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Ustrinum Sous-titre : "Monument où l'on brûlait les corps morts, observé sur la place de Glanges (Haute-Vienne), Septentrion de la Roche l'Abeille".
Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2
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Monument Gaulois, Temple funèbre observé dans le cimetière de Pierre-Buffière Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
Dans son commentaire , JB Tripon explique que la forme octogonale de ce monument funèbre gaulois "est celle qui approche le plus de la forme ou de la rondeur de la Terre".
JB Tripon précise par ailleurs que cette gravure s'inspire d'un dessin de Baumesnil disparu. Ce temple gaulois, un des quatre subsistants en Limousin, aurait été visible dans le cimetière de Pierre-Buffière jusqu'en 1747.
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2
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Station X : L'Arcade de l'Ecce-Homo, où Notre-Seigneur fut mis en comparaison avec Barrabas, qui lui fut préféré Extrait de : "Les Stations de Jérusalem : pour servir d'entretien sur la Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ", petit ouvrage de dévotion du jésuite Adiren Parvilliers et orné de 18 gravures sur bois de style naïf représentant les stations du Christ, rappelant les illustrations des livres de colportage.
cote : MAG.P LIM E1491 (Bfm Limoges)
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Station IX : Le Prétoire de Pilate, où Notre-Seigneur fut couronné d'épines Extrait de : "Les Stations de Jérusalem : pour servir d'entretien sur la Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ", petit ouvrage de dévotion du jésuite Adiren Parvilliers et orné de 18 gravures sur bois de style naïf représentant les stations du Christ, rappelant les illustrations des livres de colportage.
cote : MAG.P LIM E1491 (Bfm Limoges)
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Station VIII : La Salle de la Flagellation, où Notre-Seigneur fut déchiré à coups de fouets Extrait de : "Les Stations de Jérusalem : pour servir d'entretien sur la Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ", petit ouvrage de dévotion du jésuite Adiren Parvilliers et orné de 18 gravures sur bois de style naïf représentant les stations du Christ, rappelant les illustrations des livres de colportage.
cote : MAG.P LIM E1491 (Bfm Limoges)
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Station VII : le Palais d'Hérode, où Notre-Seigneur fut revêtu d'une robe blanche par moquerie Extrait de : "Les Stations de Jérusalem : pour servir d'entretien sur la Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ", petit ouvrage de dévotion du jésuite Adiren Parvilliers et orné de 18 gravures sur bois de style naïf représentant les stations du Christ, rappelant les illustrations des livres de colportage.
cote : MAG.P LIM E1491 (Bfm Limoges)
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Station VI : Maison du Caïphe, où Notre-Seigneur fut jugé digne de mort, et souffrit mille indignités; Extrait de : "Les Stations de Jérusalem : pour servir d'entretien sur la Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ", petit ouvrage de dévotion du jésuite Adiren Parvilliers et orné de 18 gravures sur bois de style naïf représentant les stations du Christ, rappelant les illustrations des livres de colportage.
cote : MAG.P LIM E1491 (Bfm Limoges)
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Station V : la Maison d'Anne, où Notre-Seigneur fut attaché à un arbre et reçut un soufflet Extrait de : "Les Stations de Jérusalem : pour servir d'entretien sur la Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ", petit ouvrage de dévotion du jésuite Adiren Parvilliers et orné de 18 gravures sur bois de style naïf représentant les stations du Christ, rappelant les illustrations des livres de colportage.
cote : MAG.P LIM E1491 (Bfm Limoges)
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Station IV : Le Torrent de Cedron, où Notre-Seigneur tomba dans l'eau en passant Extrait de : "Les Stations de Jérusalem : pour servir d'entretien sur la Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ", petit ouvrage de dévotion du jésuite Adiren Parvilliers et orné de 18 gravures sur bois de style naïf représentant les stations du Christ, rappelant les illustrations des livres de colportage.
cote : MAG.P LIM E1491 (Bfm Limoges)
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Station III : L'entrée au Jardin des Oliviers, où Notre-Seigneur fut pris et lié par les Juifs. Extrait de : "Les Stations de Jérusalem : pour servir d'entretien sur la Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ", petit ouvrage de dévotion du jésuite Adiren Parvilliers et orné de 18 gravures sur bois de style naïf représentant les stations du Christ, rappelant les illustrations des livres de colportage.
cote : MAG.P LIM E1491 (Bfm Limoges)
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Station II : La Grotte du Jardin des Oliviers où notre Seigneur sua le sang, durant son agonie Extrait de : "Les Stations de Jérusalem : pour servir d'entretien sur la Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ", petit ouvrage de dévotion du jésuite Adiren Parvilliers et orné de 18 gravures sur bois de style naïf représentant les stations du Christ, rappelant les illustrations des livres de colportage.
cote : MAG.P LIM E1491 (Bfm Limoges)
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Station I : Le Cénacle où Notre seigneur institua le Saint-Sacrement de son corps et de son sang. Extrait de : "Les Stations de Jérusalem : pour servir d'entretien sur la Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ", petit ouvrage de dévotion du jésuite Adiren Parvilliers et orné de 18 gravures sur bois de style naïf représentant les stations du Christ, rappelant les illustrations des livres de colportage.
cote : MAG.P LIM E1491 (Bfm Limoges)
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Le Grand Séminaire de Limoges Un grand séminaire, lieu de formation des prêtres, est ouvert à Limoges au 17e siècle. Il occupe des bâtiments du faubourg Manigne, vers l’église Sainte-Marie, jusqu’à la Révolution. Il s’installe ensuite un temps au couvent des Allois (place de la Cité) puis, au début du 19e siècle, des bâtiments sont construits pour l’accueillir sur les vestiges de l’abbaye bénédictine de la Règle, en grande partie détruite à la Révolution. En 1921, il déménage de l’autre côté de la Vienne, rue Eugène-Varlin.
Il n'en reste aujourd'hui que le réfectoire (actuel Cité des métiers et des arts), ainsi que la chapelle de la Règle qui ne fut jamais consacrée.
cote : 3FI41 (Bfm Limoges)
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Projet d'assainissement et d'amélioration de l'intérieur de la ville de Limoges En sous-titre :
"Première partie : de la place Manigne à la Maison Cruveilhier, par les rues du Verdurier, des Suisses, Poulaillère, des Taules."
Plan extrait de " De l'ouverture d'une nouvelle rue au centre de la ville de Limoges en traversant les rues du Verdurier, des Suisses, Poulaillère et des Taules " concernant le projet de réalisation de la future rue Jean Jaurès.
cote : cote : MAG.P LIM B1029 (Bfm Limoges)
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Halles centrales de Limoges à ériger sur la place de la Mothe, coupe plan et élévation Paru dans le tome VII, n°25 (1885, 17 octobre) de la revue "Le Génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères" (p.[385]-389) concernant la construction des Halles centrales de Limoges par les ingénieurs MM. Al. Levesque et G. Pesce.
cote : MAG.P LIM 38899/25 (Bfm Limoges)
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Maupuy, la Peyroulade extrait de Creuse 1876-79 , carnet de croquis.
Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Enfin, cet historien poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers qui chantent la Creuse aimée, son humilité et simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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La Croix des Bois, Lardillier, Benevent extrait de Creuse 1876-79 , carnet de croquis.
Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Enfin, cet historien poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers qui chantent la Creuse aimée, son humilité et simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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clocher de Peyrabout, église de Saint-Léger-le-Guérétois extrait de Creuse 1876-79 , carnet de croquis.
Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Enfin, cet historien poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers qui chantent la Creuse aimée, son humilité et simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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Vernet, près de Guéret extrait de Creuse 1876-79 , carnet de croquis.
Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Enfin, cet historien poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers qui chantent la Creuse aimée, son humilité et simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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Le village de Sainte-Claire, près de Limoges. Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante.
Avec Audiguet, Limoges devient paysage photographique.
cote : 9FI502/27 (Bfm limoges)