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L'apôtre Saint Martial
Panégyrique prononcé dans l'église St.-Michel-des-Lions de Limoges, le 19 novembre 1894.
cote : ASS5114 (Université de Limoges-Service Commun de Documentation- Bibliothèque du Grand Séminaire)
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Traité de la culture du chêne, contenant les meilleures manières de semer les bois, de les planter, de les entretenir, de rétablir ceux qui sont dégradés et de les exploiter, avec les différents moyens de tirer un parti avantageux de toute sorte de terrains et de toute sorte de bois... Par M. Juge De Saint-Martin, correspondant de la Société royale d'agriculture
Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Soucieux d'expérimenter par lui-même et de rendre compte, il laisse de nombreux écrits sur ses différents centres d'intérêt : la sylviculture l'observation méteo, les moeurs ou le fonctionnement de la pensée.
cote : MAG.P LIM S1810 (Bfm Limoges)
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Observations météorologiques faites pendant l'hyver de 1789
Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Soucieux d'expérimenter par lui-même et de rendre compte, il laisse de nombreux écrits témoignant de la diversité de ses centres d'intérêts : la sylviculture l'observation méteo, les moeurs ou le fonctionnement de la pensée.
cote : MAG.P LIM B1348 (Bfm Limoges)
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Essai historique sur M. Juge de St-Martin, ancien magistrat, président honoraire de la société royale d'agriculture, sciences et arts de Limoges, lu à la séance publique de cette société du 4 novembre 1825
Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Soucieux d'expérimenter par lui-même et de rendre compte, il laisse de nombreux écrits sur ses différents centre d'intérêts : la sylviculture l'observation méteo, les moeurs ou le fonctionnement de la pensée.
cote : MAG.P LIM B923 (Bfm Limoges)
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Changemens survenus dans les moeurs des habitans de Limoges, depuis une cinquantaine d'années.
Première édition du texte qui sera repris 9 ans plus tard.
Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Soucieux d'expérimenter par lui-même et de rendre compte, il laisse de nombreux écrits témoignant de la diversité de ses centres d'intérêts : la sylviculture l'observation méteo, les moeurs ou le fonctionnement de la pensée.
cote : MAG.P LIM H1229 (Bfm)
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Lettre à Mr Juge de Saint-Martin, sur quelques inscriptions nouvellement découvertes à Limoges
Extrait du magasin encyclopédique
cote : MAG.P LIM B1302 (Bfm)
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Jacques-Joseph Juge de Saint-Martin
Extrait du compte rendu des séances du 1er congrès de l'Arbre et l'Eau à Limoges, juin 1907, 2e livraison .
Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Soucieux d'expérimenter par lui-même et de rendre compte, il laisse de nombreux écrits témoignant de la diversité de ses centres d'intérêts : la sylviculture l'observation méteo, les moeurs ou le fonctionnement de la pensée.
cote MAG.P LIM 40388/1 (Bfm)
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Théorie de la pensée ; de son activité primitive indépendante des sens et de sa continuité prouvée par les songes. Ouvrage élémentaire, où le jeune homme peut apprendre à se connaître et à s'estimer. Par M.-J.-J. Juge-Saint-Martin, ancien professeur d'histoire naturelle, membre ou correspondant de plusieurs sociétés savantes
Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Soucieux d'expérimenter par lui-même et de rendre compte, il laisse de nombreux écrits témoignant de la diversité de ses centres d'intérêts : la sylviculture l'observation méteo, les moeurs ou le fonctionnement de la pensée.
cote : MAG.P LIM S172 (Bfm Limoges)
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Marcelle Tinayre : biographie critique suivie d'opinions, d'un autographe et d'une bibliographie
Biographie critique écrite par un journaliste du vivant de l'auteure (elle a alors 39 ans) : elle a écrit ses plus grands romans (Hellé, La Maison du Péché, la Rebelle...).
cote : MAG.P LIM E699 (Bfm Limoges)
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Avant l'amour
Premier roman de Marcelle Tinayre publié pour la première fois en 1897.
Née à Tulle en 1870, Marcelle Tinayre est une femme de lettres
qui a marqué la Belle Époque, à la charnière des XIXe et XXe siècles.
Fille et belle-fille de femmes engagées, Marcelle Tinayre connaît, après la publication de ses premières nouvelles en 1893, un succès rapide dès ce premier roman, "Avant l’amour ". Elle publie par la suite "Hellé", couronné par l’Académie française.
Parmi ses autres œuvres, il convient de citer "la Rebelle", paru en 1905, dans lequel elle aborde l’avortement ; elle parle de grossesses hors-mariage dans son second roman « corrézien » la "Vie amoureuse de François Barbazanges" puis "l’Ombre de l’amour" (1909), dont l’action se déroule principalement à Gimel-les-Cascades. séduite par ce bourg - à l'instar de Gaston Vuillier - qu’elle découvre au tout début du XXe siècle parallèlement à ses retrouvailles avec sa ville natale. Collaboratrice du journal féministe la Fronde, Marcelle Tinayre est l’un des premiers membres du jury du futur prix Femina et en sera la présidente en 1908.
cote : MAG.P LIM 54199/1 (Bfm Limoges)
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La Fiancée du diable : légende limousine en trois actes et quatre tableaux
d'après une nouvelle de Louis de Beaugency .
"La Fiancée du Diable a été représentée pour la première fois sur la scène du théâtre municipal de Limoges le 11 janvier 1941."
Livret complet et partitions en fin de recueil.
Wally Karveno, née Loewenthal est une compositrice comédienne et poétesse qui vécut un temps réfugiée à Limoges pendant la guerre avant d'être internée au camp de Gurs en France en 1941. Elle laisse une oeuvre essentiellement écrite pour piano.
Ami de Robert Margerit, du porcelainier Jacques Bernardaud, de l'éditeur Jean Lagueny, etc., Jean Virolle, formé aux beaux-arts de Limoges, est un artiste à plusieurs facettes surtout connu pour ses illustrations de presse et revues.
cote : MAG.P LIM 36654
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Lexique limousin d'après les oeuvres de Joseph Roux
Dans la préface à l'ouvrage, Raymond Laborde précise : " On trouvera donc ici le vrai dialecte limousin et la plupart des mots réapparaitront avec toute leur couleur et leur saveur dégagés de la chrysalide "patoise"[...] Qu'on ne s'attende pas à quelque chose d'impeccable. Notre langue, si longtemps souveraine, a été d'une richesse incomparable. Nous ne pouvions pas avoir la prétention de la faire connaître du premier coup".
Joseph Roux (1834-1905) félibre majoral limousin, chanoine de la cathédrale de Tulle, fondateur de la revue occitane Lemouzi est aujourd'hui salué avec respect dans toute l'Occitanie. Auteur d'une oeuvre littéraire riche (certaines de ses œuvres sont de véritables chansons de geste) et d'une Grammaire limousine, il entreprend un dictionnaire de la langue d'oc qui demeurera inédit à sa mort.
cote : MAG.P LIM 33684 (Bfm Limoges)
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Une oeuvre de Baluze oubliée
Cette oeuvre oubliée serait "Remarques sur les fautes et faussetez de la table intitulée, table chronologique historique, contenant l'abrégé fidelle de tout ce qui s'est passé de remarquable dans le Limousin, depuis les conquestes des Romains jusqu'en l'an 1666." (disponible sur la Bibliothèque numérique du Limousin), un recueil historiographique de plus de 100 pages.
L'auteur annoncé serait le sieur de Maldamnat, mais Alfred Leroux s'attache à prouver avec force documentation et de notes que le cardinal Baluze se cache derrière cette oeuvre.
cote : MAG.P LIM 40938 (Bfm Limoges)
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Description pittoresque d'une métairie dans le département de la Haute-Vienne
Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières.
Sur un ton élégiaque Jaques Joseph Juge de Saint-Martin décrit sa métairie de Boubaud à Nieuil près de Limoges. Un critique de l'époque assure à la parution de l'ouvrage : " ... si M. Juge, pour rendre ses descriptions plus séduisantes, a employé le pinceau de la poésie, c'était pour mieux faire sentir la ressemblance des objets qu'il voulait peindre et qu'on s'est convaincu, le livre à la main [...] qu'il n'a pas représenté les objets plus beaux que ceux offerts par la nature des lieux" (Journal du Département de la Haute-Vienne, 9 octobre 1806)
cote : MAG.P LIM 18627 (Bfm Limoges)
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Lettres à deux amis
Issu d’une vieille famille de Saint-Junien, Louis Codet nait à Perpignan, puis fait à Paris de brillantes études de droit et de peinture . Dandy parisien, Louis Codet se lie d' amitié avec Guillaume Apollinaire, Marie Laurencin, André Gide, Eugène Montfort, notamment. Mobilisé dès le début de la Première Guerre Mondiale, il meurt peu de temps après, blessé par un obus.
Les deux amis cités dans ces lettres sont Eugène Montfort, écrivain, fondateur et directeur de la revue Les Marges et Louis Bausil, peintre originaire de Perpignan comme Louis Codet. Elles sont particulièrement touchantes : les dernières adressées à Eugène Montfort raconte la façon dont il a été blessé, quelques notes justes et concises sur la situation du soldat et rapportent par le détail des anecdotes. Louis Codet s'y montre observateur bienveillant et délicat.
"Louis Codet est une des plus pure fleurs de la littérature française. Il l'est par l'esprit, par l'humanité qui l'anime, par l'aisance du langage qu'il sert, par cet équilibre constant entre pensée et style" Pierre Camo ("Les Nouvelles littéraires", 9 août 1935).
cote : MAG.LIM.46666 (Bfm Limoges)
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Coll[egio] societati[s] ob illustrissimi et nobilissimi viri Caroli Boucher, Equistis Torquati, Domini d'Orsay, ad Lemovicensem praefecturam reditum Festi plausus
Recueil de pièces composées par les élèves du Collège des Jésuites de Limoges, en latin et en français, pour fêter le retour de Charles Boucher d'Orsay (1676-1730) au poste d'intendant de Limoges (il avait déjà été intendant entre 1710 et 1715 et revient en 1724 jusqu'à sa mort en 1730). Créateur du jardin d'Orsay.
"Son retour à Limoges à la mi-année 1724 a été l’occasion pour les élèves du collège jésuite de la ville de produire les 4 pièces en vers conservées aujourd’hui à la BFM. Odes et élégies en vers latins et français chantent les mérites de ce commis de l’état qui fit beaucoup pour Limoges et le Limousin en matière de travaux d’urbanisme et de réformes administratives (embellissement de la ville et cité de Limoges, avec entre autres le jardin d’Orsay, amélioration des haras provinciaux, politique de recherche de gisements miniers, règlement pour les papèteries du Limousin et de l’Angoumois, etc.).
De manière conventionnelle, ces poésies font le panégyrique de l’officier royal et de sa maison toute tournée vers le service de l’Etat, rappellent son enracinement limousin personnel et surtout ne manquent pas de louer le zèle avec lequel il conjura l’épidémie provençale. " Thierry Paquin
cote : MAG.P LIM F5843/34 (Bfm Limoges)
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Du Théâtre en Limousin au XVIe siècle
cote : MAG.P LIM 30321 (Bfm Limoges)
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Legendas lemouzinas, Légendes limousines avec traduction française en regard du texte
Marguerite Priolo devient reine du Félibrige en 1913, après avoir été reine du Félibrige Limousin (1909-1912). Auteur de deux ouvrages de contes traditionnels (Legendas Lemouzinas, 1915 et Countes del Meirilher, 1916), elle fut l'une des disciples de Joseph Roux et l'élève d'une autre reine du Félibrige, la marseillaise Marguerite Genès (1868-1955), autre personnalité importante des débuts du Félibrige en Limousin.
Ces Legendas Lemouzinas, tout comme son autre ouvrage Countes del Meirilher, sera salué en 1965 par le journal Lemouzi : "dès sa parution, le livre Legendas Lemouzinas fut une révélation et opéra presque une révolution. Un style alerte, dru, flexible, épousant toutes les nuances de la pensée ou de la fantaisie venait de naître."(Lemouzi, numéro 15, 1965, p.281-282, Robert Joudoux).
cote : MAG.P LIM 44569 (Bfm Limoges)
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Règlement de la Société de secours mutuels des peintres et doreurs sur porcelaine
... et des employés des bureaux des ateliers de peinture et de fabrique porcelaine. Fondée à Limoges le 1er décembre 1850.
Livret de sociétaire de 1884.
cote : MAG.P LIM 55367/XX,7 (Bfm Limoges)
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Saturnisme professionnel des ouvriers poudreurs employés dans les ateliers de décors de la porcelaine
Discours prononcé à la séance solennelle de rentrée de l'Ecole [de Médecine] le 3 décembre 1896
cote : MAG.P LIM 55354/4 (Bfm Limoges)