-
Jules Claretie Mention manuscrite illisible.
Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888.
cote : FP CLA 15 (Bfm Limoges)
-
Jules Claretie Le même portrait, gravé en trois couleurs différentes.
Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888.
cote : FP CLA 12 (Bfm Limoges)
-
Soldat on est content de vous ! [Jules Claretie] En une du journal "Le carillon", n°7, samedi 16 février 1878.
Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888.
cote : FP CLA 11 (Bfm Limoges)
-
Jules Claretie Paru dans "L'Eclipse, revue comique illustrée", p. 110, 1er octobre 1876.
Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888.
cote : FP CLA 10 (Bfm Limoges)
-
Jules Claretie Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888.
cote : FP CLA 09 (Bfm Limoges)
-
Jules Claretie : de l'Académie française Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888.
cote : FP CLA 08 (Bfm Limoges)
-
Jules Claretie En une du journal " Le Bouffon : journal parodie : paraissant le dimanche", n°103, dimanche 19 janvier 1868.
-
M. Jules Claretie. Administrateur général de la Comédie-Française. Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888.
cote : FP CLA 05 (Bfm Limoges)
-
La foire aux sottises [Jules Claretie] Dessins extraits de cette brochure satirique d'Arthur Arnould et de Carlo Gripp) . -Dans "L'image", p. 332.
Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888.
cote : FP CLA 03 (Bfm Limoges)
-
M. Jules Claretie Gravure non signée. Dans un ovale.
Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888.
cote : FP CLA 02 (Bfm Limoges)
-
Michel Chevalier Paru dans le "Panthéon des illustrations françaises". - Porte en plus : la signature de Michel Chevalier.
Né à Limoges le 13 janvier 1806, fils de Jean-Baptiste Chevalier, négociant et de Marie Garaud ; ingénieur des mines, directeur en 1830 du journal Le Globe organe de la doctrine Saint-Simonienne, maître des requêtes au Conseil d'Etat (1837), Conseiller d'Etat (1838), professeur d'économie politique au collège de France (1840), député de l'Aveyron (1845-1846), membre de l'Institut, sénateur (14 mars 1860), grand officier de la Légion d'honneur, mort à Lodève (Hérault) le 28 novembre 1879.
cote : FP CHE 07 (Bfm Limoges)
-
Michel Chevalier. Paru dans la "Galerie de la presse, de la littérature et des Beaux-arts".
Né à Limoges le 13 janvier 1806, fils de Jean-Baptiste Chevalier, négociant et de Marie Garaud ; ingénieur des mines, directeur en 1830 du journal Le Globe organe de la doctrine Saint-Simonienne, maître des requêtes au Conseil d'Etat (1837), Conseiller d'Etat (1838), professeur d'économie politique au collège de France (1840), député de l'Aveyron (1845-1846), membre de l'Institut, sénateur (14 mars 1860), grand officier de la Légion d'honneur, mort à Lodève (Hérault) le 28 novembre 1879.
cote : FP CHE 06 (Bfm Limoges)
-
[Michel Chevalier] Michel Chevalier montre un train en marche, qui passe par le tunnel sous la Manche.
Né à Limoges le 13 janvier 1806, fils de Jean-Baptiste Chevalier, négociant et de Marie Garaud ; ingénieur des mines, directeur en 1830 du journal Le Globe organe de la doctrine Saint-Simonienne, maître des requêtes au Conseil d'Etat (1837), Conseiller d'Etat (1838), professeur d'économie politique au collège de France (1840), député de l'Aveyron (1845-1846), membre de l'Institut, sénateur (14 mars 1860), grand officier de la Légion d'honneur, mort à Lodève (Hérault) le 28 novembre 1879.
cote : FP CHE 05 (Bfm Limoges)
-
M. Michel Chevalier Paru dans le journal «Comic finance».
Né à Limoges le 13 janvier 1806, fils de Jean-Baptiste Chevalier, négociant et de Marie Garaud ; ingénieur des mines, directeur en 1830 du journal Le Globe organe de la doctrine Saint-Simonienne, maître des requêtes au Conseil d'Etat (1837), Conseiller d'Etat (1838), professeur d'économie politique au collège de France (1840), député de l'Aveyron (1845-1846), membre de l'Institut, sénateur (14 mars 1860), grand officier de la Légion d'honneur, mort à Lodève (Hérault) le 28 novembre 1879.
cote : FP CHE 04 (Bfm Limoges)
-
M. Michel Chevalier : professeur d'économie politique au collège de France. Né à Limoges le 13 janvier 1806, fils de Jean-Baptiste Chevalier, négociant et de Marie Garaud ; ingénieur des mines, directeur en 1830 du journal Le Globe organe de la doctrine Saint-Simonienne, maître des requêtes au Conseil d'Etat (1837), Conseiller d'Etat (1838), professeur d'économie politique au collège de France (1840), député de l'Aveyron (1845-1846), membre de l'Institut, sénateur (14 mars 1860), grand officier de la Légion d'honneur, mort à Lodève (Hérault) le 28 novembre 1879.
cote : FP CHE 03 (Bfm Limoges)
-
M. Michel Chevalier, professeur au collège de France, président des rapporteurs du jury international de 1867 Né à Limoges le 13 janvier 1806, fils de Jean-Baptiste Chevalier, négociant et de Marie Garaud ; ingénieur des mines, directeur en 1830 du journal Le Globe organe de la doctrine Saint-Simonienne, maître des requêtes au Conseil d'Etat (1837), Conseiller d'Etat (1838), professeur d'économie politique au collège de France (1840), député de l'Aveyron (1845-1846), membre de l'Institut, sénateur (14 mars 1860), grand officier de la Légion d'honneur, mort à Lodève (Hérault) le 28 novembre 1879.
cote : FP CHE 02(Bfm Limoges)
-
Michel Chevalier : conseiller d'Etat, membre de l'Institut, né à Limoges (Hte Vienne) Né à Limoges le 13 janvier 1806, fils de Jean-Baptiste Chevalier, négociant et de Marie Garaud ; ingénieur des mines, directeur en 1830 du journal Le Globe organe de la doctrine Saint-Simonienne, maître des requêtes au Conseil d'Etat (1837), Conseiller d'Etat (1838), professeur d'économie politique au collège de France (1840), député de l'Aveyron (1845-1846), membre de l'Institut, sénateur (14 mars 1860), grand officier de la Légion d'honneur, mort à Lodève (Hérault) le 28 novembre 1879.
cote : FP CHE 01 (Bfm Limoges)
-
Jean Bap[tis]te Chavoix Légende : "Avocat. Né à Jaillac bas Limosin le 4 8bre 1738 / Député de la Séné[chau]ssée de Limoges à l'Assemblée Nationale de 1789."
Né à Juillac (Corrèze) le 4 octobre 1738, avocat dans sa ville natale, fut élu, le 18 mars 1789, député du tiers-état de la sénéchaussée de Limoges aux Etats généraux de 1789, puis devint plus tard haut juré dans le département de la Corrèze, puis président du conseil général de la Corrèze, mort à Juillac le 19 septembre 1818.
Cote : FP CHAV
-
Jean-Baptiste Chatras Mention manuscrite : "Chatras (J. B.) fondateur du Courrier du Centre (Limoges), imprimeur". - Porte en plus : le dessin d'une presse.
Jean-Baptiste Chatras est né à Allassac en 1820. Il reprend un temps la charge de notaire que possédait son père puis part se fixer à Limoges. Il devient vite l'administrateur du journal la Province à la suite d'Achille Leymarie.En 1860, il renomme le quotidien "Le Courrier du Centre" qu'il gèrera jusqu'à sa mort en 1895.
Cote : FP CHAT (Bfm Limoges)
-
Charles X, roi de France et de Navarre, né à Versailles le 9 octobre 1757 Légende : "Au roi. / Des chevaliers français c'est le parfait modèle, / La nature pour lui prodigua ses faveurs ; / De son auguste frère il partagea le zèle, / Pour faire, des Français, la gloire et le bonheur". - Suit les couplets de l' "Air de la sentinelle".
Né à Versailles (Yvelines) le 9 octobre 1757. Roi de France de 1824 à 1830. Mort à Goritz (Empire austro-hongrois) le 6 novembre 1836.
Cote : FP CHARL (Bfm Limoges)