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Etat collection : 1ère année, n°1 (1905, 29 oct.)-2e année, n°40 (1907, 28 avr. au 12 mai). Remplacé par "Le combat social".
Périodicité : Bimensuel.
Cote magasin : LIM 58205 (Bfm Limoges)
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Etat collection : 1ère année, n°1 (1905, 29 oct.)-2e année, n°40 (1907, 28 avr. au 12 mai). Remplacé par "Le combat social".
Périodicité : Bimensuel.
Cote magasin : LIM 58205 (Bfm Limoges)
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Etat collection : 1ère année, n°1 (1905, 29 oct.)-2e année, n°40 (1907, 28 avr. au 12 mai). Remplacé par "Le combat social".
Périodicité : Bimensuel.
Cote magasin : LIM 58205 (Bfm Limoges)
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Etat collection : 1ère année, n°1 (1905, 29 oct.)-2e année, n°40 (1907, 28 avr. au 12 mai). Remplacé par "Le combat social".
Périodicité : Bimensuel.
Cote magasin : LIM 58205 (Bfm Limoges)
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Etat collection : 1ère année, n°1 (1905, 29 oct.)-2e année, n°40 (1907, 28 avr. au 12 mai). Remplacé par "Le combat social".
Périodicité : Bimensuel.
Cote magasin : LIM 58205 (Bfm Limoges)
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Etat collection : 1ère année, n°1 (1905, 29 oct.)-2e année, n°40 (1907, 28 avr. au 12 mai). Remplacé par "Le combat social".
Périodicité : Bimensuel.
Cote magasin : LIM 58205 (Bfm Limoges)
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Etat collection : 1ère année, n°1 (1905, 29 oct.)-2e année, n°40 (1907, 28 avr. au 12 mai). Remplacé par "Le combat social".
Périodicité : Bimensuel.
Cote magasin : LIM 58205 (Bfm Limoges)
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Etat collection : 1ère année, n°1 (1905, 29 oct.)-2e année, n°40 (1907, 28 avr. au 12 mai). Remplacé par "Le combat social".
Périodicité : Bimensuel.
Cote magasin : LIM 58205 (Bfm Limoges)
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Etat collection : 1ère année, n°1 (1905, 29 oct.)-2e année, n°40 (1907, 28 avr. au 12 mai). Remplacé par "Le combat social".
Périodicité : Bimensuel.
Cote magasin : LIM 58205 (Bfm Limoges)
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Etat collection : 1ère année, n°1 (1905, 29 oct.)-2e année, n°40 (1907, 28 avr. au 12 mai). Remplacé par "Le combat social".
Périodicité : Bimensuel.
Cote magasin : LIM 58205 (Bfm Limoges)
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. Aetat. 50. 1618. - L. Gaultier incidit. - Dans «La pratique chrétienne...» par P. de Besse, Paris, 1624. - Dans la marge, le quatrain suivant : «Si le burin eust peu, en gravant ce visage / Representer au vray l'ame de ses escrits ; / Tout le monde diroit admirant cet ouvrage / Heureux le Limosin qui à de tels esprits.»
Né en 1567 au village de Neymond, commune de Laroche près Feyt (Corrèze), fils de Jehan de Besse, notaire royal et d'Anna Moulin, doyen du chapitre d'Herment (1601), aumônier du prince de Condé (1603), curé de Colombes (1605), conseiller et prédicateur ordinaire du roi (1611), principal du collège de Saint-Michel à Paris (1614), chanoine de Saint-Germain-l'Auxerrois (1618), syndic de la faculté de théologie (1624), mort à Paris le 11 novembre 1639.
Cote : FP BESS 01 (Bfm limoges)
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auteur de nombreux romans, mort à Paris le 30 janvier 1891.
cote : FP BERTH007 (Bfm Limoges)
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Publié dans : «Panthéon parisien / Album des célébrités contemporaines», n°49. - Illustration d'un article biographique et bibliographique de Charles Dubourg.
Né à Limoges le 8 juin 1815, fils de Joseph Berthet, négociant et d'Antoinette Voisin ; écrivain distingué, auteur de nombreux romans, mort à Paris le 30 janvier 1891.
cote : FP BERTH006 (Bfm Limoges)
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Illustration d'un article de A. Hermant, dans «Le Monde illustré».
Né à Limoges le 8 juin 1815, fils de Joseph Berthet, négociant et d'Antoinette Voisin ; écrivain distingué, auteur de nombreux romans, mort à Paris le 30 janvier 1891.
cote : FP BERTH005 (Bfm Limoges)
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Publié dans "Le monde dramatique".
Né à Limoges le 8 juin 1815, fils de Joseph Berthet, négociant et d'Antoinette Voisin ; écrivain distingué, auteur de nombreux romans, mort à Paris le 30 janvier 1891.
cote : FP BERTH003 (Bfm Limoges)
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L'ouvrage est une adaptation d'un traité plus ancien écrit au XVIe siècle par un certain Sinibal (ou Cinibal) Spadacine (ou Spadacime), "astrologue de l'Etat de Milan" dont on ne sait presque rien.
Il en existe maintes versions avec des titres plus ou moins détaillés. Ces livres d'astrologie ont été les best-seller des publications populaires.
L'ouvrage est constitué du portrait de l'homme puis de la femme (complexion, humeur, maladies, accidents...) en fonction du signe astrologique. Un court traité de chiromancie vient clore l'ouvrage.
Première pièce d'un recueil factice.
cote : LIM 53573 (Bfm Limoges)
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La page de titre porte "Insomnies", le plat supérieur de la reliure porte "Feuilles au vent";
Gustave Chadeuil, né à Limoges en 1823 fait partie de ces nombreux poètes du XIXe siècle "hugolâtres" et "lamartiniens" : des vers du plus pur romantisme dans le sillage des grands.
A noter, des dessins à la plume qui n'ont presque pas à rougir de ceux de Victor Hugo.
cote : Ms167 (Bfm Limoges)
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Reliure signée demi-chagrin rouge, tête dorée, dos lisse , titre en long. Reliure de Vailly qui exerçait au Havre durant le dernier quart du XIXe siècle. Très rare exemplaire d'une impression de la Bibliothèque bleue de Limoges. Imprimé par Farne au début du XVIIIe siècle, copié sur la Bibliothèque bleue de Lyon.
Cet exemplaire est certainement celui cité par Clément-Simon dans son article sur la Bibliothèque bleue de Limoges publié dans le "Bibliophile Limousin", tome XIX, année 1904, pages 139 à 150.
cote : RES.P LIM T 407 (Bfm Limoges)
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Très rare exemplaire d'une impression de la Bibliothèque bleue de Limoges. : des livres de colportage : des ouvrages de littérature populaire très en vogue dès le XVIIe siècle vendu à bas prix par les colporteurs, à l'image de la Bibliothèque bleue de Troyes ou de Lyon.
Cet exemplaire est certainement celui cité par Clément-Simon dans son article sur la Bibliothèque bleue de Limoges publié dans le "Bibliophile Limousin", tome XIX, année 1904, pages 139 à 150.
cote : RES.P LIM T 406 (Bfm Limoges)
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Alguier.
Contient 163 pages de texte : Traitement et application des algues, recherche et récolte des algues, généralités sur les algues, introduction à la botanique des algues, les trois classes des algues (les fucoïdées, les floridées, les zoosporées), description des familles, liste des espèces décrites avec leur description détaillée, espèces à récolter, suivi de 50 échantillons d'algues marines montés sur carton.
Ouvrage édité à 500 exemplaires, réalisé à la suite d'une mission d’exploration sur les côtes de l’Océan et de la Manche, confiée à F. Stenfort par le ministre de l’instruction publique en 1873.
cote : S1623/2
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Elie Berthet. - Ch. Vogt. -. - Pour la «Galerie de la presse, de la littérature et des beaux-arts».
Né à Limoges le 8 juin 1815, fils de Joseph Berthet, négociant et d'Antoinette Voisin ; écrivain distingué, auteur de nombreux romans, mort à Paris le 30 janvier 1891.
cote : FP BERTH001 (Bfm Limoges)
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«Mon bien aimé Chanoine». Lettre manuscrite
Né à Limoges le 1er décembre 1798, fils d'Antoine Berteaud, négociant, et de Marie-Thérèse Joubert ; professeur de philosophie au Petit séminaire du Dorat, chanoine de l'église cathédrale de Limoges en 1831, nommé évêque de Tulle le 15 juin 1842, sacré à Limoges le 21 septembre suivant, mort à la Morgnie, près de Tulle, le 2 mai 1879.
cote : FP BERTE05 (Bfm Limoges)
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Biographie.
Né à Limoges le 1er décembre 1798, fils d'Antoine Berteaud, négociant, et de Marie-Thérèse Joubert ; professeur de philosophie au Petit séminaire du Dorat, chanoine de l'église cathédrale de Limoges en 1831, nommé évêque de Tulle le 15 juin 1842, sacré à Limoges le 21 septembre suivant, mort à la Morgnie, près de Tulle, le 2 mai 1879.
cote : FP BERTE03 (Bfm Limoges)
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Légende : Mgneur. Berteaud. Evêque de Tulle (Corrèze). Né à Limoges (Hte. Vienne). - Albert lith.
Né à Limoges le 1er décembre 1798, fils d'Antoine Berteaud, négociant, et de Marie-Thérèse Joubert ; professeur de philosophie au Petit séminaire du Dorat, chanoine de l'église cathédrale de Limoges en 1831, nommé évêque de Tulle le 15 juin 1842, sacré à Limoges le 21 septembre suivant, mort à la Morgnie, près de Tulle, le 2 mai 1879.
cote : FP BERTE02 (Bfm Limoges)
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Légende : J. B. P. L. C. Ev[eque]. de Tulle. - C. Fuhr ; Pierre Petit photog.
Né à Limoges le 1er décembre 1798, fils d'Antoine Berteaud, négociant, et de Marie-Thérèse Joubert ; professeur de philosophie au Petit séminaire du Dorat, chanoine de l'église cathédrale de Limoges en 1831, nommé évêque de Tulle le 15 juin 1842, sacré à Limoges le 21 septembre suivant, mort à la Morgnie, près de Tulle, le 2 mai 1879.
cote : FP BERTE01 (Bfm Limoges)
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Etat collection : 1ère année, n°1 (1905, 29 oct.)-2e année, n°40 (1907, 28 avr. au 12 mai). Remplacé par "Le combat social".
Périodicité : Bimensuel.
Cote magasin : LIM 58205 (Bfm Limoges)
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Portrait. Pierre Antoine Berryer
Porte en plus : la signature de Pierre-Antoine Berryer, et le n° 7.
Né le 4 janvier 1790 à Paris. Il fut avocat, journaliste, député, et membre de l'Académie française (élu en 1852). Il mourut à Augerville (Loiret) le 29 novembre 1868.
Cote : FP BERR P (Bfm Limoges)
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1 estampe, 1 biographie (2 p.), extrat d'un ouvrage inconnu.
Légende : «Georges Berry : député de la première circonscription du IXe».
Né le 8 mars 1852 à Bellac (Haute-Vienne). Homme politique, il fut aussi député de la première circonscription du 9ème arrondissement de Paris, et président du groupe des députés de la Seine. Il mourut à Paris le 9 avril 1915. Autres années de naissance mentionnées dans diverses sources : 1853, 1855.
Cote : FP BERR G (Bfm Limoges)
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Marguerite Priolo devient reine du Félibrige en 1913, après avoir été reine du Félibrige Limousin (1909-1912). Auteur de deux ouvrages de contes traditionnels (Legendas Lemouzinas, 1915 et Countes del Meirilher, 1916), elle fut l'une des disciples de Joseph Roux et l'élève d'une autre reine du Félibrige, la marseillaise Marguerite Genès (1868-1955), autre personnalité importante des débuts du Félibrige en Limousin.
cote : MAG.P LIM 44571 (Bfm Limoges)
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De la suite éditée par Tardieu
Né à Lescurotte (Corrèze), le 28 décembre 1764, avocat, maire de Tulle pendant la Révolution, procureur impérial à Tulle, élu député de la Corrèze par le Sénat conservateur, représentant du même département à la Chambre dite des Cent Jours (1815) ; réélu le 20 octobre 1818, échoua aux législatives suivantes et fut de nouveau député par la Corrèze aux élections des 5 juillet 1830 et 21 juin 1834 ; mort à Paris le 15 février 1837.
Cote : FP BED02 (Bfm Limoges)
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De la suite éditée par Tardieu
Né à Lescurotte (Corrèze), le 28 décembre 1764, avocat, maire de Tulle pendant la Révolution, procureur impérial à Tulle, élu député de la Corrèze par le Sénat conservateur, représentant du même département à la Chambre dite des Cent Jours (1815) ; réélu le 20 octobre 1818, échoua aux législatives suivantes et fut de nouveau député par la Corrèze aux élections des 5 juillet 1830 et 21 juin 1834 ; mort à Paris le 15 février 1837.
Cote : FP BED01 (Bfm Limoges)
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Extrait de "Le monde illustré", journal hebdomadaire, n°862, 18 octobre 1873, p. 1. - Légende :
"Versailles. Trianon. Le maréchal Bazaine se rendant à la salle du conseil. (Dessin de M. Lix)".
Né le 13 février 1811 à Versailles, mort le 23 septembre 1888 à Madrid. Il fut Maréchal de France.
Cote : FP BAZ (Bfm Limoges)
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Marie-Gabriel Barbou des Courières / Forestier sculp. ; Ambroise Tardieu direxit. - extrait de l'ouvrage «Victoires et conquêtes des Français».
Né à Abbeville (Somme), le 23 novembre 1761, fils de Gabriel et de Marie-Jeanne de Bony de la Courcelle, volontaire au régiment d'Artois (14 mai 1779), général de brigade le 7 septembre 1794, général de division le 18 octobre 1799, commandant en chef des troupes françaises dans le Hanovre (octobre 1805), gouverneur d'Ancône (1810-1814), grand officier de la Légion d'honneur, chevalier de Saint-Louis, mort à Paris le 7 décembre 1827.
Cote : FP BAR (Bfm Limoges)
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Légende : «L Bannoy (sic) de la Chaud, deputé du Baillage de Gueret, Haute Marche.
Né à Fellotin le 21 décembre 1729. Collection générale des portraits de MM les députés à l'Assemblée nationale tenue à Versailles le 4 mai 1789.».
Né à Felletin (Creuse), le 21 décembre 1729, commerçant et lieutenant du maire de cette ville, député du Tiers-Etat de la sénéchaussée de la haute Marche aux Etats Généraux de 1789, maire de Felletin en 1801, mort en cette ville le 27 septembre 1803.
Cote : FP BAN (Bfm Limoges)
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Né à Tulle le 24 décembre 1630, fils de Jean-Charles Baluze, avocat, et de Catherine Teyssier, chanoine de l'église de Limoges, auteur d'importants ouvrages sur l'histoire, bibliothécaire de Colbert, mort à Paris le 28 juillet 1718.
cote : FP BAL02 (Bfm Limoges)
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Légende :
Etienne Baluze professeur en droit canon au College Royal de france il naquit à Tulle en bas Limosin et mourut a Paris en 1718 agé de 68 ans. -
Porte en plus six vers sur une tablette :
«Baluze en sage et grand critique
Sur l'histoire ecclesiastique
Composa d'excellents traittez :
Fort vieux il éprouva la fortune ennemie :
Pendant que des auteurs du public rebutez
Sont tres heureux toute leur vie.»
Né à Tulle le 24 décembre 1630, fils de Jean-Charles Baluze, avocat, et de Catherine Teyssier, chanoine de l'église de Limoges, auteur d'importants ouvrages sur l'histoire, bibliothécaire de Colbert, mort à Paris le 28 juillet 1718.
cote : FP BAL01 (Bfm Limoges)
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Théodore Bac : représentant du peuple (Haute-Vienne). - De la série «Assemblée nationale», et porte le n°3.
Né à Limoges le 17 mars 1809, fils de François Bac, avoué, et de Catherine Baud, avocat à Limoges, se fit une grande notoriété dans les procès criminels, commissaire du gouvernement provisoire dans la Haute-Vienne en 1848, élu représentant de ce département à la Constituante le troisième sur huit ; réélu à l'Assemblée législative, le 13 mai 1849, par les départements de la Seine et de la Haute-Vienne, opta pour ce dernier ; frappé d'exil par le décret du 11 janvier 1852, mais ne sortit pas de France, se fit inscrire au barreau de Paris ; mort dans cette ville le 30 mai 1865.
cote : FP BAC03 (Bfm Limoges)
-
Lith. d'après nature par Célestin Deshays (i.e. Deshayes) ; E. Desmaisons direxit. -- De la série "Assemblée nationale. Galerie des représentants du peuple (1848) (Haute Vienne)", n°476. - Porte en plus : la signature de Théodore Bac.
Né à Limoges le 17 mars 1809, fils de François Bac, avoué, et de Catherine Baud, avocat à Limoges, se fit une grande notoriété dans les procès criminels, commissaire du gouvernement provisoire dans la Haute-Vienne en 1848, élu représentant de ce département à la Constituante le troisième sur huit ; réélu à l'Assemblée législative, le 13 mai 1849, par les départements de la Seine et de la Haute-Vienne, opta pour ce dernier ; frappé d'exil par le décret du 11 janvier 1852, mais ne sortit pas de France, se fit inscrire au barreau de Paris ; mort dans cette ville le 30 mai 1865.
cote : FP BAC02 (Bfm Limoges)
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Né à Limoges le 17 mars 1809, fils de François Bac, avoué, et de Catherine Baud, avocat à Limoges, se fit une grande notoriété dans les procès criminels, commissaire du gouvernement provisoire dans la Haute-Vienne en 1848, élu représentant de ce département à la Constituante le troisième sur huit ; réélu à l'Assemblée législative, le 13 mai 1849, par les départements de la Seine et de la Haute-Vienne, opta pour ce dernier ; frappé d'exil par le décret du 11 janvier 1852, mais ne sortit pas de France, se fit inscrire au barreau de Paris ; mort dans cette ville le 30 mai 1865.
cote : FP BAC01 (Bfm Limoges)
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Légende : "L. Babaud Laribière : né à Confolens, (Charente) le 5 avril 1819 // Assemblée nationale. Galerie des représentants du peuple (1848) (Charente)". - Porte en plus : la signature de Léonide Babaud-Laribière, et le numéro «206».
Né à Confolens (Charente) le 5 avril 1819, mort à Perpignan le 26 avril 1873. Il fut avocat, journaliste, homme politique, membre de l'Assemblée constituante (1848), préfet de la Charente puis des Pyrénées-Orientales.
Cote : FP BAB (Bfm Limoges)
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Poèmes en occitan avec la traduction française en regard.
Fonds Antoine Perrier
cote : MAG.P LIM B1049 (Bfm Limoges)
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Avec mention des ligne de tramways et de chemin de fer et des principaux monuments et édifices publics.
Extrait de "Limoges : guide illustré : notices historiques, promenades dans la ville, excursions, horaire des tramways de Limoges à Aixe, renseignements pratiques, plan de la ville"
cote : Lim 18576 (Bfm Limoges)
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Frere Pierre d'Aubusson trente-neuvieme grand maitre, an. 1476. - Cars sculp. - Dans l'Histoire des chevaliers de Malte, par l'abbé de Vertot. - Au milieu du socle, un cartouche portant les armes du personnage, qui sont : écartelés, aux 1 et 4 de gueules à la croix d'argent, aux 2 et 3 d'or à la croix ancrée de gueules.
Fils de Renaud, seigneur de du Monteil-au-Vicomte, dans la Marche, et de Marguerite de Comborn, né en 1423, élu grand maître de l'ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem (aussi appelé l'ordre de Rhodes ou l'ordre de Malte) le 17 juin 1476, mort le 3 juillet 1503.
Cote : FP AUB P02 (Bfm Limoges)
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Pierre d'Aubusson, grand-prieur d'Auvergne ; ensuite grand-maître de l'ordre de St Jean de Jérusalem, établi à Rhodes ; né en 1423 ; mort à Rhodes en 1503. - Sergent delt. ; Mde De Cernel sculpt.
Fils de Renaud, seigneur de du Monteil-au-Vicomte, dans la Marche, et de Marguerite de Comborn, né en 1423, élu grand maître de l'ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem (aussi appelé l'ordre de Rhodes ou l'ordre de Malte) le 17 juin 1476, mort le 3 juillet 1503.
Cote : FP AUB P01 (Bfm Limoges)
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Porte en plus une étiquette : "Hommage de M. Ambroise Tardieu historiographe de l'Auvergne à Herment (Puy-de-Dôme)".
Le Comte Nicolas-Claude-Martin d'Autier de Villemontée, marquis de La Rochebriant, premier baron de la Marche (à cause de sa terre de Cléravaux), seigneur de Barmontet, d'Egurande, d'Hautefeuille, du Teil, de St-Merd-la-Breuille, de la Breuille, des Forains d'Herment. Il fut reçu page du roi Louis XV en sa grande écurie, devint le premier juge de paix du canton d'Herment, en 1790, et, plus tard, président du même canton. Né au château de Barmontet en 1742, il est mort à Clermont-Ferrand, le 15 janvier 1820. Il était fils de Jean-François-Marien d'Autier de Villemontée et de Françoise de Bosredont de la Breuille.
Cote : FP AUT (Bfm Limoges)
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Francois, Vic[om]te d'Aubusson, Duc de la Feuillade,... - De L'Armessin sculp.
Contient un texte en légende. Porte en plus une mention manuscrite : «mort subitement en 1691 à......».
Duc de La Feuillade, né à Courpalan, diocèse de Sens, le 21 août 1631, fils de François comte de La Feuillade et d'Elisabeth Brachet de Pérusse, acquit du roi, par échange, la vicomté d'Aubusson, colonel des gardes françaises (janvier 1672), maréchal de France (30 juillet 1675), gouverneur du Dauphiné (9 mai 1681), mort le 19 septembre 1691.
Cote : FP AUB F (Bfm Limoges)
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Francois d'Aubusson. Vicomte Duc de la Feuillade Pair et Marec[ha]l de Fr[an]ce Chev[ali]er des Ordres du Roi &c. Mort le 19 septembre 1691. - R. N. pinx. ; Gaillard sculp. - De la suite d'Odieuvre.
Duc de La Feuillade, né à Courpalan, diocèse de Sens, le 21 août 1631, fils de François comte de La Feuillade et d'Elisabeth Brachet de Pérusse, acquit du roi, par échange, la vicomté d'Aubusson, colonel des gardes françaises (janvier 1672), maréchal de France (30 juillet 1675), gouverneur du Dauphiné (9 mai 1681), mort le 19 septembre 1691.
Cote : FP AUB F (Bfm Limoges)
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Mlle Iaser [pinx]. 1810 ; [Pierre François] Bertonnier [sculp.] 1827.
Epousa en 1811 M. Martial Ardant du Picq, originaire de Limoges, receveur de l'enregistrement, puis conservateur des hypothèques, auteur d'un volume de poésie.
Mère de Charles Ardant du Picq, colonel et théoricien militaire.
Cote : FP ARD (Bfm Limoges)
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Etat collection : 24e année, guerre 39-40, n°6 (1940, oct.)-25e année, n°12 (1941, 1er juil.). Cote magasin : LIM 60963. Non consultable. Lacunes Fondateur Maurice Vittone ; directeur Henri Davoust à partir de 1918 Paraît initialement lors de la première guerre mondiale : n°1 (1916)-n°26 (1919, janv.). Les n° 1-9 (1916-1917) ont été multigraphiés à un petit nombre d'exemplaires En 1940/41, le titre porte : "Le Tord-boyau : journal vrai, ne paraissant que pendant les guerres" et peut aussi se lire : "Le Tord-boyau ne paraissant que pendant les guerres". La ligne éditoriale "ni politique, ni littéraire" est délibérément pétainiste.
Bimensuel.
Extrait du fonds Antoine Perrier.
cote : LIM 60963 (Bfm Limoges)
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Etat collection : 24e année, guerre 39-40, n°6 (1940, oct.)-25e année, n°12 (1941, 1er juil.). Cote magasin : LIM 60963. Non consultable. Lacunes Fondateur Maurice Vittone ; directeur Henri Davoust à partir de 1918 Paraît initialement lors de la première guerre mondiale : n°1 (1916)-n°26 (1919, janv.). Les n° 1-9 (1916-1917) ont été multigraphiés à un petit nombre d'exemplaires En 1940/41, le titre porte : "Le Tord-boyau : journal vrai, ne paraissant que pendant les guerres" et peut aussi se lire : "Le Tord-boyau ne paraissant que pendant les guerres". La ligne éditoriale "ni politique, ni littéraire" est délibérément pétainiste.
Bimensuel.
Extrait du fonds Antoine Perrier.
cote : LIM 60963 (Bfm Limoges)
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Etat collection : 24e année, guerre 39-40, n°6 (1940, oct.)-25e année, n°12 (1941, 1er juil.). Cote magasin : LIM 60963. Non consultable. Lacunes Fondateur Maurice Vittone ; directeur Henri Davoust à partir de 1918 Paraît initialement lors de la première guerre mondiale : n°1 (1916)-n°26 (1919, janv.). Les n° 1-9 (1916-1917) ont été multigraphiés à un petit nombre d'exemplaires En 1940/41, le titre porte : "Le Tord-boyau : journal vrai, ne paraissant que pendant les guerres" et peut aussi se lire : "Le Tord-boyau ne paraissant que pendant les guerres". La ligne éditoriale "ni politique, ni littéraire" est délibérément pétainiste.
Bimensuel.
Extrait du fonds Antoine Perrier.
cote : LIM 60963 (Bfm Limoges)
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Etat collection : 24e année, guerre 39-40, n°6 (1940, oct.)-25e année, n°12 (1941, 1er juil.). Cote magasin : LIM 60963. Non consultable. Lacunes Fondateur Maurice Vittone ; directeur Henri Davoust à partir de 1918 Paraît initialement lors de la première guerre mondiale : n°1 (1916)-n°26 (1919, janv.). Les n° 1-9 (1916-1917) ont été multigraphiés à un petit nombre d'exemplaires En 1940/41, le titre porte : "Le Tord-boyau : journal vrai, ne paraissant que pendant les guerres" et peut aussi se lire : "Le Tord-boyau ne paraissant que pendant les guerres". La ligne éditoriale "ni politique, ni littéraire" est délibérément pétainiste.
Bimensuel.
Extrait du fonds Antoine Perrier.
cote : LIM 60963 (Bfm Limoges)
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Etat collection : 24e année, guerre 39-40, n°6 (1940, oct.)-25e année, n°12 (1941, 1er juil.). Cote magasin : LIM 60963. Non consultable. Lacunes Fondateur Maurice Vittone ; directeur Henri Davoust à partir de 1918 Paraît initialement lors de la première guerre mondiale : n°1 (1916)-n°26 (1919, janv.). Les n° 1-9 (1916-1917) ont été multigraphiés à un petit nombre d'exemplaires En 1940/41, le titre porte : "Le Tord-boyau : journal vrai, ne paraissant que pendant les guerres" et peut aussi se lire : "Le Tord-boyau ne paraissant que pendant les guerres". La ligne éditoriale "ni politique, ni littéraire" est délibérément pétainiste.
Bimensuel.
Extrait du fonds Antoine Perrier.
cote : LIM 60963 (Bfm Limoges)
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Etat collection : 24e année, guerre 39-40, n°6 (1940, oct.)-25e année, n°12 (1941, 1er juil.). Cote magasin : LIM 60963. Non consultable. Lacunes Fondateur Maurice Vittone ; directeur Henri Davoust à partir de 1918 Paraît initialement lors de la première guerre mondiale : n°1 (1916)-n°26 (1919, janv.). Les n° 1-9 (1916-1917) ont été multigraphiés à un petit nombre d'exemplaires En 1940/41, le titre porte : "Le Tord-boyau : journal vrai, ne paraissant que pendant les guerres" et peut aussi se lire : "Le Tord-boyau ne paraissant que pendant les guerres". La ligne éditoriale "ni politique, ni littéraire" est délibérément pétainiste.
Bimensuel.
Extrait du fonds Antoine Perrier.
cote : LIM 60963 (Bfm Limoges)
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Etat collection : 24e année, guerre 39-40, n°6 (1940, oct.)-25e année, n°12 (1941, 1er juil.). Cote magasin : LIM 60963. Non consultable. Lacunes Fondateur Maurice Vittone ; directeur Henri Davoust à partir de 1918 Paraît initialement lors de la première guerre mondiale : n°1 (1916)-n°26 (1919, janv.). Les n° 1-9 (1916-1917) ont été multigraphiés à un petit nombre d'exemplaires En 1940/41, le titre porte : "Le Tord-boyau : journal vrai, ne paraissant que pendant les guerres" et peut aussi se lire : "Le Tord-boyau ne paraissant que pendant les guerres". La ligne éditoriale "ni politique, ni littéraire" est délibérément pétainiste.
Bimensuel.
Extrait du fonds Antoine Perrier.
cote : LIM 60963 (Bfm Limoges)
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Etat collection : 24e année, guerre 39-40, n°6 (1940, oct.)-25e année, n°12 (1941, 1er juil.). Cote magasin : LIM 60963. Non consultable. Lacunes Fondateur Maurice Vittone ; directeur Henri Davoust à partir de 1918 Paraît initialement lors de la première guerre mondiale : n°1 (1916)-n°26 (1919, janv.). Les n° 1-9 (1916-1917) ont été multigraphiés à un petit nombre d'exemplaires En 1940/41, le titre porte : "Le Tord-boyau : journal vrai, ne paraissant que pendant les guerres" et peut aussi se lire : "Le Tord-boyau ne paraissant que pendant les guerres". La ligne éditoriale "ni politique, ni littéraire" est délibérément pétainiste.
Bimensuel.
Extrait du fonds Antoine Perrier.
cote : LIM 60963 (Bfm Limoges)
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Etat collection : 24e année, guerre 39-40, n°6 (1940, oct.)-25e année, n°12 (1941, 1er juil.). Cote magasin : LIM 60963. Non consultable. Lacunes Fondateur Maurice Vittone ; directeur Henri Davoust à partir de 1918 Paraît initialement lors de la première guerre mondiale : n°1 (1916)-n°26 (1919, janv.). Les n° 1-9 (1916-1917) ont été multigraphiés à un petit nombre d'exemplaires En 1940/41, le titre porte : "Le Tord-boyau : journal vrai, ne paraissant que pendant les guerres" et peut aussi se lire : "Le Tord-boyau ne paraissant que pendant les guerres". La ligne éditoriale "ni politique, ni littéraire" est délibérément pétainiste.
Bimensuel.
Extrait du fonds Antoine Perrier.
cote : LIM 60963 (Bfm Limoges)
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Etat collection : 24e année, guerre 39-40, n°6 (1940, oct.)-25e année, n°12 (1941, 1er juil.). Cote magasin : LIM 60963. Non consultable. Lacunes Fondateur Maurice Vittone ; directeur Henri Davoust à partir de 1918 Paraît initialement lors de la première guerre mondiale : n°1 (1916)-n°26 (1919, janv.). Les n° 1-9 (1916-1917) ont été multigraphiés à un petit nombre d'exemplaires En 1940/41, le titre porte : "Le Tord-boyau : journal vrai, ne paraissant que pendant les guerres" et peut aussi se lire : "Le Tord-boyau ne paraissant que pendant les guerres". La ligne éditoriale "ni politique, ni littéraire" est délibérément pétainiste.
Bimensuel.
Extrait du fonds Antoine Perrier.
cote : LIM 60963 (Bfm Limoges)
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Etat collection : 24e année, guerre 39-40, n°6 (1940, oct.)-25e année, n°12 (1941, 1er juil.). Cote magasin : LIM 60963. Non consultable. Lacunes Fondateur Maurice Vittone ; directeur Henri Davoust à partir de 1918 Paraît initialement lors de la première guerre mondiale : n°1 (1916)-n°26 (1919, janv.). Les n° 1-9 (1916-1917) ont été multigraphiés à un petit nombre d'exemplaires En 1940/41, le titre porte : "Le Tord-boyau : journal vrai, ne paraissant que pendant les guerres" et peut aussi se lire : "Le Tord-boyau ne paraissant que pendant les guerres". La ligne éditoriale "ni politique, ni littéraire" est délibérément pétainiste.
Bimensuel.
Extrait du fonds Antoine Perrier.
cote : LIM 60963 (Bfm Limoges)
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Etat collection : 24e année, guerre 39-40, n°6 (1940, oct.)-25e année, n°12 (1941, 1er juil.). Cote magasin : LIM 60963. Non consultable. Lacunes Fondateur Maurice Vittone ; directeur Henri Davoust à partir de 1918 Paraît initialement lors de la première guerre mondiale : n°1 (1916)-n°26 (1919, janv.). Les n° 1-9 (1916-1917) ont été multigraphiés à un petit nombre d'exemplaires En 1940/41, le titre porte : "Le Tord-boyau : journal vrai, ne paraissant que pendant les guerres" et peut aussi se lire : "Le Tord-boyau ne paraissant que pendant les guerres". La ligne éditoriale "ni politique, ni littéraire" est délibérément pétainiste.
Bimensuel.
Extrait du fonds Antoine Perrier.
cote : LIM 60963 (Bfm Limoges)
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Etat collection : 24e année, guerre 39-40, n°6 (1940, oct.)-25e année, n°12 (1941, 1er juil.). Cote magasin : LIM 60963. Non consultable. Lacunes Fondateur Maurice Vittone ; directeur Henri Davoust à partir de 1918 Paraît initialement lors de la première guerre mondiale : n°1 (1916)-n°26 (1919, janv.). Les n° 1-9 (1916-1917) ont été multigraphiés à un petit nombre d'exemplaires En 1940/41, le titre porte : "Le Tord-boyau : journal vrai, ne paraissant que pendant les guerres" et peut aussi se lire : "Le Tord-boyau ne paraissant que pendant les guerres". La ligne éditoriale "ni politique, ni littéraire" est délibérément pétainiste.
Bimensuel.
Extrait du fonds Antoine Perrier.
cote : LIM 60963 (Bfm Limoges)
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vers 944 à 1938
cote : LIM ASS ms 111 (Bfm Limoges)
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de 1198 à 1887.
cote : LIM ASS ms 105 (Bfm Limoges)
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Porte en plus : la signature de Pierre-Jean Audouin
Né à Paris le 24 décembre 1764, mort à Bayonne le 11 mai 1808. Surnommé "le sapeur du Bataillon des Carmes"; il fut député à la Convention et au Conseil des Cinq-cents, rédacteur au Ministère de la police puis sous-chef au ministère.
Cote : FP AUD (Bfm Limoges)
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Fils de magistrat né le 7 septembre 1725 à Doazit dans le pays landais (aujourd'hui commune de l'arrondissement de Saint-Sever). Après des études de médecine à Paris, il consacre ses recherches à l'économie domestique, l'hygiène publique, l'agriculture. Chimiste et naturaliste, membre de l'Académie des sciences, professeur au Collège de France, directeur de la manufacture de Sèvres, inspecteur des monnaies et membre de la Société d'agriculture, il mourut le 12 février 1801. On lui doit l'art de fabriquer la porcelaine, que jusqu'alors on importait.
Cote : FP ARC (Bfm Limoges)
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Légende : "Messire Denis Amelot, vicomte de Bisseuil, che[vali]er seig[neu]r de Chaillou, con[seill]er ord[inai]re du Roy en ses con.eils d'estat dirrection et finance, et premier M[aîtr]e des req[uê]tes ord[inai]re de son hostel, etc. B[althasar]. Moncornet [sic] excudit avec privilege du Roy 1650". - Dans l'angle supérieur gauche, un écusson portant ses armes : d'azur à trois coeurs surmontés d'un soleil.
Vicomte de Bisseuil, seigneur de Chaillou, conseiller d'Etat et premier maître des requêtes de l'hôtel, intendant de la généralité de Limoges en 1616, puis en Saintonge, Poitou et Aunis en 1623, enfin à Lyon en 1630, mort à Paris, le 7 février 1655.
cote : Cote : FP AME (Bfm Limoges)
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Document issu du fonds patrimonial dit du Grand Séminaire, Service commun de documentation, Université de Limoges.
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Document issu du fonds patrimonial dit du Grand Séminaire, Service commun de documentation, Université de Limoges.
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Etat collection : n°1 (1940, 15 févr.)-n°4 (1940, 19 avr.). "Composé sur le Front"
Le régiment d'artillerie éditeur de ce journal est composé de "gars du Limousin, Périgourdins, Saintongeois".
Publication qui précède la guerre-éclair et l'invasion allemande.
Extrait du fonds Antoine Perrier
Cote : LIM 60965 (Bfm Limoges)
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Etat collection : n°1 (1940, 15 févr.)-n°4 (1940, 19 avr.). "Composé sur le Front"
Le régiment d'artillerie éditeur de ce journal est composé de "gars du Limousin, Périgourdins, Saintongeois".
Publication qui précède la guerre-éclair et l'invasion allemande.
Extrait du fonds Antoine Perrier
Cote : LIM 60965 (Bfm Limoges)
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Etat collection : n°1 (1940, 15 févr.)-n°4 (1940, 19 avr.). "Composé sur le Front"
Le régiment d'artillerie éditeur de ce journal est composé de "gars du Limousin, Périgourdins, Saintongeois".
Publication qui précède la guerre-éclair et l'invasion allemande.
Extrait du fonds Antoine Perrier
Cote : LIM 60965 (Bfm Limoges)
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Etat collection : n°1 (1940, 15 févr.)-n°4 (1940, 19 avr.). "Composé sur le Front"
Le régiment d'artillerie éditeur de ce journal est composé de "gars du Limousin, Périgourdins, Saintongeois".
Publication qui précède la guerre-éclair et l'invasion allemande.
Extrait du fonds Antoine Perrier
Cote : LIM 60965 (Bfm Limoges)
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Né à Limoges, le 6 mars 1820, fils de Charles-Nicolas Allou, ingénieur des mines, et de Marie-Anne Lucie Foulliard, reçu avocat le 4 novembre 1841, bâtonnier de l'ordre à Paris (1866-1867), l'un des plus brillants orateurs de cours d'assises, élu sénateur inamovible en 1882, mort à Reuilly (Seine), le 12 juillet 1888.
cote : FP ALLO 08 (Bfm)
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Biographie.
Né à Limoges, le 6 mars 1820, fils de Charles-Nicolas Allou, ingénieur des mines, et de Marie-Anne Lucie Foulliard, reçu avocat le 4 novembre 1841, bâtonnier de l'ordre à Paris (1866-1867), l'un des plus brillants orateurs de cours d'assises, élu sénateur inamovible en 1882, mort à Reuilly (Seine), le 12 juillet 1888.
cote : FP ALLO 05 (Bfm)
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D'après une photographie de M. Truchelut. - Illustration d'un article de Charles Frank, dans un journal inconnu. - Mention manuscrite : «1881».
Né à Limoges, le 6 mars 1820, fils de Charles-Nicolas Allou, ingénieur des mines, et de Marie-Anne Lucie Foulliard, reçu avocat le 4 novembre 1841, bâtonnier de l'ordre à Paris (1866-1867), l'un des plus brillants orateurs de cours d'assises, élu sénateur inamovible en 1882, mort à Reuilly (Seine), le 12 juillet 1888.
cote : FP ALLO 04 (Bfm)
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Porte la mention "D. "
Dans un journal illustré.
Né à Limoges, le 6 mars 1820, fils de Charles-Nicolas Allou, ingénieur des mines, et de Marie-Anne Lucie Foulliard, reçu avocat le 4 novembre 1841, bâtonnier de l'ordre à Paris (1866-1867), l'un des plus brillants orateurs de cours d'assises, élu sénateur inamovible en 1882, mort à Reuilly (Seine), le 12 juillet 1888.
cote : FP ALLO 03 (Bfm)
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Publié dans le "Panthéon des illustrations françaises". - Porte en plus la signature d'Edouard Allou.
Né à Limoges, le 6 mars 1820, fils de Charles-Nicolas Allou, ingénieur des mines, et de Marie-Anne Lucie Foulliard, reçu avocat le 4 novembre 1841, bâtonnier de l'ordre à Paris (1866-1867), l'un des plus brillants orateurs de cours d'assises, élu sénateur inamovible en 1882, mort à Reuilly (Seine), le 12 juillet 1888.
cote : FP ALLO 02 (Bfm)
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Né à Limoges, le 6 mars 1820, fils de Charles-Nicolas Allou, ingénieur des mines, et de Marie-Anne Lucie Foulliard, reçu avocat le 4 novembre 1841, bâtonnier de l'ordre à Paris (1866-1867), l'un des plus brillants orateurs de cours d'assises, élu sénateur inamovible en 1882, mort à Reuilly (Seine), le 12 juillet 1888.
cote : FP ALLO 01 (Bfm)
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Etat collection : n°1 (1944, 17 août)-n°2 (1944, 18-19 août).
Quotidien
Cote magasin : DL 1554/6 (Bfm)
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Etat collection : n°1 (1944, 17 août)-n°2 (1944, 18-19 août).
Quotidien
Cote magasin : DL 1554/6 (Bfm)
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Etat collection : n°1 (1944, 12 nov.).
Bimensuel (un seul n° reçu)
Cote magasin : DL 1554/11 (Bfm)
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Légende : "Jean, Marie, Allègre né à Guéret (Creuse) le 12 avril 1793. Avocat à Limoges. / Assemblée nationale, Galerie des représentants du peuple (1848) (Haute-Vienne)". - Porte en plus : la signature de M. Allègre et le numéro 660.
Né à Guéret le 12 avril 1793, reçu avocat en 1819, inscrit au barreau de Limoges, procureur général près la cour d'appel de cette ville en 1848, élu le 23 avril de la même année député de la Haute-Vienne à la Constituante, mort à La Courtine (Creuse) le 1er juillet 1869.
cote : Cote : FP ALLE 01 (Bfm)
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L'opinion : hebdomadaire de la révolution nationale et sociale : édition du Limousin
Etat collection : 14e année, n°587 (1941, 4 oct.)-15e année, n°619 (1942, 16 mai). La numérotation est celle de " L'Opinion du Sud-Est : hebdomadaire économique, artistique, littéraire et politique" = ISSN 2133-322X dont le titre à partir de mars [?] 1941 devient "L'Opinion : hebdomadaire de la Révolution nationale et sociale" Edition régionale probablement sur la période 1941-1944. Ligne éditoriale vichyste.
Articles littéraires ou historiques avec contributeurs tels Robert Margerit, Henri Hugon, Paul-Louis Grenier...
Fonds Antoine perrier
cote : MAG.P LIM 61001 (Bfm)
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L'opinion : hebdomadaire de la révolution nationale et sociale : édition du Limousin
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Articles littéraires ou historiques avec contributeurs tels Robert Margerit, Henri Hugon, Paul-Louis Grenier...
Fonds Antoine Perrier
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L'opinion : hebdomadaire de la révolution nationale et sociale : édition du Limousin
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Articles littéraires ou historiques avec contributeurs tels Robert Margerit, Henri Hugon, Paul-Louis Grenier...
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Articles littéraires ou historiques avec contributeurs tels Robert Margerit, Henri Hugon, Paul-Louis Grenier...
Fonds Antoine Perrier
cote : MAG.P LIM 61001 (Bfm)
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L'opinion : hebdomadaire de la révolution nationale et sociale : édition du Limousin
Etat collection : 14e année, n°587 (1941, 4 oct.)-15e année, n°619 (1942, 16 mai). La numérotation est celle de " L'Opinion du Sud-Est : hebdomadaire économique, artistique, littéraire et politique" = ISSN 2133-322X dont le titre à partir de mars [?] 1941 devient "L'Opinion : hebdomadaire de la Révolution nationale et sociale" Edition régionale probablement sur la période 1941-1944. Ligne éditoriale vichyste.
Articles littéraires ou historiques avec contributeurs tels Robert Margerit, Henri Hugon, Paul-Louis Grenier...
Fonds Antoine Perrier
cote : MAG.P LIM 61001 (Bfm)
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L'opinion : hebdomadaire de la révolution nationale et sociale : édition du Limousin
Etat collection : 14e année, n°587 (1941, 4 oct.)-15e année, n°619 (1942, 16 mai). La numérotation est celle de " L'Opinion du Sud-Est : hebdomadaire économique, artistique, littéraire et politique" = ISSN 2133-322X dont le titre à partir de mars [?] 1941 devient "L'Opinion : hebdomadaire de la Révolution nationale et sociale" Edition régionale probablement sur la période 1941-1944. Ligne éditoriale vichyste.
Articles littéraires ou historiques avec contributeurs tels Robert Margerit, Henri Hugon, Paul-Louis Grenier...
Fonds Antoine Perrier
cote : MAG.P LIM 61001 (Bfm)
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L'opinion : hebdomadaire de la révolution nationale et sociale : édition du Limousin
Etat collection : 14e année, n°587 (1941, 4 oct.)-15e année, n°619 (1942, 16 mai). La numérotation est celle de " L'Opinion du Sud-Est : hebdomadaire économique, artistique, littéraire et politique" = ISSN 2133-322X dont le titre à partir de mars [?] 1941 devient "L'Opinion : hebdomadaire de la Révolution nationale et sociale" Edition régionale probablement sur la période 1941-1944. Ligne éditoriale vichyste.
Articles littéraires ou historiques avec contributeurs tels Robert Margerit, Henri Hugon, Paul-Louis Grenier...
Fonds Antoine Perrier
cote : MAG.P LIM 61001 (Bfm)
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D'après le portrait original [de Jean Clouet] donné par la Reine de Navarre à la République de Genève ; gravé à Genève par Nicolas Schenker, 1822. - (imprimé par Fattegrain). - Gravé pour la Société des amis des beaux Arts. Déposé au bureau des estampes à Paris. - Porte en plus le cachet de la société.
Née en 1528, reine de Navarre, vicomtesse de Limoges, mère de Henri IV, morte à Paris le 8 juin 1572.
cote : FP ALB 04 (Bfm)
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Née en 1528, reine de Navarre, vicomtesse de Limoges, mère de Henri IV, morte à Paris le 8 juin 1572.
cote : FP ALB 03 (Bfm)
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Née en 1528, reine de Navarre, vicomtesse de Limoges, mère de Henri IV, morte à Paris le 8 juin 1572.
cote : FP ALB 02 (Bfm)
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Née en 1528, reine de Navarre, vicomtesse de Limoges, mère de Henri IV, morte à Paris le 8 juin 1572.
cote : FP ALB 01 (Bfm)
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bulletin intérieur des groupes socialistes d'entreprises de la région limousine.
Etat collection : n°1 (1945, nov.)-n°2 (1945, déc.).
Mensuel
Cote : DL 1554/7 (Bfm)
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bulletin intérieur des groupes socialistes d'entreprises de la région limousine.
Etat collection : n°1 (1945, nov.)-n°2 (1945, déc.).
Mensuel
Cote : DL 1554/7 (Bfm)
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Extrait de : "Histoire de tous les cardinaux françois de naissance,..." par François Duchesne, Paris, 1660. Volume 1, p. 165-166. Au verso du portrait : éléments biographiques dont il manque le début, et une illustration coupée.
Légende : "Faidit d'Aigrefveille [sic] [i. e. Aigrefeuille], successivement Evesque de Rhodez et d'Avignon, abbé de Montmajour ; cardinal prestre du tiltre des Saincts Syluestre et Martin des Montagnes.". - Portrait tiré de sa sépulture, à la cathédrale d'Avignon. - Mention manuscrite : «m. 2 octobre 1391».
Né à une date inconnue à La Font (Corrèze), il était le fils du chevalier Guillaume d'Aigrefeuille et d'Aigline de Tudeils, frère du cardinal Guillaume d'Aigrefeuille l'Ancien et d'Aymar d'Aigrefeuille, maréchal de la Cour pontificale d'Avignon, oncle de Guillaume d’Aigrefeuille le jeune et cousin de Grégoire XI. Evêque de Rodez (1361), d'Avignon (1364, ou 1371 selon le site du diocèse d'Avignon), abbé de Montmajour, près d'Arles (1385), il est créé cardinal en janvier 1389 (ou le 23 décembre 1383). Il meurt à Avignon le 6 des nones (le 2) d'octobre 1391.
cote : FP AIG 02
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Extrait de : "Histoire de tous les cardinaux françois de naissance,..." par François Duchesne, Paris, 1660. Volume 1, p. 165-166.
Légende : "Faidit d'Aigrefveille [sic] [i. e. Aigrefeuille], successivement Evesque de Rhodez et d'Avignon, abbé de Montmajour ; cardinal prestre du tiltre des Saincts Syluestre et Martin des Montagnes.". - Portrait tiré de sa sépulture, à la cathédrale d'Avignon. - Mention manuscrite : «m. 2 octobre 1391».
Né à une date inconnue à La Font (Corrèze), il était le fils du chevalier Guillaume d'Aigrefeuille et d'Aigline de Tudeils, frère du cardinal Guillaume d'Aigrefeuille l'Ancien et d'Aymar d'Aigrefeuille, maréchal de la Cour pontificale d'Avignon, oncle de Guillaume d’Aigrefeuille le jeune et cousin de Grégoire XI. Evêque de Rodez (1361), d'Avignon (1364, ou 1371 selon le site du diocèse d'Avignon), abbé de Montmajour, près d'Arles (1385), il est créé cardinal en janvier 1389 (ou le 23 décembre 1383). Il meurt à Avignon le 6 des nones (le 2) d'octobre 1391.
cote : FP AIG 1
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Extrait du plan de la ville de Limoges de 1775
Nota : la teinte noire représente La teinte rouge forcée le mur d'enceinte de la ville de Limoges, la teinte rosée le quartier de la ville non atteint.
Plan manuscrit et rehaussé à l'aquarelle,
Extrait du manuscrit "Guide du sapeur-pompier de la ville de Limoges", 1874
cote : Ms87/2 (Bfm)
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... (prenant des proportions semblables à celui du quartier des Arènes) sous la direction du commandant Linard.
A partir d'un extrait du plan de la ville de 1856.
Nota : la teinte noire représente les maisons incendiées. la teine rose celle non attaquées.
plan manuscrit et rehaussé à l'aquarelle,
Extrait du manuscrit "Guide du sapeur-pompier de la ville de Limoges", 1874
cote : Ms87/2 (Bfm)
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Organe du Comité départemental de la libération nationale
Etat collection : [1ère année], n°1 (1944, 26 août)-n°7 (1944, 7 oct.). Le n°7 est le dernier numéro paru.
Périodicité : Hebdomadaire.
cote : DL 2326 (Bfm)
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Organe du Comité départemental de la libération nationale
Etat collection : [1ère année], n°1 (1944, 26 août)-n°7 (1944, 7 oct.). Le n°7 est le dernier numéro paru.
Périodicité : Hebdomadaire.
cote : DL 2326 (Bfm)
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Organe du Comité départemental de la libération nationale
Etat collection : [1ère année], n°1 (1944, 26 août)-n°7 (1944, 7 oct.). Le n°7 est le dernier numéro paru.
Périodicité : Hebdomadaire.
cote : DL 2326 (Bfm)
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Organe du Comité départemental de la libération nationale
Etat collection : [1ère année], n°1 (1944, 26 août)-n°7 (1944, 7 oct.). Le n°7 est le dernier numéro paru.
Périodicité : Hebdomadaire.
cote : DL 2326 (Bfm)
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Organe du Comité départemental de la libération nationale
Etat collection : [1ère année], n°1 (1944, 26 août)-n°7 (1944, 7 oct.) Le n°7 est le dernier numéro paru.
Périodicité : Hebdomadaire.
cote : DL 2326 (Bfm)
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Organe du Comité départemental de la libération nationale
Etat collection : [1ère année], n°1 (1944, 26 août)-n°7 (1944, 7 oct.). Le n°7 est le dernier numéro paru.
Périodicité : Hebdomadaire.
cote : DL 2326 (Bfm)
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Organe du Comité départemental de la libération nationale
Etat collection : [1ère année], n°1 (1944, 26 août)-n°7 (1944, 7 oct.). Le n°7 est le dernier numéro paru.
Périodicité : Hebdomadaire.
cote : DL 2326 (Bfm)
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Dossier spécial du n°22 (juin 1920) de la revue "Magasin de chaussures"
Fonds Antoine Perrier
cote : MAG.P LIM G1129/57 (Bfm)
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Haute Vienne 1 dessin (carte) : ill. en coul. - Porte en plus les noms suivants : "St Aulaire / Daguesseau / Silhouette M.al Jourdan".
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 27 (Bfm Limoges)
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- A Versailles le 2 fev[ri]er 1737. - Porte la mention : «tiré de la collection de Mr Capelle».
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 26 (Bfm Limoges)
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[D'après un dessin d'Antoine Maurin] ; Rigaud pinxt ; lith. Delpech. - Porte en plus : la signature d'Antoine Maurin.
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 25 (Bfm Limoges)
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Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 24 (Bfm Limoges)
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Porte en plus la mention «Hte-Vienne»
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 23 (Bfm Limoges)
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Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 22 (Bfm Limoges)
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D'après un "tableau du temps".
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 21 (Bfm Limoges)
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Ambroise Tardieu direxit.
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 20 (Bfm Limoges)
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Lith. de Delpech. - Porte en plus : la signature de d'Aguesseau.
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 19 (Bfm Limoges)
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Gravure non signée
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 18 (Bfm Limoges)
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Gravure allemande non signée.
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 17 (Bfm Limoges)
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D'après un portrait de Drouais père ; Jacob del. ; litho. de C. Motte.
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 16 (Bfm Limoges)
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Alp[honse] Boilly sculp. 1823. - A Paris, chez Ménard & Desenne.
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 15 (Bfm Limoges)
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Dessiné par Dupré ; gravé par A. Baudran. - La main gauche posée sur un coffret renfermant les sceaux, tenant de la droite un écrit.
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 14 (Bfm Limoges)
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Henricus Franciscus d'Aguesseau galliarum cancellarius. Nat. 27 nov. 1668. Ob. 9 febr. 1751. - Peint à l'âge de 35 ans par Vivien 1703 ; gravé par J. Daullé graveur du Roi 1761. - Sur une tablette, cinq vers latins :
Illi Lingua potens Demosthenis, Ars Ciceronis,
Pectus Aristidis, Mensque Platonis erat :
Et Cato Censura, Responss Papinianus,
Confiliis Nestor, Legibus ipse Solon.
Verior his Virtus animo labrisque sedebat,
Ipfa etiam Scriptis nunc quoque visa loqui.
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 13 (Bfm Limoges)
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Presse hebdomadaire culturelle et satirique.
cote : LIM 58143 (Bfm Limoges)
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Presse hebdomadaire culturelle et satirique.
cote : LIM 58143 (Bfm Limoges)
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Presse hebdomadaire culturelle et satirique.
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Presse hebdomadaire culturelle et satirique.
cote : LIM 58143 (Bfm Limoges)
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Presse hebdomadaire culturelle et satirique.
cote : LIM 58143 (Bfm Limoges)
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Presse hebdomadaire culturelle et satirique.
cote : LIM 58143 (Bfm Limoges)
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Presse hebdomadaire culturelle et satirique.
cote : LIM 58143 (Bfm Limoges)
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Compte-rendu des travaux de l'année scolaire (1877-1878). - Statuts du Cercle. - Statut de la caisse de prévoyance. - Statuts des malades. - Programme de nos cours du soir. - Liste générale de souscripteurs. - Comité des Dames fondé en 1868.
cote : Ass 7879-Fonds patrimonial dit du Grand Séminaire - Bibliothèque universitaire Limoges.
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Dans la "Galerie française".
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 12 (Bfm Limoges)
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Petit médaillon entouré de scènes tirées de la vie de d'Aguesseau, avec texte. - Dans : "Les illustres Français" / M. Ponce. - Porte en plus : la mention «n°16» en haut à droite.
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 11 (Bfm Limoges)
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- Petit médaillon entouré de scènes tirées de la vie de d'Aguesseau, avec texte. - Dans "Les illustres Français" / M. Ponce.
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 10 (Bfm Limoges)
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- Diagraphe et pantographe Gavard. - Extrait de "Galerie historique de Versailles". Porte en plus la mention «ancien tableau».
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 09 (Bfm Limoges)
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portrait en couleur - Porte en plus les mentions «B.» en haut à gauche, et «n°19» en haut à droite.
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 08 (Bfm Limoges)
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La main gauche posée sur un coffret renfermant les sceaux, tenant de la droite un écrit. - Porte en plus : «Série III».
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : cote : FP AGU 07 (Bfm Limoges)
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Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : cote : FP AGU 06 (Bfm Limoges)
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Porte en plus : «Suite d'Odieuvre Cul de sac des vignes.».
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 05 (Bfm Limoges)
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Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 04 (Bfm Limoges)
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Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 03 (Bfm Limoges)
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Se vend à Paris : chez E. Desrochers, [s. d.]. - In-4. - Sur une tablette, ce quatrain de Gacon : "Ce digne chef de la justice, / N'exerce le pouvoir dont il est revêtu / Que pour faire haïr le vice / Et pour faire aimer la vertu."
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : cote : FP AGU 02 (Bfm Limoges)
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Sur une tablette, ce quatrain de Gacon : "Ce digne chef de la justice, / N'exerce le pouvoir dont il est revêtu / Que pour faire haïr le vice / Et pour faire aimer la vertu."
Né à Limoges le 27 novembre 1668, fils de Henri d'Aguesseau, intendant du Limousin, et de Claire Le Picart de Périgny, avocat du roi au Châtelet (29 avril 1690), avocat général au parlement (12 janvier 1691), procureur général (19 novembre 1700), chancelier de France (3 février 1717), mort à Paris le 9 février 1751.
cote : FP AGU 01
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Fol.1 : mention en haut du texte "Instruction de M. Daguesseau alors procureur général et depuis chancelier de Fresnes à son fils aîné pour la direction de ses études. Copiée sur le manuscrit original de l'auteur."
cote : Ms 277 (Bfm Limoges)
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Rédigé entre 1230 et 1250, par un moine franciscain anglais, cette œuvre est une encyclopédie théologique à usage pédagogique. Barthélemy présente au long des dix-neuf livres les propriétés de tout ce qui compose la Création. Cette encyclopédie devint ouvrage de référence auprès des clercs et des étudiants. Il fut largement traduit : en français notamment par Jean Corbichon au XIVe siècle.
Le présent exemplaire de ce texte appartenait au couvent des Récollets de Sainte-Valérie de Limoges.
cote : Ms15 (Bfm Limoges)
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Titre du XVIIIe siècle .
Actes de 1527 à 1546. Nombreux feuillets manquants. le commencement et la fin sont déchirés.
cote : Ms14 (Bfm Limoges)
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Recueil de traités d'astrologie et de médecine.
Fol.1 : Liber rationum sive causarum astronomie (Albumazar) - Fol.44 : Liber introducturius ad astrologiam (Côme d'Alexandrie) - Fol.51 : De diebus creticis (Hugues Lucas) - Fol.66 : Incipit liber Abrahe Avenesdre de luminaribus - Fol. 71 : Ne vel ignorancie vel potius... - Fol.75 : De urina non visa et causa dierum creticirum - Fol. 84 : incipit liber completus in magisterio judiciorum astrorum, quem compilavit Abraham....Fol. 114 : Explicit liber primus sapientie, intitulatus et editus ad Habraham Avesneszere vel Aezera... - Fol115 : Excepta de secretis Albumasar - Fol.124 : Incipit liber Rogeri de Herefordia... Fol. 129 : Jacobus Alkindi de milicia seculi ...Scientia astrorum dividitur in duo - Fol.135 : Tractatus Aveneszre de planetarum conjunctionibus er annorum revolucionibus... - Fol.144 : Explicit liber de mundo vel seculotranslatus a magistro Henrici Bate de hebraico in latinum - Fol.Phtolomeus Quadriparti cum suo comento Haly.... - Fol.269 : Explicit quadripartitum Ptholomei - Fol.272 : Centiloqium Ptholomei - Fol.289 : Domino Manfredo, inclito regi Cicilie, Stephanus de Messena hos flores de secretis astrologie divini Hermetis transtulit. - Fol.291 : Table. extraits divers et notes diverses.
L'ouvrage a appartenu à la bibliothèque des religieux Récollets, dits de sainte-Valérie de Limoges.
cote : Ms9 (Bfm Limoges)
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Marie Bosle (1866-1958) est née et a vécu tout sa vie à Chersoubre, commune de Saint-Georges-Nigremont, à l’orée de cette Montagne limousine que les gens de nos jours appellent toute entière, abusés par la communication touristique : plateau de Millevaches, mais qu’à cet endroit il convient de nommer plus précisément plateau de La Courtine.
Chez Marie Bosle comme dans tout le grand tiers sud-est de la Creuse, le dialecte occitan employé est l’auvergnat, et plus précisément le nord-auvergnat, qui reste bien plus proche lexicalement et morphologiquement du dialecte limousin de Bourganeuf, par exemple, qu’il ne l’est du dialecte sud-auvergnat du Cantal ou de Lozère. Tout cela pour dire qu’un limousinophone ne doit pas avoir peur de se frotter aux « gnorles » (historiettes) de Marie Bosle, il les comprendra sans difficulté.
C’est sur le tard, à soixante ans passés, que Marie Bosle se mit à écrire ces petits textes dans la langue de son pays. Las Estouéras de lo Morio (Les histoires de la Marie) furent d’abord publiées en chroniques dans le journal La Creuse entre octobre 1938 et août 1939, sous le titre Bouchis de Potoué (Morceaux de patois).
En 1941, le journal décidait d’en éditer le recueil que voici. L’introduction de François Pradelle vous en dira davantage.
Ces textes furent republiés en 1981 par la F.O.L. de la Creuse et l’I.E.O. Marche-Combraille, dans une édition de Jacques Chauvin (1945-2017). L’occitaniste aubussonnais avait alors pris le parti d’adapter ces textes en graphie occitane normalisée, comme c’était de coutume à l’époque. Mais si l’on reconnaît le grand mérite de la graphie occitane normalisée qui est de permettre au plus grand nombre, à travers toute l’Occitanie, de lire un texte d’un autre dialecte sans grande difficulté, il faut bien dire que la limite de cette graphie est aussi de ne pas pouvoir/vouloir tout à fait retranscrire les localismes et même les « hyperlocalismes » qui peuvent donner toute leur saveur à ce genre de textes si attachés à un territoire, à un terroir précis. Plus critiquable est par ailleurs la volonté manifeste de normaliser un peu la langue de Marie Bosle en ne reproduisant pas dans la version occitane tous les idiomatismes, tous les petits mots de liaison, toutes les tournures de phrases et certaines prononciations tout à fait propres au « patois de la Rozeille », comme l’appelait l’auteure, du nom de la rivière traversant sa contrée.
Les occitanistes qui possèdent l’édition de 1981 s’amuseront à comparer avec la présente.
cote : G2450/23 (Bfm)
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Article paru dans la revue " Le Temps présent" en deux parties, en juin 1913 puis en juillet 1913.
cote : Mag.58825 (Bfm Limoges)
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extrait de l'ouvrage : "Principes scientifiques des beaux-arts : essais et fragments de théorie . suivis de L'optique et la peinture "
cote : MAG 48327/BA 4 (Bfm Limoges)
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Article extrait de "L'origine et les destinées de l'art ".
cote : MAG 15224/18 (Bfm Limoges)
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cote : MAG.P PERRIER 2399 (fonds Antoine Perrier, Bfm )
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Livre journal de la main de Jacques Joseph Juge de Saint-Martin, avec à la fin collé la copie d'un acte d'huissier concernant le même enclos.
En 1790, Jacques Joseph Juge de Saint Martin acquiert les bâtiments du couvent des Carmes déclarés Bien National.
Le magistrat procède alors, de 1791 à 1813, à l’allotissement et à la démolition du couvent, en réalisant ainsi une opération immobilière favorisée par le percement au beau milieu des bâtiments conventuels d’une rue nouvelle (rue Neuve des Carmes).
Les Grands Carmes, arrivés à Limoges au milieu du 13e siècle, résidèrent d'abord près du pont Saint-Martial puis construisirent leur monastère près de l'ancien amphithéâtre. A la Révolution, la communauté est dissoute.
cote : Ms66 (Bfm Limoges)
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Publié par Lemouzi novembre 1893-mai 1895
Joseph Roux (1834-1905) félibre majoral limousin, chanoine de la cathédrale de Tulle, fondateur de la revue occitane Lemouzi est aujourd'hui salué avec respect dans toute l'Occitanie. Auteur d'une oeuvre littéraire riche (certaines de ses œuvres sont de véritables chansons de geste) et d'une Grammaire limousine, il entreprend un dictionnaire de la langue d'oc qui demeurera inédit à sa mort.
cote : MAG.P LIM 33683 (Bfm Limoges)
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Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze.
Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires.
Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac.
cote : MAG.P LIM 54886/d (Bfm Limoges)
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Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze.
Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires.
Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac.
cote : MAG.P LIM 57232 (Bfm Limoges)
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Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze.
Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau des Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau des Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires.
Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac.
cote : MAG.P LIM 45171 (Bfm Limoges)
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Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze.
Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires.
Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac.
cote : MAG.P LIM F7210/54 (Bfm, Fonds Antoine Perrier)
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La station gallo-romaine des Cars abrite les vestiges d'un ensemble funéraire et d'une villa datant de la première moitié du IIe siècle apr. J.-C. En 1917, lors d'un repérage dans les champs situés entre Saint-Merd-les-Oussines et Pérols-sur-Vézère, Marius Vazeilles observe un berger adossé à une pierre circulaire dépassant du sol. Les fouilles débutent en 1936.
Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze.
Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires.
Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac.
La couverture porte en plus : "Collaboration à la vieille histoire - Vulgarisation et éducation populaire - Mise en valeur des richesses archéologiques de la région".
Fonds Antoine Perrier
cote : MAG.P LIM F7210/13 (Bfm-Fonds Antoine Perrier)
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Extrait du Bulletin n°2-1954 de la Société des Lettres, Sciences et Arts de la Corrèze.
La station gallo-romaine des Cars abrite les vestiges d'un ensemble funéraire et d'une villa datant de la première moitié du IIe siècle apr. J.-C. En 1917, lors d'un repérage dans les champs situés entre Saint-Merd-les-Oussines et Pérols-sur-Vézère, Marius Vazeilles observe un berger adossé à une pierre circulaire dépassant du sol. Les fouilles débutent en 1936.
Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze.
Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires.
Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac.
cote : MAG.P LIM F7210/14 (Bfm-Fonds Antoine Perrier)
Fonds Antoine Perrier
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Extrait du Bulletin 1964 de la Société des Lettres, Sciences et Arts de la Corrèze.
Dédicace de l'auteur à Antoine Perrier en 1ère page
Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze.
Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires.
Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac.
cote : MAG.P LIM F7210/90 (Bfm-Fonds Antoine Perrier)
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Le récit héroïque de la vie de Geoffroy Tenant de la Tour, commandant de l'escadron des "Cigognes" pendant la première Guerre Mondiale, avant qu'il ne disparaisse en décembre 1917 abattu en vol. Auquel s'ajoute ses nombreuses notes personnelles commentées par le commandant Brocart.
Document issu du fonds patrimonial dit du Grand Séminaire, Service commun de documentation, Université de Limoges.
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Panégyrique prononcé dans l'église St.-Michel-des-Lions de Limoges, le 19 novembre 1894.
cote : ASS5114 (Université de Limoges-Service Commun de Documentation- Bibliothèque du Grand Séminaire)
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Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Soucieux d'expérimenter par lui-même et de rendre compte, il laisse de nombreux écrits sur ses différents centres d'intérêt : la sylviculture l'observation méteo, les moeurs ou le fonctionnement de la pensée.
cote : MAG.P LIM S1810 (Bfm Limoges)
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Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Soucieux d'expérimenter par lui-même et de rendre compte, il laisse de nombreux écrits témoignant de la diversité de ses centres d'intérêts : la sylviculture l'observation méteo, les moeurs ou le fonctionnement de la pensée.
cote : MAG.P LIM B1348 (Bfm Limoges)
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Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Soucieux d'expérimenter par lui-même et de rendre compte, il laisse de nombreux écrits sur ses différents centre d'intérêts : la sylviculture l'observation méteo, les moeurs ou le fonctionnement de la pensée.
cote : MAG.P LIM B923 (Bfm Limoges)
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Première édition du texte qui sera repris 9 ans plus tard.
Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Soucieux d'expérimenter par lui-même et de rendre compte, il laisse de nombreux écrits témoignant de la diversité de ses centres d'intérêts : la sylviculture l'observation méteo, les moeurs ou le fonctionnement de la pensée.
cote : MAG.P LIM H1229 (Bfm)
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Extrait du magasin encyclopédique
cote : MAG.P LIM B1302 (Bfm)
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Extrait du compte rendu des séances du 1er congrès de l'Arbre et l'Eau à Limoges, juin 1907, 2e livraison .
Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Soucieux d'expérimenter par lui-même et de rendre compte, il laisse de nombreux écrits témoignant de la diversité de ses centres d'intérêts : la sylviculture l'observation méteo, les moeurs ou le fonctionnement de la pensée.
cote MAG.P LIM 40388/1 (Bfm)
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Manuscrit autographe signé et daté du 21 août 1922.
In-4 (310 x 238 mm)
174 pages in-4, numérotées 1-172 (avec deux bis), dont 164 pages manuscrites autographes et 10 pages d’épreuves, toutes corrigées, à l’encre noire. L’ensemble est signé et daté à la dernière page.
Reliure de box-calf blanc cassé. Grandes plaques à effet cinétique sur les plats, titre de plat poussé à l'oeser blanc et rouge, lettres « M » et « S » mosaïquées de box-calf blanc et poussées à l'oeser blanc. Dos sans nerfs, mosaïque de box-calf noir et rouge, nom de l'auteur à la japonaise à l'oeser blanc et noir. Doublures de daim rouge, mosaïque de box-calf blanc et noir. Gardes de daim rouge.
Étui. Chemise de box-calf blanc cassé, mosaïque de box-calf noir.
1956, signée Rose Adler.
Doreur : André Jeanne
cote : MS407 (Bfm Limoges)
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Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Soucieux d'expérimenter par lui-même et de rendre compte, il laisse de nombreux écrits témoignant de la diversité de ses centres d'intérêts : la sylviculture l'observation méteo, les moeurs ou le fonctionnement de la pensée.
cote : MAG.P LIM S172 (Bfm Limoges)
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Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage.
Ces sculptures proviennent de l'hôtel de Labenche, un des plus beaux hôtels particuliers renaissance de la région. Construit en 1540. Acheté en 1829 par l'évêque de Tulle pour y installer un petit séminaire vers 1850, il est ensuite devenu propriété de la ville de Brive-la-Gaillarde qui y installa le musée municipal dont le premier conservateur fut... Ernest Rupin ( de 1884 à 1909).
Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage".
Edifié au XVIème siècle, le pont du Saillant est situé à cheval sur les communes de Voutezac et d'Allassac, (les habitants parlent encore du « Saillant d'Allassac » et du « Saillant de Voutezac »), enjambant la Vézère. Il est composé de six arches, deux sur Allassac et les autres sur Voutezac. Il a bénéficié d'une protection par les Monuments Historique en 1969.
Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Deuxième partie de l'article 330 à la fin.
Les coutumes sont, dans l'ancien droit français, des usages régissant la vie quotidienne des populations dans un cadre géographique déterminé (ville, province). Ces usages se sont formés dès le Moyen Âge. Oraux et transmis par la tradition, ils ont été progressivement fixés par écrit à la suite de l'édit de Montils-lez-Tours d'avril 1453. Les coutumes de la Marche, en fait la Haute-Marche (correspondant en gros à l'actuel département de la Creuse), ont été publiées en 1521. Elles régiront le droit jusqu'à leur remplacement par le Code Civil. La première édition imprimée date de 1526. D'autres ont suivi parmi lesquelles celles de Nicolas Callet (ou Caillet), la première comportant des commentaires, en 1573, de Charles Du Moulin en 1618 et 1633 (réimpression de la précédente), de Barthélemy Jabely en 1695 et de Couturier de Fournoue en 1744. Par ailleurs, plusieurs versions manuscrites existent, dont certaines se trouvent à la Bibliothèque multimedia du Grand Guéret.
Cet exemplaire manuscrit est l'oeuvre de Jean Regnauld conseiller du roi, lieutenant criminel au Présidial et sénéchaussée de la Marche à Guéret. Juge des affaires criminelles, il est le deuxième personnage de ce tribunal installé le 6 novembre 1635 dans la capitale de la Haute-Marche. Cette version manuscrite en quatre volumes, avec dos à cinq nerfs et titre et tomaison dorés, a dû servir d'instrument de travail à son auteur.
cote : 340.57 (Bibliothèque Multimédia du Grand Guéret)
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Première partie de l'article 286 à l'article 329.
Les coutumes sont, dans l'ancien droit français, des usages régissant la vie quotidienne des populations dans un cadre géographique déterminé (ville, province). Ces usages se sont formés dès le Moyen Âge. Oraux et transmis par la tradition, ils ont été progressivement fixés par écrit à la suite de l'édit de Montils-lez-Tours d'avril 1453. Les coutumes de la Marche, en fait la Haute-Marche (correspondant en gros à l'actuel département de la Creuse), ont été publiées en 1521. Elles régiront le droit jusqu'à leur remplacement par le code civil. La première édition imprimée date de 1526. D'autres ont suivi parmi lesquelles nous citerons celles de Nicolas Callet (ou Caillet), la première comportant des commentaires, en 1573, de Charles Du Moulin en 1618 et 1633 (réimpression de la précédente), de Barthélemy Jabely en 1695 et de Couturier de Fournoue en 1744. Par ailleurs, plusieurs versions manuscrites existent, dont certaines se trouvent à la Bibliothèque multimedia du Grand Guéret.
Cet exemplaire manuscrit est l'oeuvre de Jean Regnauld conseiller du roi, lieutenant criminel au Présidial et sénéchaussée de la Marche à Guéret. Juge des affaires criminelles, il est le deuxième personnage de ce tribunal installé le 6 novembre 1635 dans la capitale de la Haute-Marche. Cette version manuscrite en quatre volumes, avec dos à cinq nerfs et titre et tomaison dorés, a dû servir d'instrument de travail à son auteur.
cote : 340.57 (Bibliothèque Multimédia du Grand Guéret)
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Biographie critique écrite par un journaliste du vivant de l'auteure (elle a alors 39 ans) : elle a écrit ses plus grands romans (Hellé, La Maison du Péché, la Rebelle...).
cote : MAG.P LIM E699 (Bfm Limoges)
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Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage".
Situé à l'ouest de la Corrèze, sur le territoire de la commune de Beyssac au milieu d'une forêt de chênes (d'où son nom), ce monastère est, avec celui de Mortemart (Haute-Vienne), le seul établissement cartusien (relatif aux Chartreux, dont la règle est le silence et la contemplation) du Limousin. Il fut fondé en 1219 par Archambaud VI. La Chartreuse a connu deux périodes de fonctionnement conventuel : la première entre 1219 et 1789, et la seconde entre 1860 et 1901. Confisqué par deux fois par l'État, le monastère a connu de nombreux avatars (hôpital militaire, centre de colonie de vacances, sanatorium...)
Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Premier roman de Marcelle Tinayre publié pour la première fois en 1897.
Née à Tulle en 1870, Marcelle Tinayre est une femme de lettres
qui a marqué la Belle Époque, à la charnière des XIXe et XXe siècles.
Fille et belle-fille de femmes engagées, Marcelle Tinayre connaît, après la publication de ses premières nouvelles en 1893, un succès rapide dès ce premier roman, "Avant l’amour ". Elle publie par la suite "Hellé", couronné par l’Académie française.
Parmi ses autres œuvres, il convient de citer "la Rebelle", paru en 1905, dans lequel elle aborde l’avortement ; elle parle de grossesses hors-mariage dans son second roman « corrézien » la "Vie amoureuse de François Barbazanges" puis "l’Ombre de l’amour" (1909), dont l’action se déroule principalement à Gimel-les-Cascades. séduite par ce bourg - à l'instar de Gaston Vuillier - qu’elle découvre au tout début du XXe siècle parallèlement à ses retrouvailles avec sa ville natale. Collaboratrice du journal féministe la Fronde, Marcelle Tinayre est l’un des premiers membres du jury du futur prix Femina et en sera la présidente en 1908.
cote : MAG.P LIM 54199/1 (Bfm Limoges)
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d'après une nouvelle de Louis de Beaugency .
"La Fiancée du Diable a été représentée pour la première fois sur la scène du théâtre municipal de Limoges le 11 janvier 1941."
Livret complet et partitions en fin de recueil.
Wally Karveno, née Loewenthal est une compositrice comédienne et poétesse qui vécut un temps réfugiée à Limoges pendant la guerre avant d'être internée au camp de Gurs en France en 1941. Elle laisse une oeuvre essentiellement écrite pour piano.
Ami de Robert Margerit, du porcelainier Jacques Bernardaud, de l'éditeur Jean Lagueny, etc., Jean Virolle, formé aux beaux-arts de Limoges, est un artiste à plusieurs facettes surtout connu pour ses illustrations de presse et revues.
cote : MAG.P LIM 36654
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Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage".
La maison Treilhard, un bel hôtel particulier du XVIe siècle, fut la maison natale de J.-B. Treilhard (1742-1810), avocat, homme politique, principal rédacteur du code civil. Il est inhumé au Panthéon. Cet immeuble a appartenu aussi à une congrégation des frères prêcheurs.
On voit encore la belle tour d’escalier en vis et la tourelle en encorbellement qui s’y accroche.
Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage.
Manoir fortifié construit au XVe siècle, il devient au XVIe siècle une demeure de plaisance remaniée de style Renaissance italienne par Dominique de Sédières de retour des campagnes d'Italie. Au XVIIe siècle le château se dote de jardins à la française grâce à la famille Lantillac, nouveaux héritiers des lieux. Abandonné puis pillé à la Révolution, le château est restauré en 1861 suivant les plans de Viollet-le-Duc.
Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Catalogue illustré des plus beaux spécimens, lieux d'élevage, prix, exposition, etc. précédé d'une courte présentation.
Edmond Teisserenc de Bort, sénateur de la Haute-Vienne de 1895 à 1909 consacra la majeure partie de sa vie à la promotion de la race bovine limousine. Il fut président de la société d'agriculture de Limoges, président du syndicat des agriculteurs de la Haute-Vienne et vice-président du syndicat de la race bovine limousine.
cote : MAG.P LIM 42885 (Bfm Limoges)
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Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage.
Le logis de Loyac appelée aussi "maison de l'abbé" fut construit aux XVe et XVIe siècles. Remarquable par l'élégance de sa façade, cette dernière, reconnaissable à ses tourelles, associe le style gothique flamboyant aux ornementations Renaissance.
Cette gravure fut initialement publiée dans "Le vieux Tulle de René Fage.
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Dans la préface à l'ouvrage, Raymond Laborde précise : " On trouvera donc ici le vrai dialecte limousin et la plupart des mots réapparaitront avec toute leur couleur et leur saveur dégagés de la chrysalide "patoise"[...] Qu'on ne s'attende pas à quelque chose d'impeccable. Notre langue, si longtemps souveraine, a été d'une richesse incomparable. Nous ne pouvions pas avoir la prétention de la faire connaître du premier coup".
Joseph Roux (1834-1905) félibre majoral limousin, chanoine de la cathédrale de Tulle, fondateur de la revue occitane Lemouzi est aujourd'hui salué avec respect dans toute l'Occitanie. Auteur d'une oeuvre littéraire riche (certaines de ses œuvres sont de véritables chansons de geste) et d'une Grammaire limousine, il entreprend un dictionnaire de la langue d'oc qui demeurera inédit à sa mort.
cote : MAG.P LIM 33684 (Bfm Limoges)
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Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage".
Cette maison est connue aujourd'hui sous le nom de Château Pontier. C'est un bâtiment construit au 16e siècle par la famille Pontier qui avait quitté Aix-en-Provence à cause des guerres de Religion. Construit à l'emplacement d'un château antérieur, le bâtiment est constitué d' un corps de logis rectangulaire flanqué, du côté de la Vézère, de deux tourelles circulaires d'angle.
Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Cette oeuvre oubliée serait "Remarques sur les fautes et faussetez de la table intitulée, table chronologique historique, contenant l'abrégé fidelle de tout ce qui s'est passé de remarquable dans le Limousin, depuis les conquestes des Romains jusqu'en l'an 1666." (disponible sur la Bibliothèque numérique du Limousin), un recueil historiographique de plus de 100 pages.
L'auteur annoncé serait le sieur de Maldamnat, mais Alfred Leroux s'attache à prouver avec force documentation et de notes que le cardinal Baluze se cache derrière cette oeuvre.
cote : MAG.P LIM 40938 (Bfm Limoges)
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Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières.
Sur un ton élégiaque Jaques Joseph Juge de Saint-Martin décrit sa métairie de Boubaud à Nieuil près de Limoges. Un critique de l'époque assure à la parution de l'ouvrage : " ... si M. Juge, pour rendre ses descriptions plus séduisantes, a employé le pinceau de la poésie, c'était pour mieux faire sentir la ressemblance des objets qu'il voulait peindre et qu'on s'est convaincu, le livre à la main [...] qu'il n'a pas représenté les objets plus beaux que ceux offerts par la nature des lieux" (Journal du Département de la Haute-Vienne, 9 octobre 1806)
cote : MAG.P LIM 18627 (Bfm Limoges)
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Né à Chambon-sur-Voueize, en Creuse, Paul-Louis Grenier est un poète occitan limousin. Chartiste et philologue, il a été longtemps conservateur de la bibliothèque de Limoges et a travaillé pendant un moment à la Bibliothèque nationale de France.
Paul-Louis Grenier écrit dans un occitan limousin très littéraire et un lexique assez médiéval. Il décrit le merveilleux, des lieux et des personnages liés au Limousin d’une façon souvent fantastique. On trouve dans son oeuvre des thèmes récurrents comme la ville de Limoges, celle de Bourganeuf et le mystérieux prince Zizim qui y vécut, les animaux fantastiques comme la licorne...
La chanson de Combraille se veut une chanson épique de la Marche limousine. "Au point de vue du vocabulaire, ma langue se rattache non seulement à celui des troubadours [...] mais aussi à celui des chartes de la Creuse et des parlers actuels du département" (P.L.Grenier, "La Vie Limousine, 25 décembre 1927)
L’ensemble de son œuvre a été rééditée en un volume "Òbra poetica occitana" aux Edicions dau Chamin de Sent-Jaume en 2011. Ses poèmes ont été mis en musique par plusieurs chanteurs occitans, dont Jan dau Melhau et Bernard Combi.
cote : MAG.P LIM 46670 (Bfm Limoges)
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Les coutumes sont, dans l'ancien droit français, des usages régissant la vie quotidienne des populations dans un cadre géographique déterminé (ville, province). Ces usages se sont formés dès le Moyen Âge. Oraux et transmis par la tradition, ils ont été progressivement fixés par écrit à la suite de l'édit de Montils-lez-Tours d'avril 1453. Les coutumes de la Marche, en fait la Haute-Marche (correspondant en gros à l'actuel département de la Creuse), ont été publiées en 1521. Elles régiront le droit jusqu'à leur remplacement par le Code Civil. La première édition imprimée date de 1526. D'autres ont suivi parmi lesquelles nous citerons celles de Nicolas Callet (ou Caillet), la première comportant des commentaires, en 1573, de Charles Du Moulin en 1618 et 1633 (réimpression de la précédente), de Barthélemy Jabely en 1695 et de Couturier de Fournoue en 1744. Par ailleurs, plusieurs versions manuscrites existent, dont certaines se trouvent à la Bibliothèque multimedia du Grand Guéret.
Cet exemplaire manuscrit est l'oeuvre de Jean Regnauld conseiller du roi, lieutenant criminel au Présidial et sénéchaussée de la Marche à Guéret. Juge des affaires criminelles, il est le deuxième personnage de ce tribunal installé le 6 novembre 1635 dans la capitale de la Haute-Marche. Cette version manuscrite en quatre volumes, avec dos à cinq nerfs et titre et tomaison dorés, a dû servir d'instrument de travail à son auteur.
cote : 340.57 (Bibliothèque Multimédia du Grand Guéret)
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Issu d’une vieille famille de Saint-Junien, Louis Codet nait à Perpignan, puis fait à Paris de brillantes études de droit et de peinture . Dandy parisien, Louis Codet se lie d' amitié avec Guillaume Apollinaire, Marie Laurencin, André Gide, Eugène Montfort, notamment. Mobilisé dès le début de la Première Guerre Mondiale, il meurt peu de temps après, blessé par un obus.
Les deux amis cités dans ces lettres sont Eugène Montfort, écrivain, fondateur et directeur de la revue Les Marges et Louis Bausil, peintre originaire de Perpignan comme Louis Codet. Elles sont particulièrement touchantes : les dernières adressées à Eugène Montfort raconte la façon dont il a été blessé, quelques notes justes et concises sur la situation du soldat et rapportent par le détail des anecdotes. Louis Codet s'y montre observateur bienveillant et délicat.
"Louis Codet est une des plus pure fleurs de la littérature française. Il l'est par l'esprit, par l'humanité qui l'anime, par l'aisance du langage qu'il sert, par cet équilibre constant entre pensée et style" Pierre Camo ("Les Nouvelles littéraires", 9 août 1935).
cote : MAG.LIM.46666 (Bfm Limoges)
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Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage.
La tradition locale raconte qu'il s'agirait d'une ancienne forteresse romaine qui servit de refuge au Moyen-âge puis de repère de bandits. Pourtant rien dans l'appareil des murs ne semble le confirmer. Il n'en reste pas moins que Pille-Brive, située à Chasteaux au sud de Brive est une curiosité imposante.
Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage".
La porte Chanac était située e à l'entrée de la même rue qui porte son nom. C'était une porte fortifiée. Les deux maisons qui la soutenaient étaient elles-même fortifiées.
Cette porte devait dater du XIIIe siècle, mentionnée dans un acte de vente entre les seigneurs de Chanac et l'abbé de Tulle en 1256.
Après plusieurs assauts, puis des remaniements au XIVe et au XVe siècles, elle cesse d'être entretenue, avant d'être détruite par arrêté municipal en 1958.
Cette gravure fut initialement publiée "Le vieux Tulle" de René Fage
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage.
La porte Chanac était située à l'entrée de la même rue qui porte son nom. C'était une porte fortifiée. Les deux maisons qui la soutenaient étaient elles-même fortifiées.
Cette porte devait dater du XIIIe siècle, mentionnée dans un acte de vente entre les seigneurs de Chanac et l'abbé de Tulle en 1256.
Après plusieurs assauts, puis des remaniements au XIVe et au XVe siècles, elle cesse d'être entretenue, avant d'être détruite par arrêté municipal en 1958.
Cette gravure fut initialement publiée "Le vieux Tulle" de René Fage
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage.
Manoir fortifié construit au XVe siècle, il devient au XVIe siècle une demeure de plaisance remaniée de style Renaissance italienne par Dominique de Sédières de retour des campagnes d'Italie. Au XVIIe siècle le château se dote de jardins à la française grâce à la famille Lantillac, nouveaux héritiers des lieux. Abandonné puis pillé à la Révolution, le château est restauré en 1861 suivant les plans de Viollet-le-Duc.
Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage.
Situé à une dizaine de kilomètres de Tulle, dans la commune d'Espargnac, le château de Puy-de-Val forme un beau quadrilatère autour d'une cour hérissée de tours. Construit au XVe siècle, remanié au XVI puis XVIIIe siècle, il connut de prestigieux possesseurs parmi les plus illustres familles limousines : Guy Puy-de-Val époux d'Helies la Jugie, Françoise de Noailles, etc.
Le château est inscrit à l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927.
Cette gravure fut initialement publiée dans "Le château de Puy-de-Val, description et histoire" (1883) de René Fage.
cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Recueil de pièces composées par les élèves du Collège des Jésuites de Limoges, en latin et en français, pour fêter le retour de Charles Boucher d'Orsay (1676-1730) au poste d'intendant de Limoges (il avait déjà été intendant entre 1710 et 1715 et revient en 1724 jusqu'à sa mort en 1730). Créateur du jardin d'Orsay.
"Son retour à Limoges à la mi-année 1724 a été l’occasion pour les élèves du collège jésuite de la ville de produire les 4 pièces en vers conservées aujourd’hui à la BFM. Odes et élégies en vers latins et français chantent les mérites de ce commis de l’état qui fit beaucoup pour Limoges et le Limousin en matière de travaux d’urbanisme et de réformes administratives (embellissement de la ville et cité de Limoges, avec entre autres le jardin d’Orsay, amélioration des haras provinciaux, politique de recherche de gisements miniers, règlement pour les papèteries du Limousin et de l’Angoumois, etc.).
De manière conventionnelle, ces poésies font le panégyrique de l’officier royal et de sa maison toute tournée vers le service de l’Etat, rappellent son enracinement limousin personnel et surtout ne manquent pas de louer le zèle avec lequel il conjura l’épidémie provençale. " Thierry Paquin
cote : MAG.P LIM F5843/34 (Bfm Limoges)
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"Le poète, dramaturge et folkloriste Jean-Baptiste Chèze (1870-1935), originaire d'entre Tulle et Egletons, en Corrèze, fut l'un des grands animateurs du mouvement félibréen limousin, aux côtés de Johannès Plantadis, René Farnier, Joseph Nouaillac et tant d'autres de cette génération d'ardents défenseurs de la culture d'oc limousine.
Dans cette petite pièce (pessota), La nueg de Tous-Sents 1915, Chèze rend hommage à un autre grand félibre corrézien, Eusèbe Bombal, mort le 1er novembre 1915 à Argentat, où il était né en 1827. La pièce se déroule donc la nuit de Toussaint 1915, quelques-uns des plus célèbres personnages des pièces de Bombal sont réunis autour de la cheminée. Ils devisent mélancoliquement (c'est la guerre !) quand Champalimau vient leur annoncer la mort de ce bon Monsieur Bombal... ".
Baptiste Chrétien
cote : MAG.P LIM 44214 (Bfm Limoges)
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cote : MAG.P LIM 30321 (Bfm Limoges)
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Marguerite Priolo devient reine du Félibrige en 1913, après avoir été reine du Félibrige Limousin (1909-1912). Auteur de deux ouvrages de contes traditionnels (Legendas Lemouzinas, 1915 et Countes del Meirilher, 1916), elle fut l'une des disciples de Joseph Roux et l'élève d'une autre reine du Félibrige, la marseillaise Marguerite Genès (1868-1955), autre personnalité importante des débuts du Félibrige en Limousin.
Ces Legendas Lemouzinas, tout comme son autre ouvrage Countes del Meirilher, sera salué en 1965 par le journal Lemouzi : "dès sa parution, le livre Legendas Lemouzinas fut une révélation et opéra presque une révolution. Un style alerte, dru, flexible, épousant toutes les nuances de la pensée ou de la fantaisie venait de naître."(Lemouzi, numéro 15, 1965, p.281-282, Robert Joudoux).
cote : MAG.P LIM 44569 (Bfm Limoges)
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... et des employés des bureaux des ateliers de peinture et de fabrique porcelaine. Fondée à Limoges le 1er décembre 1850.
Livret de sociétaire de 1884.
cote : MAG.P LIM 55367/XX,7 (Bfm Limoges)