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Jacques Vincent, imprimeur-libraire, syndic en 1744 mort le 7 mai 1760 âgé de 88 ans
Imprimeur-libraire né vers 1671 ; imprimeur des États (généraux de la province) de Languedoc (1730). Natif du Mans, fils de "manouvrier". En apprentissage à Paris chez l'imprimeur-libraire Pierre II Le Mercier, puis sa veuve, de 1690 à juin 1694. Reçu maître en octobre 1704. Se retire en juillet 1750, en vendant son imprimerie et son fonds à son fils Philippe Vincent qui, jusqu'en 1758 au moins, publie parfois encore sous le nom de son père. Il mourut le 7 mai 1760.
Cote : FP VIN (Bfm Limoges)
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J.B. Aug. de Villoutreix de Faye, evêque d'Oleron : né au ch.au de Faye diocese de Limoges le 3 9.bre 1739 député du clergé de Soule aux Etats généraux de 1789
Extrait de : "Collection complete, des portraits de MM.s les deputés a l'Assemblée nationale de 1789."
Porte en plus : le blason épiscopal.
Jean-Baptiste-Auguste de Villoutreix de Faye, né au château de Faye, commune de Flavignac (Haute-Vienne), le 3 novembre 1739, fils de Jean de Villoutreys, écuyer, seigneur de Faye, et de Jeanne Morel de Fromental ; chancelier de l'Université de Toulouse, chanoine et vicaire général du même diocèse, nommé évêque d'Oloron en juin 1783, sacré le 17 août suivant, député du clergé du pays de Soule aux Etats Généraux, mort en avril 1792.
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François-Michel de Verthamon
Légende : "Consilii princeps regiorum ordinum commendator. Franciscus Michael de Verthamon magni. Offerebat Maximus Georgius Gaultier clericus parisinus". - Porte en plus : l'écusson des Verthamon.
Chevalier, baron de Bréau, marquis de Masnoeuvre, fils de Michel de Verthamon, maître des requêtes et conseiller au parlement, et de Marie d'Aligre ; reçu conseiller au parlement de Paris le 19 janvier 1674, maître des requêtes en juin 1677, premier président au Grand Conseil le 24 février 1697, commandeur des Ordres royaux, mort en janvier 1738.
Cote : FP VERT FM (Bfm Limoges)
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François de Verthamon
Légende : "F. de Verthamon comes de Villemenon et Servon etc regi ab omnib. consiliis et libell. supp. in regia magister". - Porte en plus : un écusson aux armes des Verthamon.
Chevalier, comte de Villemenon et Servon, seigneur de La Ville-aux-Clercs et de Chazelet, fils de François-Michel de Verthamon, maître des requêtes, et de Renée Quatre-Sous ; François-Michel de Verthamon fut conseiller du roi au Parlement, élu premier président au Grand Conseil en 1697, puis Greffier commandeur des Ordres du roi en 1716. Bibliophile, il commença la bibliothèque dite du Grand-Conseil, soit en donnant ses propres livres, soit en léguant un fonds pour l'augmenter. La bibliothèque fut brûlée lors de l'incendie du Palais au milieu du 18e siècle.
Cote : FP VERT F (Bfm Limoges)
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Vergniaud
Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793.
Cote : FP VERG 16 (Bfm Limoges)
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Vergniaud
D'après la statue de Cartellier.
Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793.
Cote : FP VERG 15 (Bfm Limoges)
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Vergniaud : avocat député de la Gironde à l'assemblée législative et à l'assemblée nationale. Né à Limoges le 31 mai 1753.
Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793.
Cote : FP VERG 14 (Bfm Limoges)
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[Vergniaud]
Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793.
Cote : FP VERG 12 (Bfm Limoges)
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Vergniaud
Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793.
Cote : FP VERG 11 (Bfm Limoges)
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Pier. Vict. Vergniau
Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793.
Cote : FP VERG 10 (Bfm Limoges)
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Pierre Victorin Vergniau [sic]
Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793.
Cote : FP VERG 09 (Bfm Limoges)
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Vergniaud
Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793.
Cote : FP VERG 08 (Bfm Limoges)
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Vergnault [sic]
Pierre-Victurnien Vergniaud, né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793.
Cote : FP VERG 07 (Bfm Limoges)
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Vergniaud
Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793.
Cote : FP VERG 05 (Bfm Limoges)
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Vergniaud
Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793.
Cote : FP VERG 04 (Bfm Limoges)
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Vergniaud
Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793.
Cote : FP VERG 03 (Bfm Limoges)
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Vergniaud
Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793.
Cote : FP VERG 02 (Bfm Limoges)
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P. V. Vergniaud. Représentant du peuple, né à Limoges en 1759 (sic), mort en 1793 victime de la Révolution.
Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793.
Cote : FP VERG 01 (Bfm Limoges)
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Anne Robert Jacques Turgot Ministre d'Etat contrôleur général des finances et surintendant des postes.
Porte en plus ces vers : "Ses talens, son courage, et sa raison profonde, / Sont dignes de sa place, et du choix de Louis. / Le pauvre et l'opprimé font ses premiers amis, / Et le voeu de son coeur serait de faire au monde, / Le bien qu'il fait à son pays". - L'estampe est amputée d'un médaillon, probablement un blason.
Anne-Robert-Jacques Turgot, Chevalier, baron de l'Aulne, né à Paris le 10 mai 1727, fils de Michel-Etienne Turgot, prévôt des marchands, et de Madeleine-Françoise Martineau ; substitut du procureur général au parlement de Paris (5 janvier 1752), conseiller au parlement (30 décembre 1752), maître des requêtes (28 mai 1753), intendant de la généralité de Limoges (8 août 1761), ministre de la marine (20 juillet 1774), contrôleur général des finances, du 24 août 1774 au 12 mai 1776, mort à Paris le 18 mars 1781.
Cote : FP TUR 08 (Bfm Limoges)
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[Turgot]
Anne-Robert-Jacques Turgot, Chevalier, baron de l'Aulne, né à Paris le 10 mai 1727, fils de Michel-Etienne Turgot, prévôt des marchands, et de Madeleine-Françoise Martineau ; substitut du procureur général au parlement de Paris (5 janvier 1752), conseiller au parlement (30 décembre 1752), maître des requêtes (28 mai 1753), intendant de la généralité de Limoges (8 août 1761), ministre de la marine (20 juillet 1774), contrôleur général des finances, du 24 août 1774 au 12 mai 1776, mort à Paris le 18 mars 1781.
Cote : FP TUR 07 (Bfm Limoges)