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Vaches Constantin Troyon est un peintre de paysages et d'animaux, reconnu pour son talent réaliste qui lui vaut une présentation régulières aux Salons. En 1863, il entreprend un voyage à travers le le Limousin (École de Crozant) avec ses amis peintres Jules Dupré et Louis Cabat.
cote : 5FI90 (Bfm Limoges)
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Le vertige Auguste Gendron, peintre de salon, nombreuses fois primé, pratiquait la peinture religieuse, la peinture de genre et les sujets mythologiques. On lui reconnaissait un style gracieux et une finesse de dessin.
L'Etat lui a confié les decorations du palais d'Orsay, du palais du Louvre, du château de Saint-Cloud...
cote : 5FI45 (Bfm Limoges)
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[Mythologie] cote : 5FI43 (Bfm Limoges)
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Repos de la Sainte Famille Gravure présentée au salon de 1850-51
cote : 5FI42 (Bfm Limoges)
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Rêves de chasse Célestin François Nateuil s'est surtout fait connaître par les frontispices et gravures qu'il a dessiné pour illustrer les livres de ses camarades : Théophile Gautier, Alexandre Dumas, ...Il illustra également Hugo, Balzac, les frères Goncourt. Proche du mouvement romantique, ses dessins s'inspirent de l'onirique médiéval, dans le goût du temps.
Maintes fois exposé aux Salons de Peinture et Sculpture, il laisse aussi une oeuvre peinte beaucoup moins connue.
cote : 5FI41 (Bfm Limoges)
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Tentation. D'après une peinture de et par Celestin François Nanteuil. Présenté au Salon de Peinture et Sculpture de 1850-51.
Célestin Nanteuil s'est surtout fait connaître par les frontispices et gravures qu'il a dessiné pour illustrer les livres de ses camarades : Théophile Gautier, Alexandre Dumas, ...Il illustra également Hugo, Balzac, les frères Goncourt. Proche du mouvement romantique, ses dessins s'inspirent de l'onirique médiéval, dans le goût du temps.
Maintes fois exposé aux Salons de Peinture et Sculpture, il laisse aussi une oeuvre peinte beaucoup moins connue.
cote : 5FI40 (Bfm Limoges)
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Tê ...! Vizo doun Page centrale du livret de la Revue locale du Casino de Limoges.
Peintre, dessinateur, graveur et affichiste, ami de Pierre Bonnard, Édouard Vuillard, Maurice Denis, Ibels fut surnommé le « Nabi journaliste". Il illustra la vie politique, passant son temps dans les journaux, Mais c'est surtout dans l'affiche et le croquis qu'il excelle, puisant son inspiration dans la vie de la rue, des cafés-concerts, du cirque.
cote : MAG.P LIM 42580 (Bfm Limoges)
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Tê ...! Vizo doun Page de couverture du livret de la Revue locale du Casino de Limoges.
Peintre, dessinateur, graveur et affichiste, ami de Pierre Bonnard, Édouard Vuillard, Maurice Denis, Ibels fut surnommé le « Nabi journaliste". Il illustra la vie politique, passant son temps dans les journaux, Mais c'est surtout dans l'affiche et le croquis qu'il excelle, puisant son inspiration dans la vie de la rue, des cafés-concerts, du cirque.
cote : MAG.P LIM 42580 (Bfm Limoges)
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Banque de l'Amour : bon pour cinquante coups francs payables au porteur S'agit-il d'un billet du "Père 100" (célébrant les 100 derniers jours des conscrits) ou bien d'un de bordel, Il a été trouvé dans un grenier d'une maison de Haute-Vienne. Il est en tout cas bien illustré, signé du trésorier A. Lonzo Bordel et du secrétaire Jean Kultou.
Collection particulière.
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Le Dorat : Porte-bergère Cette porte dite Bergère doit son nom aux gardiennes de troupeaux qui l'empruntaient autrefois. Construite au XVe siècle, sur le pan le plus inaccessible du coteau, elle est la seule porte fortifiée conservée en Haute-Vienne, et la seule subsistante des quatre portes du Dorat.
cote : 9FI84 (Bfm Limoges)
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Porcelaine Théodore Haviland, Limoges, France Album de photographies représentant les différentes phases de réalisation de porcelaines, les ateliers et le personnel de la manufacture Haviland.
cote : RES.P LIM V279 (Bfm Limoges)
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Limoges, la fontaine Saint-Aurélien du quartier de la Boucherie. Dans le virage de la bien-nommée rue Torte (rue de la Boucherie), au milieu de ce que l’on appelle place Saint-Aurélien, devant la chapelle du même nom, deux enfants du quartier posent au pied de la patronne des bouchères, la Mère des Douleurs, Notre-Dame de Pitié. Cette jolie sculpture de céramique est bénite par l’évêque en 1869. Vandalisée en 1996, elle est reproduite à l’identique, mais en bronze.
cote : 9FI480 (Bfm Limoges)
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Uzerche, vue générale cote : 9FI 90 (Bfm Limoges)
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Limoges, le Naveix Le port du Naveix et son ramier destiné à arrêter le bois en flottage. A droite, le village de Soudanas.
Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante.
cote : MAG.P LIM 9 Fi 502/11 (Bfm Limoges)
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La croix de Maupuy extrait de "Creuse 1879-80", carnet de croquis.
Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire.
Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880.
Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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Dolmen extrait de "Creuse 1879-80", carnet de croquis.
Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire.
Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880.
Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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Le cheval Saint-Antoine, l'église de...(?), Tour de Zizim à Bourganeuf extrait de "Creuse 1876-79", carnet de croquis.
Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire.
Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880.
Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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Chateau du Terré (Théret), l'entrée chateau du XVe siècle. C'est aujourd'hui une demeure privéee.
extrait de "Creuse 1879-80", carnet de croquis.
Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire.
Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880.
Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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Vue sur la Vienne et sur l'Abbessaille Vue vers le quartier de l’Abbessaille et le pont Saint-Étienne. Les bateliers "ponticauds", appelés "naveteaux" (probablement du latin navigium : bateau, navigation) exerçaient différents métiers à l’aide de leur traditionnelle barque à fond plat : ils draguaient le sable de la rivière et réceptionnaient le bois flottant pour fournir les fabriques de porcelaine, ils transportaient des marchandises, ils pêchaient la friture au filet (on les surnommait alors les "ravageurs"), ils servaient de passeurs entre les deux rives…
Quant au quartier de l'Abbessaille, que l'on voit ici, il n'en reste que quelques petites rues de la partie haute. Toutes les maisons proches de la rivière ont été rasées au début du 20e siècle et remplacées par le boulevard (actuel quai Louis-Goujaud).
cote : 9FI502/4 (Bfm limoges)
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Vue de la cathédrale de Limoges. Prise du coté de la tour. Dès le 11e siècle, une cathédrale est élevée au cœur de la Cité. De ce premier édifice roman, il ne subsiste aujourd'hui que la crypte et les étages inférieurs du clocher. La construction de la cathédrale actuelle commença en 1273, mais les dernières travées reliant la nef au clocher ne furent bâties qu'en 1876. La cathédrale associe gothique rayonnant (abside et transept sud) et gothique flamboyant (portail Saint-Jean). Elle est finalement achevée le 12 août 1888
cote : 3FI42 (Bfm Limoges)