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Le monument des Mobiles Officiellement nommé « Monument aux morts à la gloire des victimes de la guerre de 1870 », le monument des Mobiles est l’œuvre du sculpteur limougeaud Adolphe-Martial Thabard, inauguré en 1899 aux angles de l'avenue de la Gare (devenue avenue du Général de Gaulle) et du cours Jourdan. C’est un hommage aux morts pour la France en 1870-1871, et plus particulièrement au 71ème régiment de Mobiles de la Haute-Vienne.
Fonds Jean-Baptiste Boudeau, Boîte 174 (Bfm Limoges)
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La statue du Maréchal Jourdan La statue de Jean-Baptiste Jourdan (1762-1833), célèbre Limougeaud, député de la Haute-Vienne et maréchal d’Empire victorieux à Watignies et à Fleurus, fut inaugurée en 1860. Elle nous le montre, prêt à mettre sabre au clair, au milieu du square créé en 1907. C’est probablement parce qu’elle représente un chef militaire qu’elle ne fut pas, comme la plupart des autres statues limougeaudes, fondue sous l’Occupation.
Fonds Jean-Baptiste Boudeau, boîte 174 (Bfm Limoges)
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La statue de Gay-Lussac Œuvre du sculpteur Aimé Millet, cette statue rend hommage au célèbre physicien et chimiste natif de Saint-Léonard-de-Noblat, Louis-Joseph Gay-Lussac (1778-1850). Elle est inaugurée place d’Aine en 1890 et sera fondue sous l’Occupation.
Fonds Jean-Baptiste Boudeau, boite 184 (Bfm Limoges)
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La fontaine des Barres Cet édifice a été construit à l’emplacement d’un puits, la font des barres, qui permettait de recueillir l’eau descendue d’une source de Montjovis. Son nom viendrait des barres de fer qui évitaient de chuter dedans. En 1615 fut édifiée une fontaine pyramidale de granit distribuant l’eau par plusieurs jets. Au XIXe siècle, les jets furent remplacés par un robinet. Aujourd’hui tarie, il subsiste de la fontaine la pyramide de pierre, qui est inscrite aux Monuments historiques depuis 1949.
Fonds Boudeau, boite 186 (Bfm Limoges)
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Brune, mort à Avignon, le 2 août 1815 Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815.
cote : FP BRU G 07 (Bfm Limoges)
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Brune, général de l'armée française en Helvétie, et depuis en Batavie. Au-dessous du portrait, une scène de guerre de Duplessi-Bertaux inv. et del. Suit le récit d'un épisode de guerre.
Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815.
cote : FP BRU G 06 (Bfm Limoges)
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Brune Dans la marge, ce quatrain : «En vain le roi dictait des ordres tutélaires / Vaucluse livre Brune aux fureurs populaires / Et les gardiens veillant et les nuits et les jours / Sur le corps du héros protégeaient les vautours».
Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815.
cote : FP BRU G 05 (Bfm Limoges)
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Guillaume Brune Légende : Brune, Maréchal de France ; né à Brives. -
Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815.
cote : FP BRU G 04 (Bfm Limoges)
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[Guillaume] Brune Légende : Brune. Conseiller d'Etat. Général en chef de l'armée d'Italie. Né à Brives, dépt de la Corrèze, le 13 may 1763.
Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815.
cote : FP BRU G 03 (Bfm Limoges)
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Le Maréchal [Brune] jeune Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815.
cote : FP BRU G 02 (Bfm Limoges)
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François Le Tonnelier de Breteuil Légende : "Le Baron de Breteuil : ministre et secrétaire d'Etat". - De la série «Hommes illustres vivans».
Marquis de Fontenay-Tresigny, né à Paris en 1687, fils de François de Breteuil conseiller d'Etat et ancien intendant des finances, et d'Anne de Galonne de Courtebonne ; conseiller au parlement de Paris (6 août 1705), maître des requêtes (27 février 1712), intendant de la généralité de Limoges le 8 mars 1718, ministre de la guerre le 4 juillet 1723, occupa cette position pendant vingt ans, chancelier de la reine, mort à Paris le 7 janvier 1743.
Cote : FP BRET (Bfm Limoges)
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Jean-Pierre Brès Légende : "J. P. Brès, décédé du choléra le 5 août 1832. L'ami, le poëte, l'historien du gymnase normal, membre de la société libre des Beaux-arts. Dédié à Madame sa veuve et à Monsieur Amoros colonel directeur du gymnase national. Se vend chez l'auteur... et chez Mr Amoros".
Né à Limoges le 4 août 1782, écrivain, auteur de nombreux ouvrages pour la jeunesse, rédacteur à la "Revue encyclopédique", mort à Paris le 3 août 1832.
Cote : FP BRES (Bfm Limoges)
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Démolition du quartier du Viraclaud de Limoges La démolition de ce quartier fut décidée dès 1896 par le maire Emile Labussière. En plus d’être un quartier d’habitations insalubres, le Viraclaud était réputé pour être le quartier des prostituées. Il fut rasé pour percer le bout de la rue Jean Jaurès et bâtir le quartier de la préfecture.
cote : 9Fi224-2 (Bfm Limoges)
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Démolition du quartier du Viraclaud de Limoges La démolition de ce quartier fut décidée dès 1896 par le maire Emile Labussière. En plus d’être un quartier d’habitations insalubres, le Viraclaud était réputé pour être le quartier des prostituées. Il fut rasé pour percer le bout de la rue Jean Jaurès et bâtir le quartier de la préfecture.
cote : 9Fi224-1 (Bfm Limoges)
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Ancienne caserne des pompiers de Limoges Si la série "Limoges disparu" de l’éditeur Gabriel Dartout date de 1939, elle reprend des clichés antérieurs, comme celui-ci de l’ancien Hôtel des Monnaies (où l’on battait monnaie), situé rue Pont-Hérisson dans le quartier du Viraclaud, qui abrita ensuite la caserne des sapeurs-pompiers et accueillit également l’école communale de la Monnaie (déménagée rue Aristide Briand).
Après que fut construite la caserne de la Mauvendière, la caserne de la Monnaie fut démolie en 1912. On construira à son emplacement le Cirque-théâtre, aujourd’hui Opéra de Limoges.
cote : 9Fi161 (Bfm Limoges)
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Le Naveix vu depuis la rive gauche Le Naveix (probablement du latin navigium : bateau, navigation), est celui des quartiers des Ponts dont il ne reste absolument rien. Jugé trop insalubre, il fut entièrement rasé dans les années 1970. La base nautique, les terrains de pétanque, le boulevard, la maison de retraite et la patinoire l’ont remplacé.
En bas à droite les blanchisseuses s’affairent. On distingue le ramier, solide installation qui arrêtait le bois flottant en provenance des monts d’Ambazac ou de la région d’Eymoutiers.
cote : 9FI502/10 (Bfm Limoges)
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L'escalier du jardin d'Orsay à Limoges Vue vers le champ de foire, actuelle place Winston-Churchill, où se tinrent jusqu’au début du 20e siècle de grands marchés aux bestiaux. Cela explique la présence à cet endroit d’une bascule municipale : la maisonnette que l’on voit à droite.
Fonds Jean-Baptiste Boudeau, boite 190 (Bfm Limoges).
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Lemovicum. Limoges. Vue générale de Limoges
Gravure attribuée à Matthäus Merian, vers 1630
cote : 3FI93 (Bfm Limoges)
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École normale primaire de jeunes filles extrait du Recueil d'architecture civile, 1881.
L’Ecole normale d’institutrices de Limoges se situe dans le milieu de l’ancienne route d’Aixe (autrefois route de Bordeaux, actuelle rue François-Perrin). Elle est construite de 1881 à 1883 par l’entreprise Laudat, sous la direction d’Henri Lemasson et sur les plans de Jules Tixier, jeune architecte de 27 ans. Après avoir accueilli un temps les élèves infirmières, elle fut à l’abandon pendant plusieurs années, avant d’être transformée à la fin des années 2010 en résidence pour personnes âgées. Seule sa façade a été conservée.
cote : 3FI31 (Bfm Limoges)
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Limoges depuis les bords de Vienne, gravure de 1835 Gravure extraite du "Guide pittoresque du voyageur en France" par Eusèbe Girault de Saint Fargeau.
cote : 3FI46 (Bfm Limoges)