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Le château de Puy-de-Val, Corrèze Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage.
Situé à une dizaine de kilomètres de Tulle, dans la commune d'Espargnac, le château de Puy-de-Val forme un beau quadrilatère autour d'une cour hérissée de tours. Construit au XVe siècle, remanié au XVI puis XVIIIe siècle, il connut de prestigieux possesseurs parmi les plus illustres familles limousines : Guy Puy-de-Val époux d'Helies la Jugie, Françoise de Noailles, etc.
Le château est inscrit à l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927.
Cette gravure fut initialement publiée dans "Le château de Puy-de-Val, description et histoire" (1883) de René Fage.
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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la Tour César, Turenne, Corrèze Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage".
La « Tour de César » est un donjon circulaire de 20 m de haut, datant du XIIIe siècle qui domine le village est un des vestiges de l'ancienne forteresse de Turenne importante seigneurie qui s'étendait sur une superficie de plus de 600 000 ha au XIVe siècle.
Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Ruines du château de Saint-Chamant, Corrèze. Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage".
Les premières mentions du château apparaissent au 13ème siècle. Il n'en subsiste, aujourd'hui, qu'une massive tour résidentielle, de plan circulaire, arasée au début du 17ème siècle. Cette construction est conservée sur deux niveaux d'élévation : une salle basse et un étage voûté d'ogives; ces vestiges sont inscrits à l'Inventaire au titre des monuments historiques depuis 2014.
Cette gravure fut initialement publiée dans "Notes et documents pour servir à l'histoire de la Maison de Saint-Chamans" d'Eusèbe Bombal.
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Ruines du château de Saint-Chamant, Corrèze. Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage.
Les premières mentions du château apparaissent au 13ème siècle. Il n'en subsiste, aujourd'hui, qu'une massive tour résidentielle, de plan circulaire, arasée au début du 17ème siècle. Cette construction est conservée sur deux niveaux d'élévation : une salle basse et un étage voûté d'ogives; ces vestiges sont inscrits à l'Inventaire au titre des monuments historiques depuis 2014.
Cette gravure fut initialement publiée dans "Notes et documents pour servir à l'histoire de la Maison de Saint-Chamans" d'Eusèbe Bombal.
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Ruines du château de Merle 2, Corrèze. Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage".
Les Tours de Merle sont situées en Corrèze sur un éperon rocheux de 40 m de haut et 200 m de long. Elles furent construites par 7 familles de seigneurs entre le XIIème et le XVème siècle. Lieu de péage, ce castrum se situait à la frontière entre le Duché d'Aquitaine, le Comté d'Auvergne et le Comté de Toulouse.
Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Ruines de Carbonnières près Merle, Corrèze Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage".
Vestiges d'une forteresse féodale (XIe et XIVe siècles) composés de deux tours carrées (la tour sud, à vocation défensive et la tour nord, à vocation résidentielle). Leur hauteur d’origine pouvait atteindre 20 à 25 mètres. Au XVème siècle, les deux tours seront abandonnées et ne serviront plus alors que de refuge temporaire.
Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Ruines du château de Merle 1, Corrèze. Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage".
Les Tours de Merle sont situées en Corrèze sur un éperon rocheux de 40 m de haut et 200 m de long. Elles furent construites par 7 familles de seigneurs entre le XIIème et le XVème siècle. Lieu de péage, ce castrum se situait à la frontière entre le Duché d'Aquitaine, le Comté d'Auvergne et le Comté de Toulouse.
Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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La Visitation, Tulle Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage".
Cette gravure fut initialement publiée "Le vieux Tulle" de René Fage.
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Eglise de Meymac, Corrèze Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage".
L'église Saint-Léger de Meymac appartenait à l'abbaye bénédictine attenante. Le clocher-porche abrite un portail polylobé de style roman limousin. Le porche est orné de chapiteaux romans de facture archaïque. La nef est bordée de larges arcades et voûtée d'ogives.
Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la Société Archéologique de Brive
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Tulle, la cathédrale Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage".
Construite au XIIe siècle, cette église abbatiale devient cathédrale en 1317 était initialement une église abbatiale.
Cette gravure fut initialement publiée "Le vieux Tulle" de René Fage.
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Le donjon de Turenne Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage".
Ce donjon rectangulaire, appelé aussi tour du Trésor ou encore tour de l’Horloge, a été bâti au XIVe siècle. Dominant le village de Turenne, il est un des vestiges de cette ancienne forteresse, importante seigneurie. qui s'étendait sur une superficie de plus de 600 000 ha au XIVe siècle.
Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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L'Urbanisme à Limoges au XVIIIe siècle. Limoges a longtemps séparée en deux villes : la Cité, dont la population est essentiellement cléricale et le Château. Celui-ci connait de grands bouleversements au XVIIIe siècle grâce aux efforts des intendants royaux. Les remparts sont progressivement arasés, laissant place à de larges boulevards plantés d'arbres, ouvrant la ville sur la campagne. De nombreux hôtels particuliers répondant au goût classique fleurissent, les premières manufactures sont créées (textiles, faïences puis porcelaine). A la veille de la Révolution, Limoges est en passe de devenir une ville moderne.
cote : MAG.P LIM 50078 (Bfm Limoges)
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Tulle-église des Carmes Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage.
Cette chapelle du couvent des Carmes a été élevée à la fin du 17e siècle. Son architecture est caractéristique du style classique de cette époque avec son plan octogonal, ses six chapelles saillantes, sa façade principale scandée de pilastres . L'église a cessé d'être affectée au culte par arrêté du 20 janvier 2010.
Cette gravure fut initialement publiée "Le vieux Tulle" de René Fage.
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Eglise de Saint-Angel, Corrèze Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage"
L'église -prieuré de Saint-Angel-des-Anges est un exemple d'église fortifiée tel qu'il en existait au Moyen-âge. Elle faisait partie d'un ensemble qui regroupait un château et un monastère bénédictin dépendant de l'abbaye poitevine de Charroux. L'église a été fortement remaniée aux XVe et XVIe siècle.
Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Tulle, le Cloître Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage".
Edifice gothique du XIIIe siècle qui formait avec l’église, le cœur de l’abbaye Saint-Martin de Tulle
Les galeries du cloître connurent plusieurs campagnes de restauration à partir de la fin du XIXe siècle. L’une de ces campagnes aboutit en 1928 à la reconstruction de la galerie Ouest, destinée à abriter l'actuel musée du cloître.
Cette gravure fut initialement publiée "Le vieux Tulle" de René Fage.
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Ruines du monastère du Coyroux Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage".
Le monastère du Coyroux, situé sur la commune d'Aubazine en Corrèze, était un ancien établissement de cisterciennes fondé en 1142 et construit à proximité du monastère d'hommes d'Aubazine, dont il dépendait. Fermé à la Révolution, exploité comme carrière, il est aujourd'hui en ruines.
Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Ruines du Prieuré de Port-Dieu, Corrèze Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage
Le prieuré de Port-Dieu, anciennement appelé prieuré de Trappes, était un prieuré bénédictin situé sur la commune de Confolent-Port-Dieu en Corrèze. Fondé en 1060 par Saint-Robert (de Turlande) sur des terres données par son disciple, Raoul Passereau, ancien troubadour, le prieuré dépendait de la Chaise-Dieu, dont il était un des plus puissants établissements au XIVe siècle.
Cette gravure fut initialement publiée dans l'ouvrage du Dr F. Longy "Port-Dieu et son prieuré".
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Eglise de Notre-Dame-du-Pont à Saint-Junien, Haute-Vienne Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
Construite à l’extrémité d’un pont du XIIIème siècle, cette chapelle Notre Dame est d'un beau style gothique flamboyant. Ce simple oratoire du XIIIe siècle fut agrandi grâce aux libéralités de Louis XI et restauré à la fin du XIXème siècle.
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2
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La cathédrale Saint-Etienne de Limoges. Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
La cathédrale de Limoges est notamment remarquable par sa hauteur et son unité. Jean-Baptiste Tripon écrit d'ailleurs à ce propos : "Un effet merveilleux qui résulte des proportions et de l'harmonie des parties, la hardiesse de la voûte, l'élévation des ogives impriment à cette partie de l'édifice un caractère tout à fait grandiose".
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2
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Tombeau de Jean de Langeac, cathédrale de Limoges Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
Jean de Langeac ecclésiastique, magistrat et diplomate (ambassadeur de François 1er à diverses reprises ) fut élu évêque de Limoges en 1532. Il travailla ardemment à l’épanouissement du style Renaissance à Limoges. Achevé en 1544, soit trois ans après sa mort, ce tombeau constitue avec le jubé que Jean de Langeac fit également construire, l'un des deux beaux ouvrages de ce style Renaissance remarquable de Limoges et l'un des premiers du Limousin. Mutilé à la Révolution, il ne subsiste de ce tombeau que sa partie architecturale.
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2