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Le cardinal Dubois Né à Brive (Corrèze) le 6 septembre 1656, fils de Jean et Marie-Joyet de Chaumont, précepteur du duc de Chartres (1687), prévôt d'Arnac en Limousin, abbé de Saint-Just et de Nogent, conseiller d'Etat (1715), ambassadeur en Angleterre, ministre des affaires étrangères, archevêque de Cambrai en 1720, cardinal en 1721, premier ministre en 1722, membre de l'académie française, mort à Versailles le 10 août 1723.
cote : FP DUB G 02 (Bfm Limoges)
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S. E. Guillaume, cardinal du Bois, archevêque duc de Cambray, prince du St Empire, et comte du Cambresis Légende : "A été précepteur de S. A. R. Monseig[neu]r le Regent de France, le Roy l'a employé en des négotiations importantes dans les cours etrangeres, et l'a fait 1r Ministre d'Etat ; a êté crée cardinal, par le Pape Innocent 13e en 1721".
Né à Brive (Corrèze) le 6 septembre 1656, fils de Jean et Marie-Joyet de Chaumont, précepteur du duc de Chartres (1687), prévôt d'Arnac en Limousin, abbé de Saint-Just et de Nogent, conseiller d'Etat (1715), ambassadeur en Angleterre, ministre des affaires étrangères, archevêque de Cambrai en 1720, cardinal en 1721, premier ministre en 1722, membre de l'académie française, mort à Versailles le 10 août 1723.
cote : FP DUB G 01 (Bfm Limoges)
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Louis-Charles Du Plessis D'Argentré Légende : «L.is Ch.is du Plessis d'Argentré / Evêque de Limoges p[remi]er aumonier de Monsieur / Frere du Roi en survivance / Né au ch[âte]au du Plessis dio[cè]se de Rennes le 10 juin 1723. Député du haut Limosin à l'Assemblée Nationale de 1789». - Porte en plus : le blason épiscopal.
Né au château du Plessis (Ille-et-Vilaine), le 10 juin 1723, fils de Pierre du Plessis, ancien page de Louis XIV, et de Louise Hindret de Ravenne ; vicaire général de Poitiers (1754), nommé évêque de Limoges le 30 septembre 1758, sacré à Versailles le 14 janvier 1759, premier aumônier de Monsieur, frère du roi, élu député du clergé du haut Limousin aux Etats généraux de 1789, le 21 mars, par la sénéchaussée de Limoges. Il fut de ceux qui restèrent attachés aux prérogatives de leur ordre et qui refusèrent de suivre l'Assemblée dans la voie où il s'engagea. Adversaire de la Révolution, il favorisa, de concert avec l'évêque de Clermont, les ecclésiastiques non assermentés. Bientôt la marche de la Révolution l'obligea à quitter la France ; il se réfugia en Allemagne à Munster et il continua de donner par lettres ses instructions à ses grands vicaires, restés dans son diocèse. Il ne revint pas en France après le Concordat, et se contenta de faire passer, le 20 février 1803, aux fidèles de son diocèse, un avertissement qui les invitait à reconnaître pour leur évêque, celui qui venait d'entrer en fonction avec l'autorisation du pape Pie VII. Il est mort en exil à Munster (Westphalie - Allemagne) le 28 mars 1808.
Cote : FP DUPL (Bfm Limoges)
Graveur : Courbe
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Jean-Gilles Du Coëtlosquet Légende : "J. G. Du Coëtlosquet ancien evêque de Limoges, précepteur des enfans de France, premier aumonier de monsieur frere du Roi, commandeur de l'Ordre du Saint Esprit".
Né au manoir de Kérigou, paroisse de Trégondern (Finistère), le 15 septembre 1700, fils d'Alain-François du Coëtlosquet, seigneur des Isles, et de Gillette de Kergus ; vicaire général de Tulle, puis
de Bourges (1729), nommé évêque de Limoges le 25 septembre 1739, sacré le 7 février 1740, démissionnaire en août 1758, précepteur des petits-enfants de Louis XV (avril 1758-1771), membre de l'Académie française (1761), premier aumônier du comte de Provence (1771), mort à Paris le 21 mars 1784.
Cote : FP DUCO
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Dorat, poëte grec, latin et français. Né à Limoges, en 1508. Né à Limoges en 1508, poète et interprète royal, lecteur et professeur au Collège de France, mort à Paris le 1er novembre 1588.
Cote : FP DOR 03 (Bfm Limoges)
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Jean Dorat. Poëte gr[e]c la[ti]n et francois né en Limoge, mort à Paris en 1588 ans, il vivait sous Catherine de Medicis à qui il adresa ses vers ci desous Porte en plus : "Si j'ai servi cing Rois s'entrevivans, / Si j'ai instruit la france cinquante ans, / Si par mes vers j'ai mon siecle doré, / Ne souffrë que par vous Dorat soit dédoré".
Né à Limoges en 1508, poète et interprète royal, lecteur et professeur au Collège de France, mort à Paris le 1er novembre 1588.
Cote : FP DOR 02 (Bfm Limoges)
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Iean d'Aurat [Jean Dorat] Porte le N°108 de la "Chronologie collée" de Léonard Gaultier.
Né à Limoges en 1508, poète et interprète royal, lecteur et professeur au Collège de France, mort à Paris le 1er novembre 1588.
Cote : FP DOR 01 (Bfm Limoges)
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Paul Deschanel Légende : "Paul Deschanel / Président de la République française / 17 janvier 1920".
Né le 13 février 1856. Homme d'État. Membre de l'Académie française (élu en 1899). Président de la IIIe République de janvier à septembre 1920. Mort le 28 avril 1922.
Cote : FP DESC (Bfm Limoges)
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Joseph DELAVALLADE Né à Banize (Creuse) le 19 mars 1792, chirurgien militaire, médecin à Aubusson, député de la Creuse à l'Assemblée législative de 1849, mort à Aubusson le 10 avril 1880.
Cote : FP DELA (Bfm Limoges)
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Jean de CORDES Légende : Joannes Cordesius canonicus ecclesice lemouicensis. Aetatis suae anno. lxvi
Né en 1570 à Limoges. Prêtre séculier, chanoine de l'église de Limoges, célèbre pour avoir constitué l'une des plus riches bibliothèques de son temps et l'une des plus connues : son catalogue a été établi à sa mort par Gabriel Naudé en 1643. Sa bibliothèque, acquise par Mazarin après sa mort, passa ensuite à Colbert puis à la Bibliothèque du Roi. Il meurt à Paris, en 1642.
cote : FP COR (Bfm Limoges)
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M. Cruveilhier : (cours d'anatomie pathologique à la faculté de médecine de Paris) Publié dans la "Galerie des illustrations scientifiques".
Né à Limoges le 9 février 1791, docteur en médecine, professeur à la Faculté de Montpellier, puis à celle de Paris, membre de l'Académie des sciences (1836), médecin en chef de l'hôpital de la Charité, mort à Sussac (Haute-Vienne), le 6 mars 1874.
cote : FP CRU 03 (Bfm limoges)
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Cruveilhier Publié dans la "Galerie des illustrations scientifiques". - Porte en plus : la signature de Jean Cruveilhier.
Né à Limoges le 9 février 1791, docteur en médecine, professeur à la Faculté de Montpellier, puis à celle de Paris, membre de l'Académie des sciences (1836), médecin en chef de l'hôpital de la Charité, mort à Sussac (Haute-Vienne), le 6 mars 1874.
cote : FP CRU 02 (Bfm limoges)
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Jean Cruveilhier Porte en plus : la signature de Jean Cruveilhier.
Né à Limoges le 9 février 1791, docteur en médecine, professeur à la Faculté de Montpellier, puis à celle de Paris, membre de l'Académie des sciences (1836), médecin en chef de l'hôpital de la Charité, mort à Sussac (Haute-Vienne), le 6 mars 1874.
cote : FP CRU 01 (Bfm limoges)
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Daniel de Cosnac. Comte de Valence et de Die. Président des Etats de Provence. Né en 1630 au château de Cosnac (Corrèze), troisième fils de François, baron de Cosnac et d'Eléonore de Talleyrand de Chalais ; nommé à l'évêché de Valence le 24 juin 1652, membre du Conseil privé et des finances, président des Etats de Provence, premier aumônier de Monsieur, commandeur de l'ordre du Saint-Esprit, archevêque d'Aix en 1687, mort en cette ville le 18 janvier 1708.
Cote : FP COS (Bfm Limoges)
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Clément VI Légende : «Clément VI. Pape. (Pierre Roger de Beaufort). Né en 1291, au château de Maumont, Corrèze, près Ventadour».
Né en 1291 à Maumont, mort à Rome le 6 décembre 1352. Moine bénédictin, évêque d'Arras, archevêque de Sens puis de Rouen. 198e pape (élu en 1342). Mort en 1352 à Avignon.
Cote : FP CLE (Bfm Limoges)
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Jules Claretie . - Portrait-charge. - En une du journal «Le Masque. Semaine théâtrale illustrée.», n°14, jeudi 13 juin [1867]. - Légende manuscrite : «Toute autorisation est une réponse à une interdiction. Quand pourra t'on ne plus rien autoriser parce que l'on ne pourra plus rien interdire ? Je vous donne liberté entière mon cher Debans, pour ma charge.» Suit la signature de Jules Claretie.
Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888.
cote : FP CLA 25 (Bfm Limoges)
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Paris-Théâtre. Jules Claretie Publié en une du journal hebdomadaire «Paris-Théâtre», n° 158, du 25 au 31 mai 1876.
Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888.
cote : FP CLA 23 (Bfm Limoges)
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M. Jules Claretie. Administrateur de la Comédie-française Paru dans «L'illustration», magazine hebdomadaire, n°2227, 31 octobre 1885.
Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888.
cote : FP CLA 22 (Bfm Limoges)
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Jules Claretie Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888.
cote : FP CLA 21 (Bfm Limoges)
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Jules Claretie Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888.
cote : FP CLA 20 (Bfm Limoges)