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Créateur est exactement
Faissat, Jean (1860-1926)
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Théâtre de Limoges (salle Berlioz) Le théâtre municipal de Limoges, œuvre de l’architecte Vincent Boullé, fut inauguré en 1840 place de la République. Théâtre à l’italienne, il propose majoritairement des opérettes et des vaudevilles. Il est officiellement rebaptisé Salle Berlioz en 1932. Sa capacité étant jugée insuffisante, il est supplanté par le Cirque-Théâtre, inauguré en 1925 à l'emplacement de l'actuel Opéra-Théatre. La Salle Berlioz, quant à elle, fut rasée en 1958, après de nombreuses années d'inactivité. (cote : MAG.P.LIM 59180)
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Fouilles à l'angle des rues la Courtine et Dalesme à Limoges: découverte d'un cimetière, 1892. Ce fut lors de la construction d'une maison qu'un ancien cimetière, probablement gallo-romain, fut mis au jour. Mais c'est aux périodes mérovingienne et carolingienne que l'on attribue les tombeaux en calcaire. La photo ici présente est également visible dans l'ouvrage "Le cimetière gallo-romain, mérovingien et carolingien de la Courtine à Limoges" de Paul Ducourtieux. cote : 9FI-432 (Bfm Limoges)
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Démolition de l'immeuble Barbaut, rue Dalesme, à Limoges. Découverte du cimetière de la Courtine Après la destruction d’un immeuble à l’angle des rues Dalesme et de la Courtine, les ouvriers chargés de bâtir une nouvelle maison font la découverte de vestiges enterrés. D’importantes fouilles sont entreprises et mettent au jour un ossuaire gallo-romain sur lequel se sont superposés des tombeaux des époques mérovingienne et carolingienne puis des tombes médiévales datant de la splendeur de l’abbaye Saint-Martial attenante (XIe- XIIIe siècles). Cet important ensemble funéraire est baptisé cimetière de la Courtine par les historiens et archéologues locaux. A cet emplacement se trouve aujourd’hui un magasin de tissus et décoration. cote : 9FI432 (Bfm Limoges)
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Rue Viraclaud La rue Viraclaud était la plus longue (70 mètres) et la plus large (5 mètres) de toutes les ruelles (appelées chareirous en occitan limousin) qui montaient à la place Sainte-Rochette. Elle donna son nom au quartier dont la démolition fut décidée dès 1896 par le maire Emile Labussière. En plus d’être un quartier d’habitations insalubres, le Viraclaud était réputé pour être le quartier des prostituées. Il fut rasé pour percer le bout de la rue Jean Jaurès et bâtir le quartier de la préfecture. cote : 9Fi209 (Bfm Limoges)
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Rue Vigenaud La rue Vigenaud, parallèle à la rue de la Châdre, partait de la rue des Combes et rejoignait la rue Sorétas pour déboucher place Saint-Rochette, dans le quartier du Viraclaud dont la démolition fut décidée dès 1896 par le maire Emile Labussière. En plus d’être un quartier d’habitations insalubres, le Viraclaud était réputé pour être le quartier des prostituées. Il fut rasé pour percer le bout de la rue Jean Jaurès et bâtir le quartier de la préfecture. cote : 9Fi208 (Bfm Limoges)
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Rue Pélisson La rue Pélisson partait de la rue des Combes pour arriver rue Vaulry, dans le quartier du Viraclaud dont la démolition fut décidée dès 1896 par le maire Emile Labussière. En plus d’être un quartier d’habitations insalubres, le Viraclaud était réputé pour être le quartier des prostituées. Il fut rasé pour percer le bout de la rue Jean Jaurès et bâtir le quartier de la préfecture. cote : 9FI205 (Bfm Limoges)
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Rue de la Châdre La rue de la Châdre ne faisait que 3 mètres de large. Elle partait de la rue des Combes pour arriver place Sainte-Rochette, dans le quartier du Viraclaud dont la démolition fut décidée dès 1896 par le maire Emile Labussière. En plus d’être un quartier d’habitations insalubres, le Viraclaud était réputé pour être le quartier des prostituées. Il fut rasé pour percer le bout de la rue Jean Jaurès et bâtir le quartier de la préfecture. cote : 9FI204 (Bfm Limoges)
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Le Casino de Limoges Le Casino, salle de spectacle pouvant accueillir 500 personnes place de la République (à cet emplacement sera ensuite bâti le cinéma l’Omnia dans les années 1950, remplacé ensuite par le Café République) est inauguré en janvier 1901. On y présentera surtout des opérettes, des revues, des farces, des vaudevilles. Son architecte Charles Planckaert (1861-1933) le conçoit dans le style Art nouveau, plutôt rare à Limoges. cote : 9FI468 (Bfm Limoges)