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Des ouvriers de la papeterie des Roches, en bords de Vienne, sortent de l'eau une femme noyée.
Si nous pouvons être choqués aujourd'hui par l'air détendu voire souriant qu'affichent certains visages sur la photo, nous devons comprendre que les noyades et autres morts brutales étaient très fréquentes à l'époque et que ces Limousins étaient malheureusement habitués à ce genre d'évènements.
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Des ouvriers de la papeterie des Roches, en bords de Vienne, sortent de l'eau une femme noyée.
Si nous pouvons être choqués aujourd'hui par l'air détendu voire souriant qu'affichent certains visages sur la photo, nous devons comprendre que les noyades et autres morts brutales étaient très fréquentes à l'époque et que ces Limousins étaient malheureusement habitués à ce genre d'évènements.
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Des ouvriers de la papeterie des Roches, en bords de Vienne, sortent de l'eau une femme noyée.
Si nous pouvons être choqués aujourd'hui par l'air détendu voire souriant qu'affichent certains visages sur la photo, nous devons comprendre que les noyades et autres morts brutales étaient très fréquentes à l'époque et que ces Limousins étaient malheureusement habitués à ce genre d'évènements.
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La photographie fut prise au bout de la rue de l’Église, sur l'actuelle place du 11 Novembre.
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Les Mitout étaient une famille de commerçants et entrepreneurs établis à Saint-Priest-Taurion. Est-ce à la suite du décès ou de la faillite de l'un d'eux que ses meubles furent mis aux enchères ? Jean-Baptiste Boudeau a, quoi qu'il en soit, saisi l'occasion d'immortaliser une scène de la vie locale, comme il aimait de plus en plus le faire à cette époque, à la façon d'un photographe de presse.
On reconnaît au fond le vieux lavoir de Saint-Priest-Taurion.
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Les Mitout étaient une famille de commerçants et entrepreneurs établis à Saint-Priest-Taurion. Est-ce à la suite du décès ou de la faillite de l'un d'eux que ses meubles furent mis aux enchères ? Jean-Baptiste Boudeau a, quoi qu'il en soit, saisi l'occasion d'immortaliser une scène de la vie locale, comme il aimait de plus en plus le faire à cette époque, à la façon d'un photographe de presse.
On reconnaît au fond le vieux lavoir de Saint-Priest-Taurion.
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Difficile de localiser avec précision cette prise de vue, mais les notes du photographe nous indiquent "la route allant à La Jonchère". Elle fut donc très probablement prise près d'Ambazac, de Saint-Laurent-les-Églises ou de Saint-Sylvestre. Nous distinguons très clairement les monts d'Ambazac au fond.
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Ce portail du milieu du 18e siècle date de la rénovation de l'abbaye de Grandmont sur la commune de Saint-Sylvestre. Finalement abandonnée au début du 19e siècle, elle n'est rapidement plus que ruines et les entrepreneurs locaux viennent s'y servir en pierres de taille. Le portail reste intact, bien qu'abîmé par le temps. Au début du 20e siècle, monsieur Fayolle de Corus de Chaptes achète le portail, le fait rénover et transporter devant sa propriété du Couret, sur la commune voisine de Saint-Laurent-les-Églises. Cette propriété est depuis longtemps devenue un centre de colonies de vacances pour les enfants de cheminots. Le portail est toujours à cet endroit, au bord de la route menant d'Ambazac à La Jonchère-Saint-Maurice, mais il est beaucoup mieux visible qu'à l'époque de cette prise de vue où on le voit envahi de lierre.
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Ce château situé au village de La Chapelle, sur la commune de Saint-Léonard, date probablement du 17e voire du 16e siècle, mais il fut totalement rénové et remanié au 19e siècle, ce qui lui donne une allure plutôt moderne. Il conserve cependant une porte sculptée très ancienne.
Il est également connu pour son pigeonnier circulaire, que l'on voit bien sur cette photographie.
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Ce très ancien moulin à céréales se situait sur la Bobilance, petite rivière, à quelques mètres de sa confluence avec le Taurion.
Ce moulin a été noyé lors de la mise en service du barrage de Saint-Marc au début des années 1930.
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Beau portrait d'une famille paysanne endimanchée.
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Jean-Baptiste Boudeau photographie une jolie affiche publicitaire, que nous aimerions voir en couleurs, placardée dans on ne sait quel bourg haut-viennois.
La réclame est celle de la distillerie B. Faucher et fils, qui était installée au 16 avenue des Bénédictins à Limoges. La ville comptait, à cette époque, plus d'une quinzaine de distillateurs et liquoristes. Il faut dire que, comme le prouve cette affiche, on prêtait à l'époque des vertus médicinales à nombre de ces "élixirs" alcooliques...
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Jolis portraits comme Jean-Baptiste Boudeau en réalisa des centaines. Nous ne connaissons pas l'identité des personnes photographiées.
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Jolis portraits comme Jean-Baptiste Boudeau en réalisa des centaines. Nous ne connaissons pas l'identité des personnes photographiées.
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Vue vers le quartier de la gare au sud-est du bourg.
On reconnaît notamment les bâtiments de "l'Œuvre Pouquet", institution catholique devenue bien plus tard un lieu d'accueil pour adultes handicapés, le foyer de vie Gilbert Ballet.
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Un ouvroir était un établissement de charité, tenu par des sœurs, où étaient accueillies des jeunes filles (la plupart orphelines ou déshéritées) pour y apprendre un métier et ne pas sombrer dans la misère. Celui de La Jonchère-Saint-Maurice les formait à la broderie et à la dentelle. Sa production réputée se vendait dans des magasins des environs.
Cette maison accueillait également un dispensaire qui soignait gratuitement les pauvres de la commune et des alentours.