Contenus
Date est exactement
[s. d.]
-
J.B. Aug. de Villoutreix de Faye, evêque d'Oleron : né au ch.au de Faye diocese de Limoges le 3 9.bre 1739 député du clergé de Soule aux Etats généraux de 1789 Extrait de : "Collection complete, des portraits de MM.s les deputés a l'Assemblée nationale de 1789." Porte en plus : le blason épiscopal. Jean-Baptiste-Auguste de Villoutreix de Faye, né au château de Faye, commune de Flavignac (Haute-Vienne), le 3 novembre 1739, fils de Jean de Villoutreys, écuyer, seigneur de Faye, et de Jeanne Morel de Fromental ; chancelier de l'Université de Toulouse, chanoine et vicaire général du même diocèse, nommé évêque d'Oloron en juin 1783, sacré le 17 août suivant, député du clergé du pays de Soule aux Etats Généraux, mort en avril 1792.
-
François-Michel de Verthamon Légende : "Consilii princeps regiorum ordinum commendator. Franciscus Michael de Verthamon magni. Offerebat Maximus Georgius Gaultier clericus parisinus". - Porte en plus : l'écusson des Verthamon. Chevalier, baron de Bréau, marquis de Masnoeuvre, fils de Michel de Verthamon, maître des requêtes et conseiller au parlement, et de Marie d'Aligre ; reçu conseiller au parlement de Paris le 19 janvier 1674, maître des requêtes en juin 1677, premier président au Grand Conseil le 24 février 1697, commandeur des Ordres royaux, mort en janvier 1738. Cote : FP VERT FM (Bfm Limoges)
-
Vergniaud Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 08 (Bfm Limoges)
-
Vergniaud Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 05 (Bfm Limoges)
-
Vergniaud Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 03 (Bfm Limoges)
-
A. R. J. Turgot. Controleur G (enera]l des finances Porte en plus ce quatrain de M. de Regnard : "Il aime à faire des heureux / Du sort la faveur le seconde / Il ne doit plus former de voeux / Il fait le Bien de tout le monde". Anne-Robert-Jacques Turgot, Chevalier, baron de l'Aulne, né à Paris le 10 mai 1727, fils de Michel-Etienne Turgot, prévôt des marchands, et de Madeleine-Françoise Martineau ; substitut du procureur général au parlement de Paris (5 janvier 1752), conseiller au parlement (30 décembre 1752), maître des requêtes (28 mai 1753), intendant de la généralité de Limoges (8 août 1761), ministre de la marine (20 juillet 1774), contrôleur général des finances, du 24 août 1774 au 12 mai 1776, mort à Paris le 18 mars 1781. Cote : FP TUR 04 (Bfm Limoges)
-
(Anne-Robert-Jacques) Turgot, né à Paris, le 10 mai 1727. Intendant de la généralité de Limoges le 8 août 1761. Ministre le 20 juillet 1774. Mort le 20 mars 1781. Porte en plus : "Exposition de 1844", "Dédié au Conseil Général de la Haute-Vienne, et au Conseil Municipal de Limoges". Anne-Robert-Jacques Turgot, Chevalier, baron de l'Aulne, né à Paris le 10 mai 1727, fils de Michel-Etienne Turgot, prévôt des marchands, et de Madeleine-Françoise Martineau ; substitut du procureur général au parlement de Paris (5 janvier 1752), conseiller au parlement (30 décembre 1752), maître des requêtes (28 mai 1753), intendant de la généralité de Limoges (8 août 1761), ministre de la marine (20 juillet 1774), contrôleur général des finances, du 24 août 1774 au 12 mai 1776, mort à Paris le 18 mars 1781. Cote : FP TUR 02 (Bfm Limoges)
-
M. Treilhard, Né à Brives en Limousin en 1742. député de l'Assemblée Nationale Jean-Baptiste Treilhard, né à Brive (Corrèze) le 3 janvier 1742, fils de Jean-François Treilhard, avocat au présidial de cette ville, et de Jeanne de Lachèze ; avocat au parlement de Paris (1761), député du Tiers aux Etats Généraux par la ville de Paris (1789), président du tribunal criminel de Paris (1791), député de Seine-et-Oise à la Convention nationale (12 septembre 1792), président de la Convention (28 décembre 1792-10 janvier 1793), membre du Comité de Salut public, élu au conseil des Cinq-Cents (15 octobre 1795), président de cette assemblée, membre du tribunal de cassation, ambassadeur à Naples (1796), membre du Directoire (15 mai 1798), vice-président (4 avril 1800), puis président (1er janvier 1802) du tribunal de la Seine, conseiller d'Etat (1802), créé comte de l'Empire le 24 avril 1808, ministre d'Etat (30 mars 1809), mort à Paris le 1er décembre 1810. Cote : FP TRE 07 (Bfm Limoges)
-
M. F. Tixier, représentant du peuple (Haute-Vienne) Michel-Félix Tixier, né aux Salles-Lavanguyon (Haute-Vienne) le 16 février 1796, avocat à Limoges, bâtonnier de l'ordre, élu député de la Haute-Vienne le 2 mars 1839, non réélu en 1842, maire, puis membre de la municipalité provisoire de Limoges (février-avril 1848), député à la Constituante de 1848, réélu le 29 février 1852, siégea jusqu'en 1857, membre du Conseil général, mort à Saint-Mathieu (Haute-Vienne) le 16 janvier 1864. Cote : FP TIX 02 (Bfm Limoges)
-
Antoine (sic) de Mirabeau, Colonel général, propriétaire de la Légion de son nom En costume de colonel de la Légion noire, un sabre à la main. André Boniface Louis Riqueti, surnommé Mirabeau-Tonneau. Mort à Fribourg-en-Brigsau (Allemagne) le 15 septembre 1795. Frère du grand Mirabeau, celui qu'on surnomma Mirabeau-Tonneau, à cause de son obésité et de son penchant pour le vin, était un personnage haut en couleur, célèbre par ses débauches, qui combattit en Amérique, et qui écrivit de nombreux pamphlets politiques très spirituels comme La lanterne magique nationale (1789) ou le Voyage national de Mirabeau cadet (1790) ; il fut collaborateur du journal «Les Actes des Apôtres», organe des partisans de la monarchie et qui parut du 2 novembre 1789 à octobre 1791. Monarchiste convaincu, il s'opposa à la réunion des ordres, à la suppression des privilèges. Il fut député de la noblesse de la sénéchaussée de Limoges aux Etats Généraux de 1789. Il démissionna de ses fonctions à l'Assemblée Constituante en juin 1790 et suivit le chemin de l'émigration. Là, en pays de Bade, il leva la fameuse légion des «hussards de la mort», qui fit aux républicains, pendant l'année 1792, une guerre d'escarmouches sanglantes et inutiles. Epuisé par les efforts que lui demandaient ces combats, il succomba à la suite d'une attaque d'apoplexie. cote : FP MIRABEAU Fils 12 (Bfm Limoges)
-
Maurat-Ballange Légende : "Maurat-Ballange. Représentant du peuple (Haute-Vienne)". - De la série des représentants du peuple éditée par Delarue. Porte en plus : le numéro 1 et la mention "Assemblée nationale". Jean-Baptiste Maurat-Ballange, né à La Croix (Haute-Vienne) le 13 mars 1796, avocat à Bellac, conseiller général, élu député de la Haute-Vienne le 2 mars 1839, siégea jusqu'en 1849, commissaire du gouvernement dans le même département en 1848, mort à Vaulry (Haute-Vienne) le 21 juin 1868. Cote : FP MAUR 02 (Bfm Limoges)
-
Pierre Leroux Légende : "Pierre Leroux, Représentant du peuple (Seine)". - De la série des représentants du peuple éditée par Delarue. Porte en plus : le numéro 28 et la mention "Assemblée nationale". Pierre-Henri Leroux, né à Bercy (Seine) le 6 avril 1797, publiciste, directeur de la Revue encyclopédique (1832-1835), prit en 1845 la direction d'une imprimerie à Boussac (Creuse), maire de cette ville en 1848, élu député de la Seine à la Constituante le 4 juin 1848, réélu par le même département à l'Assemblée législative, se réfugia à Jersey lors du coup d'Etat et ne rentra en France qu'en 1869, mort à Paris le 12 avril 1871. Cote : FP LER 05 (Bfm Limoges)
-
Antoine de Lestang La légende porte en plus : " Conseiller du Roi, président au parlement de Toulouse- né à Brive Corrèze" Né à Brive (Corrèze) en 1541, fils d'Etienne de Guilhon dit de Lestang, lieutenant général et président au présidial de Brive, et de Louise Juyé ; avocat puis président au siège présidial de Brive, lieutenant général de la sénéchaussée, nommé le 17 mars 1592 président à mortier au parlement de Toulouse ; mort à Castres le 9 janvier 1617. cote : FP LES (Bfm Limoges)
-
Felix Lecler, né à Aubusson le 30 juillet 1814 De la série "Assemblée nationale. Galerie des représentants du peuple (1848) (Creuse)", n°265. Porte en plus : la signature de Felix Lecler. Né à Aubusson (Creuse), le 30 juillet 1814, avocat, commissaire du gouvernement provisoire à Guéret en 1848, député de la Creuse à l'Assemblée constituante, rédacteur au ministère des finances, payeur à Rodez, puis à Niort et à Angers, chef de bureau au ministère des finances (1866), directeur général de l'administration de l'enregistrement et des domaines, conseiller-maître à la cour des comptes, élu sénateur de la Creuse le 17 mars 1889, mort à Paris le 17 décembre 1895. Cote : FP LECLER (Bfm Limoges)
-
Louis de Latrade, né à Sauveboeuf (Dordogne)le 25 novembre 1811. De la série "Assemblée nationale. Galerie des représentants du peuple (1848) (Corrèze)", n°158. - Porte en plus : la signature de Louis Chassaignac de Latrade, né à Sauveboeuf (Dordogne) le 25 novembre 1811, élève de l'école polytechnique, officier en 1833, démissionnaire en 1834, publiciste, directeur de l'exploitation dans une compagnie de chemins de fer, commissaire du gouvernement provisoire dans la Gironde, puis dans la Dordogne en 1848, député de la Corrèze à l'Assemblée constituante (23 avril 1848), représentant du même département à l'Assemblée législative (13 mai 1849), préfet de la Corrèze en septembre 1870, conseiller général de ce département (1871) et son député du 27 avril 1873 à 1883, président du Conseil général, mort à Lescure près Juillac le 26 décembre 1883. Cote : FP LATR 01 (Bfm Limoges)
-
François Lassarre, né à Saint-Sulpice-le-Dunois (Creuse) le 22 novembre 1797, avocat, ex-Procureur de la République à Guéret De la série "Assemblée nationale. Galerie des représentants du peuple (1848) (Creuse)", n°589. - Porte en plus : la signature de François Lassarr. Né à Saint-Sulpice-le-Dunois (Creuse), le 22 novembre 1797, avocat, procureur du roi (1839), procureur de la république à Guéret (1848), député de la Creuse à la Constituante (23 avril 1848), juge au tribunal de Guéret sous l'empire jusqu'en 1868, membre du conseil général de la Creuse, mort à Guéret le 20 janvier 1883. Cote : FP LAS 01 (Bfm Limoges)
-
Grellet de Beauregard. Avocat du Roi. Député de la sénéch[auss]ée de Gueret De la série "Collection générale des portraits de MM les députés à l'Assemblée nationale tenue à Versailles le 4 mai 1789". Né à Aubusson (Creuse), le 16 novembre 1750, fils de Pierre Grellet du Montant et de Thérèse Baret ; conseiller au sénéchal de Guéret (août 1776), avocat du roi, procureur-syndic du Tiers-Etat (septembre 1788), élu député le 24 mars 1789 du Tiers aux Etats Généraux pour la sénéchaussée de Guéret, président du tribunal du district d'Aubusson (1791), juge au tribunal civil de la Creuse (1796), puis au tribunal de Limoges (8 mai 1800), conseiller à la cour d'appel de cette ville (1811), président de chambre (8 décembre 1818), mort à Limoges le 19 ou le 23 novembre 1829. cote : FP GREL 02 (Bfm Limoges)
-
M. le C.te de Laipaud. Né au château du Mat du Bot le 13 J[anvi]er 1725. Grand Séné[ch]al d'Epée de la Basse Marche, Député de cette province. A l'Assemblée Nationale de 1789 Paul Nollet de Laipaud, né au château du Mas-du-Bost, commune de Blond (Haute-Vienne), le 11 janvier 1725, fils de Paul de Nollet, seigneur de Laipaud, et de Marie-Anne de Carbonnière de Saint-Brice. Le comte de Laipaud fut capitaine de cavalerie, sénéchal d'épée de la Basse-Marche, puis fut élu député de la noblesse de cette sénéchaussée aux Etats Généraux de 1789, mort en 1806. Cote : FP LAI (Bfm Limoges)
-
Mme Laffarge née Capelle Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal. Cote : FP LAF 10 (Bfm Limoges)
-
Mme Lafarge. (Née Marie Capelle) Légende : "Mr le Président, je suis innocente, je vous le jure ! / Dédié à Mr Paillet et Bac. ses défenseurs. / En vente chez Masson fils". Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal. Cote : FP LAF 08 (Bfm Limoges)