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Joutes nautiques au Gibanel château du Gibanel, Saint Martial-Entraygues (Corrèze)
Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal.
cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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Inondation de la Souvigne à Saint Chamant (Corrèze).
Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal.
cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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La Foire d'Argentat, 5 Place Joseph Faure, Argentat.
Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal.
cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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la Foire d'Argentat, 4 Place Joseph Faure, Argentat.
Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal.
cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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La Foire d'Argentat, 3 Place Joseph Faure, Argentat.
Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal.
cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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La Foire d'Argentat, 2 Place Joseph Faure, Argentat.
Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal.
cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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La Foire d'Argentat, 1 Place Joseph Faure, Argentat.
Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal.
cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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Le peintre Henri Cueco Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal.
cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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Embouteillage dans le centre-ville Argentat, avenue Henri IV.
Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal.
cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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Chantier de la piscine municipale d'Argentat-sur-Dordogne, 2 Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal.
cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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Chantier de la piscine municipale d'Argentat-sur-Dordogne, 1 Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal.
cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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Travail sur les cables Argentat, avenue Henri IV,
Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal.
cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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Scène agricole Dans les environs d'Argentat (Corrèze)
Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal.
cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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La foire de Noël Les foires aux bestiaux permettaient à de nombreux éleveurs de la région de venir vendre et acheter du bétail. Celle de Limoges avait lieu su l'actuelle place Winston Churchill. On aperçoit au fond de l'image l'ancien musée de porcelaine Adrien Dubouché, avant sa reconstruction par un autre édifice en 1900.
Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante.
cote : 9Fi502/22 (Bfm Limoges)
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Ce qu'on a oublié de montrer au Président de la République : la rue de la Boucherie à Limoges. Illustration de couverture du Petit journal du 21 septembre 1913.
Le président Raymond Poincaré est alors en voyage officiel dans la région. Depuis 1224, la corporation des Bouchers de Limoges possède le privilège, octroyé par Saint-Louis, d'escorter les souverains et princes royaux à leur entrée dans la ville. Pourtant, Le Protocole oublie de faire passer le cortège présidentiel dans la pittoresque rue de la Boucherie, décorée pour l'occasion par la corporation des Bouchers. Ce fut un drame local retentissant...
Bfm Limoges.
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Sanglantes émeutes à Limoges Couverture du Petit Journal du 30 avril 1905 relatant la grève des Porcelainiers de Limoges et les émeutes qui s'ensuivirent.
Le 17 avril, Après le refus du préfet et du maire de libérer des grevisites arrêtés, un cortège gagne alors la prison et en défonce l'entrée. Face aux attaques des forces de l'odre, les émeutiers se réfugient dans le jardin d'Orsay. La troupe ouvre le feu et prend le jardin d'assaut. On déplore plusieurs blessés et un mort, Camille Vardelle, jeune ouvrier porcelainier de 19 ans. Les funérailles du jeune Vardelle sont suivies, deux jours plus tard, par des dizaines de milliers de personnes.
Bfm Limoges.
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L'Hôtel de Ville de Limoges La construction de l’Hôtel de Ville, symbole des valeurs de la IIIème République, est rendue possible grâce au legs d’un riche propriétaire limougeaud Alfred Fournier.
Le choix de son emplacement fait débat. Pas moins de 16 propositions d’emplacement sont retenues. Le conseil municipal décide alors de faire appel à la population pour déterminer l’emplacement du « bien appartenant à tous les citoyens».. Soutenu par deux pétitions, ’emplacement actuel est finalement validé par le conseil municipal en 1877.
C'est Alfred Leclerc, prix de Rome, architecte de Versailles et du Trianon notamment qui est retenu pour réaliser le monument inauguré le 14 juillet 1883.
L’architecture du bâtiment intègre aussi bien les symboles républicains que l’histoire de la Ville (écussons des anciennes corporations, effigie de Saint-Martial…).
Fonds Jean-Baptiste Boudeau, boîte 186 (Bfm Limoges)
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Hôtel de Ville de Limoges L’édification du nouvel Hôtel de Ville est rendue possible grâce au legs d’Alfred Fournier (1812-1875), riche propriétaire limougeaud.
La construction débute en 1879 sur les plans d’Alfred Leclerc (1843-1915). Ce jeune architecte semble s’être largement inspiré de l’Hôtel de Ville de Paris qui est, à la même époque, en pleine reconstruction. L’inauguration a lieu le 14 juillet 1883.
La façade est de style composite, majoritairement néo-Renaissance. Le soubassement est en granit des monts d’Ambazac, les niveaux supérieurs en pierre calcaire du Poitou.
Fonds Jean-Baptiste Boudeau, boîte 186 (Bfm Limoges)
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Vue générale de Tulle, la place de l'Hôtel de ville Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
Vue depuis l'actuelle place Gambetta, du logis de Loyac
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2
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Femme en barbichet Le barbichet à larges ailes de mousseline, brodées de dentelles et amidonnées est une coiffe traditionnelle porté en haut Limousin Elle se développe vers 1835-1840, avec la venue des broderies d'Aixe sur Vienne et voit son apogée vers l'an 1880.
C'est la coiffe réservée aux cérémonies et fêtes dominicales.
Fragile et coûteux pour la finesse de sa dentelle, c'est un trésor de famille qu'on aime à monter, mais aussi pour les auteurs du Félibre à chanter et louer.
Fonds Jean-Baptiste Boudeau, boite 171 (Bfm Limoges).