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LA RACE BOVINE LIMOUSINE : PATRIMOINE VIVANT D’EXCELLENCE
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Variations dans le développement et les aptitudes du bétail limousin, en Corrèze, sous l'influence du milieu naturel et de son amélioration, étude suivie d'un aperçu sur l'état sanitaire du troupeau et les conditions pratiques propres à l'améliorer Thèse de médecine vétérinaire. Dédicace manuscrite de l'auteur à Antoine Perrier Fonds Antoine Perrier. cote : MAG.P LIM F7150/95 (Bfm Limoges) -
Les plus belles plantes de la mer Alguier. Contient 163 pages de texte : Traitement et application des algues, recherche et récolte des algues, généralités sur les algues, introduction à la botanique des algues, les trois classes des algues (les fucoïdées, les floridées, les zoosporées), description des familles, liste des espèces décrites avec leur description détaillée, espèces à récolter, suivi de 50 échantillons d'algues marines montés sur carton. Ouvrage édité à 500 exemplaires, réalisé à la suite d'une mission d’exploration sur les côtes de l’Océan et de la Manche, confiée à F. Stenfort par le ministre de l’instruction publique en 1873. cote : S1623/2 -
Plan de l'incendie du quartier de la rue Sainte-Marthe [à Limoges] le 7 juin 1870 ... (prenant des proportions semblables à celui du quartier des Arènes) sous la direction du commandant Linard. A partir d'un extrait du plan de la ville de 1856. Nota : la teinte noire représente les maisons incendiées. la teine rose celle non attaquées. plan manuscrit et rehaussé à l'aquarelle, Extrait du manuscrit "Guide du sapeur-pompier de la ville de Limoges", 1874 cote : Ms87/2 (Bfm) -
Plan du terrible et épouvantable incendie qui détruisit une partie de la ville de Limoges le 6 septembre 1790 Extrait du plan de la ville de Limoges de 1775 Nota : la teinte noire représente La teinte rouge forcée le mur d'enceinte de la ville de Limoges, la teinte rosée le quartier de la ville non atteint. Plan manuscrit et rehaussé à l'aquarelle, Extrait du manuscrit "Guide du sapeur-pompier de la ville de Limoges", 1874 cote : Ms87/2 (Bfm) -
Mes collections archéologiques Extrait du Bulletin 1964 de la Société des Lettres, Sciences et Arts de la Corrèze. Dédicace de l'auteur à Antoine Perrier en 1ère page Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze. Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires. Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac. cote : MAG.P LIM F7210/90 (Bfm-Fonds Antoine Perrier) -
Le Pays d'Ussel : préhistoire et histoire ancienne Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze. Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires. Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac. cote : MAG.P LIM 57232 (Bfm Limoges) -
L'époque barbare en Haute Corrèze Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze. Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires. Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac. cote : MAG.P LIM 54886/d (Bfm Limoges) -
Livre journal concernant l'enclos des Cy-devant Grands Carmes. Livre journal de la main de Jacques Joseph Juge de Saint-Martin, avec à la fin collé la copie d'un acte d'huissier concernant le même enclos. En 1790, Jacques Joseph Juge de Saint Martin acquiert les bâtiments du couvent des Carmes déclarés Bien National. Le magistrat procède alors, de 1791 à 1813, à l’allotissement et à la démolition du couvent, en réalisant ainsi une opération immobilière favorisée par le percement au beau milieu des bâtiments conventuels d’une rue nouvelle (rue Neuve des Carmes). Les Grands Carmes, arrivés à Limoges au milieu du 13e siècle, résidèrent d'abord près du pont Saint-Martial puis construisirent leur monastère près de l'ancien amphithéâtre. A la Révolution, la communauté est dissoute. cote : Ms66 (Bfm Limoges) -
Le lycée Gay-Lussac vu du boulevard Louis-Blanc Le collège de Limoges ouvre ses portes au début du 16e siècle. Il passe aux mains des Jésuites en 1599. Il prend le nom de Gay-Lussac en 1889. Les bâtiments ont été remaniés au fil des siècles mais, parmi les parties les plus anciennes, reste la chapelle du collège des Jésuites que l’on voit sur cette photographie. Le vide laissé par la démolition d’anciens bâtiments attenant à la chapelle a été comblé dans les années 1930 par l’édification de ce qui est communément appelé le « bloc scientifique » du lycée. (cote MAG.P.LIM 58095) -
Abrégé de grammaire limousine : bas-limousin, haut-limousin, marchois Cet abrégé a été publié en 1950 dans les "Mémoires de la Société des Sciences naturelles et archéologiques de la Creuse", t. 30, fasc. 2. Paul-Louis Grenier, originaire de la Creuse, a fait toute sa carrière à la bibliothèque nationale, après un court passage à la bibliothèque municipale de Limoges. Élève de l'école des chartes, il rédige une thèse sur l'histoire de Limoges, puis devient conservateur de bibliothèque. Il a consacré sa retraite à l'écriture, de poésies (le plus souvent bilingue français-occitan) et à la langue occitane elle-même. -
Ente soun tou quî gentei drôlei ? chanson de J. Foucaud ; harmonisée pour choeur à quatre voix mixtes On connait Jean-Baptiste Foucaud pour ses adaptations des Fables de La Fontaine en occitan. On oublie parfois qu'il est aussi l'auteur de nombreux textes de chansons qui connurent une grande popularité au XIXe siècle et même après, comme en témoigne cette partition pour choeur à quatre voix, dont la musique, signée par François Sarre date de 1912. Jean Foucaud est une figure limousine singulière. Né à Limoges en 1747, c'est un élève brillant qui excelle dans toutes les disciplines. Entré dans les ordres, ses talents d'orateur sont vite reconnus. Au moment de la Révolution, il se défroque et devient l'un des principaux animateurs jacobins de sa ville. Il passe les dernières années de sa vie dans une vieille maison à l'ombre de la cathédrale Saint-Étienne, et se consacre à l'écriture en langue limousine. Il meurt en 1818. Musicien et compositeur limousin François Sarre (1854-1942) est surtout connu des limousins pour sa chanson "lo Brianço" (La Briance, une rivière de Haute-Vienne) sur un poème de Joseph Mazabraud. Très attaché à la culture populaire occitane, il compose et adapte de nombreuses mélodies populaires, mais il est aussi l'auteur de nombreuses romances dans le goût du temps. François Sarre est enfin un fervent pédagogue très engagé dans l'enseignement musical en France. il publie d'ailleurs une méthode de solfège. cote : MAG.P LIM PAR.119 (Bfm Limoges) -
La Peinture céramique au cimetière de Limoges : un art populaire limousin. Léon Jouhaud n'est pas seulement le formidable émailleur que l'on connait - celui qui innova la façon de travailler l'émail et le transposa vers les grands mouvements artistiques de son temps (fauvisme, cubisme, pointillisme...)- il écrivit également au sujet de l'histoire de l'émail et plus largement l'histoire limousine. "D'abord dédaigneux, j'ai jeté un regard sur ces pauvres choses et ces pauvres choses se sont montrées moins banales que je n'avais cru. je les ai scrutées avec plus d'attention et j'ai vu se révéler derrière toute l'âme limousine si simple par moments, si complexe à d'autres, et qui a inconciemment imprimé là sa signature". cote : MAG.P LIM 19328 (Bfm) -
Lexique limousin d'après les oeuvres de Joseph Roux Dans la préface à l'ouvrage, Raymond Laborde précise : " On trouvera donc ici le vrai dialecte limousin et la plupart des mots réapparaitront avec toute leur couleur et leur saveur dégagés de la chrysalide "patoise"[...] Qu'on ne s'attende pas à quelque chose d'impeccable. Notre langue, si longtemps souveraine, a été d'une richesse incomparable. Nous ne pouvions pas avoir la prétention de la faire connaître du premier coup". Joseph Roux (1834-1905) félibre majoral limousin, chanoine de la cathédrale de Tulle, fondateur de la revue occitane Lemouzi est aujourd'hui salué avec respect dans toute l'Occitanie. Auteur d'une oeuvre littéraire riche (certaines de ses œuvres sont de véritables chansons de geste) et d'une Grammaire limousine, il entreprend un dictionnaire de la langue d'oc qui demeurera inédit à sa mort. cote : MAG.P LIM 33684 (Bfm Limoges) -
La Chansou lemouzina = L'épopée limousine Poèmes en occitan avec la traduction française en regard. Fonds Antoine Perrier cote : MAG.P LIM B1049 (Bfm Limoges) -
L'Instruction publique en Limousin depuis 1789 cote : MAG.P LIM B1339 (Bfm Limoges -
L'école de Notariat de Limoges, place du Présidial Ce bâtiment, édifié sur l'emplacement de l'ancien presbytère de l'église Saint-Michel-des-Lions, fut le présidial (nom des tribunaux sous l’Ancien Régime) de la généralité de Limoges dès 1553. L’architecte Joseph Brousseau le reconstruit en 1774 et lui offre sa façade de style classique. Le présidial devient ensuite la cour de justice, nouvelle dénomination. Le sous-sol comportait plusieurs cellules. Les condamnés pouvaient donc y être emprisonnés directement après leur jugement. Certains d’entre eux étaient ensuite emmenés par la rue des Prisons adjacente puis par la rue Monte-à-Regret vers la place d’Aine, lieu de leur exécution. Après la Révolution, le Conseil général et la Préfecture s’installent également dans ce grand bâtiment. En 1847, il accueille la première bibliothèque publique ainsi que le musée municipal. L’école de droit et de notariat y prend place en 1912. Sans affectation depuis de très nombreuses années, un projet d’habitations est à l’étude à la fin des années 2010. (cote : MAG.P.LIM 58093) -
Château du Vicq à Eyjeaux - Fonds Boudeau (B128-n°2284) Le château du Vicq, qui se situe au centre d'un domaine agricole au sud de la commune d'Eyjeaux, appartenait au moment de la prise de vue à Anatole Barbou des Courières, descendant de l'illustre famille d'imprimeurs et libraires établis à Limoges, Lyon et Paris. Comme nombre de châtelains limousins à cette époque, il pratiquait l'élevage bovin. Les domestiques exhibent ici une bête limousine, peut-être préparée pour un concours. -
Le flottage du bois à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B16-n°461) Descendu des monts d'Ambazac ou de la Montagne limousine, le bois arrivait à Saint-Priest-Taurion, à la confluence de la Vienne et du Taurion, où il était arrêté et réorganisé une première fois. Il pouvait alors continuer sa course au fil de l'eau jusqu'à Limoges où, arrivé au port du Naveix, il était stocké et vendu pour la construction ou comme bois de chauffage, mais surtout pour alimenter les nombreux fours à porcelaine de la ville. Cette photographie, bien que sa qualité soit altérée, nous montre l'importance de cette activité et le personnel nombreux qu'elle employait. -
Château de Salvanet à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B18-n°497) Ce château est bâti à partir de 1775 par la famille d'Alesme (ou Dalesme), vieille famille limousine originaire de Saint-Léonard, entre autres barons de Châtelus-le-Marcheix, qui avaient acquis le domaine de Salvanet au début du 16e siècle. Les d'Alesme confient la conception de cette demeure, qui remplacera une vieille bâtisse, au célèbre architecte limougeaud Joseph Brousseau. Nous voyons que de nombreux jardiniers sont employés à l'entretien du domaine, qui au moment de cette prise de vue appartient à Mme Bugeaud de la Piconnerie, duchesse d'Isly. -
Incendie à l'usine du Maureix, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B21-n°542) Jean-Baptiste Boudeau se fait ici reporter, puisqu'il part photographier les dégâts occasionnés par un incendie à la papeterie du Petit Maureix, sur la commune de Saint-Martin-Terressus. Cette usine des bords du Taurion était spécialisée dans la fabrication de papier-paille. Elle appartenait à la Société générale des Papeteries du Limousin qui, depuis 1898, regroupait d'anciennes papeteries indépendantes de Haute-Vienne, de Charente limousine et de Corrèze. Bien que n'étant pas le centre de production le plus important du groupement, l'usine du Maureix employait tout de même plus de 40 ouvriers.