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Argentat, construction du nouveau pont. Le premier pont suspendu, appelé aussi pont Marie, fut construit en 1829 aux frais du comte de Noailles pour faciliter le transport du charbon extrait des mines de ses mines.
Devenu trop étroit et pas assez résistant aux charges de plus en plus lourdes, il fut remplacé par un édifice en pierre, construit entre 1892 et 1894.
Ses deux arches enjambent la Dordogne prenant appui sur une seule pile afin de faciliter l'écoulement des eaux au printemps et en automne, ainsi que le passage des gabares qui descendent vers Souillac.
cote : 9Fi78/4 (Bfm Limoges)
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Argentat, construction du nouveau pont. Le premier pont suspendu, appelé aussi pont Marie, fut construit en 1829 aux frais du comte de Noailles pour faciliter le transport du charbon extrait des mines de ses mines.
Devenu trop étroit et pas assez résistant aux charges de plus en plus lourdes, il fut remplacé par un édifice en pierre, construit entre 1892 et 1894.
Ses deux arches enjambent la Dordogne prenant appui sur une seule pile afin de faciliter l'écoulement des eaux au printemps et en automne, ainsi que le passage des gabares qui descendent vers Souillac.
cote : 9Fi78/2 (Bfm Limoges)
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L'entrée de l'ancien Pont-Marie. Ce pont sur la Dordogne, aujourd'hui disparu, fut ouvert en 1829. D'une portée unique de 107 mètres et d'une hauteur de 24 mètres, il fut construit en réutilisant le système de suspension Seguin constitué de 6 câbles de part et d'autre du tablier. On l'appelait aussi le pont Marie, du nom de la fille du Comte de Noailles qui finança à ses frais les travaux de construction.
Devenu trop étroit et pas assez résistant aux charges de plus en plus lourdes, il fut remplacé en 1892 par le pont de la République.
cote : 9Fi446 (Bfm Limoges)
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Saint-Yrieix (Haute-Vienne), carrière de kaolin abandonnée. A Saint-Yrieix, en 1768, Jean-Baptiste Darnet signale à un apothicaire l’existence de terre utilisée par sa femme pour faire sa lessive. L’analyse révèle la pureté du kaolin. Des dizaines de carrières s’ouvrent à partir de 1769. En 1801 la production annuelle de kaolin autour de Saint-Yrieix était estimée à 350 tonnes…
cote : 9Fi85/2 (Bfm Limoges)
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Aubazine (Corrèze), ruines du monastère. cote : 9Fi77/2 (Bfm Limoges).
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Le Chalard (Haute-Vienne), ruines de la Tour cote : 9Fi75/4 (Bfm Limoges)
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Le Chalard (Haute-Vienne), église. Cette église romane fut bâtie à partir de 1088 par St Geoffroy. Il y fonda un monastère de chanoines de l’ordre de St Augustin dont il fut le prieur. Le tombeau St Geoffroy et la châsse qui renferme sesossements sont abritées dans l'église Au chevet se trouve le « Cimetière des moines », un ensemble unique de tombes du XIIème et XVème siècle.
cote : 9Fi75/2 (Bfm Limoges)
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Grèves de Limoges, 19 Avril 1905. Enterrement de Vardelle : Le cortège sort de la Rue de la Roche et va s'engager sur le Pont St-Martial En 1904 et 1905, de nombreuses grèves marquèrent la ville de Limoges, tous secteurs d'activité confondus. Le 17 avril 1905 vers 21h00, la foule des manifestants se heurta à une violente offensive des forces de l'ordre. Les affrontements causèrent une vingtaine de blessés et la mort de Camille Vardelle, ouvrier porcelainier de 19 ans. Des milliers de personnes assistèrent aux funérailles du jeune homme, dont la mort fut commémorée par une manifestation pendant des années..
cote : LIM 17395.161 cpa (Bfm Limoges)
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Guéret extrait de "Voyage dans les départemens (sic) de la France, enrichi de tableaux géographiques et d'estampes : département de la Creuse", de Joseph Lavallée.
cote : MAG.P LIM B1335
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Felletin extrait de "Voyage dans les départemens (sic) de la France, enrichi de tableaux géographiques et d'estampes : département de la Creuse", de Joseph Lavallée.
cote : MAG.P LIM B1335
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Aubusson extrait de "Voyage dans les départemens (sic) de la France, enrichi de tableaux géographiques et d'estampes : département de la Creuse", de Joseph Lavallée.
cote : MAG.P LIM B1335
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Limoges. Gare des Bénédictins L' ancienne gare des Bénédictins fut construite d' avril 1858 à fin 1860 par la Compagnie des chemins de fer de Paris à Orléans.
Il se distingue par un soubassement en pierre de taille et granit de faneix, des encadrements et bandeaux de pierre calcaire de chazelles, des murs de maçonnerie avec enduit tyrolien et une couverture d'ardoise d'Angers. Vers 1890, on entreprend de premiers travaux d'agrandissement avec l'adjoinction d'une marquise haubanée de 4m d'encorbellement. Pour autant, la gare est reconnue indigne d'un centre commercial comme Limoges par le ministre des travaux publics.
Le nouveau bâtiment et son campanile de 57 mètres de haut ne fut inauguré qu' en juillet 1929.
cote : LIM 17395.39 cpa (Bfm Limoges)
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La cour de l'ancien musée Adrien Dubouché C''est en 1865 qu' Adrien Dubouché devint directeur du musée de Limoges créé vingt ans auparavant. Il demanda rapidement l' installation des collections dans les locaux de l' ancien hospice d' aliénés du Champ de Foire. Le musée passa institution nationale en 1881, et la croissance exponentielle des collections nécessita la construction d'un nouveau bâtiment, inauguré en 1900.
Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante.
Avec Audiguet, Limoges devient paysage photographique.
cote : 9FI502/47 (Bfm Limoges)
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L'entrée du faubourg Saint-Martial Le faubourg Saint-Martial, rive droite, au bout du pont du même nom, est l'un des principaux quartiers des Ponts avec le Clos Sainte-Marie, l'Abbessaille et le Naveix. Considéré par certains comme le plus ancien quartier de Limoges (par sa proximité avec la Roche au Gô, réputée être le berceau de la ville antique), le faubourg Saint-Martial a en partie été conservé.
Les crépis gris des maisons visibles sur cette photographie ont aujourd’hui laissé la place aux jolis colombages rouges et verts.
cote : 9FI502/44 (Bfm Limoges)
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Les bords de l'Auzette Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante.
Avec Audiguet, Limoges devient paysage photographique.
cote : 9FI502/29 (Bfm limoges)
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Vue prise à côté de la maison centrale La Maison Centrale de détention était installée depuis 1810 dans l’ancienne abbaye des Bénédictins, devenue ensuite caserne du 63e Régiment d’Infanterie, puis démolie pour le percement de l’avenue Jean-Gagnant. Elle était située près de l'actuelle gare des Bénédictins, sur les vestiges d'une ancienne abbaye de la confrérie de Saint-Maur. Au fond, on aperçoit les deux clochers à bulbe de l'ancien collège des Jésuites, devenu lycée Gay-Lussac en 1889, le clocher de l'église Saint-Pierre et à droite celui de Saint-Michel.
cote : 9FI502/19
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Le ramier sur la Vienne, vue du Naveix En amont du pont Saint-Étienne, le "ramier", installé sur la Vienne et contre lequel les bûches en flottage venaient s'échouer, était très sollicité par les industries porcelainières. Ce ramier fut emporté par les eaux après 1885. En arrière-plan le quartier du Naveix, dont toute la vie était liée à la rivière et à ses différents travaux, qui fut entièrement rasé au cours du 20e siècle.
cote : 9FI502/13 (Bfm limoges)
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Les laveuses de l'Abbessaille Au bas de l’Abbessaille, sous la cathédrale (actuel Quai Louis-Goujaud), les lavandières s’affairent.
Les "Ponticaudes" qui ne travaillent pas dans les fabriques voisines ont pour principale activité de laver le linge des « Vilaudes », les bourgeoises et commerçantes de Limoges. La photographie semble être prise depuis le bout du pont Saint-Étienne. Les maisons que l’on voit à droite furent rasées dès les années 1900.
cote : 9FI502/5 (Bfm limoges)
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Rue Viraclaud La rue Viraclaud était la plus longue (70 mètres) et la plus large (5 mètres) de toutes les ruelles (appelées chareirous en occitan limousin) qui montaient à la place Sainte-Rochette. Elle donna son nom au quartier dont la démolition fut décidée dès 1896 par le maire Emile Labussière. En plus d’être un quartier d’habitations insalubres, le Viraclaud était réputé pour être le quartier des prostituées. Il fut rasé pour percer le bout de la rue Jean Jaurès et bâtir le quartier de la préfecture.
cote : 9Fi209 (Bfm Limoges)
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Rue Vigenaud La rue Vigenaud, parallèle à la rue de la Châdre, partait de la rue des Combes et rejoignait la rue Sorétas pour déboucher place Saint-Rochette, dans le quartier du Viraclaud dont la démolition fut décidée dès 1896 par le maire Emile Labussière. En plus d’être un quartier d’habitations insalubres, le Viraclaud était réputé pour être le quartier des prostituées. Il fut rasé pour percer le bout de la rue Jean Jaurès et bâtir le quartier de la préfecture.
cote : 9Fi208 (Bfm Limoges)