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Vision de la maison des fous amoureux : nouvelle historique
Reliure signée demi-chagrin rouge, tête dorée, dos lisse , titre en long. Reliure de Vailly qui exerçait au Havre durant le dernier quart du XIXe siècle. Très rare exemplaire d'une impression de la Bibliothèque bleue de Limoges. Imprimé par Farne au début du XVIIIe siècle, copié sur la Bibliothèque bleue de Lyon.
Cet exemplaire est certainement celui cité par Clément-Simon dans son article sur la Bibliothèque bleue de Limoges publié dans le "Bibliophile Limousin", tome XIX, année 1904, pages 139 à 150.
cote : RES.P LIM T 407 (Bfm Limoges)
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La troupe des bons enfans, assemblés à l'hôtel des bons ragoûts
Très rare exemplaire d'une impression de la Bibliothèque bleue de Limoges. : des livres de colportage : des ouvrages de littérature populaire très en vogue dès le XVIIe siècle vendu à bas prix par les colporteurs, à l'image de la Bibliothèque bleue de Troyes ou de Lyon.
Cet exemplaire est certainement celui cité par Clément-Simon dans son article sur la Bibliothèque bleue de Limoges publié dans le "Bibliophile Limousin", tome XIX, année 1904, pages 139 à 150.
cote : RES.P LIM T 406 (Bfm Limoges)
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Les plus belles plantes de la mer
Alguier.
Contient 163 pages de texte : Traitement et application des algues, recherche et récolte des algues, généralités sur les algues, introduction à la botanique des algues, les trois classes des algues (les fucoïdées, les floridées, les zoosporées), description des familles, liste des espèces décrites avec leur description détaillée, espèces à récolter, suivi de 50 échantillons d'algues marines montés sur carton.
Ouvrage édité à 500 exemplaires, réalisé à la suite d'une mission d’exploration sur les côtes de l’Océan et de la Manche, confiée à F. Stenfort par le ministre de l’instruction publique en 1873.
cote : S1623/2
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Countes del Meirilher : Contes du Marguillier avec traduction française en regard du texte
Marguerite Priolo devient reine du Félibrige en 1913, après avoir été reine du Félibrige Limousin (1909-1912). Auteur de deux ouvrages de contes traditionnels (Legendas Lemouzinas, 1915 et Countes del Meirilher, 1916), elle fut l'une des disciples de Joseph Roux et l'élève d'une autre reine du Félibrige, la marseillaise Marguerite Genès (1868-1955), autre personnalité importante des débuts du Félibrige en Limousin.
cote : MAG.P LIM 44571 (Bfm Limoges)
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Distribution des prix de l'école gratuite des Beaux-Arts appliquée à l'industrie
Document issu du fonds patrimonial dit du Grand Séminaire, Service commun de documentation, Université de Limoges.
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Distribution des prix de l'école gratuite des Beaux-Arts appliqués à l'industrie
Document issu du fonds patrimonial dit du Grand Séminaire, Service commun de documentation, Université de Limoges.
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Cercle d'ouvriers maçons et tailleurs de pierre...
Compte-rendu des travaux de l'année scolaire (1877-1878). - Statuts du Cercle. - Statut de la caisse de prévoyance. - Statuts des malades. - Programme de nos cours du soir. - Liste générale de souscripteurs. - Comité des Dames fondé en 1868.
cote : Ass 7879-Fonds patrimonial dit du Grand Séminaire - Bibliothèque universitaire Limoges.
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Las Estoueras de lo Morio
Marie Bosle (1866-1958) est née et a vécu tout sa vie à Chersoubre, commune de Saint-Georges-Nigremont, à l’orée de cette Montagne limousine que les gens de nos jours appellent toute entière, abusés par la communication touristique : plateau de Millevaches, mais qu’à cet endroit il convient de nommer plus précisément plateau de La Courtine.
Chez Marie Bosle comme dans tout le grand tiers sud-est de la Creuse, le dialecte occitan employé est l’auvergnat, et plus précisément le nord-auvergnat, qui reste bien plus proche lexicalement et morphologiquement du dialecte limousin de Bourganeuf, par exemple, qu’il ne l’est du dialecte sud-auvergnat du Cantal ou de Lozère. Tout cela pour dire qu’un limousinophone ne doit pas avoir peur de se frotter aux « gnorles » (historiettes) de Marie Bosle, il les comprendra sans difficulté.
C’est sur le tard, à soixante ans passés, que Marie Bosle se mit à écrire ces petits textes dans la langue de son pays. Las Estouéras de lo Morio (Les histoires de la Marie) furent d’abord publiées en chroniques dans le journal La Creuse entre octobre 1938 et août 1939, sous le titre Bouchis de Potoué (Morceaux de patois).
En 1941, le journal décidait d’en éditer le recueil que voici. L’introduction de François Pradelle vous en dira davantage.
Ces textes furent republiés en 1981 par la F.O.L. de la Creuse et l’I.E.O. Marche-Combraille, dans une édition de Jacques Chauvin (1945-2017). L’occitaniste aubussonnais avait alors pris le parti d’adapter ces textes en graphie occitane normalisée, comme c’était de coutume à l’époque. Mais si l’on reconnaît le grand mérite de la graphie occitane normalisée qui est de permettre au plus grand nombre, à travers toute l’Occitanie, de lire un texte d’un autre dialecte sans grande difficulté, il faut bien dire que la limite de cette graphie est aussi de ne pas pouvoir/vouloir tout à fait retranscrire les localismes et même les « hyperlocalismes » qui peuvent donner toute leur saveur à ce genre de textes si attachés à un territoire, à un terroir précis. Plus critiquable est par ailleurs la volonté manifeste de normaliser un peu la langue de Marie Bosle en ne reproduisant pas dans la version occitane tous les idiomatismes, tous les petits mots de liaison, toutes les tournures de phrases et certaines prononciations tout à fait propres au « patois de la Rozeille », comme l’appelait l’auteure, du nom de la rivière traversant sa contrée.
Les occitanistes qui possèdent l’édition de 1981 s’amuseront à comparer avec la présente.
cote : G2450/23 (Bfm)
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Effets de l'irradiation
extrait de l'ouvrage : "Principes scientifiques des beaux-arts : essais et fragments de théorie . suivis de L'optique et la peinture "
cote : MAG 48327/BA 4 (Bfm Limoges)
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La science et la beauté
Article extrait de "L'origine et les destinées de l'art ".
cote : MAG 15224/18 (Bfm Limoges)
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VU : numéro spécial "Au Pays des Soviets"
cote : MAG.P PERRIER 2399 (fonds Antoine Perrier, Bfm )
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Grammaire limousine
Publié par Lemouzi novembre 1893-mai 1895
Joseph Roux (1834-1905) félibre majoral limousin, chanoine de la cathédrale de Tulle, fondateur de la revue occitane Lemouzi est aujourd'hui salué avec respect dans toute l'Occitanie. Auteur d'une oeuvre littéraire riche (certaines de ses œuvres sont de véritables chansons de Geste) et d'une Grammaire limousine, il entreprend un dictionnaire de la langue d'oc qui demeurera inédit à sa mort.
cote : MAG.P LIM 33683 (Bfm Limoges)
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L'époque barbare en Haute Corrèze
Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze.
Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires.
Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac.
cote : MAG.P LIM 54886/d (Bfm Limoges)
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Le Pays d'Ussel : préhistoire et histoire ancienne
Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze.
Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires.
Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac.
cote : MAG.P LIM 57232 (Bfm Limoges)
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Mise en valeur du plateau de Millevaches : assainir les fonds, arroser les versants, reboiser les crêtes
Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze.
Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau des Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau des Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires.
Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac.
cote : MAG.P LIM 45171 (Bfm Limoges)
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Le Plateau de Millevaches : pré-bois
Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze.
Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires.
Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac.
cote : MAG.P LIM F7210/54 (Bfm, Fonds Antoine Perrier)
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La station gallo-romaine des Cars, commune de Saint-Merd-les-Oussines et Pérols (Corrèze)
La station gallo-romaine des Cars abrite les vestiges d'un ensemble funéraire et d'une villa datant de la première moitié du IIe siècle apr. J.-C. En 1917, lors d'un repérage dans les champs situés entre Saint-Merd-les-Oussines et Pérols-sur-Vézère, Marius Vazeilles observe un berger adossé à une pierre circulaire dépassant du sol. Les fouilles débutent en 1936.
Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze.
Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires.
Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac.
La couverture porte en plus : "Collaboration à la vieille histoire - Vulgarisation et éducation populaire - Mise en valeur des richesses archéologiques de la région".
Fonds Antoine Perrier
cote : MAG.P LIM F7210/13 (Bfm-Fonds Antoine Perrier)
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La station gallo-romaine des Cars, commune de Saint-Merd-les-Oussines et Pérols (Corrèze) : campagnes de fouilles 1953 et 1954
Extrait du Bulletin n°2-1954 de la Société des Lettres, Sciences et Arts de la Corrèze.
La station gallo-romaine des Cars abrite les vestiges d'un ensemble funéraire et d'une villa datant de la première moitié du IIe siècle apr. J.-C. En 1917, lors d'un repérage dans les champs situés entre Saint-Merd-les-Oussines et Pérols-sur-Vézère, Marius Vazeilles observe un berger adossé à une pierre circulaire dépassant du sol. Les fouilles débutent en 1936.
Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze.
Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires.
Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac.
cote : MAG.P LIM F7210/14 (Bfm-Fonds Antoine Perrier)
Fonds Antoine Perrier
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Mes collections archéologiques
Extrait du Bulletin 1964 de la Société des Lettres, Sciences et Arts de la Corrèze.
Dédicace de l'auteur à Antoine Perrier en 1ère page
Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze.
Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires.
Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac.
cote : MAG.P LIM F7210/90 (Bfm-Fonds Antoine Perrier)
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En souvenir d'une des cigognes : Des feuilles... Des ailes... Du sang
Le récit héroïque de la vie de Geoffroy Tenant de la Tour, commandant de l'escadron des "Cigognes" pendant la première Guerre Mondiale, avant qu'il ne disparaisse en décembre 1917 abattu en vol. Auquel s'ajoute ses nombreuses notes personnelles commentées par le commandant Brocart.
Document issu du fonds patrimonial dit du Grand Séminaire, Service commun de documentation, Université de Limoges.