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LA RACE BOVINE LIMOUSINE : PATRIMOINE VIVANT D’EXCELLENCE
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La Famille limousine de Victor Hugo : une carmélite, cousine et correspondante du poète : documents inédits
Présentation de la correspondance pleine de tendresse de Victor Hugo avec sa cousine germaine Marie, religieuse à Tulle, fille du colonel Louis Hugo. cote : MAG.P LIM B10066/1(Bfm Limoges) -
Une Limousine oubliée : Madame Des Loges
Marie Bruneau, épouse Des Loges tint pendant 26 ans un salon parisien très suivi. Calviniste lettrée, elle est est considérée comme la grande directrice de la transfomation du goût en poésie en ce début de XVIIe siècle .Elle n'aimait que la littérature sérieuse et raffinée et ne goûtait pas Marot et les "jargonneurs". Mademoiselle de Gournay, fille adoptive de Montaigne lui dédie un ouvrage de poésie, Malherbe, Voiture, Racan, la comparent à la muse Uranie. Elle se retire finalement au château de Laplaud, près d'Oradour/Glane où elle meurt en 1641. Malherbe écrit alors "Vous êtes admise de la meilleure partie de l'Europe, en ce point sont d'accord les deux religions. Les Princes sont vos courtisans et les docteurs vos écoliers". cote : MAG.P LIM B1102 -
Chanson Limousine
Pierre Halary fut un homme de lettres accompli : poète, traducteur, philologue reconnu, il collabora à de nombreuses revues françaises et belges. Né à Limoges, il demeura toujours lié à son Limousin, qu'il chante dans de nombreux poèmes. A la fin de sa vie, Pierre Halary composa des chansons, qu'il considéraient comme un délassement de l'esprit. celles-ci sont souvent teintées de nostalgie. cote : MAG P LIM 35656 (Bfm Limoges) -
Sous-Bois, chanson limousine
couplets sur un viel air limousin Pierre Halary fut un homme de lettres accompli : poète, traducteur, philologue reconnu, il collabora à de nombreuses revues françaises et belges. Né à Limoges, il demeura toujours lié à son Limousin, qu'il chante dans de nombreux poèmes. A la fin de sa vie, Pierre Halary composa des chansons, qu'il considéraient comme un délassement de l'esprit. celles-ci sont souvent teintées de nostalgie. cote : MAG P LIM 35656 (Bfm Limoges) -
Les plus belles plantes de la mer
Alguier. Contient 163 pages de texte : Traitement et application des algues, recherche et récolte des algues, généralités sur les algues, introduction à la botanique des algues, les trois classes des algues (les fucoïdées, les floridées, les zoosporées), description des familles, liste des espèces décrites avec leur description détaillée, espèces à récolter, suivi de 50 échantillons d'algues marines montés sur carton. Ouvrage édité à 500 exemplaires, réalisé à la suite d'une mission d’exploration sur les côtes de l’Océan et de la Manche, confiée à F. Stenfort par le ministre de l’instruction publique en 1873. cote : S1623/2 -
Plan du terrible et épouvantable incendie qui détruisit une partie de la ville de Limoges le 6 septembre 1790
Extrait du plan de la ville de Limoges de 1775 Nota : la teinte noire représente La teinte rouge forcée le mur d'enceinte de la ville de Limoges, la teinte rosée le quartier de la ville non atteint. Plan manuscrit et rehaussé à l'aquarelle, Extrait du manuscrit "Guide du sapeur-pompier de la ville de Limoges", 1874 cote : Ms87/2 (Bfm) -
Plan de l'incendie du quartier de la rue Sainte-Marthe [à Limoges] le 7 juin 1870
... (prenant des proportions semblables à celui du quartier des Arènes) sous la direction du commandant Linard. A partir d'un extrait du plan de la ville de 1856. Nota : la teinte noire représente les maisons incendiées. la teine rose celle non attaquées. plan manuscrit et rehaussé à l'aquarelle, Extrait du manuscrit "Guide du sapeur-pompier de la ville de Limoges", 1874 cote : Ms87/2 (Bfm) -
Livre journal concernant l'enclos des Cy-devant Grands Carmes.
Livre journal de la main de Jacques Joseph Juge de Saint-Martin, avec à la fin collé la copie d'un acte d'huissier concernant le même enclos. En 1790, Jacques Joseph Juge de Saint Martin acquiert les bâtiments du couvent des Carmes déclarés Bien National. Le magistrat procède alors, de 1791 à 1813, à l’allotissement et à la démolition du couvent, en réalisant ainsi une opération immobilière favorisée par le percement au beau milieu des bâtiments conventuels d’une rue nouvelle (rue Neuve des Carmes). Les Grands Carmes, arrivés à Limoges au milieu du 13e siècle, résidèrent d'abord près du pont Saint-Martial puis construisirent leur monastère près de l'ancien amphithéâtre. A la Révolution, la communauté est dissoute. cote : Ms66 (Bfm Limoges) -
L'époque barbare en Haute Corrèze
Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze. Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires. Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac. cote : MAG.P LIM 54886/d (Bfm Limoges) -
Le Pays d'Ussel : préhistoire et histoire ancienne
Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze. Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires. Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac. cote : MAG.P LIM 57232 (Bfm Limoges) -
Mes collections archéologiques
Extrait du Bulletin 1964 de la Société des Lettres, Sciences et Arts de la Corrèze. Dédicace de l'auteur à Antoine Perrier en 1ère page Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze. Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires. Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac. cote : MAG.P LIM F7210/90 (Bfm-Fonds Antoine Perrier) -
Culte marial
Au mois de mai, « le mois de Marie » pour les chrétiens, Jean-Baptiste Boudeau réalise sa première photographie d'église qui nous soit connue. Il sort de son environnement proche pour choisir le sanctuaire de Notre Dame d'Arliquet, situé sur le territoire de la commune d'Aixe-sur-Vienne. Il s'agit d'un bâtiment reconstruit au XIXe siècle, en briques rouges, dont la chapelle contient une Vierge de pitié, une pietà, en bois polychrome datée du XVIème siècle. Par ce choix, lié non pas au patrimoine mais à une dimension religieuse propre, et en ne faisant que des photographies de ce sanctuaire, il montre un aspect propre à son inclinaison religieuse. Notons au passage, que la première carte postale réalisée par lui, celle qui porte le numéro 1, est celle de la procession du 15 août, à Saint-Priest-Taurion. La fête de la Vierge, encore. Boîte B1 (Bfm Limoges) -
Tombeau de Jean de Langeac, cathédrale de Limoges
Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". Jean de Langeac ecclésiastique, magistrat et diplomate (ambassadeur de François 1er à diverses reprises ) fut élu évêque de Limoges en 1532. Il travailla ardemment à l’épanouissement du style Renaissance à Limoges. Achevé en 1544, soit trois ans après sa mort, ce tombeau constitue avec le jubé que Jean de Langeac fit également construire, l'un des deux beaux ouvrages de ce style Renaissance remarquable de Limoges et l'un des premiers du Limousin. Mutilé à la Révolution, il ne subsiste de ce tombeau que sa partie architecturale. Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2 -
Variations dans le développement et les aptitudes du bétail limousin, en Corrèze, sous l'influence du milieu naturel et de son amélioration, étude suivie d'un aperçu sur l'état sanitaire du troupeau et les conditions pratiques propres à l'améliorer
Thèse de médecine vétérinaire. Dédicace manuscrite de l'auteur à Antoine Perrier Fonds Antoine Perrier. cote : MAG.P LIM F7150/95 (Bfm Limoges) -
Brise du Soir
Nocturne. Musicien et compositeur limousin François Sarre (1854-1942) est surtout connu des limousins pour sa chanson "lo Brianço" (La Briance, une rivière de Haute-Vienne) sur un poème de Joseph Mazabraud. Très attaché à la culture populaire occitane, il compose et adapte de nombreuses mélodies populaires, mais il est aussi l'auteur de nombreuses romances dans le goût du temps. François Sarre est enfin un fervent pédagogue très engagé dans l'enseignement musical en France. il publie d'ailleurs une méthode de solfège. cote : patrimoine réserve MAG.P LIM PAR.90 (Bfm Limoges) -
Le Maréchal Brune : Pendant la 1ère Restauration et les cents jours jusqu'à sa mort.
Né à Brive en 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, il fut typographe et littérateur. Monté à Paris, il adhère totalement aux idées de la Révolution et se lie avec Danton. Commence alors sa carrière militaire en 1793 contre les Vendéens. Il s'illustre à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chasse les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Il est nommé maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814, il se rallie aux Bourbons. Au retour de l'île d'Elbe, il accepte de l'Empereur le commandement de la division militaire de Marseille. A ce poste, il pourchasse avec vigueur les royalistes qui opèrent dans le midi et retarde jusqu'à la fin juillet sa soumission aux nouvelles autorités issues de la seconde Restauration. Il meurt assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815 durant la période de la "Terreur Blanche". cote : 00 ZA1 BRU ( Médiathèque de Brive, Patrimoine local ) -
Le Maréchal Brune, poésie
Poème de M. Lacoste du Bouig en hommage au Maréchal Brune, lors de l’inauguration de la statue de Brune, à Brive, en 1841. Né à Brive en 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, il fut typographe et littérateur. Monté à Paris, il adhère totalement aux idées de la Révolution et se lie avec Danton. Commence alors sa carrière militaire en 1793 contre les Vendéens. Il s'illustre à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chasse les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Il est nommé maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814, il se rallie aux Bourbons. Au retour de l'île d'Elbe, il accepte de l'Empereur le commandement de la division militaire de Marseille. A ce poste, il pourchasse avec vigueur les royalistes qui opèrent dans le midi et retarde jusqu'à la fin juillet sa soumission aux nouvelles autorités issues de la seconde Restauration. Il meurt assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815 durant la période de la "Terreur Blanche". cote : 00 ZA1 BRU ( Médiathèque de Brive, Patrimoine local ) -
Correspondance Brune (Lettres inédites)
Présentation de lettres inédites provenant de papier de famille. Les unes sont écrites par le Maréchal Brune ou par sa femme ; les autres leur sont adressées ou les intéressent directement. Guillaume Marie-Anne Brune est né à Brive en 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville. Il fut typographe et littérateur. Monté à Paris, il adhère totalement aux idées de la Révolution et se lie avec Danton. Commence alors sa carrière militaire en 1793 contre les Vendéens. Il s'illustre à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chasse les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Il est nommé maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814, il se rallie aux Bourbons. Au retour de l'île d'Elbe, il accepte de l'Empereur le commandement de la division militaire de Marseille. A ce poste, il pourchasse avec force les royalistes qui opèrent dans le midi et retarde jusqu'à la fin juillet sa soumission aux nouvelles autorités issues de la seconde Restauration. Il meurt assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815 durant la période de la "Terreur Blanche". cote : 00 ZA1 BRU ( Médiathèque de Brive, Patrimoine local ) -
Chapelle de la Visitation, Limoges
Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". Située rue François Chénieux à Limoges, cette chapelle fut érigée en 1775, lors de la construction du couvent des Visitandines. Elle est occupée par les religieuses jusqu'à la Révolution. Elle est est alors transformée en tribunal révolutionnaire puis civil, avant d'abriter une pharmacie puis une infirmerie pendant la guerre de 1914/1918. Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2 -
L'Observatoire de Limoges
Cet observatoire fut établi en 1882 par Paul Garrigou-Lagrange (1855-1927), passionné de climatologie, de météorologie et d'hydrologie, natif d'Aixe-sur-Vienne. L’étrange bâtiment, qui contenait un logement mais aussi des salles de réunion, des laboratoires et des plates-formes d’observation, fut bâti sur les plans de l'architecte Jules Tixier. Il était situé dans une petite allée perpendiculaire à l'avenue Jean-Foucaud. Laissé à l’abandon durant de nombreuses années et malgré l’opposition de nombreux riverains et défenseurs du patrimoine, le bâtiment fut rasé en 1979. Il n’en reste rien, seul le nom de la rue garde sa mémoire. cote : 3FI71/10