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La station gallo-romaine des Cars, commune de Saint-Merd-les-Oussines et Pérols (Corrèze) : campagnes de fouilles 1953 et 1954
Extrait du Bulletin n°2-1954 de la Société des Lettres, Sciences et Arts de la Corrèze.
La station gallo-romaine des Cars abrite les vestiges d'un ensemble funéraire et d'une villa datant de la première moitié du IIe siècle apr. J.-C. En 1917, lors d'un repérage dans les champs situés entre Saint-Merd-les-Oussines et Pérols-sur-Vézère, Marius Vazeilles observe un berger adossé à une pierre circulaire dépassant du sol. Les fouilles débutent en 1936.
Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze.
Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires.
Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac.
cote : MAG.P LIM F7210/14 (Bfm-Fonds Antoine Perrier)
Fonds Antoine Perrier
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Mes collections archéologiques
Extrait du Bulletin 1964 de la Société des Lettres, Sciences et Arts de la Corrèze.
Dédicace de l'auteur à Antoine Perrier en 1ère page
Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze.
Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires.
Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac.
cote : MAG.P LIM F7210/90 (Bfm-Fonds Antoine Perrier)
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En souvenir d'une des cigognes : Des feuilles... Des ailes... Du sang
Le récit héroïque de la vie de Geoffroy Tenant de la Tour, commandant de l'escadron des "Cigognes" pendant la première Guerre Mondiale, avant qu'il ne disparaisse en décembre 1917 abattu en vol. Auquel s'ajoute ses nombreuses notes personnelles commentées par le commandant Brocart.
Document issu du fonds patrimonial dit du Grand Séminaire, Service commun de documentation, Université de Limoges.
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L'apôtre Saint Martial
Panégyrique prononcé dans l'église St.-Michel-des-Lions de Limoges, le 19 novembre 1894.
cote : ASS5114 (Université de Limoges-Service Commun de Documentation- Bibliothèque du Grand Séminaire)
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Traité de la culture du chêne, contenant les meilleures manières de semer les bois, de les planter, de les entretenir, de rétablir ceux qui sont dégradés et de les exploiter, avec les différents moyens de tirer un parti avantageux de toute sorte de terrains et de toute sorte de bois... Par M. Juge De Saint-Martin, correspondant de la Société royale d'agriculture
Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Soucieux d'expérimenter par lui-même et de rendre compte, il laisse de nombreux écrits sur ses différents centres d'intérêt : la sylviculture l'observation méteo, les moeurs ou le fonctionnement de la pensée.
cote : MAG.P LIM S1810 (Bfm Limoges)
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Observations météorologiques faites pendant l'hyver de 1789
Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Soucieux d'expérimenter par lui-même et de rendre compte, il laisse de nombreux écrits témoignant de la diversité de ses centres d'intérêts : la sylviculture l'observation méteo, les moeurs ou le fonctionnement de la pensée.
cote : MAG.P LIM B1348 (Bfm Limoges)
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Essai historique sur M. Juge de St-Martin, ancien magistrat, président honoraire de la société royale d'agriculture, sciences et arts de Limoges, lu à la séance publique de cette société du 4 novembre 1825
Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Soucieux d'expérimenter par lui-même et de rendre compte, il laisse de nombreux écrits sur ses différents centre d'intérêts : la sylviculture l'observation méteo, les moeurs ou le fonctionnement de la pensée.
cote : MAG.P LIM B923 (Bfm Limoges)
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Changemens survenus dans les moeurs des habitans de Limoges, depuis une cinquantaine d'années.
Première édition du texte qui sera repris 9 ans plus tard.
Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Soucieux d'expérimenter par lui-même et de rendre compte, il laisse de nombreux écrits témoignant de la diversité de ses centres d'intérêts : la sylviculture l'observation météorologique, les mœurs ou le fonctionnement de la pensée.
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Lettre à Mr Juge de Saint-Martin, sur quelques inscriptions nouvellement découvertes à Limoges
Extrait du magasin encyclopédique
cote : MAG.P LIM B1302 (Bfm)
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Jacques-Joseph Juge de Saint-Martin
Extrait du compte rendu des séances du 1er congrès de l'Arbre et l'Eau à Limoges, juin 1907, 2e livraison .
Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Soucieux d'expérimenter par lui-même et de rendre compte, il laisse de nombreux écrits témoignant de la diversité de ses centres d'intérêts : la sylviculture l'observation méteo, les moeurs ou le fonctionnement de la pensée.
cote MAG.P LIM 40388/1 (Bfm)
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Théorie de la pensée ; de son activité primitive indépendante des sens et de sa continuité prouvée par les songes. Ouvrage élémentaire, où le jeune homme peut apprendre à se connaître et à s'estimer. Par M.-J.-J. Juge-Saint-Martin, ancien professeur d'histoire naturelle, membre ou correspondant de plusieurs sociétés savantes
Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Soucieux d'expérimenter par lui-même et de rendre compte, il laisse de nombreux écrits témoignant de la diversité de ses centres d'intérêts : la sylviculture l'observation méteo, les moeurs ou le fonctionnement de la pensée.
cote : MAG.P LIM S172 (Bfm Limoges)
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Marcelle Tinayre : biographie critique suivie d'opinions, d'un autographe et d'une bibliographie
Biographie critique écrite par un journaliste du vivant de l'auteure (elle a alors 39 ans) : elle a écrit ses plus grands romans (Hellé, La Maison du Péché, la Rebelle...).
cote : MAG.P LIM E699 (Bfm Limoges)
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Avant l'amour
Premier roman de Marcelle Tinayre publié pour la première fois en 1897.
Née à Tulle en 1870, Marcelle Tinayre est une femme de lettres
qui a marqué la Belle Époque, à la charnière des XIXe et XXe siècles.
Fille et belle-fille de femmes engagées, Marcelle Tinayre connaît, après la publication de ses premières nouvelles en 1893, un succès rapide dès ce premier roman, "Avant l’amour ". Elle publie par la suite "Hellé", couronné par l’Académie française.
Parmi ses autres œuvres, il convient de citer "la Rebelle", paru en 1905, dans lequel elle aborde l’avortement ; elle parle de grossesses hors-mariage dans son second roman « corrézien » la "Vie amoureuse de François Barbazanges" puis "l’Ombre de l’amour" (1909), dont l’action se déroule principalement à Gimel-les-Cascades. séduite par ce bourg - à l'instar de Gaston Vuillier - qu’elle découvre au tout début du XXe siècle parallèlement à ses retrouvailles avec sa ville natale. Collaboratrice du journal féministe la Fronde, Marcelle Tinayre est l’un des premiers membres du jury du futur prix Femina et en sera la présidente en 1908.
cote : MAG.P LIM 54199/1 (Bfm Limoges)
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La Fiancée du diable : légende limousine en trois actes et quatre tableaux
d'après une nouvelle de Louis de Beaugency .
"La Fiancée du Diable a été représentée pour la première fois sur la scène du théâtre municipal de Limoges le 11 janvier 1941."
Livret complet et partitions en fin de recueil.
Wally Karveno, née Loewenthal est une compositrice comédienne et poétesse qui vécut un temps réfugiée à Limoges pendant la guerre avant d'être internée au camp de Gurs en France en 1941. Elle laisse une oeuvre essentiellement écrite pour piano.
Ami de Robert Margerit, du porcelainier Jacques Bernardaud, de l'éditeur Jean Lagueny, etc., Jean Virolle, formé aux beaux-arts de Limoges, est un artiste à plusieurs facettes surtout connu pour ses illustrations de presse et revues.
cote : MAG.P LIM 36654
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Lexique limousin d'après les oeuvres de Joseph Roux
Dans la préface à l'ouvrage, Raymond Laborde précise : " On trouvera donc ici le vrai dialecte limousin et la plupart des mots réapparaitront avec toute leur couleur et leur saveur dégagés de la chrysalide "patoise"[...] Qu'on ne s'attende pas à quelque chose d'impeccable. Notre langue, si longtemps souveraine, a été d'une richesse incomparable. Nous ne pouvions pas avoir la prétention de la faire connaître du premier coup".
Joseph Roux (1834-1905) félibre majoral limousin, chanoine de la cathédrale de Tulle, fondateur de la revue occitane Lemouzi est aujourd'hui salué avec respect dans toute l'Occitanie. Auteur d'une oeuvre littéraire riche (certaines de ses œuvres sont de véritables chansons de geste) et d'une Grammaire limousine, il entreprend un dictionnaire de la langue d'oc qui demeurera inédit à sa mort.
cote : MAG.P LIM 33684 (Bfm Limoges)
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Une oeuvre de Baluze oubliée
Cette oeuvre oubliée serait "Remarques sur les fautes et faussetez de la table intitulée, table chronologique historique, contenant l'abrégé fidelle de tout ce qui s'est passé de remarquable dans le Limousin, depuis les conquestes des Romains jusqu'en l'an 1666." (disponible sur la Bibliothèque numérique du Limousin), un recueil historiographique de plus de 100 pages.
L'auteur annoncé serait le sieur de Maldamnat, mais Alfred Leroux s'attache à prouver avec force documentation et de notes que le cardinal Baluze se cache derrière cette oeuvre.
cote : MAG.P LIM 40938 (Bfm Limoges)
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Description pittoresque d'une métairie dans le département de la Haute-Vienne
Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières.
Sur un ton élégiaque Jaques Joseph Juge de Saint-Martin décrit sa métairie de Boubaud à Nieuil près de Limoges. Un critique de l'époque assure à la parution de l'ouvrage : " ... si M. Juge, pour rendre ses descriptions plus séduisantes, a employé le pinceau de la poésie, c'était pour mieux faire sentir la ressemblance des objets qu'il voulait peindre et qu'on s'est convaincu, le livre à la main [...] qu'il n'a pas représenté les objets plus beaux que ceux offerts par la nature des lieux" (Journal du Département de la Haute-Vienne, 9 octobre 1806)
cote : MAG.P LIM 18627 (Bfm Limoges)
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Lettres à deux amis
Issu d’une vieille famille de Saint-Junien, Louis Codet nait à Perpignan, puis fait à Paris de brillantes études de droit et de peinture . Dandy parisien, Louis Codet se lie d' amitié avec Guillaume Apollinaire, Marie Laurencin, André Gide, Eugène Montfort, notamment. Mobilisé dès le début de la Première Guerre Mondiale, il meurt peu de temps après, blessé par un obus.
Les deux amis cités dans ces lettres sont Eugène Montfort, écrivain, fondateur et directeur de la revue Les Marges et Louis Bausil, peintre originaire de Perpignan comme Louis Codet. Elles sont particulièrement touchantes : les dernières adressées à Eugène Montfort raconte la façon dont il a été blessé, quelques notes justes et concises sur la situation du soldat et rapportent par le détail des anecdotes. Louis Codet s'y montre observateur bienveillant et délicat.
"Louis Codet est une des plus pure fleurs de la littérature française. Il l'est par l'esprit, par l'humanité qui l'anime, par l'aisance du langage qu'il sert, par cet équilibre constant entre pensée et style" Pierre Camo ("Les Nouvelles littéraires", 9 août 1935).
cote : MAG.LIM.46666 (Bfm Limoges)
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Coll[egio] societati[s] ob illustrissimi et nobilissimi viri Caroli Boucher, Equistis Torquati, Domini d'Orsay, ad Lemovicensem praefecturam reditum Festi plausus
Recueil de pièces composées par les élèves du Collège des Jésuites de Limoges, en latin et en français, pour fêter le retour de Charles Boucher d'Orsay (1676-1730) au poste d'intendant de Limoges (il avait déjà été intendant entre 1710 et 1715 et revient en 1724 jusqu'à sa mort en 1730). Créateur du jardin d'Orsay.
"Son retour à Limoges à la mi-année 1724 a été l’occasion pour les élèves du collège jésuite de la ville de produire les 4 pièces en vers conservées aujourd’hui à la BFM. Odes et élégies en vers latins et français chantent les mérites de ce commis de l’état qui fit beaucoup pour Limoges et le Limousin en matière de travaux d’urbanisme et de réformes administratives (embellissement de la ville et cité de Limoges, avec entre autres le jardin d’Orsay, amélioration des haras provinciaux, politique de recherche de gisements miniers, règlement pour les papèteries du Limousin et de l’Angoumois, etc.).
De manière conventionnelle, ces poésies font le panégyrique de l’officier royal et de sa maison toute tournée vers le service de l’Etat, rappellent son enracinement limousin personnel et surtout ne manquent pas de louer le zèle avec lequel il conjura l’épidémie provençale. " Thierry Paquin
cote : MAG.P LIM F5843/34 (Bfm Limoges)
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Du Théâtre en Limousin au XVIe siècle
cote : MAG.P LIM 30321 (Bfm Limoges)