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Limoges, incendie du quartier des Arènes : Vue prise sur le sol de la rue du Bélier L’un des plus ravageurs incendies que connut Limoges fut sans nul doute celui de la nuit du 15 août 1864, qui emporta presque tout le quartier des Arènes (109 maisons, environ 2000 personnes à la rue).
(cote : RES.P. Lim Z1 (2))
cote : RES.P LIM Z1
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Limoges, incendie du quartier des Arènes : Côté gauche de la rue des Arènes ou le palais de justice Dans la nuit du 15 août 1864, un incendie se déclare rue des Arènes et se propage rapidement. Il n'y a pas de victimes, mais 109 maisons sont détruites en une seule nuit dans un espace allant de la place d'Aine à la place de la Motte, laissant près de 2000 habitants sans abri. les pertes matérielles sont considérables.
Originaire de Reims, Jacques-Joseph Maquart vient à Limoges à l'invitation de son ami Casimir Ranson. Cet amoureux des arts dévoué et actif , tel que ses amis le définissait, s'intègre vite, devient vice- président de la Société Archéologique puis de la "Société des amis des arts" du musée Dubouché.
En 1864, il crée un album rappelant les péripéties de l' incendie de Limoges et l'offrit au Conseil municipal. Cet album unique comprend 12 dessins et trois plans.
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Limoges, incendie du quartier des Arènes : Rue des Arènes L’un des plus ravageurs incendies que connut Limoges fut sans nul doute celui de la nuit du 15 août 1864, qui emporta presque tout le quartier des Arènes (109 maisons, environ 2000 personnes à la rue).
La rue des Arènes de l’époque est devenue la rue Othon Péconnet, du nom du maire qui géra la reconstruction. Au fond la place d’Aine et le tribunal.
(cote RES.P. Lim Z1 (1))
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Limoges, incendie du quartier des Arènes: Entrée de la rue des Arènes à l'emplacement de la maison du Chapelier Cance, point de départ de l'incendie. Dans la nuit du 15 août 1864, un incendie se déclare rue des Arènes et se propage rapidement. Il n'y a pas de victimes, mais 109 maisons sont détruites en une seule nuit dans un espace allant de la place d'Aine à la place de la Motte, laissant près de 2000 habitants sans abri. les pertes matérielles sont considérables.
Originaire de Reims, Jacques-Joseph Maquart vient à Limoges à l'invitation de son ami Casimir Ranson. Cet amoureux des arts dévoué et actif , tel que ses amis le définissait, s'intègre vite, devient vice- président de la Société Archéologique puis de la "Société des amis des arts" du musée Dubouché.
En 1864, il crée un album rappelant les péripéties de l' incendie de Limoges et l'offrit au Conseil municipal. Cet album unique comprend 12 dessins et trois plans.
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Nos soldats s'exercent aux travaux de tranchées Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché.
Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat.
Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats.
Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue.
Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches.
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Trois Indiens Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché.
Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat.
Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats.
Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue.
Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches.
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Lecture des dernières nouvelles de la guerre en attendant le départ pour le front Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché.
Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat.
Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats.
Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue.
Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches.
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Passage des troupes en revue Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché.
Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat.
Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats.
Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue.
Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches.
La reproduction conservée aux Archives Départementales de la Haute-Vienne, nous apprend qu'il s'agit du général Latour d'Affaure qui passe en revue les jeunes gens de la Société de préparation militaire de Limoges, au Champ de Juillet, le 21 mars 1915. Le dessin paraît dans Le Courrier du Centre du 11 avril 1915.
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Passage des troupes anglaises des Indes, Convoi de matériel et de munitions. Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché.
Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat.
Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats.
Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue.
Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches.
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M'zioud Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché.
Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat.
Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats.
Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue.
Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches.
Ce dessin est paru dans Le Courrier du Centre du 22 novembre 1914. On retrouve M'zioud, tirailleur algérien blessé, à plusieurs reprises. Ainsi une autre version est publiée dans le fascicule Les Blessés.
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Convoi des troupes anglaises des Indes Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché.
Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat.
Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats.
Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue.
Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches.
Dessin paru dans Le Courrier du Centre du 3 janvier 1915 et publié dans le fascicule Les Hindous.
La reproduction du Courrier du Centre date ce passage de décembre 1914.
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La Soupe des Mobilisés, Place de la République. Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché.
Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat.
Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats.
Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue.
Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches.
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Réfectoire des soldats, Place de la République. Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché.
Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat.
Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats.
Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue.
Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches.
La reproduction du Courrier du Centre fait état de territoriaux prenant leur repas. Les territoriaux étaient des soldats ayant atteint l'âge de 36 ans et étaient essentiellement employés aux services de l'intendance.
Dessin paru dans Le Courrier du Centre du 6 juin 1915 et publié dans le fascicule Nos Soldats.
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Prisonniers boches Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché.
Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat.
Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats.
Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue.
Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches.
À Limoges, les prisonniers allemands sont internés au Mas-Éloi. Une partie d'entre eux est enterrée dans les cimetières de Louyat et Chaptelat.
Dessin paru dans Le Courrier du Centre du 21 mars 1915 et publié dans le fascicule Les Boches.
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Pour nos blessés. Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché.
Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat.
Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats.
Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue.
Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches.
De nombreux dessins ont pour thématiques les blessés. Alluaud habite en effet rue de la Grange Garat (actuelle rue Victor-Thuillat à Limoges) à côté de l'hôpital du Mas-Loubier où sa femme, Marcelle Alluaud, officie en tant qu'infirmière en chef. Quelques photographies sont également conservées.
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Allo ! Madam ti sais merci beaucoup beaucoup Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché.
Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat.
Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats.
Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue.
Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches.
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Menu. Exposition des Arts et des Sciences. 1886 Menu tout en fantaisie et en invention (saumon préhistorique sauce microbes, cryptogames vénéneux...) à l'occasion de l'inauguration de l'Exposition des Arts et des Sciences de Limoges. Il y avait ce soir là, parmi les 68 prestigieux convives, le secrétaire d'Etat à l'enseignement public venu Paris pour la circonstance.
cote : 3FI40 (Bfm Limoges)
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Exposition de la Ville de Limoges : distribution des récompenses aux exposants par le Prince Napoléon. En 1858, Limoges et la Haute-Vienne, temple de l'industrie à bon marché, de l'agriculture en pleine santé, organise "l'Exposition des produits de l'Agriculture, de l'Industrie et des Beaux-Arts du Centre de la France". Limoges fait ainsi les honneurs de la presse pendant une semaine et t le Prince Jérôme Napoléon, cousin germain de l'Empereur Napoléon III, fait le déplacement pour la remise des prix.
Le bâtiment présenté sur la gravure fut construit pour l'occasion sur le Champ de Juillet par l'architecte Régnault. Cet hangar de 132 m de long et 12 m de large, monumental et pittoresque, inspiré d'un château moyenâgeux, impressionna beaucoup par ses décors gothiques.
cote : 3FI44 (Bfm Limoges)
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Le Dimanche des Rameaux à Limoges Une sortie de messe des Rameaux devant la chapelle Saint-Aurélien de Limoges (quartier de la Boucherie).
Dessinateur et graveur non identifiés.
cote : 3FI49 (Bfm Limoges)
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Objets trouvés dans les fouilles de l'Evêché de Limoges, [Erotiques ] 5. Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
JB Tripon auteur de ces dessins érotiques s'explique : "lors de la démolition de l'Evêché [de Limoges] en 1759, on découvrit plusieurs objets très curieux mais dont quelques uns étaient d'une obscénité révoltante, ce qui engagea Monseigneur d'Argentré, évêque, de les faire briser. Beaumesnil obtint la permission d'en dessiner mais ces dessins oont été perdus [...] Quelques uns de ces monuments avaient pu faire partie d'un ancien temple à Priape, force créatrice de la Nature. Les emblèmes qui dans l'état actuel de nos moeurs nous semble le délire de la dépravation n'étaient peut-être que l'expression d'un sentiment pieux et de l'espérance en l'immortalité.
JB Tripon précise enfin : "tout en publiant ces dessins qui nous semblent d'un intérêt hautement puissant, par une réserve facile à comprendre, nous avons cru devoir interrompre l'ordre de pagination, afin qu'il fût facultatif à nos souscripteurs d'élaguer de l'ouvrage ces deux livraisons ."
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci.
Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare (en raison de ces images érotiques) . Les érudits du XIXesiècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2