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Saint-Geniez-O-Merle, Corrèze : château. cote : 9 FI 101 (Bfm Limoges)
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Argentat : vestiges de l'ancienne demeure des
seigneurs de Neuville. cote : 9 FI78/1 (Bfm Limoges)
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Restes du palais de Duratius (Limoges 1593) Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
Jean-Baptiste Tripon s'inspire cette fois d'un dessin de Beaumesnil, disparu, qui décrivait les ruines de ce palais près du Pont saint-Martial (cf BSHAL T.49, p21-23).
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2
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Restes du théâtre de Duratius (Limoges 1593) Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
Jean-Baptiste Tripon s'inspire cette fois d'un dessin de Beaumesnil (1593) disparu, qui décrivait les ruines de ce théâtre près du Pont saint-Martial (cf BSHAL T.49, p21-23). Augustoritum était en effet, comme le confirme JP Loustaud dans son ouvrage sur Limoges Antique, une des très rares villes d'Aquitaine à posséder à la fois un théâtre et un amphithéâtre.
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2
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Jules Clarétie Arsène Arnaud Clarétie dit Jules Clarétie est né à Limoges en 1840. Romancier prolixe, auteur dramatique (dont deux livrets d'opéras pour Jules Massenet), il est aussi historien ( il compose entre autres une « Histoire de la Révolution de 1870-1871 ») et remarquable chroniqueur de la vie parisienne ( au « Figaro » et au « Temps », il tient la critique théâtrale à « L’Opinion nationale », au « Soir », et à « La Presse »).
Président de la société des gens de lettres puis Académicien, il dirige la Comédie Française jusqu'à sa mort en 1913.
Travailleur acharné, son style élégant et enlevé faisait l'admiration de ses contemporains.
cote : FP CLA (Bfm Limoges)
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Jules Clarétie, l'auteur de la Révolution Cette caricature fait allusion au livre de Jules Clarétie « L'Histoire de la Révolution de 1870-71 ». Le dessin est paru en " une" du journal hebdomadaire satyrique l'"Eclipse", n°245, dimanche 6 juillet 1873.
Arsène Arnaud Clarétie dit Jules Clarétie est né à Limoges en 1840. Romancier prolixe, auteur dramatique (dont deux livrets d'opéras pour Jules Massenet), il est aussi historien ( il compose entre autres une « Histoire de la Révolution de 1870-1871 ») et remarquable chroniqueur de la vie parisienne ( au « Figaro » et au « Temps », il tient la critique théâtrale à « L’Opinion nationale », au « Soir », et à « La Presse »).
Président de la société des gens de lettres puis Académicien, il dirige la Comédie Française jusqu'à sa mort en 1913.
Travailleur acharné, son style élégant et enlevé faisait l'admiration de ses contemporains.
cote : FP CLA (Bfm Limoges)
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Jules Claretie Légende : "Oui, Monsieur le Ministre est fort bien réussi, / De moeurs excellente peinture, / L'auteur a mérité d'être ministre aussi, / Celui de la littérature.". Le dessin et sa légende font référence au roman de Jules Clarétie « Monsieur le Ministre » paru en 1821, et qui connu un franc succès.
Arsène Arnaud Clarétie dit Jules Clarétie est né à Limoges en 1840. Romancier prolixe, auteur dramatique (dont deux livrets d'opéras pour Jules Massenet), il est aussi historien ( il compose entre autres une « Histoire de la Révolution de 1870-1871 ») et remarquable chroniqueur de la vie parisienne ( au « Figaro » et au « Temps », il tient la critique théâtrale à « L’Opinion nationale », au « Soir », et à « La Presse »).
Président de la société des gens de lettres puis Académicien, il dirige la Comédie Française jusqu'à sa mort en 1913.
Travailleur acharné, son style élégant et enlevé faisait l'admiration de ses contemporains.
cote : FP CLA (Bfm Limoges)
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La jeune fille à la fleur Entre 1900 et 1924, Jean-Baptiste Boudeau, épicier à Saint-Priest-Taurion, parcourt en carriole ou à vélo les environs de Limoges, Ambazac, Saint-Léonard, Bessines, ... Il réalise des cartes postales de monuments, des photographie de mariage, des portraits à la demande. Il fixe également des événements exceptionnels (fêtes, accidents). Ses clichés témoignent de la vie quotidienne dans les campagnes, d'un monde en mutation, sans misérabilisme ni nostalgie..
En 2011, la Bfm de Limoges a acquis plus de 3500 de ses plaques de verre : un fonds d'une grande richesse qui a fait l'objet d'une exposition à la Bfm en 2012.
Fonds Jean-Baptiste Boudeaau, boite 141 (Bfm)
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L'équipe de Football Entre 1900 et 1924, Jean-Baptiste Boudeau, épicier à Saint-Priest-Taurion, parcourt en carriole ou à vélo les environs de Limoges, Ambazac, Saint-Léonard, Bessines, ... Il réalise des cartes postales de monuments, des photographie de mariage, des portraits à la demande. Il fixe également des événements exceptionnels (fêtes, accidents). Ses clichés témoignent de la vie quotidienne dans les campagnes, d'un monde en mutation, sans misérabilisme ni nostalgie..
En 2011, la Bfm de Limoges a acquis plus de 3500 de ses plaques de verre : un fonds d'une grande richesse qui a fait l'objet d'une exposition à la Bfm en 2012.
Fonds Jean-Baptiste Boudeau, boîte 277 (Bfm Limoges)
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Emile Courgnaud faisant baigner ses chevaux Entre 1900 et 1924, Jean-Baptiste Boudeau, épicier à Saint-Priest-Taurion, parcourt en carriole ou à vélo les environs de Limoges, Ambazac, Saint-Léonard, Bessines, ... Il réalise des cartes postales de monuments, des photographie de mariage, des portraits à la demande. Il fixe également des événements exceptionnels (fêtes, accidents). Ses clichés témoignent de la vie quotidienne dans les campagnes, d'un monde en mutation, sans misérabilisme ni nostalgie..
En 2011, la Bfm de Limoges a acquis plus de 3500 de ses plaques de verre : un fonds d'une grande richesse qui a fait l'objet d'une exposition à la Bfm en 2012.
Fonds Jean-Baptiste Boudeau, Classeur n°2 (Bfm Limoges)
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L'automobile de Monsieur Bouttier Entre 1900 et 1924, Jean-Baptiste Boudeau, épicier à Saint-Priest-Taurion, parcourt en carriole ou à vélo les environs de Limoges, Ambazac, Saint-Léonard, Bessines, ... Il réalise des cartes postales de monuments, des photographie de mariage, des portraits à la demande. Il fixe également des événements exceptionnels (fêtes, accidents). Ses clichés témoignent de la vie quotidienne dans les campagnes, d'un monde en mutation, sans misérabilisme ni nostalgie..
En 2011, la Bfm de Limoges a acquis plus de 3500 de ses plaques de verre : un fonds d'une grande richesse qui a fait l'objet d'une exposition à la Bfm en 2012.
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jeune fille en barbichet Dans son beau costume du dimanche à l'occasion du voyage du président Poincaré en Limousin en 1913.
Entre 1900 et 1924, Jean-Baptiste Boudeau, épicier à Saint-Priest-Taurion, parcourt en carriole ou à vélo les environs de Limoges, Ambazac, Saint-Léonard, Bessines, ... Il réalise des cartes postales de monuments, des photographie de mariage, des portraits à la demande. Il fixe également des événements exceptionnels (fêtes, accidents). Ses clichés témoignent de la vie quotidienne dans les campagnes, d'un monde en mutation, sans misérabilisme ni nostalgie..
En 2011, la Bfm de Limoges a acquis plus de 3500 de ses plaques de verre : un fonds d'une grande richesse qui a fait l'objet d'une exposition à la Bfm en 2012.
Boîte 163 (Bfm Limoges)
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Porte de la ville de la Souterraine Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2
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Fanals funéraires Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
Ces fanals, ou lanternes des morts sont une singularité architecturale des régions de Poitou , Limousin et Saintonge. Il n'en reste que vingt-six édifiées dans les cimetières, souvent déplacées à proximité de l'église. On sait toutefois peu de choses sur leur usage médiéval précis. On peut supposer que ces lanternes, par la lumière qu’elles peuvent diffuser dans la nuit du cimetière représentaient une protection pour les morts comme pour les vivants. Leur zone de diffusion correspond à une région où le cimetière possède une longue tradition de protection juridique, réactualisée par le mouvement de la Paix de Dieu.
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2
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Eglise de Saint-Junien Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2
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Eglise de la Souterraine Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2
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Tour de Chalus Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2
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Ruines de l'abbaye de Saint-Junien Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2
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Ruisseau du Guy (la Valoine) Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante.
Avec Audiguet, Limoges devient paysage photographique.
cote : 9FI502/26 (Bfm limoges)
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Limoges, rue de Babylone Cette photographie de Jean-Baptiste Audiguet est prise à deux pas du 107 rue de Babylone où logeait l'écrivain japonais Shimazaki Toson. Par une surprenant hasard, elle correspond exactement à la vue que décrivait l'écrivain Shimazaki Toson dans son roman "L'étranger" :
"De la fenêtre, j’apercevais le chemin de Babylone à travers les treilles que recouvraient les sarments. Sur la colline, la prairie s’étendait jusqu’au bord de la rue et il arrivait que se reflètent, dans les vitres de la fenêtre derrière laquelle j’écrivais, les têtes des vaches qui s’avançaient jusqu’au bout du rocher rouge."
Poète et écrivain, Shimazaki Toson dut quitter son pays pour une affaire d'honneur. Au début de la première guerre mondiale, il résidait à Paris. Sa logeuse, devant l'avancée des armées allemandes, lui conseilla de se réfugier dans sa famille, à Limoges. Shimazaki Toson décrivit, dans "l'Etranger", la ville en témoignant les sentiments et les angoisses de ses habitants en ce début de guerre. Il souligna l'apaisement, que son séjour limougeaud lui procura après la crise qu'il avait vécue.
cote : 9FI502/23 (Bfm limoges)