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Date est exactement
1913
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Château du Vicq à Eyjeaux - Fonds Boudeau (B128-n°2284) Le château du Vicq, qui se situe au centre d'un domaine agricole au sud de la commune d'Eyjeaux, appartenait au moment de la prise de vue à Anatole Barbou des Courières, descendant de l'illustre famille d'imprimeurs et libraires établis à Limoges, Lyon et Paris. Comme nombre de châtelains limousins à cette époque, il pratiquait l'élevage bovin. Les domestiques exhibent ici une bête limousine, peut-être préparée pour un concours.
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Château du Vicq à Eyjeaux - Fonds Boudeau (B128-n°2282) Le château du Vicq, qui se situe au centre d'un domaine agricole au sud de la commune d'Eyjeaux, appartenait au moment de la prise de vue à Anatole Barbou des Courières, descendant de l'illustre famille d'imprimeurs et libraires établis à Limoges, Lyon et Paris.
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Château du Vicq à Eyjeaux - Fonds Boudeau (B128-n°2281) Le château du Vicq, qui se situe au centre d'un domaine agricole au sud de la commune d'Eyjeaux, appartenait au moment de la prise de vue à Anatole Barbou des Courières, descendant de l'illustre famille d'imprimeurs et libraires établis à Limoges, Lyon et Paris.
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Château du Vicq à Eyjeaux - Fonds Boudeau (B128-n°2280) Le château du Vicq, qui se situe au centre d'un domaine agricole au sud de la commune d'Eyjeaux, appartenait au moment de la prise de vue à Anatole Barbou des Courières, descendant de l'illustre famille d'imprimeurs et libraires établis à Limoges, Lyon et Paris.
- Groupe Denoille (ou Denouailles ?) à Eyjeaux - Fonds Boudeau (B128-n°2279)
- Groupe Denoille (ou Denouailles ?) à Eyjeaux - Fonds Boudeau (B128-n°2278)
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Groupe de l'école Saint-Jean à Ambazac - Fonds Boudeau (B127-n°2273) Paul et Céline Pouquet s'installent en 1840 dans une grande propriété du village de Trasforêt, sur la commune d'Ambazac. Ils consacrent une grande partie de leur fortune à l'édification d'une institution catholique tenue par des religieuses et comprenant une école primaire, un hôpital et un ouvroir (foyer de charité préparant des orphelines aux métiers de couturière et de domestique). En 1864 est édifiée une chapelle qui imite le style roman. Après la loi de 1902 sur les écoles congréganistes, l’Église est chassée des bâtiments qui restent vides quelques années avant d'accueillir, à partir de 1907, des séminaristes de la région. Le docteur Alfred Pouquet, neveu des fondateurs, offre les bâtiments à l’Église. Une école religieuse, l'école Saint-Jean, fonctionnera dans ces locaux jusqu'en 1958, avant d'être déplacée à Limoges. Après le départ de l'école, ce sont des sœurs de Saint François d'Assise qui occupent "l'Oeuvre Pouquet". L’Église vendra les bâtiments au début des années 2000, qui sont depuis lors occupés par un lieu d'accueil pour adultes handicapés, le foyer de vie Gilbert Ballet. Jean-Baptiste Boudeau photographie ici un groupe posant devant le portail de la chapelle.
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Groupe de l'école Saint-Jean à Ambazac - Fonds Boudeau (B127-n°2272) Paul et Céline Pouquet s'installent en 1840 dans une grande propriété du village de Trasforêt, sur la commune d'Ambazac. Ils consacrent une grande partie de leur fortune à l'édification d'une institution catholique tenue par des religieuses et comprenant une école primaire, un hôpital et un ouvroir (foyer de charité préparant des orphelines aux métiers de couturière et de domestique). En 1864 est édifiée une chapelle qui imite le style roman. Après la loi de 1902 sur les écoles congréganistes, l’Église est chassée des bâtiments qui restent vides quelques années avant d'accueillir, à partir de 1907, des séminaristes de la région. Le docteur Alfred Pouquet, neveu des fondateurs, offre les bâtiments à l’Église. Une école religieuse, l'école Saint-Jean, fonctionnera dans ces locaux jusqu'en 1958, avant d'être déplacée à Limoges. Après le départ de l'école, ce sont des sœurs de Saint François d'Assise qui occupent "l'Oeuvre Pouquet". L’Église vendra les bâtiments au début des années 2000, qui sont depuis lors occupés par un lieu d'accueil pour adultes handicapés, le foyer de vie Gilbert Ballet. Jean-Baptiste Boudeau photographie ici un groupe posant devant le portail de la chapelle.
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Groupe de l'école Saint-Jean à Ambazac - Fonds Boudeau (B127-n°2271) Paul et Céline Pouquet s'installent en 1840 dans une grande propriété du village de Trasforêt, sur la commune d'Ambazac. Ils consacrent une grande partie de leur fortune à l'édification d'une institution catholique tenue par des religieuses et comprenant une école primaire, un hôpital et un ouvroir (foyer de charité préparant des orphelines aux métiers de couturière et de domestique). En 1864 est édifiée une chapelle qui imite le style roman. Après la loi de 1902 sur les écoles congréganistes, l’Église est chassée des bâtiments qui restent vides quelques années avant d'accueillir, à partir de 1907, des séminaristes de la région. Le docteur Alfred Pouquet, neveu des fondateurs, offre les bâtiments à l’Église. Une école religieuse, l'école Saint-Jean, fonctionnera dans ces locaux jusqu'en 1958, avant d'être déplacée à Limoges. Après le départ de l'école, ce sont des sœurs de Saint François d'Assise qui occupent "l'Oeuvre Pouquet". L’Église vendra les bâtiments au début des années 2000, qui sont depuis lors occupés par un lieu d'accueil pour adultes handicapés, le foyer de vie Gilbert Ballet. Jean-Baptiste Boudeau photographie ici un groupe posant devant le portail de la chapelle.
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Groupe de l'école Saint-Jean à Ambazac - Fonds Boudeau (B127-n°2270) Paul et Céline Pouquet s'installent en 1840 dans une grande propriété du village de Trasforêt, sur la commune d'Ambazac. Ils consacrent une grande partie de leur fortune à l'édification d'une institution catholique tenue par des religieuses et comprenant une école primaire, un hôpital et un ouvroir (foyer de charité préparant des orphelines aux métiers de couturière et de domestique). En 1864 est édifiée une chapelle qui imite le style roman. Après la loi de 1902 sur les écoles congréganistes, l’Église est chassée des bâtiments qui restent vides quelques années avant d'accueillir, à partir de 1907, des séminaristes de la région. Le docteur Alfred Pouquet, neveu des fondateurs, offre les bâtiments à l’Église. Une école religieuse, l'école Saint-Jean, fonctionnera dans ces locaux jusqu'en 1958, avant d'être déplacée à Limoges. Après le départ de l'école, ce sont des sœurs de Saint François d'Assise qui occupent "l'Oeuvre Pouquet". L’Église vendra les bâtiments au début des années 2000, qui sont depuis lors occupés par un lieu d'accueil pour adultes handicapés, le foyer de vie Gilbert Ballet. Jean-Baptiste Boudeau photographie ici un groupe posant devant le portail de la chapelle.
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Jeunes cyclistes à Ambazac - Fonds Boudeau (B127-n°2269) Ces deux jeunes cyclistes ont belle allure, l'un endimanché, l'autre en vêtements de travail. Ils furent photographiés à Ambazac, sur le petit pont enjambant le Beuvreix (également appelé Parleur) et menant au quartier de la gare. Derrière eux, nous apercevons le restaurant Pouyaud, dans l'actuelle avenue de Soufflenheim. A l'époque, la production industrielle de vélos s'accélérait en France et ce nouveau mode de déplacement connaissait un formidable essor dans nos campagnes...
- Bureau de tabac / poste de la Crouzille, Saint-Sylvestre - Fonds Boudeau (B127-n°2268)
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Cascade et moulin de Leychoisier à Bonnac-la-Côte - Fonds Boudeau (B127-n°2266) Sous le château de Leychoisier, le moulin du même nom est alimenté par la Mazelle, gros ruisseau de 13 km qui grossit la Cane, cette dernière devenant le ruisseau du Palais, affluent de la Vienne au Palais-sur-Vienne.
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Château de Leychoisier à Bonnac-la-Côte - Fonds Boudeau (B127-n°2265) Le château de Leychoisier, sur la commune de Bonnac-la-Côte, est un château des 14e-15e siècles, largement rénové et remanié au 19e siècle. Au moment de cette prise de vue, il appartenait à Mme veuve de Belot.
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M. Raymond Poincaré en Limousin article extrait de numéro largement consacré Article contenu dans la revue: "L'illustration", n° 3681, septembre 1913. photographies de Jean Jové (1876-1957). cote : MAG.P LIM K140 (Limoges)
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L'aéroparc Clément Bayard, 2. En 1913, JB. Boudeau part voyage à Paris et Compiègne en compagnie de son frère. De là, ils se rend près de Compagne dans l'Oise à l'aéroparc Clément Bayard. Sur cette photo, on devine la silhouette d'un dirigeable entreposé dans cet immense hangar. A l'entrée, un avion monoplace. Quelques badauds regardent négligemment la scène : hommes à pied, cyclistes, et un dragon à cheval, un chien... Boîte 167 (Bfm Limoges)
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L'aéroparc Clément Bayard, 1. En 1913, JB. Boudeau part voyage à Paris et Compiègne en compagnie de son frère. De là, ils se rend près de Compagne dans l'Oise à l'aéroparc Clément Bayard. Sur cette photo, on devine la silhouette d'un dirigeable entreposé dans cet immense hangar. A l'entrée, un avion monoplace. Quelques badauds, hommes à pied, cyclistes, enfants regardent négligemment la scène. Boîte 167 (Bfm Limoges)
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Famille bourgeoise et châtelaine Famille d'extraction bourgeoise, résidant dans le château d'Orgnac, sur le territoire de la commune du Chatenet-en-Dognon. Personnage : Desmonts d'Orgnac Boîte 157 (Bfm Limoges)
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Tour Eiffel Lors de son voyage à Paris, Jean-Baptiste Boudeau réalise plusieurs photographies dans les 7ème, 8ème et 15ème arrondissements. Jardin des Tuileries, Invalides, Champ de Mars, et bien sûr la Tour Eiffel. Nous ne sommes que 24 ans après son inauguration, pour l’exposition universelle de 1889. Boudeau, qui est fasciné par les éléments de la modernité, et en particulier la technique, réussit ici une prouesse. Non seulement, il choisit de ne pas photographier toute la Tour, mais il réussit grâce à l’ombre des poutrelles métalliques du Pont d’Iéna, de parvenir à une étonnante photographie presque abstraite. Les croisements des ombres rasantes semblent surgir de la Tour. Cette photographie a été réalisée au soleil couchant. On aperçoit « sous la Tour » deux des statues de cavaliers, côté rive gauche, cavalier gaulois et cavalier romain. Ces poutrelles métalliques avaient été installées pour l’expo de 1900 afin d’augmenter la capacité de circulation pédestre sur le pont. Elles ont existé jusqu’en 1913 a minima. Boite 168 (Bfm Limoges)
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Omnibus parisien Lors de son voyage à Paris, où il semble avoir rendu visite à son frère Eugène, Jean-Baptiste Boudeau a réalisé une vingtaine de photographies, à Paris même et à Versailles. Ici, nous avons la photographie d'un omnibus parisien de la CGO, la Compagnie Générale des Omnibus parisiens, fondée en 1855. Il s'agit de la ligne « AH », qui relie Grenelle dans le 15ème (rue de Javel?) à la gare Saint-Lazare dans le 8ème. Le véhicule doit être un des 152 Brillié-Schneider P2 qui a roulé à partir de 1906. Le véhicule est vide, étonnamment, mais trois jeunes enfants posant devant animent la scène. Boite 167 (Bfm Limoges)