porte fortifiée. Les deux maisons qui la soutenaient étaient elles-même fortifiées. Cette porte devait dater du XIIIe siècle, mentionnée dans un acte de vente entre les seigneurs de Chanac et l'abbé de Tulle en 1256. Après plusieurs assauts, puis des remaniements au XIVe et au XVe siècles, elle cesse d'être entretenue, avant d'être détruite par arrêté municipal en 1958. Cette gravure fut initialement publiée "Le vieux Tulle" de René Fage cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges) -
Pille-Brive, Corrèze. Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage. La tradition locale raconte qu'il s'agirait d'une ancienne forteresse romaine qui servit de refuge au Moyen-âge puis de repère de bandits. Pourtant rien dans l'appareil des murs ne semble le confirmer. Il n'en reste pas moins que Pille-Brive, située à Chasteaux au sud de Brive est une curiosité imposante. Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges) -
Maison à Uzerche, Corrèze Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Cette maison est connue aujourd'hui sous le nom de Château Pontier. C'est un bâtiment construit au 16e siècle par la famille Pontier qui avait quitté Aix-en-Provence à cause des guerres de Religion. Construit à l'emplacement d'un château antérieur, le bâtiment est constitué d' un corps de logis rectangulaire flanqué, du côté de la Vézère, de deux tourelles circulaires d'angle. Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges) -
Le logis de Loyac, Tulle Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage. Le logis de Loyac appelée aussi "maison de l'abbé" fut construit aux XVe et XVIe siècles. Remarquable par l'élégance de sa façade, cette dernière, reconnaissable à ses tourelles, associe le style gothique flamboyant aux ornementations Renaissance. Cette gravure fut initialement publiée dans "Le vieux Tulle de René Fage. cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges) -
Cour du château de Sédières, Corrèze Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage. Manoir fortifié construit au XVe siècle, il devient au XVIe siècle une demeure de plaisance remaniée de style Renaissance italienne par Dominique de Sédières de retour des campagnes d'Italie. Au XVIIe siècle le château se dote de jardins à la française grâce à la famille Lantillac, nouveaux héritiers des lieux. Abandonné puis pillé à la Révolution, le château est restauré en 1861 suivant les plans de Viollet-le-Duc. Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)