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LA RACE BOVINE LIMOUSINE : PATRIMOINE VIVANT D’EXCELLENCE
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Gimel Guide touristique de la région de Gimel publié dans les années 1925 par Victor Forot (1845-1933), historien et historien d'art, maire adjoint de Tulle et conservateur du musée de Tulle, en charge de l'inventaire des richesses artistiques du département il fut l’un des historiens et archéologues les plus importants de la Corrèze du début du XXe siècle. Les Illustrations sont d’André Mazeyrie, personnalité tulliste profondément liée à l’histoire du musée du Cloître. Médecin mais également dessinateur, il a illustré de nombreux ouvrages sur l’histoire de la ville ou du département. cote : Patrimoine local 19 C/mag (Bibliothèque de Brive) -
Extrait du procés-verbal des cérémonies qui ont eu lieu à Brive les 2 et 3 octobre 1841 à l'occasion de l'inauguration de la statue élevée au Maréchal Brune Ce document contient le procès-verbal des cérémonies qui ont eu lieu à Brive en 1841 en hommage au maréchal Brune lors l’inauguration de sa statue, souscription, discours etc… Cette statue est toujours en place. Né à Brive, dans une famille de petite noblesse, Guillaume Brune débute ses activités de typographe et littérateur. Monté à Paris, il adhère totalement aux idées de la Révolution et se lie avec Danton. Commence alors sa carrière militaire en 1793 contre les Vendéens. Il s'illustre à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chasse les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Il est nommé maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814, il se rallie aux Bourbons. Au retour de l'île d'Elbe, il accepte de l'Empereur le commandement de la division militaire de Marseille. A ce poste, il pourchasse avec vigueur les royalistes qui opèrent dans le midi et retarde jusqu'à la fin juillet sa soumission aux nouvelles autorités issues de la seconde Restauration. Il meurt assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815 durant la période de la "Terreur Blanche". cote : 00 ZA1 BRU (Médiathèque de Brive, Patrimoine local 00 ZA1 BRU) -
La troupe des bons enfans, assemblés à l'hôtel des bons ragoûts Très rare exemplaire d'une impression de la Bibliothèque bleue de Limoges. : des livres de colportage : des ouvrages de littérature populaire très en vogue dès le XVIIe siècle vendu à bas prix par les colporteurs, à l'image de la Bibliothèque bleue de Troyes ou de Lyon. Cet exemplaire est certainement celui cité par Clément-Simon dans son article sur la Bibliothèque bleue de Limoges publié dans le "Bibliophile Limousin", tome XIX, année 1904, pages 139 à 150. cote : RES.P LIM T 406 (Bfm Limoges) -
Le Miroir d'astrologie naturelle, traitant de l'inclination de l'homme et de la femme, leur naissance, et de ce qui leur peut arriver durant leur vie L'ouvrage est une adaptation d'un traité plus ancien écrit au XVIe siècle par un certain Sinibal (ou Cinibal) Spadacine (ou Spadacime), "astrologue de l'Etat de Milan" dont on ne sait presque rien. Il en existe maintes versions avec des titres plus ou moins détaillés. Ces livres d'astrologie ont été les best-seller des publications populaires. L'ouvrage est constitué du portrait de l'homme puis de la femme (complexion, humeur, maladies, accidents...) en fonction du signe astrologique. Un court traité de chiromancie vient clore l'ouvrage. Première pièce d'un recueil factice. cote : LIM 53573 (Bfm Limoges) -
La Dame blanche : chronique des chevaliers à l'Écusson vert Jean-Pierre Brès est né le 4 août 1782, à Limoges. Un temps professeur d’humanités au collège d’Issoire, il rejoint vite Paris et commence des études de médecine qu’il n’achève pas. Il travaille en tant que secrétaire et précepteur puis employé dans les bureaux de la préfecture de la Seine. Il donne des cours dans plusieurs institutions de la capitale, en particulier à l’Athénée des arts et au Cercle des arts. A partir de 1823, il occupe aussi le poste de rédacteur de la Revue encyclopédique. Auteur de poèmes, de récits dans les Almanachs populaires qu'il affectionne, il choisit de se tourner vers la production d'histoires pour les enfants, domaine relativement nouveau. cote : MAG.P.LIM 4069 (Bfm Limoges) -
Vision de la maison des fous amoureux : nouvelle historique Reliure signée demi-chagrin rouge, tête dorée, dos lisse , titre en long. Reliure de Vailly qui exerçait au Havre durant le dernier quart du XIXe siècle. Très rare exemplaire d'une impression de la Bibliothèque bleue de Limoges. Imprimé par Farne au début du XVIIIe siècle, copié sur la Bibliothèque bleue de Lyon. Cet exemplaire est certainement celui cité par Clément-Simon dans son article sur la Bibliothèque bleue de Limoges publié dans le "Bibliophile Limousin", tome XIX, année 1904, pages 139 à 150. cote : RES.P LIM T 407 (Bfm Limoges) -
"Feuilles au vent", Poésies La page de titre porte "Insomnies", le plat supérieur de la reliure porte "Feuilles au vent"; Gustave Chadeuil, né à Limoges en 1823 fait partie de ces nombreux poètes du XIXe siècle "hugolâtres" et "lamartiniens" : des vers du plus pur romantisme dans le sillage des grands. A noter, des dessins à la plume qui n'ont presque pas à rougir de ceux de Victor Hugo. cote : Ms167 (Bfm Limoges) -
Attelage de la duchesse d'Isly - Fonds Boudeau (B21-n°547) Mme Bugeaud de la Piconnerie, duchesse d'Isly, était propriétaire du château de Salvanet à Saint-Priest-Taurion. Nous ne savons pas si cette photographie a été prise sur le domaine, dans un village voisin ou dans le bourg. Si le Limousin est célèbre pour ses bovins, il est aussi, depuis des siècles, une terre d'élevage équin d'excellence. Beaucoup d'aristocrates et de notables locaux se faisaient donc un devoir de posséder et de montrer les plus beaux spécimens, principalement des chevaux de selle. Ici, c'est également la très belle calèche qui est fièrement exhibée. L'habit et le chapeau haut-de-forme du cocher donnent à l'ensemble un aspect encore très 19e siècle. -
Monsieur Naudin à cheval - Fonds Boudeau (B22-n°561) Nous ne savons pas qui était ce monsieur Naudin ni où la photographie fut prise, probablement dans l'un des châteaux que Jean-Baptiste Boudeau visita en cette année 1909, dans la région de Saint-Priest-Taurion, Saint-Martin-Terressus et Saint-Just-le-Martel. Si le Limousin est célèbre pour ses bovins, il est aussi, depuis des siècles, une terre d'élevage équin d'excellence. Beaucoup d'aristocrates et de notables locaux se faisaient donc un devoir de posséder et de montrer les plus beaux spécimens, principalement des chevaux de selle. -
Jument de M. O'Toole au château de Ribagnac, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B62-n°1230) Si le Limousin est célèbre pour ses bovins, il est aussi, depuis des siècles, une terre d'élevage équin d'excellence. Beaucoup d'aristocrates et de notables locaux se faisaient donc un devoir de posséder et de montrer les plus beaux spécimens, principalement des chevaux de selle. -
Jument poulinière et pouliche de M. Malevergne, château de Cintrat à Saint-Just-le-Martel - Fonds Boudeau (B49-n°1020) Si le Limousin est célèbre pour ses bovins, il est aussi, depuis des siècles, une terre d'élevage équin d'excellence. Beaucoup d'aristocrates et de notables locaux se faisaient donc un devoir de posséder et de montrer les plus beaux spécimens, principalement des chevaux de selle. -
Pur-sang de M. Malevergne, château de Cintrat à Saint-Just-le-Martel - Fonds Boudeau (B50-n°1024) Si le Limousin est célèbre pour ses bovins, il est aussi, depuis des siècles, une terre d'élevage équin d'excellence. Beaucoup d'aristocrates et de notables locaux se faisaient donc un devoir de posséder et de montrer les plus beaux spécimens, principalement des chevaux de selle. -
Dictionnaire de langue limousine Religieux de la congrégation de Saint-Maur, Léonard Duclou (Limoges, 1703 ; Solignac, 1782) a séjourné à l'abbaye de Meymac et au prieuré de Saint-Angel en Haute-Corrèze. Sans doute est-ce ce qui l'a poussé à recueillir dans ce Dictionnaire de la langue limousine les mots en usage à la fin du XVIIIe siècle et à les orthographier de manière à en faire connaître la prononciation. Passionné d'étymologie comme les érudits de son temps, il a tenté de trouver aux mots un lien avec le latin, le grec, voire l'allemand, le celte ou le breton. Ce manuscrit existe en deux exemplaires. L'un, daté de 1774, est dans une collection particulière. Celui de la Bfm (Ms 136) composé de 181 feuillets porte la date de 1779. Il s'arrête à la lettre « v » mais comporte quelques ajouts manuscrits sur feuilles volantes. Le dictionnaire proprement dit occupe les 160 premiers feuillets auxquels s'ajoutent deux suppléments : les « termes en usage dans les villes d'Ussel, Maimac, Égletons, Saint-Angel et lieux circonvoisins » (30 p.) et les vieux mots limousins extraits de manuscrits des XIVe et XVe siècles (3 p.). À la fin du texte, se trouve le jugement du censeur royal – absent du manuscrit de 1774 – disant que ce travail, « fruit du zèle patriotique le plus louable et des connoissances utiles d'un savant bénédictin, a été composé dans la vue d'accélérer les progrès de la langue françoise, et de la rendre familière dans la province du Limousin ». L'exemplaire de la Bfm est accompagné d'un prospectus manuscrit, d'une autre main, présentant le Dictionnaire : l'auteur y déclare notamment avoir eu pour objet « d'être utile aux étrangers qui par leurs emplois […] sont obligés d'avoir relation avec des personnes qui ignorent presque absolument le françois ». Ce prospectus reprend en partie la préface de l'auteur qui précède le Dictionnaire. Le prospectus joint à l'exemplaire de la Bfm est une version manuscrite de celui paru dans le Calendrier ecclésiastique et civil du Limousin pour 1777 qui nous apprend qu'une souscription court du 11 juin 1776 au 1er mars 1777. Les souscripteurs, qui doivent s'adresser à l'abbé Vitrac, professeur au Collège, bénéficieront du tarif préférentiel de 5 livres pour un format prévu grand 8° ; pour les autres, il reviendra à 7 livres 10 sols. Cette annonce, qui occupe 12 pages, donne en plus un avant goût de l'ouvrage en livrant quelques-uns des premiers articles du dictionnaire. Un extrait de ce prospectus est paru dans la Feuille hebdomadaire de la généralité de Limoges du 11 juin 1776 où il est indiqué que « on ne le livrera à l'impression que lorsqu'on aura un certain nombre de souscripteurs ». Sans doute n'ont-ils pas été assez nombreux car l'ouvrage n'a pas été imprimé. Resté manuscrit, il a cependant été utilisé par Léon Dhéralde (1815-1891), auteur d'un autre Dictionnaire de la langue limousine publié seulement en 1968. Sur la page de garde du manuscrit, une note de l'imprimeur Roméo Chapoulaud (1800-1890), datée d'avril 1825 donne les noms des anciens possesseurs et indique comment il lui est parvenu : il en a hérité de son oncle maternel Léonard Juge de Saint-Martin, un des frères de l'agronome Jacques-Joseph Juge de Saint-Martin et époux de Françoise Chapoulaud, sœur de son père l'imprimeur François (II) Chapoulaud. Jointe au manuscrit, sur une feuille, Roméo Chapoulaud explique comment il a failli ne pas le récupérer après l'avoir prêté pour servir à l'édition des poésies occitanes de l'abbé François Richard (1733-1814) sortie des presses Chapoulaud en 1824. cote : Ms 136 (Bfm Limoges) -
Chauffaille, légende limousine Hemma-Prosbert collaborateur régulier de la "Revue Limousine" et de "Lemouzi" est un érudit passionné par l'histoire de sa région. Son récit "Chauffaille, légende limousine, tiré des "Chroniques" de Geoffroy de Vigeois, relate les hauts faits des habitants de Chaufaille, près de Saint-Yrieix au XIIe siècle, durant la guerre entre Richard Coeur de Lion et ses frères. cote : MAG.P LIM 41591 (Bfm Limoges) -
Grammaire limousine Publié par Lemouzi novembre 1893-mai 1895 Joseph Roux (1834-1905) félibre majoral limousin, chanoine de la cathédrale de Tulle, fondateur de la revue occitane Lemouzi est aujourd'hui salué avec respect dans toute l'Occitanie. Auteur d'une oeuvre littéraire riche (certaines de ses œuvres sont de véritables chansons de Geste) et d'une Grammaire limousine, il entreprend un dictionnaire de la langue d'oc qui demeurera inédit à sa mort. cote : MAG.P LIM 33683 (Bfm Limoges) -
Tulle-église des Carmes Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage. Cette chapelle du couvent des Carmes a été élevée à la fin du 17e siècle. Son architecture est caractéristique du style classique de cette époque avec son plan octogonal, ses six chapelles saillantes, sa façade principale scandée de pilastres . L'église a cessé d'être affectée au culte par arrêté du 20 janvier 2010. Cette gravure fut initialement publiée "Le vieux Tulle" de René Fage. cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges) -
Panorama de Limoges avec blason et devise Très célèbre gravure représentant la ville. La devise de Limoges, en occitan ancien, peut se traduire par « Dieu protège la ville et Saint Martial protège le peuple ». (in La Vie limousine 1932, cote RES.P. LIM 58093) -
Sous-Bois, chanson limousine couplets sur un viel air limousin Pierre Halary fut un homme de lettres accompli : poète, traducteur, philologue reconnu, il collabora à de nombreuses revues françaises et belges. Né à Limoges, il demeura toujours lié à son Limousin, qu'il chante dans de nombreux poèmes. A la fin de sa vie, Pierre Halary composa des chansons, qu'il considéraient comme un délassement de l'esprit. celles-ci sont souvent teintées de nostalgie. cote : MAG P LIM 35656 (Bfm Limoges) -
La Famille limousine de Victor Hugo : une carmélite, cousine et correspondante du poète : documents inédits Présentation de la correspondance pleine de tendresse de Victor Hugo avec sa cousine germaine Marie, religieuse à Tulle, fille du colonel Louis Hugo. cote : MAG.P LIM B10066/1(Bfm Limoges) -
Chanson Limousine Pierre Halary fut un homme de lettres accompli : poète, traducteur, philologue reconnu, il collabora à de nombreuses revues françaises et belges. Né à Limoges, il demeura toujours lié à son Limousin, qu'il chante dans de nombreux poèmes. A la fin de sa vie, Pierre Halary composa des chansons, qu'il considéraient comme un délassement de l'esprit. celles-ci sont souvent teintées de nostalgie. cote : MAG P LIM 35656 (Bfm Limoges)