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LA RACE BOVINE LIMOUSINE : PATRIMOINE VIVANT D’EXCELLENCE
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Incendie à l'usine du Maureix, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B21-n°543) Jean-Baptiste Boudeau se fait ici reporter, puisqu'il part photographier les dégâts occasionnés par un incendie à la papeterie du Petit Maureix, sur la commune de Saint-Martin-Terressus. Cette usine des bords du Taurion était spécialisée dans la fabrication de papier-paille. Elle appartenait à la Société générale des Papeteries du Limousin qui, depuis 1898, regroupait d'anciennes papeteries indépendantes de Haute-Vienne, de Charente limousine et de Corrèze. Bien que n'étant pas le centre de production le plus important du groupement, l'usine du Maureix employait tout de même plus de 40 ouvriers. -
Incendie à l'usine du Maureix, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B21-n°544) Jean-Baptiste Boudeau se fait ici reporter, puisqu'il part photographier les dégâts occasionnés par un incendie à la papeterie du Petit Maureix, sur la commune de Saint-Martin-Terressus. Cette usine des bords du Taurion était spécialisée dans la fabrication de papier-paille. Elle appartenait à la Société générale des Papeteries du Limousin qui, depuis 1898, regroupait d'anciennes papeteries indépendantes de Haute-Vienne, de Charente limousine et de Corrèze. Bien que n'étant pas le centre de production le plus important du groupement, l'usine du Maureix employait tout de même plus de 40 ouvriers. -
Incendie à l'usine du Maureix, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B21-n°545) Jean-Baptiste Boudeau se fait ici reporter, puisqu'il part photographier les dégâts occasionnés par un incendie à la papeterie du Petit Maureix, sur la commune de Saint-Martin-Terressus. Cette usine des bords du Taurion était spécialisée dans la fabrication de papier-paille. Elle appartenait à la Société générale des Papeteries du Limousin qui, depuis 1898, regroupait d'anciennes papeteries indépendantes de Haute-Vienne, de Charente limousine et de Corrèze. Bien que n'étant pas le centre de production le plus important du groupement, l'usine du Maureix employait tout de même plus de 40 ouvriers. -
Vue générale de la papeterie du Maureix, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B24-n°599) Vue de la la papeterie du Petit Maureix, sur la commune de Saint-Martin-Terressus. Cette usine des bords du Taurion était spécialisée dans la fabrication de papier-paille. Elle appartenait à la Société générale des Papeteries du Limousin qui, depuis 1898, regroupait d'anciennes papeteries indépendantes de Haute-Vienne, de Charente limousine et de Corrèze. Bien que n'étant pas le centre de production le plus important du groupement, l'usine du Maureix employait tout de même plus de 40 ouvriers. Le site a été converti en centrale hydroélectrique en 1930, après la construction à cet endroit du barrage de Saint-Marc. -
Maison Mazet, Saint-Just-le-Martel - Fonds Boudeau (B27-n°630) Les notes que nous avons pu consulter indiquent "Maison Mazet Saint-Just-le-Martel", mais nous ne savons pas s'il s'agit d'une maison habitée par une famille Mazet, ou bien s'il s'agit d'une maison sise au Mazet, un village de la commune. Nous penchons plutôt pour la deuxième hypothèse. C'est en tout cas une belle vue d'une petite ferme traditionnelle limousine. Nous voyons qu'elle est "à vendre ou à louer" au moment de la prise de vue. Jean-Baptiste Boudeau, dans ces années 1909-1910, a beaucoup photographié les somptueux châteaux de son canton, ainsi que l'aristocratie qui y vivait, mais il a aussi souvent photographié de modestes paysans et leurs maisons. -
La papeterie du Maureix, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B23-n°580) Vue de la la papeterie du Petit Maureix, sur la commune de Saint-Martin-Terressus. Cette usine des bords du Taurion était spécialisée dans la fabrication de papier-paille. Elle appartenait à la Société générale des Papeteries du Limousin qui, depuis 1898, regroupait d'anciennes papeteries indépendantes de Haute-Vienne, de Charente limousine et de Corrèze. Bien que n'étant pas le centre de production le plus important du groupement, l'usine du Maureix employait tout de même plus de 40 ouvriers. -
La papeterie du Maureix, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B27-n°639) Vue de la la papeterie du Petit Maureix, sur la commune de Saint-Martin-Terressus. Cette usine des bords du Taurion était spécialisée dans la fabrication de papier-paille. Elle appartenait à la Société générale des Papeteries du Limousin qui, depuis 1898, regroupait d'anciennes papeteries indépendantes de Haute-Vienne, de Charente limousine et de Corrèze. Bien que n'étant pas le centre de production le plus important du groupement, l'usine du Maureix employait tout de même plus de 40 ouvriers. -
Lou Drac "Pessa fantastica en tres ates meilada de chantz popularis et autres, l'aciu se passe vers 1615 à Argentat (Bas-Limouzi)". Pièce fantastique en trois actes, mélées de chants populaires et autres, l'action se passe vers 1615 à Argentat (Bas-Limousin). cote : MAG.P LIM 18341 (Bfm Limoges ) -
Lo Pa chanson en patois limousin pour choeur à quatre voix mixtes Cette chanson cèlèbre la fin des guerres napoléonniennes et la paix ("lo pa")retrouvée On connait Jean-Baptiste Foucaud pour ses traductions des Fables de La Fontaine en occitan. On oublie parfois qu'il est l'auteur de nombreux textes de chansons qui connurent une grande popularité au XIXe siècle et même après, comme en témoigne cette partition pour choeur à quatre voix, dont la musique, signée par François Sarre - musicien et compositeur très attaché à la culture populaire occitane, bien connu des limousins, auteur de la mélodie de "lo Brianço" - date de 1912. Jean Foucaud est une figure limousine singulière. Né à Limoges en 1747, c'est un élève brillant qui excelle dans toutes les disciplines. Entré dans les ordres, ses talents d'orateur sont vite reconnus. Au moment de la Révolution, il sombre dans une impiété cynique, puis se réconcilie avec l'Eglise à la fin de sa vie. C'est l'époque où il écrits ses fables et chansons en occitan. Il meurt en 1818. cote : MAG.P LIM 33328/1 (Bfm Limoges) -
Le Pain Noir : Livre 1, première partie " Les Métairies" Le" Pain noir" premier tome éponyme de cette tétralogie romanesque de Georges-Emmanuel Clancier a été écrit, entre juillet 1952 et avril 1953. Les « Métairies » constitue la première partie. La saga raconte la vie d'une famille de métayers les Charron dans une ferme limousine entre 1870 et la Seconde Guerre Mondiale, sur un fond de luttes sociales et morales, en suivant le personnage de Catherine Charron. Au début du roman, Catherine vit dans une ferme avec ses parents, sa sœur et ses quatre frères. C’est une petite fille enjouée et courageuse qui effectue les corvées dévolues aux filles de son âge Comme ses frères elle veut aller à l’école et apprendre à lire, mais à cette époque les filles n’y vont pas La famille est unie, modeste et d'une honnêteté scrupuleuse . Mais ce bonheur est fragile. Sans pathos, Clancier décrit avec force les misères de la vie quotidienne mais aussi les rêves de ces gens. Il se fait tour à tour historien, ethnographe, romancier et poète. L'auteur a puisé dans l'histoire de sa propre famille. Le récit est dédié à sa grand-mère illettrée. Bfm Limoges (cote Ms365) -
Le Pain Noir : Livre 1, deuxième partie "Les rues" Le" Pain noir" premier tome éponyme de cette tétralogie romanesque de Georges-Emmanuel Clancier a été écrit, entre juillet 1952 et avril 1953. "Les rues » constitue la deuxième partie. La saga raconte la vie d'une famille de métayers les Charron dans une ferme limousine entre 1870 et la Seconde Guerre Mondiale, sur un fond de luttes sociales et morales, en suivant le personnage de Catherine Charron. La famille est chassée de ses terres et Catherine devient ouvrière à Limoges. Sans pathos, Clancier décrit avec force les misères de la vie quotidienne mais aussi les rêves de ces gens. Il se fait tour à tour historien, ethnographe, romancier et poète. L'auteur a puisé dans l'histoire de sa propre famille. Le récit est dédié à sa grand-mère illettrée. cote : Ms465 (Bfm Limoges). -
Le Pain Noir :Livre 1, troisième partie "La Maison-des-prés" Le" Pain noir" premier tome éponyme de cette tétralogie romanesque de Georges-Emmanuel Clancier a été écrit, entre juillet 1952 et avril 1953. "La Maison-des-prés" constitue la troisième partie. La saga raconte la vie d'une famille de métayers les Charron dans une ferme limousine entre 1870 et la Seconde Guerre Mondiale, sur un fond de luttes sociales et morales, suivant le personnage de Catherine Charron. Sans pathos, Clancier décrit avec force les misères de la vie quotidienne mais aussi les rêves de ces gens. Il se fait tour à tour historien, ethnographe, romancier et poète. L'auteur a puisé dans l'histoire de sa propre famille. Le récit est dédié à sa grand-mère illettrée. cote : Ms365 (Bfm Limoges). -
Lo Morioun d'Emprugno "la Marion de Prugne", suivi de Lou Perdigal de lo Suzeto (" le perdreau de Suzette") et "Lo Morquiso de Poumpodour"? ("la Marquise de Pompadour"). La Marion de Prugne (Emprugno, signifie très probablement "en Prugne", village de la commune d'Ussac) Pendant la guerre, en novembre. Pays de Brive. Gel et neige. Marion attend désespérément des nouvelles de son Jeantou, parti il y a 3 ans dans l'armée de l'Empereur. Ce matin là elle a vu passer le Courrier de Beynat avec des drapeaux accrochés à sa voiture, mais elle n'a pas eu le temps de l'arrêter pour lui demander la raison de cette décoration. Intriguée, elle décide donc de se rendre à Brive. Elle prétexte qu'elle n'a plus de pain ni de farine et qu'avec ce méchant temps (neige et gel à pierre fendre) le meunier ne risque pas passer de sitôt... Elle se met en route, et emporte avec elle 2 poulets. Arrivée en ville, elle vend ses deux poulets, puis se rend sur la place pour écouter les nouvelles. Au balcon de la mairie, un homme annonce la victoire de Coulommiers (1870), l'évacuation d'Orléans et la fuite des Prussiens. (à ce moment du texte le Maire de Brive est nommé : "Bounal" -il s'agit de Gabriel Bonis-Bonal, qui n'a été maire qu'un mois, en novembre 1870). La nuit tombe. Après avoir acheté son pain chez le pestourier (joli mot ancien pour désigner le boulanger, que tout le monde ou presque a depuis remplacé par boulèngier), elle se met en route pour rentrer chez elle. Près du cimetière, elle est apeurée par un eschonti (âme damnée dans la tradition limousine). Elle prend courage et se remet en route. Puis elle se sent suivie. Elle se retourne : un loup la suit ! Elle court, le loup la rattrape. Elle s'arrête, sort un grand couteau, non pour tuer le loup, mais pour lui couper un bout de sa tourte qu'elle lui fourre entre les babines. Tandis que le loup affamé mange le pain, elle repart en courant. Mais son bout de pain finit, il court à nouveau derrière elle. Elle lui recoupe et redonne un morceau de pain. etc. etc. jusqu'à ce que la tourte soit finie. Ne sachant plus que faire pour échapper au loup, Marion a tellement peur qu'elle attrape la "foire", la chiasse... Là, elle se dit "J'ai été propre toute ma vie, hors de question que je meurs sale". Elle retrousse sa robe et ses cotillons puis, cul face au loup, s'accroupit pour chier. Le loup, effrayé par cette image, se sauve à toute vitesse. Une heure après, la Marion est rendue chez elle, à Prugne, sans sa tourte de pain mais heureuse d'être en vie. Heureusement personne ne la vit arriver. Le perdreau de la Suzette Fin du mois d'août. Canicule. Suzette veut se rendre à Brive. Elle part de Sirogno (Sirogne, commune d'Ussac) à 13h. Arrivant au pied de Locan (Lacan) en fasse de Migoulo (Migoule), elle trouve un perdreau étendu, les ailes ouvertes. Elle comprend rapidement qu'il est mort depuis longtemps, car il a les mouches au bec, le cul vert et une très mauvaise odeur. Mais Suzette le prend tout de même pour le vendre à Brive. Mais arrivée en ville, elle ne trouve pas d'acheteur, car tous le monde lui dit : "Il est pourri ton perdreau!". Elle prend honte et s'en va, cachant tout de même son perdreau son son jupon, se disant qu'elle trouvera bien un imbécile pour lui acheter. Comme elle ne doit repartir qu'à 18h avec une amie rencontrée là, et qu'il n'est que 16h, elle décide d'aller à l'église où il fait frais. Là, elle voit plein de jeunes filles et de femmes faisant la queue devant le confessionnal. Elle se dit que le curé doit être bien aimable pour que toute veuillent le voir. Curieuse, elle prend place dans la file. Quand son tour arrive, elle rentre dans le confessionnal, retrousse un peu ses jupes et s'assoit. Mais l'atroce odeur du perdreau pourri envahit le confessionnal. Le curé s'exclame : "C'est une infection !". Suzette répond : Monsieur le Curé, c'est mon perdreau qui sent comme ça !" (il y a bien un jeu de mot, car vérification faite le perdreau désigne effectivement, aussi, le sexe féminin). Ce à quoi le curé répond (en français dans le texte) : "Vieille salope ! Quand on a une infirmité pareille, on se lave avant de venir ici !". Il se lève et sort du confessionnal. Suzette, honteuse, abandonne le perdreau sous un bénitier, rejoint son amie et s'en retourne à Sirogne. Et bien que très bavarde, elle ne dit pas un mot de cette histoire à personne ! Résumé, traduction et notes de Baptiste Chrétien. cote : MAG.P LIM B1557 (Bfm Limoges) -
Le Pain Noir, Livre 2 : La Fabrique du Roi, première partie. "La Fabrique du Roi" est le second tome de la tétralogie du Pain Noir écrit par Georges Emmanuel Clancier. Le texte ci-présent constitue pas la version définitive : les pages 1 à 6 du présent manuscrit ont disparu de l'édition originale. La saga du "Pain Noir" raconte la vie d'une famille de métayers, les Charron, dans une ferme limousine entre 1870 et la Seconde Guerre Mondiale, sur un fond de luttes sociales et morales, en suivant le personnage de Catherine Charron, tendre courageuse. Sans pathos, Clancier décrit avec force les misères de la vie quotidienne mais aussi les rêves de ces gens. Il se fait tour à tour historien, ethnographe, romancier et poète. L'auteur a puisé dans l'histoire de sa propre famille. Le récit est dédié à sa grand-mère illettrée. Une oeuvre rayonnante qui place son auteur dans les grands romanciers du XXe siècle. cote : Ms466 (Bfm Limoges). -
Jesu e Lucifer pouème en VIII chan, ente se veu louquau dô Bien ô dô Mau, a fi de ten, deu vei lou dorei mou, Homme de lettres limousin, Léon Dheralde est surtout connu pour son dictionnaire de la Langue Limousine. Mais il est également l'auteur d'un recueil de proverbe limousin, de fables , de contes. Dans la préface, Léon Dhéralde s'explique sur le choix du sujet : " Manès, Pélage, Luther, Calvin Voltaire [ne s'inspiraient que de leur haine pour la Vérité, poussés par Lucifer. ] ... Dans un idiome vulgaire et familier, j'ai essayé de démontrer cette Vérité ... ] Je me sers d'un rustique pipeau. je l'ai ramassé tombé des lèvres des Roby, Richard, Foucaud dont les fables, les chansons charmaient nos pères. Ils me l'ont fait aimer et à leur exemple j'ai voulu moduler ma pensée ; mais sans autre prétention que d'affirmer la foi du Chrétien dans le triomphe définitif du Droit sur la Force, de la vérité sur l'Erreur, de Jésus sur Lucifer" cote : MAG.P LIM 18605 (Bfm Limoges) -
Miracles de Saint-Etienne de Muret "Ce feuillet enluminé d'un graduel de l'abbaye limousine de Grandmont a sans doute été exécuté à la demande de son abbé commanditaire le cardinal Guillaume Briçonnet. C'est une pièce exceptionnelle à double titre : - on ne connaissait jusqu'à présent aucun écrit liturgique grandmontain enluminé (les manuscrits de l'abbaye de Grandmont ont été pour la plupart détruits en 1788). - par ailleurs, cette page, qui donne des pièces chantées de la messe du saint fondateur, Etienne de Muret, représenté au milieu de ses frères dans une grande initiale (12cm de côté) est ornée d'une superbe bordure dans laquelle quatre miniatures illustrant des miracles du saint alternent avec des animaux (singe, chenilles et escargot, geai, pigeon, colombin, papillon). les quatre miracles figurés, tirés de la Vie du saint rédigée peu apreès sa mort sous le priorat d'Etienne de Liciac, illustrent le miracle d'un enfant à Ambazac qui a la vision de la mort d'Etienne (mir34), la résurrection d'un ouvrier mort accidentellement sur un chantier de Grandmont (mir47), la guérison du paralytique Raymond de Plantade (mir42) et le miracle des oeufs (mir68). Ces miniatures sont aussi les seules à représenter les églises de Muret et de Grandmont, toutes deux disparues. Lorsque Guillaume Briçonnet prit possession de son abbaye, il en fit refaire les terriers, rédiger l'inventaire du trésor, la dota de calices en or et en argent et d'ornements liturgiques. Il fit également réaliser par un orfèvre toscan un chef-reliquaire en argent de saint-Etienne, dont sur le buste était orné 12 emaux, dont 8 représentant des miracles du saint et les 4 autres des armoiries. Si le chef a été conservé (aujourd'hui à l'écglise de saint-Sylvestre), le buste a été détruit à la Révolution et l'on peut penser que ces émaux, inspirés par une source commune, offraient une grande parenté avec les miniatures du graduel." Jean-Loup Lemaitre, 2014 -
Objets trouvés dans les fouilles de l'Evêché de Limoges, [Erotiques ] 1. Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". JB Tripon auteur de ces dessins érotiques s'explique : "lors de la démolition de l'Evêché [de Limoges] en 1759, on découvrit plusieurs objets très curieux mais dont quelques uns étaient d'une obscénité révoltante, ce qui engagea Monseigneur d'Argentré, évêque, de les faire briser. Beaumesnil obtint la permission d'en dessiner mais ces dessins oont été perdus [...] Quelques uns de ces monuments avaient pu faire partie d'un ancien temple à Priape, force créatrice de la Nature. Les emblèmes qui dans l'état actuel de nos moeurs nous semble le délire de la dépravation n'étaient peut-être que l'expression d'un sentiment pieux et de l'espérance en l'immortalité. JB Tripon précise enfin : "tout en publiant ces dessins qui nous semblent d'un intérêt hautement puissant, par une réserve facile à comprendre, nous avons cru devoir interrompre l'ordre de pagination, afin qu'il fût facultatif à nos souscripteurs d'élaguer de l'ouvrage ces deux livraisons ." Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare (en raison de ces images érotiques) . Les érudits du XIXesiècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2 -
Objets trouvés dans les fouilles de l'Evêché de Limoges, [Erotiques ] 2. Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". JB Tripon auteur de ces dessins érotiques s'explique : "lors de la démolition de l'Evêché [de Limoges] en 1759, on découvrit plusieurs objets très curieux mais dont quelques uns étaient d'une obscénité révoltante, ce qui engagea Monseigneur d'Argentré, évêque, de les faire briser. Beaumesnil obtint la permission d'en dessiner mais ces dessins oont été perdus [...] Quelques uns de ces monuments avaient pu faire partie d'un ancien temple à Priape, force créatrice de la Nature. Les emblèmes qui dans l'état actuel de nos moeurs nous semble le délire de la dépravation n'étaient peut-être que l'expression d'un sentiment pieux et de l'espérance en l'immortalité. JB Tripon précise enfin : "tout en publiant ces dessins qui nous semblent d'un intérêt hautement puissant, par une réserve facile à comprendre, nous avons cru devoir interrompre l'ordre de pagination, afin qu'il fût facultatif à nos souscripteurs d'élaguer de l'ouvrage ces deux livraisons ." Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare (en raison de ces images érotiques) . Les érudits du XIXesiècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2 -
Objets trouvés dans les fouilles de l'Evêché de Limoges, [Erotiques ] 3. Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". JB Tripon auteur de ces dessins érotiques s'explique : "lors de la démolition de l'Evêché [de Limoges] en 1759, on découvrit plusieurs objets très curieux mais dont quelques uns étaient d'une obscénité révoltante, ce qui engagea Monseigneur d'Argentré, évêque, de les faire briser. Beaumesnil obtint la permission d'en dessiner mais ces dessins oont été perdus [...] Quelques uns de ces monuments avaient pu faire partie d'un ancien temple à Priape, force créatrice de la Nature. Les emblèmes qui dans l'état actuel de nos moeurs nous semble le délire de la dépravation n'étaient peut-être que l'expression d'un sentiment pieux et de l'espérance en l'immortalité. JB Tripon précise enfin : "tout en publiant ces dessins qui nous semblent d'un intérêt hautement puissant, par une réserve facile à comprendre, nous avons cru devoir interrompre l'ordre de pagination, afin qu'il fût facultatif à nos souscripteurs d'élaguer de l'ouvrage ces deux livraisons ." Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare (en raison de ces images érotiques) . Les érudits du XIXesiècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2 -
Objets trouvés dans les fouilles de l'Evêché de Limoges, [Erotiques ] 4. Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". JB Tripon auteur de ces dessins érotiques s'explique : "lors de la démolition de l'Evêché [de Limoges] en 1759, on découvrit plusieurs objets très curieux mais dont quelques uns étaient d'une obscénité révoltante, ce qui engagea Monseigneur d'Argentré, évêque, de les faire briser. Beaumesnil obtint la permission d'en dessiner mais ces dessins oont été perdus [...] Quelques uns de ces monuments avaient pu faire partie d'un ancien temple à Priape, force créatrice de la Nature. Les emblèmes qui dans l'état actuel de nos moeurs nous semble le délire de la dépravation n'étaient peut-être que l'expression d'un sentiment pieux et de l'espérance en l'immortalité. JB Tripon précise enfin : "tout en publiant ces dessins qui nous semblent d'un intérêt hautement puissant, par une réserve facile à comprendre, nous avons cru devoir interrompre l'ordre de pagination, afin qu'il fût facultatif à nos souscripteurs d'élaguer de l'ouvrage ces deux livraisons ." Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare (en raison de ces images érotiques) . Les érudits du XIXesiècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2