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Henry François Daguesseau né le 27 novembre 1668, chancelier de France le 2 fevrier 1717, mort le 9 fevrier 1751, a 82 ans 2 mois 12 jours Porte en plus : «Suite d'Odieuvre Cul de sac des vignes.».
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 05 (Bfm Limoges)
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Henry François Daguesseau né le 27 novembre 1668, chancelier de France le 2 fevrier 1717, mort le 9 fevrier 1751, a 82 ans 2 mois 12 jours Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 04 (Bfm Limoges)
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Monseigr le chancelier de France. Henry François d'Aguesseau chevalier seigr de Fresne fait chancelier de France le 2 fevrier 1717. Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 03 (Bfm Limoges)
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Mre Henry Francois d'Aguesseau chevalier seigneur de Fresne elû chancelier de France le 2 fevrier 1717. Se vend à Paris : chez E. Desrochers, [s. d.]. - In-4. - Sur une tablette, ce quatrain de Gacon : "Ce digne chef de la justice, / N'exerce le pouvoir dont il est revêtu / Que pour faire haïr le vice / Et pour faire aimer la vertu."
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : cote : FP AGU 02 (Bfm Limoges)
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Mre Henry Francois d'Aguesseau chevalier seigneur de Fresne elû chancelier de France le 2 fevrier 1717. Sur une tablette, ce quatrain de Gacon : "Ce digne chef de la justice, / N'exerce le pouvoir dont il est revêtu / Que pour faire haïr le vice / Et pour faire aimer la vertu."
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 01
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Le Président Carnot Une du journal «Le pilori», n°86, dimanche 11 décembre 1887. - Légende : «Le costume du Grand père est bien ample pour le Petit fils.
cote : cote :FP CAR19 (Bfm Limoges)
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Jules Noriac Claude Antoine Jules Cairon dit Jules Noriac, né en 1827 à Limoges, est un journaliste et chroniqueur dans de nombreux journaux, dont le Figaro, hebdomadaire dont il était l’un des principaux rédacteurs.
C'est aussi un écrivain à la réputation d'humoriste" (Le 101e régiment", "la Bêtise humaine", le"Journal du flâneur")
Auteur de vaudevilles et de livrets d'opérette, Jules Noriac dirigea en le Théâtre des Variétés de 1856 à 1869 et les Bouffes-Parisiens de 1868 à 1879. Pilotell dessine un Jules Noriac triomphant sur son char.
cote : FP NOR 10 (Bfm Limoges)
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Jules Noriac Claude Antoine Jules Cairon dit Jules Noriac, né en 1827 à Limoges. est un journaliste et chroniqueur dans de nombreux journaux, dont le Figaro, hebdomadaire dont il était l’un des principaux rédacteurs.
C'est aussi un écrivain à la réputation d'humoriste, pour des livres comme " Le 101e régiment" (1858), auquel pourrait faire allusion ce dessin d'Hyppolite Mailly .
Auteur de vaudevilles et de livrets d'opérette, Jules Noriac dirigea en le Théâtre des Variétés de 1856 à 1869 et les Bouffes-Parisiens de 1868 à 1879.
cote : FP NOR 02 (Bfm Limoges)
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Antoine-Joseph Gorsas Né à Limoges le 21 septembre 1751, fils de Barthélémy Gorsas, cordonnier, et de Magdeleine Rimbeuf. Chef d'institution à Versailles, imprimeur-libraire, pamphlétaire et journaliste, fonda en 1789 le Courrier de Versailles (ou Courrier de Paris) qui devint le Courrier des 83 Départements (1790-1793), député de Seine-et-Oise à la Convention, décrété d'arrestation avec les Girondins le 2 juin, il fuit Paris et rallie l'insurrection fédéraliste de Normandie. Condamné à mort par le Tribunal révolutionnaire et exécuté à Paris le 7 octobre 1793. Il a aussi utilisé le pseudonyme : "Démocrite, imprimeur-libraire de Son Allégresse Sérénissime Falot Momus, à Pampelune, au Grelot de la Folie".
cote : FP GOR 02 (Bfm Limoges)
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Denis Dussoubs Héros martyr de la République, Denis Dussoubs, né len 1818 à Saint-Léonard-de-Noblat, meurt lors des événements de résistance au coup d'état de Louis Napoléon Bonaparte en 1851.
En février 1848, Denis Dussoubs participe activement à la Révolution à Limoges. Suite à l’émeute d'avril 1848 au cours de laquelle des ouvriers limougeauds s’emparent de la préfecture, il est condamné à deux ans de prison.
Le 4 décembre 1851, au surlendemain du coup d’État de Louis-Napoléon Bonaparte, des députés tentent d’organiser la résistance. Denis prend alors l’écharpe tricolore de son frère Gaston ( alors député démocrate) pour se rendre sur la barricade de la rue Montorgueil à Paris. S’avançant seul et désarmé face à la troupe pour convaincre les soldats de se rallier à la République, il y meurt d’une balle de fusil. On dit même que le commandant, ému par tant d'éloquence et de bravoure, tenta de le dissuader de poursuivre son action désespérée. Victor Hugo en fait le récit dans son ouvrage "Histoire d'un Crime" (voir bibliographie).
Voici donc comment mourut héroïquement Denis Dussoubs. La ville de Limoges lui dédia une statue sur la place qui porte son nom et Paris un nom de rue situé dans le quartier qui fut le théatre de ces tragiques évènements.
cote : FP DUS 01 (Bfm Limoges)
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Tristan l'Hermite Ce portrait en buste de trois quart était à l'origine placé en tête du recueil des Vers Héroïques publié en 1648. Le cartouche contient une prosopopée de Tristan L'Hermite souvent reproduite.
Tristan L'Hermite est né en 1601 à Janaillat en Creuse d'une famille de la petite noblesse et il est mort à Paris, en 1655, de la phtisie. Après avoir été page au service d'Henri de Bourbon, il part, en combattre les huguenots puis entre au service du frère du roi, Gaston d'Orléans, et partage ses exils . Au service de Charles 1er, roi d'Angleterre, et du duc de Guise, il est admis, en 1649, à l'Académie française.
Il passa ses dernières années pauvre et solitaire sans l'appui des puissants, ainsi faut-il comprendre le texte du cartouche.
L'oeuvre de L'Hermite est aujourd'hui méconnue. Elle est pourtant riche : un roman autobiographique, Le Page disgracié (1643), où il raconte sa jeunesse aventureuse, des pièces de théâtre, comédies et tragédies qui font de Corneille son rival, de très beaux poèmes mélancoliques. Une oeuvre qui emprunte les thèmes convenus du Baroque ( souffrance amoureuse, caractère éphémère et illusoire de la condition terrestre... ) avec un accent de sincérité captivant.
Cote : FP HERM 04 (Bfm Limoges)
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Tristan l'Hermite (1601-1655) le quatrain anonyme dans le cartouche situé sous le portrait évoque un passage dramatique de la carrière de Tristan l'Hermite : sa première pièce "Mariane" fut fort applaudie en son temps et préfigurait le Cid (Corneille était le contemporain et le rival de Tristan). Le comédien Montdory, considéré comme le meilleur acteur tragique de son temps (il créa aussi le rôle de Rodrigue dans Le Cid), tenait le rôle du roi Hérode sur la scène du Théâtre du Marais à sa création; un an et demi plus tard, il est frappé de paralysie partielle en hurlant les fureurs d'Hérode à la fin de la pièce et doit se retirer définitivement du théâtre.
Tristan L'Hermite est né en 1601 à Janaillat, en Creuse, d'une famille de la petite noblesse et il est mort à Paris, en 1655, de la phtisie. Après avoir été page au service d'Henri de Bourbon, il part, en combattre les huguenots puis entre au service du frère du roi, Gaston d'Orléans, et partage ses exils . Au service de Charles 1er, roi d'Angleterre, et du duc de Guise, il est admis, en 1649, à l'Académie française. Il passa ses dernières années pauvre et solitaire sans l'appui des puissants.
L'oeuvre de L'Hermite est aujourd'hui méconnue. Elle est pourtant riche. Un univers lyrique qui emprunte les thèmes convenus du Baroque ( souffrance amoureuse, caractère éphémère et illusoire de la condition terrestre... ) avec un accent de sincérité captivant.
Cote : FP HERM 03 (Bfm Limoges)
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Brune (S. M. A.) en sous titre : "né à Brives, le 13 mars 1763. Maréchal de France. Mort assassiné à Avignon, le 2 août 1815. Bataille d'Alckmaer."
Né à Brive en 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, il fut typographe et littérateur. Monté à Paris, il se lie avec Danton et les Révolutionnaires de la Terreur, commence sa carrière militaire en 1793 contre les Vendéens. Il s'illustre à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chasse les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Il est nommé maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814, il se rallie aux Bourbons. il meurt assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815 durant la période de la "Terreur Blanche".
cote : FP BRU G 01 (Bfm Limoges)
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Les Carnot : une famille historique Rétrospective généalogique de la famille Carnot, suite à l'assassinat de Sadi Carnot le 25 juin 1894.
La famille Carnot est une grande famille républicaine, qui a vu naître plusieurs hommes politiques et scientifiques.
On peut y lire notamment : les vers du grand-père Carnot, militaire et poète, l'enfance du petit Sadi à Chabanais et d'où lui vient ce prénom si peu banal...
cote : FP CAR 22(Bfm Limoges)
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Portrait de M. Carnot Né à Limoges le 11 août 1837. Homme d'État, Président de la République française de 1887 à 1894, date à laquelle il est assassiné.
La Bfm possède également l'épreuve originale qui a servi à la lithographie sur papier Japon.
Cote : FP CAR 03 (Bfm Limoges)
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Jules Clarétie Arsène Arnaud Clarétie dit Jules Clarétie est né à Limoges en 1840. Romancier prolixe, auteur dramatique (dont deux livrets d'opéras pour Jules Massenet), il est aussi historien ( il compose entre autres une « Histoire de la Révolution de 1870-1871 ») et remarquable chroniqueur de la vie parisienne ( au « Figaro » et au « Temps », il tient la critique théâtrale à « L’Opinion nationale », au « Soir », et à « La Presse »).
Président de la société des gens de lettres puis Académicien, il dirige la Comédie Française jusqu'à sa mort en 1913.
Travailleur acharné, son style élégant et enlevé faisait l'admiration de ses contemporains.
cote : FP CLA (Bfm Limoges)
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Jules Clarétie, l'auteur de la Révolution Cette caricature fait allusion au livre de Jules Clarétie « L'Histoire de la Révolution de 1870-71 ». Le dessin est paru en " une" du journal hebdomadaire satyrique l'"Eclipse", n°245, dimanche 6 juillet 1873.
Arsène Arnaud Clarétie dit Jules Clarétie est né à Limoges en 1840. Romancier prolixe, auteur dramatique (dont deux livrets d'opéras pour Jules Massenet), il est aussi historien ( il compose entre autres une « Histoire de la Révolution de 1870-1871 ») et remarquable chroniqueur de la vie parisienne ( au « Figaro » et au « Temps », il tient la critique théâtrale à « L’Opinion nationale », au « Soir », et à « La Presse »).
Président de la société des gens de lettres puis Académicien, il dirige la Comédie Française jusqu'à sa mort en 1913.
Travailleur acharné, son style élégant et enlevé faisait l'admiration de ses contemporains.
cote : FP CLA (Bfm Limoges)
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Jules Claretie Légende : "Oui, Monsieur le Ministre est fort bien réussi, / De moeurs excellente peinture, / L'auteur a mérité d'être ministre aussi, / Celui de la littérature.". Le dessin et sa légende font référence au roman de Jules Clarétie « Monsieur le Ministre » paru en 1821, et qui connu un franc succès.
Arsène Arnaud Clarétie dit Jules Clarétie est né à Limoges en 1840. Romancier prolixe, auteur dramatique (dont deux livrets d'opéras pour Jules Massenet), il est aussi historien ( il compose entre autres une « Histoire de la Révolution de 1870-1871 ») et remarquable chroniqueur de la vie parisienne ( au « Figaro » et au « Temps », il tient la critique théâtrale à « L’Opinion nationale », au « Soir », et à « La Presse »).
Président de la société des gens de lettres puis Académicien, il dirige la Comédie Française jusqu'à sa mort en 1913.
Travailleur acharné, son style élégant et enlevé faisait l'admiration de ses contemporains.
cote : FP CLA (Bfm Limoges)
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Le champ d'Elie Berthet Elie Berthet est né à Limoges en 1815. Contributeur régulier du quotidien le Siècle, il devient célèbre au point de voler la vedette à Alexandre Dumas père. Il écrit dans tous les genres (historique, populaire, jeunesse...). Ses romans sur les crimes notamment font sensation et se lisent comme des romans de détectives avant la lettre. Cette caricature ironise sur la noirceur de ses histoires.
cote : FP BERTH004 (Bfm Limoges)
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Elie Berthet Cette lithographie fait partie d’une série de portraits publiée de 1839 à 1841 par Louis Huart et Charles Philipon sous le titre Galerie de la Presse, de la Littérature et des Beaux-Arts. Chaque illustration est accompagnée d’une notice biographique.
Vu en buste, Elie Berthet pose simplement, dans une élégante tenue de ville, légèrement de biais. Ce portrait contraste avec les caricatures qui ironisent sur la noirceur de ses histoires.
cote : FP BERTH002 (Bfm Limoges)