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Château de La Chapelle, Saint-Léonard-de-Noblat - Fonds Boudeau (B137-n°2420)
Ce château situé au village de La Chapelle, sur la commune de Saint-Léonard, date probablement du 17e voire du 16e siècle, mais il fut totalement rénové et remanié au 19e siècle, ce qui lui donne une allure plutôt moderne. Il conserve cependant une porte sculptée très ancienne.
Il est également connu pour son pigeonnier circulaire, que l'on voit bien sur cette photographie.
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Moulin du Dognon, Le Châtenet-en-Dognon - Fonds Boudeau (B136-n°2405)
Ce très ancien moulin à céréales se situait sur la Bobilance, petite rivière, à quelques mètres de sa confluence avec le Taurion.
Ce moulin a été noyé lors de la mise en service du barrage de Saint-Marc au début des années 1930.
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Famille à La Gasnerie, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B136-n°2404)
Beau portrait d'une famille paysanne endimanchée.
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Affiche de la distillerie Faucher - Fonds Boudeau (B136-n°2401)
Jean-Baptiste Boudeau photographie une jolie affiche publicitaire, que nous aimerions voir en couleurs, placardée dans on ne sait quel bourg haut-viennois.
La réclame est celle de la distillerie B. Faucher et fils, qui était installée au 16 avenue des Bénédictins à Limoges. La ville comptait, à cette époque, plus d'une quinzaine de distillateurs et liquoristes. Il faut dire que, comme le prouve cette affiche, on prêtait à l'époque des vertus médicinales à nombre de ces "élixirs" alcooliques...
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Portraits - Fonds Boudeau (B136-n°2396-2397)
Jolis portraits comme Jean-Baptiste Boudeau en réalisa des centaines. Nous ne connaissons pas l'identité des personnes photographiées.
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Portraits - Fonds Boudeau (B136-n°2394-2395)
Jolis portraits comme Jean-Baptiste Boudeau en réalisa des centaines. Nous ne connaissons pas l'identité des personnes photographiées.
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Vue d'Ambazac - Fonds Boudeau (B136-n°2393)
Vue vers le quartier de la gare au sud-est du bourg.
On reconnaît notamment les bâtiments de "l'Œuvre Pouquet", institution catholique devenue bien plus tard un lieu d'accueil pour adultes handicapés, le foyer de vie Gilbert Ballet.
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Groupe de communiantes, Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B135-n°2379)
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Jeunes filles jouant la comédie, Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B135-n°2378)
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Ouvroir du Queyroix, La Jonchère - Fonds Boudeau (B135-n°2371)
Un ouvroir était un établissement de charité, tenu par des sœurs, où étaient accueillies des jeunes filles (la plupart orphelines ou déshéritées) pour y apprendre un métier et ne pas sombrer dans la misère. Celui de La Jonchère-Saint-Maurice les formait à la broderie et à la dentelle. Sa production réputée se vendait dans des magasins des environs.
Cette maison accueillait également un dispensaire qui soignait gratuitement les pauvres de la commune et des alentours.
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Château du Vicq à Eyjeaux - Fonds Boudeau (B128-n°2284)
Le château du Vicq, qui se situe au centre d'un domaine agricole au sud de la commune d'Eyjeaux, appartenait au moment de la prise de vue à Anatole Barbou des Courières, descendant de l'illustre famille d'imprimeurs et libraires établis à Limoges, Lyon et Paris.
Comme nombre de châtelains limousins à cette époque, il pratiquait l'élevage bovin. Les domestiques exhibent ici une bête limousine, peut-être préparée pour un concours.
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Château du Vicq à Eyjeaux - Fonds Boudeau (B128-n°2282)
Le château du Vicq, qui se situe au centre d'un domaine agricole au sud de la commune d'Eyjeaux, appartenait au moment de la prise de vue à Anatole Barbou des Courières, descendant de l'illustre famille d'imprimeurs et libraires établis à Limoges, Lyon et Paris.
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Château du Vicq à Eyjeaux - Fonds Boudeau (B128-n°2281)
Le château du Vicq, qui se situe au centre d'un domaine agricole au sud de la commune d'Eyjeaux, appartenait au moment de la prise de vue à Anatole Barbou des Courières, descendant de l'illustre famille d'imprimeurs et libraires établis à Limoges, Lyon et Paris.
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Château du Vicq à Eyjeaux - Fonds Boudeau (B128-n°2280)
Le château du Vicq, qui se situe au centre d'un domaine agricole au sud de la commune d'Eyjeaux, appartenait au moment de la prise de vue à Anatole Barbou des Courières, descendant de l'illustre famille d'imprimeurs et libraires établis à Limoges, Lyon et Paris.
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Groupe Denoille (ou Denouailles ?) à Eyjeaux - Fonds Boudeau (B128-n°2279)
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Groupe Denoille (ou Denouailles ?) à Eyjeaux - Fonds Boudeau (B128-n°2278)
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Groupe de l'école Saint-Jean à Ambazac - Fonds Boudeau (B127-n°2273)
Paul et Céline Pouquet s'installent en 1840 dans une grande propriété du village de Trasforêt, sur la commune d'Ambazac. Ils consacrent une grande partie de leur fortune à l'édification d'une institution catholique tenue par des religieuses et comprenant une école primaire, un hôpital et un ouvroir (foyer de charité préparant des orphelines aux métiers de couturière et de domestique).
En 1864 est édifiée une chapelle qui imite le style roman.
Après la loi de 1902 sur les écoles congréganistes, l’Église est chassée des bâtiments qui restent vides quelques années avant d'accueillir, à partir de 1907, des séminaristes de la région. Le docteur Alfred Pouquet, neveu des fondateurs, offre les bâtiments à l’Église.
Une école religieuse, l'école Saint-Jean, fonctionnera dans ces locaux jusqu'en 1958, avant d'être déplacée à Limoges.
Après le départ de l'école, ce sont des sœurs de Saint François d'Assise qui occupent "l'Oeuvre Pouquet".
L’Église vendra les bâtiments au début des années 2000, qui sont depuis lors occupés par un lieu d'accueil pour adultes handicapés, le foyer de vie Gilbert Ballet.
Jean-Baptiste Boudeau photographie ici un groupe posant devant le portail de la chapelle.
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Groupe de l'école Saint-Jean à Ambazac - Fonds Boudeau (B127-n°2272)
Paul et Céline Pouquet s'installent en 1840 dans une grande propriété du village de Trasforêt, sur la commune d'Ambazac. Ils consacrent une grande partie de leur fortune à l'édification d'une institution catholique tenue par des religieuses et comprenant une école primaire, un hôpital et un ouvroir (foyer de charité préparant des orphelines aux métiers de couturière et de domestique).
En 1864 est édifiée une chapelle qui imite le style roman.
Après la loi de 1902 sur les écoles congréganistes, l’Église est chassée des bâtiments qui restent vides quelques années avant d'accueillir, à partir de 1907, des séminaristes de la région. Le docteur Alfred Pouquet, neveu des fondateurs, offre les bâtiments à l’Église.
Une école religieuse, l'école Saint-Jean, fonctionnera dans ces locaux jusqu'en 1958, avant d'être déplacée à Limoges.
Après le départ de l'école, ce sont des sœurs de Saint François d'Assise qui occupent "l'Oeuvre Pouquet".
L’Église vendra les bâtiments au début des années 2000, qui sont depuis lors occupés par un lieu d'accueil pour adultes handicapés, le foyer de vie Gilbert Ballet.
Jean-Baptiste Boudeau photographie ici un groupe posant devant le portail de la chapelle.
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Groupe de l'école Saint-Jean à Ambazac - Fonds Boudeau (B127-n°2271)
Paul et Céline Pouquet s'installent en 1840 dans une grande propriété du village de Trasforêt, sur la commune d'Ambazac. Ils consacrent une grande partie de leur fortune à l'édification d'une institution catholique tenue par des religieuses et comprenant une école primaire, un hôpital et un ouvroir (foyer de charité préparant des orphelines aux métiers de couturière et de domestique).
En 1864 est édifiée une chapelle qui imite le style roman.
Après la loi de 1902 sur les écoles congréganistes, l’Église est chassée des bâtiments qui restent vides quelques années avant d'accueillir, à partir de 1907, des séminaristes de la région. Le docteur Alfred Pouquet, neveu des fondateurs, offre les bâtiments à l’Église.
Une école religieuse, l'école Saint-Jean, fonctionnera dans ces locaux jusqu'en 1958, avant d'être déplacée à Limoges.
Après le départ de l'école, ce sont des sœurs de Saint François d'Assise qui occupent "l'Oeuvre Pouquet".
L’Église vendra les bâtiments au début des années 2000, qui sont depuis lors occupés par un lieu d'accueil pour adultes handicapés, le foyer de vie Gilbert Ballet.
Jean-Baptiste Boudeau photographie ici un groupe posant devant le portail de la chapelle.
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Groupe de l'école Saint-Jean à Ambazac - Fonds Boudeau (B127-n°2270)
Paul et Céline Pouquet s'installent en 1840 dans une grande propriété du village de Trasforêt, sur la commune d'Ambazac. Ils consacrent une grande partie de leur fortune à l'édification d'une institution catholique tenue par des religieuses et comprenant une école primaire, un hôpital et un ouvroir (foyer de charité préparant des orphelines aux métiers de couturière et de domestique).
En 1864 est édifiée une chapelle qui imite le style roman.
Après la loi de 1902 sur les écoles congréganistes, l’Église est chassée des bâtiments qui restent vides quelques années avant d'accueillir, à partir de 1907, des séminaristes de la région. Le docteur Alfred Pouquet, neveu des fondateurs, offre les bâtiments à l’Église.
Une école religieuse, l'école Saint-Jean, fonctionnera dans ces locaux jusqu'en 1958, avant d'être déplacée à Limoges.
Après le départ de l'école, ce sont des sœurs de Saint François d'Assise qui occupent "l'Oeuvre Pouquet".
L’Église vendra les bâtiments au début des années 2000, qui sont depuis lors occupés par un lieu d'accueil pour adultes handicapés, le foyer de vie Gilbert Ballet.
Jean-Baptiste Boudeau photographie ici un groupe posant devant le portail de la chapelle.