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1891
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Le château de Rochechouart Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Gravure initialement publiée dans l'Almanach Ducourtieux, 1881. cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Ruines de Chalucet (Haute-Vienne) Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Gravure inintialement publiée dans l'ouvrage "Chalucet" de Louis Guibet, imprimerie Vve Ducourtieux (Limoges), 1887. cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Château de Montbrun, avant sa restauration Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Gravure publiée initialement dans l'Almanach Ducourtieux (1876) Forteresse militaire des XIIème et XVème siècles située près de Chalus, ce château fut incendié et ruiné en 1385, reconstruit au XVème sous sa forme actuelle par Pierre Montbrun, évêque de Limoges. Très endommagé, en particulier par l'incendie de 1917, il a conservé quatre grosses tours dont l'une englobe un superbe donjon quadrangulaire cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Château de La Vauguyon Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Gravure publiée initialement dans l'Almanach Ducourtieux (1877). cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Donjon de Château-Chervix Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Publié initialement dans l'ouvrage "Almanach limousin" publié par Paul Ducourtieux, imprimerie-librairie Ve H. Ducourtieux (Limoges), 1888. Ancien donjon du château à motte construit au XIIème et qui fut volontairement incendié par son propriétaire en 1553. Solide, remarquablement bâtie, elle témoigne de la richesse de son constructeur : le Vicomte de Limoges. cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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La lanterne des morts de Vicq Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Une lanterne des morts, appelée, est un édifice maçonné, de forme variable, souvent en forme de tour, généralement creux et surmonté d'un pavillon ajouré dans lequel au crépuscule on hissait, souvent avec un système de poulies, une lampe allumée supposée servir de guide aux défunts. En France, la plupart de ces édifices furent construits aux alentours du XIIe siècle. Ils sont pour l'essentiel concentrés dans une zone du centre-ouest de la France. La lanterne des morts de Vicq est aujourd'hui disparue. Dessin initialement publié dans l'ouvrage Etude sur les lanternes des morts par le chanoine André Lecler, Librairie Veuve H. Ducourtieux, 1882-1885. cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Saint-Etienne, cathédrale Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage. Publié initialement dans l'ouvrage "Limoges et ses environs" de Paul Ducourtieux. cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Abside de l'église du Dorat (Haute-Vienne) Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage. L'église collégiale Saint-Pierre-aux-Liens (XIIème-XIIIème) est la plus grande collégiale du centre de la France. Fortifiée au XVème s. en même temps que la cité du Dorat, la collégiale abrite les reliques de Saint Israël et de Saint Théobald. cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Château d'Aubusson en 1632. D'après un ancien dessin Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Publié initialement dans l'ouvrage " Histoire d'Aubusson : la Vicomté : la ville : les tapisseries : la maison d'Aubusson" de Cyprien Pérathon , imp.Ve Ducourtieux (Limoges), 1886. Ce château fut construit entre le Xème et le XIIIème siècles par les Vicomtes d'Aubusson et était l'un des plus remarquables château fort du Moyen Age : une forteresse protégée par une enceinte ovale, cinq tours rondes et un pont-levis qui enjambait un large fossé. Sur ordre de Richelieu, et afin d'enlever aux Huguenots tout moyen de résistance, le Château fut détruit en 1632. Il ne reste aujourd'hui qu'un pan de donjon rectangulaire, la muraille attenante et la base de la tour carrée du XIIIème siècle. cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Nicolas-Claude-Martin d'Autier de Villemontée Porte en plus une étiquette : "Hommage de M. Ambroise Tardieu historiographe de l'Auvergne à Herment (Puy-de-Dôme)". Le Comte Nicolas-Claude-Martin d'Autier de Villemontée, marquis de La Rochebriant, premier baron de la Marche (à cause de sa terre de Cléravaux), seigneur de Barmontet, d'Egurande, d'Hautefeuille, du Teil, de St-Merd-la-Breuille, de la Breuille, des Forains d'Herment. Il fut reçu page du roi Louis XV en sa grande écurie, devint le premier juge de paix du canton d'Herment, en 1790, et, plus tard, président du même canton. Né au château de Barmontet en 1742, il est mort à Clermont-Ferrand, le 15 janvier 1820. Il était fils de Jean-François-Marien d'Autier de Villemontée et de Françoise de Bosredont de la Breuille. Cote : FP AUT (Bfm Limoges)
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Sculptures du Petit Séminaire de Brive Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage. Ces sculptures proviennent de l'hôtel de Labenche, un des plus beaux hôtels particuliers renaissance de la région. Construit en 1540. Acheté en 1829 par l'évêque de Tulle pour y installer un petit séminaire vers 1850, il est ensuite devenu propriété de la ville de Brive-la-Gaillarde qui y installa le musée municipal dont le premier conservateur fut... Ernest Rupin ( de 1884 à 1909). Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Le pont du Saillant Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Edifié au XVIème siècle, le pont du Saillant est situé à cheval sur les communes de Voutezac et d'Allassac, (les habitants parlent encore du « Saillant d'Allassac » et du « Saillant de Voutezac »), enjambant la Vézère. Il est composé de six arches, deux sur Allassac et les autres sur Voutezac. Il a bénéficié d'une protection par les Monuments Historique en 1969. Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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la Chartreuse du Glandier Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Situé à l'ouest de la Corrèze, sur le territoire de la commune de Beyssac au milieu d'une forêt de chênes (d'où son nom), ce monastère est, avec celui de Mortemart (Haute-Vienne), le seul établissement cartusien (relatif aux Chartreux, dont la règle est le silence et la contemplation) du Limousin. Il fut fondé en 1219 par Archambaud VI. La Chartreuse a connu deux périodes de fonctionnement conventuel : la première entre 1219 et 1789, et la seconde entre 1860 et 1901. Confisqué par deux fois par l'État, le monastère a connu de nombreux avatars (hôpital militaire, centre de colonie de vacances, sanatorium...) Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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La maison Treilhard, Brive Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". La maison Treilhard, un bel hôtel particulier du XVIe siècle, fut la maison natale de J.-B. Treilhard (1742-1810), avocat, homme politique, principal rédacteur du code civil. Il est inhumé au Panthéon. Cet immeuble a appartenu aussi à une congrégation des frères prêcheurs. On voit encore la belle tour d’escalier en vis et la tourelle en encorbellement qui s’y accroche. Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Cour du château de Sédières, Corrèze Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage. Manoir fortifié construit au XVe siècle, il devient au XVIe siècle une demeure de plaisance remaniée de style Renaissance italienne par Dominique de Sédières de retour des campagnes d'Italie. Au XVIIe siècle le château se dote de jardins à la française grâce à la famille Lantillac, nouveaux héritiers des lieux. Abandonné puis pillé à la Révolution, le château est restauré en 1861 suivant les plans de Viollet-le-Duc. Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Le logis de Loyac, Tulle Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage. Le logis de Loyac appelée aussi "maison de l'abbé" fut construit aux XVe et XVIe siècles. Remarquable par l'élégance de sa façade, cette dernière, reconnaissable à ses tourelles, associe le style gothique flamboyant aux ornementations Renaissance. Cette gravure fut initialement publiée dans "Le vieux Tulle de René Fage. cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Maison à Uzerche, Corrèze Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Cette maison est connue aujourd'hui sous le nom de Château Pontier. C'est un bâtiment construit au 16e siècle par la famille Pontier qui avait quitté Aix-en-Provence à cause des guerres de Religion. Construit à l'emplacement d'un château antérieur, le bâtiment est constitué d' un corps de logis rectangulaire flanqué, du côté de la Vézère, de deux tourelles circulaires d'angle. Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Pille-Brive, Corrèze. Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage. La tradition locale raconte qu'il s'agirait d'une ancienne forteresse romaine qui servit de refuge au Moyen-âge puis de repère de bandits. Pourtant rien dans l'appareil des murs ne semble le confirmer. Il n'en reste pas moins que Pille-Brive, située à Chasteaux au sud de Brive est une curiosité imposante. Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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La porte Chanac (vue intra
muros), Tulle Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". La porte Chanac était située e à l'entrée de la même rue qui porte son nom. C'était une porte fortifiée. Les deux maisons qui la soutenaient étaient elles-même fortifiées. Cette porte devait dater du XIIIe siècle, mentionnée dans un acte de vente entre les seigneurs de Chanac et l'abbé de Tulle en 1256. Après plusieurs assauts, puis des remaniements au XIVe et au XVe siècles, elle cesse d'être entretenue, avant d'être détruite par arrêté municipal en 1958. Cette gravure fut initialement publiée "Le vieux Tulle" de René Fage cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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La porte Chanac (vue extra muros), Tulle Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage. La porte Chanac était située à l'entrée de la même rue qui porte son nom. C'était une porte fortifiée. Les deux maisons qui la soutenaient étaient elles-même fortifiées. Cette porte devait dater du XIIIe siècle, mentionnée dans un acte de vente entre les seigneurs de Chanac et l'abbé de Tulle en 1256. Après plusieurs assauts, puis des remaniements au XIVe et au XVe siècles, elle cesse d'être entretenue, avant d'être détruite par arrêté municipal en 1958. Cette gravure fut initialement publiée "Le vieux Tulle" de René Fage cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)